la gendarmerie nationale, la police nationale, des SDIS, des SAMU utilisent des données OSM
les “données de référence” sont le fruit d’un processus long pour que les données rentrent dans le tuyau et en ressortent
Il faut trouver un juste équilibre entre une mise à jour beaucoup plus rapide et peut-être un peu moins contrôlée et une mise à jour de données hypercontrôlées mais avec des cycles incompatibles avec les usages.
Il y a beaucoup d’usages pour lesquels il est plus important d’avoir des données très fraîches, quitte à ce qu’il y ait quelques erreurs, plutôt que des données vérifiées qui ont trois ans.
On observe aussi une prise de conscience générale par rapport à l’hégémonie de Google qui joue en notre faveur.
Quand une collectivité entre dans une démarche open data, c’est qu’elle a compris l’intérêt des biens communs, du partage, du collaboratif, etc. Du coup, aller vers OSM est un pas facile et naturel.
l’ancien ministre de l’Education Benoit Hamon a indiqué vouloir introduire le “codage” à l’école sur le périscolaire. Une annonce pour le moins floue que nous avons soumise à quatre personnes qui baignent dans ces questions d’apprentissage du numérique.
écrire une nouvelle licence Open Data « maison » comme a essayé de le faire la DILA n’est en aucun cas un choix envisageable
Ces formats sont appelés formats ouverts. Il en existe pour tout type de données. Les plus populaires sont : CSV, JSON, XML, SQL, OpenDocumentFormat (ODS).
Inscription nécessaire dans un temps plus long, le temps justement que les administrations deviennent de bonnes “vaches à données” amenant les bénéfices vantés ?
l’équipe manque aussi de compétences spécifiques sur la donnée, après la fin du contrat d’un spécialiste lors de l’ouverture.
la démarche, mixant aspects techniques, organisationnels, politiques, communicationnels, soupoudrés d’une bonne dose de sociologie de l’administration.
les équipes ont encore une image brouillée de l’open data et de ses bénéfices
Le choix de la plate-forme mutualisé est également à double tranchant
Ainsi, par excès de prudence cachant une méconnaissance du cadre juridique sur les données personnelles ou sensibles, des données appauvries ont été publiées.
dans le cas de la Loire-Atlantique, “les acteurs internes ne font pas usage du portail.