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Aurialie Jublin

Lippi, les recettes de l'alter management - LEntreprise.com - 2 views

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    "Création de groupes de travail transversaux, communication via Twitter, auto-organisation... Chez Lippi, l'autonomie du collaborateur est la clef du développement de l'entreprise."
Chamila Puylaurent

En période de crise, certains projets RSE valent mieux que d'autres - 0 views

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    "Les valeurs "collaboration", "engagement" ou "agilité" sont sur les lèvres de tous les dirigeants. Pourtant les tensions économiques contraignent les budgets et les projets collaboratifs ne sortent pas nécessairement gagnants dans les arbitrages." Le dirigeant de Lecko revient ici sur les grosses problématiques des entreprises qui veulent mettre un place un RSE...
Aurialie Jublin

Five Trends Shaping the Future of Work - Forbes - 0 views

  •  The technologies in the consumer web help encourage and support new behaviors such as creating communities, being open and transparent, sharing information and ideas, easily being able to find people and information, and collaboration.  These behaviors (and technologies) are now making their way into our organizations and are helping shape the future of work.
  • Virtually every collaboration platform today has a cloud-based deployment option.  This means that the barrier to entry is virtually zero.  Business units no longer need to wait for corporate approval or the blessing of IT to make investments in these areas.
  • Most organizations today are struggling to adapt to this changing workforce as baby boomers are starting to make their way out.  This is a big factor shaping the future of work as organizations seeking to attract and retain top talent are going to need to adapt.
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  • The idea of “connecting to work” is become more prevalent within organizations as they are starting to allow for more flexible work environments.  With an internet connection you can now access everything you need to get your job done.  The notion of having to work 9-5 and commuting to an office is dead.
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    "When it comes to the future of work there are a few key trends which business leaders need to pay attention to.  Understanding these trends will allow organizations to better prepare and adapt to the changes which are impacting the way we work.  These five trends are: 1) changing behaviors which are being shaped by social media entering the enterprise 2) new collaborative technologies 3) a shift to the "cloud" 4) millennials soon becoming the majority workforce and 5) mobility and "connecting to work.""
Aurialie Jublin

L'open-space est mort, vive le multi-space !, Le Cercle - 1 views

  • Il est donc urgent d’inventer un nouvel espace qui reflète les nouveaux modes de travail, collaboratifs et connectés. Le multi-space doit devenir le nouvel espace de travail du XXIème siècle. Il rationnalise certes les mètres carrés, privilégie la fonctionnalité, tout en déclinant des espaces plus intimes pour réfléchir et se concentrer, comme des salles de réunion ou des bulles de travail, des lieux de partage et de détente qui valorisent la cohésion des équipes. L’espace de travail évoluerait ainsi selon les besoins des équipes. Il doit incarner le mouvement et la créativité de l’entreprise. La richesse des entreprises réside avant tout dans ses collaborateurs. La réussite dépendra non seulement de l’agilité des entreprises, mais aussi de leur capacité à investir dans un environnement de travail optimal. C’est ainsi qu’elles pourront mobiliser l’intelligence collective et la capacité d’innovation de l’ensemble des talents pour se différencier.
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    "Dans un monde hyper connecté, où les exigences en matière de bien-être au travail sont étroitement liées au développement personnel, l'open-space doit laisser sa place au multi-space."
Aurialie Jublin

Avec la Villa Bonne Nouvelle, Orange se penche sur la digitalisation du travail via @01... - 1 views

  • Orange, c’est 170 000 collaborateurs à l’international et 100 000 en France. Diffuser le numérique dans l’entreprise sans oublier personne sur le bord de la route n’est pas une mince affaire. « Pour éviter toute crispation du corps social nous avons décidé d’anticiper et d’expérimenter. Le numérique a pour effet de dissoudre les définitions traditionnelles de lieu et de temps de travail qui sont deux concepts centraux du droit du travail français » ,continue Bruno Mettling. A la Villa Bonne Nouvelle, les équipes volontaires ne sont soumis à aucune obligation d’horaires ni de dress code.
  • D’ici quelques mois, les équipes volontaires quitteront les locaux de la Villa et seront remplacées par d’autres équipes. « En restant plus longtemps, le retour dans leur cadre de travail classique risquerait de ne pas être évident » ajoute Bruno Mettling. Et, l’objectif est de diffuser les nouvelles pratiques de coopération et d’échange acquises à Bonne Nouvelle au reste de l’entreprise.
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    "Orange vient de créer un espace de co-working rassemblant des salariés volontaires, des startups et des artistes. Objectif : expérimenter de nouvelles manières de travailler et de manager avec moins de contrainte pour mesurer l'impact du numérique sur le travail."
Aurialie Jublin

Les nouvelles formes de conflictualité en entreprise : entre Droit et Managem... - 1 views

  • Plus audacieuse encore, est récemment apparue la grève virtuelle : en septembre 2008, IBM a vu 1850 de ses salariés manifester sur Second Life. L’impact d’une telle manifestation ? Les journaux du monde entier se sont intéressés à ce mouvement, lui donnant une ampleur considérable ; la direction fut obligée de négocier un accord. Nous voyons bien en l’espèce que la médiatisation d’un conflit peut offrir à la masse salariale un pouvoir qu’une simple grève ne confère pas. Or le pouvoir est l’arme la plus importante dans une négociation. Notons aussi que ce qui interpelle les médias, c’est la nouveauté, l’originalité de ces expressions du mécontentement.
  • De nombreux blogs anonymes dénigrant les conditions de travail de certaines entreprises ont ainsi vu le jour. Ces supports pouvant être lus par un très large public, l’image de la société peut s’en trouver rapidement altérée. Or l’image et le crédit d’une entreprise sont des éléments extrêmement importants du fonds de commerce : la direction aura tout intérêt à négocier.
  • Ainsi le coaching des managers, mis en place dans de grandes entreprises, est un accompagnement permettant de mieux comprendre et d’appréhender les problématiques ; la boîte aux lettres anonyme peut aussi être utile pour prévenir les conflits, tout comme la création de blogs internes, à condition qu’ils soient régulièrement mis à jour et qu’ils fassent l’objet d’une prise en compte réelle par  tous les niveaux hiérarchiques. Il peut s’agir par exemple de blogs d’information, de conversation, ou de blogs collaboratifs (pour les groupes de travail) voire de blogs syndicalistes, comme il en existe dans des grands groupes tels Eurofloat ou Oracle.
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    Si la grève est le mode officiel de contestation au sein de l'entreprise, la pratique montre aujourd'hui qu'elle est de moins en moins utilisée, au profit de modes alternatifs de conflictualité. En ce sens, nous constatons une augmentation des débrayages, des grèves perlées, tournantes ou encore virtuelles, de l'absentéisme et des séquestrations de dirigeants sociaux.   Pourquoi les salariés usent-ils moins du droit de contestation qui leur est reconnu, préférant  des actions qui les mettent parfois en danger ? Quelle réglementation pour ces actions ? Comment y faire face ? Tels sont les points qui intéresseront nos développements.
Xavier de Mazenod

Le coworking va-t-il transformer le monde du travail ? - 0 views

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    Pour encourager le travail collaboratif, l'innovation et soutenir les travailleurs indépendants, le coworking est de plus en plus souvent adopté. Une nouvelle façon de s'organiser, qui permet de mieux articuler travail et temps libre et remet la notion de lien au centre du travail. Le coworking est une nouvelle façon possible d'aborder le monde du travail.
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    Un article publié l'an dernier dans la version papier de Kaizen Magazine.
Aurialie Jublin

"L'espace de travail est un outil de management" Les Echos - 0 views

  • J’ai identifié trois types d’espaces qui ouvrent de nouvelles perspectives ! Les espaces « physuels » (physiques et visuels), les espaces de codesign et les espaces de contemplation. Ces nouveaux environnements sont tous issus d’une réflexion en profondeur sur les activités des fameux travailleurs du savoir. Ces derniers consacrent en effet 60 à 80 % de leur temps à du travail collaboratif. Les entreprises leaders de secteurs à haute intensité collaborative sont en moyenne neuf fois plus performantes que les autres. La collaboration intensive est donc une activité qui requière des environnements spécifiques. Les espaces « physuels » en sont un premier exemple. Ils associent des espaces physiques, des outils de visualisation et des logiciels de virtualisation. Pouvoir modéliser un problème en trois dimensions et utiliser des logiciels 3D accroit l’efficacité et la productivité des collaborateurs. Ils assimilent le contenu d’un rapport en moitié moins de temps et effectuent leur travail beaucoup plus rapidement.
  • Les espaces de contemplation ont vocation à créer des conditions sensorielles, émotionnelles et cognitives particulières. Ils se caractérisent par une hauteur sous plafond importante et une perspective aussi large que possible sur un paysage urbain ou naturel. Leur architecture d’intérieur, les couleurs, matériaux, finitions et mobiliers sont conçus pour créer l’étonnement et la surprise. Ces espaces suscitent ainsi un décadrage émotionnel et sensoriel, une stimulation « expérientielle » bienvenue, qui est un préalable à la génération de nouvelles idées et à la créativité. Ils invitent à la rêverie, dont on sait aujourd’hui que cet état stimule et accentue l’activité du cerveau.
  • Les espaces de contemplation ne sont pas de simples espaces de détente : au même titre que les espaces « physuels » et les espaces de codesign, ce sont des ressources dans l’atteinte des objectifs organisationnels de toute entreprise.
Chamila Puylaurent

Pourquoi le digital transforme l'organisation du travail ? | E-media, the Econocom blog - 0 views

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    "En mobilité, à distance, par communauté de projets, avec comme seul lieu permanent de rencontre, l'Internet… les technologies numériques modifient les façons de collaborer, le rapport au travail et in fine la notion même d'entreprise."
marinealbarede

Le Figaro - L'entreprise : Voici votre bureau en 2030 - 1 views

  • Le salarié sera sans doute présent moins de temps sur le site de l'entreprise mais il travaillera de chez lui, bénéficiant d'horaires adaptés à sa situation. « L'idée est aussi d'éviter les heures de pointe pour ceux qui dépendent de leur voiture », précise Marie Puybaraud. Ainsi, la frontière entre l'espace privé et professionnel s'estompera. Selon les différents scénarii, cette évolution sera une souplesse bienvenue ou, au contraire, une dérive vers le travailleur corvéable à merci.
  • Le scénario de l'éco bureau est le plus épanouissant, car il offre le meilleur mode de vie. Le salarié partage sa journée de travail entre son domicile, son bureau et des espaces collectifs loués pour l'occasion. Le projet a germé dans « le Hospital Club » situé à Londres qui propose aux entreprises spécialisées dans la publicité, le multimédia et le marketing des bureaux satellites.
  • Le monde du travail régi par le réseau. Scénario noir. Nous sommes en 2030, le monde subit des attaques terroristes informatiques et les pandémies se multiplient. De ce fait, le travail à domicile s'impose comme réponse à ces menaces. Les travailleurs, souvent sous un statut de micro entrepreneurs, échangent avec leurs clients et leurs collaborateurs via des réseaux. Ils perdent donc le sentiment d'appartenance à leur entreprise.
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  • Le bureau-forteresse. Le monde entre dans un déclin, martyrisé par des attaques terroristes, des troubles sociaux et une forte insécurité. Le scénario du "bureau Gattaca" projette par exemple une succession de grèves planétaires en 2015 et un monde gouverné plus que jamais par les entreprises.
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    Le groupe Johnson Controls a fait réaliser une étude sur l'évolution du cadre de travail d'ici à une vingtaine d'années. Trois scénarios sont imaginés : l'éco-bureau (travail en communauté), la Ruche (le monde du travail régi par le réseau) et "Bienvenue à Gattaca" (le bureau-forteresse). En 2030, nous aurons toujours un bureau. Même concurrencé par le travail à domicile, il restera indispensable pour se retrouver et échanger. Si le lieu demeure, sa forme change cependant. Il perd sa dimension privative pour devenir plus que jamais un espace collaboratif. 
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    Le groupe Johnson Controls a fait réaliser une étude sur l'évolution du cadre de travail d'ici à une vingtaine d'années. Trois scénarios sont imaginés.
Chamila Puylaurent

L'espace d'open innovation "Le Village" a ouvert ses portes ! - 2 views

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    "Installé au cœur de Paris (55, rue la Boétie à Paris), et inauguré il y a quelques jours, Le Village est une première en France et en Europe. Pourquoi ? Parce que pour la première fois, une banque, le Crédit Agricole, et de grands groupes (Microsoft, Steelcase, HP, GDF Suez, etc.) se sont associés « pour créer un lieu et un réseau uniques, entièrement tournés vers le développement économique des jeunes entreprises et la création de projets innovants. »"
Aurialie Jublin

Notre-Dame-des-Landes : demain est déjà à l'oeuvre - Libération - 2 views

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    Au-delà du symbole de NNDL, nombres de collectifs émergent en imposant de nouvelles manières de faire et d'être ensemble. Les politiques publiques sauront-elles prendre en compte ces «utopies réalistes» ?
Aurialie Jublin

Le sens du travail à l'ère numérique | Pierre-Yves Gomez - 0 views

  • Le travail professionnel, lui, est organisé dans les entreprises ou les administrations si on est salarié, ou défini par un contrat commercial si on est indépendant. Il se distingue, d’une part, par la subordination du travailleur au donneur d’ordre, d’autre part, par la rémunération monétaire de l’effort réalisé. Il représente toutefois moins de la moitié de l’ensemble des activités de travail que nous réalisons au quotidien. Le travail professionnel est donc à tort considéré comme « le » travail par excellence, au terme d’une confusion courante entre les notions de travail et d’emplo
  • La question du sens du travail n’est donc pas (seulement) de l’ordre d’une contemplation du résultat. Elle fait aussi écho au contrôle des outils utilisés. Si le travailleur doit se plier à leur rythme, leur cadence ou leurs exigences, le sens du travail est décidé, au final, par ceux qui contrôlent ces outils et les imposent dans les processus de production. Pour éviter une approche idéaliste, il est donc nécessaire de s’interroger sur le degré de maîtrise des techniques par ceux qui les utilisent, qu’il s’agisse des innombrables robots, ordinateurs, téléphones, réseaux techniques ou des machines nécessaires aussi bien pour accomplir un travail domestique, collaboratif que professionnel.
  • L’histoire du travail humain est celle d’une tension constitutive entre l’emploi des outils et leur propriété, entre ceux qui les manipulent et ceux qui en définissent les conditions d’usage, imposant la finalité du travail et réduisant les travailleurs au seul accomplissement des efforts pour produire. La tension s’est accrue au fur et à mesure que la société industrielle s’est enracinée dans un système technique complexe.
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  • Au tournant du XXe siècle, quand l’organisation du travail se veut « scientifique », le travailleur est soumis au rythme et à l’intensité des machines avec lesquelles il est mis en concurrence : « La machine n’agit pas seulement comme un concurrent dont la force supérieure est toujours sur le point de rendre le salarié superflu. […] Elle devient l’arme de guerre la plus irrésistible pour réprimer les grèves, ces révoltes périodiques du travail contre l’autocratie du capital[4]. » Le travailleur subordonné perd la capacité de définir le sens d’une activité inscrite dans les processus complexes de la production mécanisée qui sert à la fois d’étalon de productivité et de menace d’exclusion. Ceux qui contrôlent l’investissement et l’usage des machines peuvent jouer de cette menace.
  • En réaction à l’hyper-rationalisation des organisations, notamment avec la période de financiarisation, mais aussi à l’insécurité croissante de stratégies globalisées et souvent incompréhensibles, ils ont réinvesti les formes du travail « privé » pour reprendre la main sur leurs activités et y trouver une nouvelle opportunité de donner du sens à leurs efforts. Il s’en est suivi un désengagement des entreprises sous forme de « bore out » (prise de conscience que le travail professionnel est ennuyeux), de « brown out » (prise de conscience que ce travail est inutile), voire de « burn out » (travail insoutenable).
  • À l’opposé du scénario précédent, la numérisation autoriserait une décentralisation économique inédite, permettant à la fois de travailler à distance et aussi de produire et de consommer localement – voire d’auto-consommer – la plus grande partie de la production[8]. Ce scénario suppose une reconfiguration de la consommation : échapper à l’industrialisation planétaire des objets, c’est en consommer moins et choisir un mode de vie plus simple, qui pourrait compenser la perte de revenus due au déclin du travail professionnel classique, sans paupérisation des ménages. Au total, le monopole des organisations marchandes sur la définition de la finalité du travail professionnel serait fortement entamé.
  • On voit que le jeu est ouvert entre ces deux scénarios, dont l’un prétend émanciper par une hyperconsommation numérique, l’autre par une réappropriation locale du sens du travail. L’issue dépendra, notamment, de ce que nous ferons des nouvelles technologies.
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    "Hors de l'emploi, le travail est largement invisible. Il est pourtant vecteur de sens, un sens fixé par l'employeur dans le salariat. Mais dans un monde numérisé, qui maîtrisera la finalité du travail ? "
Aurialie Jublin

Les compétences numériques ne s'improvisent pas ! - 0 views

  • L’observation a porté sur des jeunes de 15 à 18 ans, en situation scolaire (TPE et assimilé) et en situation périscolaire (dans des « tier lieux » comme le PIL, le BAL, le LOREM, le Relais 59, Minecraft). L’objectif principal a visé à identifier les compétences engagées par les élèves comme par les formateurs dans leur construction de connaissances infocommunicationnelles. Les dispositifs choisis sont hybrides, vu que rien n’existe en l’état en matière de dispositifs proprement numériques. Les résultats pointent une situation française très hétérogène, avec des risques d’augmentation de la fracture numérique mais aussi avec des avancées dans l’identification des freins et des facteurs facilitant la transition numérique.
  • être connecté ne suffit pas à être compétent.
  • L’infomédia fait valoir des compétences éditoriales et critiques (écrire, publier et diffuser). L’info-doc fait valoir des compétences organisationnelles (chercher, vérifier et naviguer). L’info-data fait valoir des compétences opératoires (coder, designer, participer). Elles peuvent être maîtrisées par un individu mais elles sont plus aisément acquises comme « compétences distribuées » entre membres du groupe, autour de projets collaboratifs. Ces projets tendent en effet à se développer à la fois sur le mode DIY (do it yourself) et SIWO (share it with others) comme le confirment les observations de terrain.
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    "À l'heure où la Coalition française en faveur des compétences numériques se forme, avec l'adoubement du Medef par l'Union européenne, faire l'état des lieux, repérer les blocages et les freins, analyser les référentiels et les nomenclatures, et établir la cartographie des acteurs… est une urgence. Elle relève à la fois d'attentes d'employabilité comme de citoyenneté, comme le précise la très récente recommandation CM/Rec (2017)8 du Conseil de l'Europe sur « Les mégadonnées au service de la culture, du savoir et de la démocratie »."
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