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Aurialie Jublin

Et si les chauffeurs Uber clonaient le système pour reprendre leur liberté ? ... - 0 views

  • Il faut insister sur des valeurs et des principes qui nous distingueront bien d’Uber. Historiquement, lorsque vous observez ce que sont devenues les coopératives, vous constatez qu’elles ne sont pas des coins de paradis, mais elles réussissent généralement à garantir deux choses : plus de stabilité et un revenu régulier et équitable. Il faudrait ensuite créer des mécanismes qui empêchent les décisions arbitraires et adapter cadre légal qui est, aux Etats-Unis en tout cas, très défavorable aux coopératives.
  • Pour moi, le plus gros obstacle à la réussite de ce mouvement coopératif est la désillusion des gens qui pensent que ça ne peut pas marcher. Mais je suis frappé par l’énergie qui se dégage de l’économie sociale et le volontarisme des trentenaires, qui connaissent les technologies et qui ont vécu assez longtemps pour se rendre compte que le système ne leur profite pas.
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    "Oui, ce que nous appelons le « coopératisme de plateformes ». Le mutualisme et les coopératives ont une longue histoire aux Etats-Unis, avec de profondes racines religieuses. Les amish ou les mennonites ont cette tradition de posséder en commun des outils et des terres. On pourrait aussi citer les équitables pionniers, une société coopérative de tisserands fondée au XIXe siècle à Rochdale, en Angleterre. Nous espérons revivifier ce mouvement, cette tradition, grâce aux possibilités ouvertes par Internet. Ne peut-on pas imaginer que les travailleurs possèdent et pilotent leurs propres plateformes ? Prennent le « cœur algorithmique » d'Uber, le clonent et le gèrent de façon éthique ? Ou que des villes constituent leur propre Airbnb dont les profits pourraient servir à entretenir les rues ou à nourrir les pauvres ? "
Aurialie Jublin

Un salarié qui disparaît du jour au lendemain? La pratique est de plus en plu... - 0 views

  • Analyse confirmée par Sébastien Palerme, du groupe de construction: "Je ne connais ce phénomène que depuis un peu plus de 5 ans. Elle est liée à l'état d'esprit des nouvelles générations qui change: moins d'engagement dans le milieu professionnel, plus d'individualisme."
  • "C’est très fréquent dans les professions paramédicales, analyse sur LinkedIn Isabelle Lesieur, cadre de la santé qui a travaillé en EHPAD et dans des services de psychiatrie. Le plus souvent, cela traduit une maladie, un accident ou un burn-out. Je me souviens par exemple d’une infirmière. Elle travaille 3 heures, puis explose en larmes en me disant qu’elle ne peut pas travailler comme ça. Elle part en courant… et je n’ai jamais plus eu de nouvelles !"
  • Isabelle Wroclawski est directrice d’une maison d’accueil spécialisée pour personnes handicapées, qui emploie une centaine de salariés. Elle affirme que 12 aides-soignants et aides médico-psychologiques se sont volatilisés depuis début 2017. “C’est devenu tellement courant dans notre établissement que plus personne ne s’inquiète quand quelqu’un disparaît", explique-t-elle par téléphone.
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  • Si la pratique semble presque ordinaire dans certaines entreprises, c'est qu'elle peut être le seul moyen pour un professionnel de percevoir une allocation chômage. En effet, la démission ne donne pas droit à une indemnisation (même si la loi Avenir professionnel, votée le 1er août, doit changer la donne). Mais attention, cette spécificité française est loin d’expliquer tous les cas de "ghosting". D’abord, un salarié peut abandonner son poste tout en avertissant (même officieusement) son employeur. Ensuite, beaucoup de nos "fantômes" sont partis pour un nouvel emploi.
  • Seule option pour les employeurs: déclencher une procédure de licenciement pour abandon de poste, avec mise en demeure de régulariser la situation, convocation à un entretien préalable au licenciement, puis licenciement (pour cause réelle et sérieuse, ou faute grave).
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    "Les professionnels sont toujours plus nombreux à arrêter de venir au travail, sans aucune explication. C'est ce qu'ont expliqué des recruteurs et managers à la rédaction de LinkedIn."
Aurialie Jublin

Homeshoring : nouvelle liberté ou poursuite de l'asservissement des salariés ... - 0 views

  • Le homeshoring est un centre d’appel à domicile. Cette organisation permet ainsi à des salariés de travailler de manière durable ou temporaire depuis chez eux ou en un lieu dédié. Ce mode de travail très en vogue aux États-Unis est apparu en France en 2005. On dénombre aujourd’hui quelques centaines d’agents employés comme télétravailleurs depuis leur domicile. Les téléopérateurs sont recrutés n’importe où en France sous réserve qu’ils possèdent une bonne connexion ADSL.
  • Pour les sociétés spécialisées, ce mode de travail présente de nombreux avantages : une économie sur les mètres carrés de bureaux à louer et une plus grande flexibilité sur les horaires de travail des employés. Le téléopérateur peut par exemple travailler 2 heures le matin et 2 heures l’après-midi. Cette planification serait difficile à mettre en place dans un call-center classique car cela obligerait le salarié à effectuer plusieurs allers et retours dans la journée.
  • Les inconvénients du homeshoring résident surtout au niveau du contrôle de la qualité et de la surveillance des employés. Bien que la communication se fasse en temps réel, il est toujours important de pouvoir constater de visu le travail de chaque téléopérateur afin de définir avec lui les points à améliorer. Un centre d’appel à domicile ne peut avoir la même performance qu’un call-center qu’à condition de trouver un moyen d’améliorer la relation avec les freelances. Pour y parvenir, nous pouvons citer JobPhoning qui enregistre chaque appel émis par les téléopérateurs et proposent un paiement au résultat, un service sur mesure et adapté aux tendances du marché.
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  • au niveau des conditions de travail. Cette méthode de travail offre plusieurs avantages pour les employés qui profitent d’un cadre de travail plus accueillant que les traditionnels plateaux des centres d’appels. Elle procure également un gain de temps et d’argent en termes de transport. On estime que le pouvoir d’achat est amélioré de 10 à 15 % rien qu’avec les économies de transport.
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    "L'émergence du homeshoring est parfaite pour illustrer une tendance de fond : la disparition des salariés au profit des freelances. Le homeshoring est le fait d'être télé-opérateur à domicile. Le homeshoring est-il l'avenir du call center ? Est-ce le dernier avatar de la transformation du salariat, si redouté par certains ? Le dernier exemple de l'avènement des freelances ? Les travailleurs indépendants représentent 34 % de la force de travail des Etats-Unis, et la tendance est à la hausse. Qu'est-ce que cela va changer d'ici 2040 ? « Le travail traditionnel est en train de mourir », et d'ici 2040, l'économie américaine sera « à peine reconnaissable », affirme la journaliste Vivian Giang qui se base sur l'étude A vision for the economy of 2040, de l'Institut Roosevelt et de la Fondation Kauffman. "
Aurialie Jublin

Pourquoi les patrons peinent à recruter | Alternatives Economiques - 0 views

  • fin 2017, 48 % des embauches de plus d’un mois étaient signées en CDI, un taux inédit depuis mi-2008.
  • « Les entreprises qui ont du mal à recruter signent davantage de CDI pour tenter de garder les effectifs », note Denis Ferrand, directeur général de Coe-Rexecode, un think-tank proche du patronat. « Même s’il ne faut pas les surestimer, les difficultés de recrutement se font de plus en plus sentir », confirme Pascal Blain, directeur de Pôle Emploi Auvergne Rhône-Alpes. Autre signal, depuis janvier 2017, les patrons de l’industrie déclarent davantage de difficultés du côté de l’offre (leur capacité à produire) que du côté de la demande (le manque de commandes). Le taux d’utilisation des capacités de production s’élevait début 2018 à 85,8 %, un niveau qui n’avait pas été atteint depuis dix ans.
  • Ces difficultés des recruteurs s’expliquent aussi par un contexte d’amélioration du marché du travail. 250 000 emplois ont été créés en 2017 en France. Une belle performance qui fait suite à des années 2015 et 2016 elles aussi dynamiques. Du coup, les clignotants de l’emploi sont plutôt au vert. Et les candidats sont moins nombreux à devoir se partager les offres. Ainsi, outre un taux de chômage au plus bas depuis 2009 (à 8,9 % en France métropolitaine), l’indice de tension sur le marché du travail – soit le rapport entre le nombre d’offres collectées par Pôle emploi et le nombre de demandeurs d’emploi inscrits –remonte depuis plusieurs trimestres. Mi-2017, on comptait 55 offres d’emploi pour 100 inscrits à Pôle Emploi, contre 42 offres pour 100 chômeurs fin 2014.
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  • Dans ce cadre d’éclaircie sur l’emploi, les problèmes bien réels des entreprises à trouver chaussure à leur pied ne doivent pourtant pas être surestimés. En 2017, 37,5 % des projets de recrutement étaient jugés difficiles. C’est certes plus qu’en 2016 (32,4 %) mais c’est moins qu’en 2012 (42,6 %).
  • De son côté, Denis Ferrand se veut beaucoup moins rassurant : « Les difficultés de recrutement touchent tous les secteurs. Et la première raison citée par les chefs d’entreprise, c’est le niveau de qualification ». « L’inquiétude que l’on peut avoir, c’est que la croissance soit freinée par manque de main d’œuvre qualifiée », poursuit-il. Il se pourrait qu’à moyen terme, la croissance atteigne un plafond pour ces raisons-là, et qu’on ait un taux de chômage structurel autour de 9 % ».
  • a Cour des Comptes dresse ainsi un bilan mitigé du « plan 500 000 » mis en place par François Hollande en 2016-2017. Les sages lui reprochent non seulement de ne pas avoir eu d’effet significatif sur le taux d’insertion dans l’emploi (51,2 % en 2016 soit sensiblement le même taux qu’en 2015) mais aussi d’avoir dépassé le budget alloué d’un demi-milliard d’euros.
  • Un jugement que ne partage pas Audrey Pérocheau, directrice de la formation à Pôle Emploi : « Actuellement en France, la formation a un effet positif très net sur l’emploi. Avec ce plan 500 000, nous avons doublé l’effort de formation, et nous avons touché des publics éloignés de l’emploi. Malgré cela, nous avons maintenu un taux d’accès à l’emploi de 51,2 % pour les demandeurs qui ont suivi une formation, ce qui prouve qu’il y avait un besoin »
  • Selon l’OCDE en effet, 23,4 % des salariés français de 15 à 64 ans sont sous-qualifiés, un taux plutôt élevé au regard des voisins européens.
  • A l’inverse, 11,6 % des salariés français sont surqualifiés, un taux plus faible que les autres pays comparables. La France se situe loin des pays les plus durement touchés par la crise économique (Portugal, Grèce, Italie, Espagne), dans lesquels le phénomène de déclassement est particulièrement spectaculaire. 
  • Dans une étude récente, Pôle Emploi analysait les 3,2 millions d’offres déposées en 2017. Et constatait que 2,9 millions d’entre elles avaient été pourvues dans l’année. Sur les 300 000 offres non-pourvues, 97 000 ont été annulées par les employeurs (parce que le besoin a disparu ou que le budget manque), et 53 000 offres sont toujours en cours. Restent donc 150 000 abandons de recrutement faute de candidats, soit seulement 4,7 % des offres. Sur ces 150 000 abandons, l’employeur a généralement reçu des candidatures (87 % des cas), mais n’a pas donné suite, essentiellement par pénurie de formation aux compétences nécessaires (51 % des cas).
  • il y en aurait en France entre 110 000 et 180 000 postes durables (CDI ou CDD de plus de six mois), non pourvus faute de candidats. Les combler grâce à des formations ciblées serait bien sûr positif. Mais cela ne permettrait pas de baisser sensiblement le nombre de demandeurs d’emploi (5,6 millions d’inscrits à Pôle Emploi en catégorie ABC).
  • Pour Morad Ben Mezian, le « tout formation » ne peut résoudre ces problèmes d’inadéquation entre l’offre et la demande. D’où la nécessité, estime cet expert de la formation professionnelle de recourir à des outils, comme les plates-formes de ressources humaines financées par les pouvoirs publics ou les branches professionnelles, pour les aider à mieux identifier les compétences dont elles ont besoin. « Lorsque les entreprises comprennent que la formation peut améliorer leur compétitivité, elles n’hésitent plus. » 
  • t toujours multi-factoriel », insiste Stéphane Ducatez.  Les employeurs reconnaissent également que les difficultés viennent parfois de leur propre fait, entre recrutement trop urgent, manque de moyens financiers, ou difficultés liées au processus interne de recrutement.
  • Avec une croissance supérieure et une meilleure formation, les non-diplômés trouveraient-ils vraiment un emploi, eux qui sont le plus touchés par le chômage ? Denis Ferrand en doute : « Le taux d’emploi* des non-diplômés ne cesse de reculer en France, contrairement à nos voisins européens. On peut se demander si les Bac+5 ne prennent pas les places des Bac +3, et ainsi de suite, poussant les sans diplômes vers le chômage ou l’inactivité »
  • Si les pays étrangers font un peu mieux que nous sur le plan du chômage, poursuit l’économiste, cela s’explique avant tout pour d’autres raisons : « La France a une démographie qui reste dynamique, avec 150 000 actifs en plus chaque année, et des gains de productivité qui restent assez élevés. Ces deux éléments empêchent une baisse rapide du chômage », assure Eric Heyer. Il faut en effet sans cesse créer davantage d’emplois pour absorber les nouveaux-venus sur le marché de l’emploi et plus une entreprise se montre efficace – plus elle optimise son organisation du travail et son appareil de production via la robotisation par exemple – moins elle a besoin de recruter. « L’Allemagne n’a pas cette démographie dynamique, l’Espagne n’a pas les gains de productivité. L’Italie n’a ni l’un ni l’autre. C’est donc plus simple pour eux de faire baisser le chômage, formation ou pas ».  
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    "5,6 millions de chômeurs d'un côté, des entreprises qui déclarent avoir du mal à recruter de l'autre… A première vue, le problème du marché du travail français semble frappé au coin du bon sens : les demandeurs d'emploi ne sont pas assez formés. Mais est-ce si simple ?"
Aurialie Jublin

Cher Elon Musk, oublie les robots-tueurs, voici ce qui devrait vraiment t'inq... - 0 views

  • Tu devrais jeter cet œil inquiet (et attentif) au Rapport AI Now (2016). Tu devrais te soucier des thèmes qu’ils mettent en lumière, notamment en ce qui concerne les impacts sur le travail, la santé, l’égalité et l’éthique à l’heure où l’intelligence artificielle s’insinue dans nos vies quotidiennes.
  • Tu devrais réfléchir à la façon dont l’apprentissage machine change nos façons de travailler et le travail tout court. Tu devrais te préoccuper de l’impact de l’intelligence artificielle sur la création et la destruction de nos emplois, te soucier des questions éducatives, de formation à de nouveaux métiers et des allocations et modes de redistribution qui devraient résulter d’une reconfiguration du travail par l’IA. Tu devrais considérer la question de l’automatisation non pas seulement du point de vue de la robotique mais sous l’angle des infrastructures : comment les industries du transport, de la logistique, seront affectées par l’apprentissage machine ? Scoop : elles le sont déjà au prix de nombreux emplois.
  • Tu devrais te préoccuper des articles publiés par ProPublica sur les biais algorithmiques, notamment celui-ci qui explique comment les logiciels de police prédictive accusent de façon inconsidérée les noirs et beaucoup moins les blancs. Tu devrais te soucier de cet autre article de ProPublica qui indique que certains assureurs augmentent les prix pour les personnes de couleur. Les raisons sous-jacentes ne sont pas si claires mais selon ProPublica, des algorithmes prédateurs favorisent les quartiers blancs plus que les autres. La négligence derrière cette masse de données devrait t’inquiéter
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  • Tu devrais t’inquiéter de la provenance des données qui entraînent ces algorithmes. Tu devrais t’offusquer de voir ces données récupérées sans consentement explicite, comme l’a montré The Verge dans cet article qui rapporte que des images de personnes transgenres en transition ont été utilisées sans leur consentement dans le cadre d’un projet de recherche portant sur la reconnaissance faciale grâce à l’intelligence artificielle.
  • ProPublica révèle aussi que le système de « scoring » établissant une possibilité forte de « commettre de nouveau un crime » généré par les logiciels de police prédictive était utilisé pour alourdir les peines. Les juges s’en servent comme d’une aide, une « preuve algorithmique » issue d’un nouvel outil au service du système judiciaire. Voici une préoccupation majeure.
  • Que se passe-t-il quand un utilisateur se retrouve coincé dans une série de systèmes sans pouvoir en sortir ? Que se passe-t-il quand un agent conversationnel est bloqué, quand des données sont fausses et qu’il n’y a personne pour proposer à l’utilisateur d’apporter des modifications ou des rectifications ? Les machines font des erreurs, un point c’est tout. La question est donc : comment ces systèmes gèrent-ils leurs propres erreurs ?
  • Elon, tu devrais t’inquiéter des capteurs qui ne reconnaissent pas la peau noire. Tu devrais t’inquiéter des produits insensibles à certaines couleurs, comme par exemple ces distributeurs de savon qui ne réagissent pas aux mains noires. Tu devrais t’inquiéter des caméras qui suggèrent que les asiatiques ont « cligné des yeux » parce que leur système est majoritairement entraîné par des profils de type caucasien.
Aurialie Jublin

« Slashers », pluriactivité et transformations du travail : opportunité ou me... - 2 views

  • La pluriactivité peut avoir des dimensions occupationnelles, cognitives, émotionnelles, organisationnelles et institutionnelles.
  • La pluriactivité peut-être également une question cognitive. On est plus que jamais dans une économie de l’attention. Les tâches se cumulent sur un même temps. Les possibilités d’interruption (emails, WhatsApp, réseaux sociaux, SMS, MMS…) également. La pluriactivité induit de plus en plus de difficultés cognitives
  • Elle est aussi indissociablement une problématique émotionnelle. L’hybridation d’espaces-temps auparavant distincts amène assez naturellement à combiner des émotions auparavant très dissociées.
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  • La pluriactivité a également des dimensions organisationnelles. L’émergence d’une économie des plateformes et les logiques d’innovation ouverte (amenant souvent à regrouper sur les mêmes plateaux des salariés-intrapreneurs avec des startuppers et des freelancers) sont des formes organisationnelles d’hybridation qui n’induisent pas forcément une évolution des chiffres de l’Insee.
  • Enfin, la pluriactivité a une dimension institutionnelle. Si la pluriactivité fait l’objet de règles déjà anciennes à respecter, le législateur a récemment mis en place un cadre juridique plus propice au développement de pratiques d’hybridation
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    "Les exemples abondent autour des nous : journaliste-écrivain, chauffeur privé-gérant d'une supérette, infirmier-professeur de yoga, enseignant en anglais-traducteur, freelancer multiple… Les pluriactifs n'ont jamais été aussi nombreux. Ils incarnent à la fois un espoir (dans la lutte contre le chômage et l'augmentation du niveau de revenu) et une inquiétude (notamment celle d'une société faite de travailleurs plus fragiles et plus dépendants)."
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