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Aurialie Jublin

Numérique, destruction d'emplois et avenir du travail- Le Monde.fr - 2 views

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    D'ici 2025, 3 millions d'emplois touchant tout autant les classes moyennes, les emplois d'encadrement et les professions libérales que les métiers manuels pourraient avoir disparu en France, selon une étude de Roland Berger commandée par le Journal du Dimanche (JDD). Une transformation immense, qui annonce une nouvelle explosion d'insolvabilité généralisée, bien pire que celle de 2008, s'inquiète Bernard Stiegler dans son nouveau livre La société automatique - l'Avenir du travail.
Aurialie Jublin

Progrès et emploi : la "destruction créatrice" a-t-elle encore un sens ? - 0 views

  • Mais la théorie de Schumpeter fonctionne-t-elle encore au 21ème siècle ? Comme l'avait parfaitement expliqué et démontré l'analyste Horace Dediu, la vitesse du progrès technologique arrive à un point tel qu'il devient très compliqué pour les êtres humains de s'adapter professionnellement aux cycles des changements technologiques.
  • le principal risque économique et social est là, et se constate déjà : c'est l'accroissement des inégalités déjà profondes entre ceux qui peuvent acheter les robots et les faire travailler, et ceux qui ne pourront que les utiliser ou les observer. En termes marxistes, c'est l'accroissement de l'appropriation privée des moyens de production, qui empêche l'émancipation de la classe travailleuse. Mais l'existence-même de cette dernière est menacée par la possibilité de supprimer l'emploi, dans une part de plus en plus importante de la chaîne productive.
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    "La théorie de la "destruction créatrice" développée par Joseph Schumpeter a-t-elle encore un sens au 21ème siècle, malgré l'accélération continue du rythme des cycles d'innovations technologiques ? Nous entrons dans une ère où il devient plus facile et rapide de détruire des emplois que d'en re-créer, ce qui impose de se poser pour réfléchir aux conséquences sociales, et aux moyens de soutenir à la fois le développement technologique et le développement humain."
Aurialie Jublin

affordance.info: Même pas peur : le salaire de l'Uber. - 0 views

  • Au-delà des avancées technologiques qui permettront l'automatisation d'un certain nombre de tâches, d'emplois ou de métiers, les critères d'une "uberisation" sont clairement posés dans cette interview d'Olivier Ezratty. En 1ère ligne des "uberisables" on trouve : "ceux qui génèrent de l'insatisfaction client" (des médecins aux plombiers pour - par exemple - raccourcir les délais d'attente et favoriser la mise en contact directe) "ceux susceptibles d'être désintermédiés par des plateformes d'évaluation", c'est à dire ceux qui nécessitent une forte évaluation client distribuée en pair à pair (ici les plateformes sont déjà en place pour l'hôtellerie et la restauration par exemple, mais pourraient s'étendre à d'autres "métiers) "ceux qui sont dans une situation de quasi-monopole" (les taxis donc, mais aussi, dans un tout autre registre ... l'éducation) "les métiers de service dans l'aide à la personne" (de la livraison à domicile en passant par la recherche de nounous ou de cours particuliers)
  • A l'aube du 21ème siècle, c'est la même question qu'il faut poser une fois acté le remplacement d'un certain nombre de tâches et de fonctions par des automates / algorithmes / robots, etc. Ces nouvelles formes de "travail journalier à la tâche", ce "salariat algorithmique" sera-t-il un privilège ou un droit ?  S'il doit devenir un privilège (c'est pour l'instant ce vers quoi nous nous dirigeons), alors il ne permettra qu'à quelques-uns d'accentuer leurs rentes en déployant une idéologie libérale devant laquelle notre actuel capitalisme dérégulé fera office de gentillet kolkhoze ; le modèle du Mechanical Turk d'Amazon deviendra la norme, on cotisera tous à la sécurité sociale de Google, nos points retraites seront chez Amazon, notre banque s'appellera Apple et Facebook fera office de mairie et d'état-civil. Fucking Brave New World. Pour qu'il puisse exister comme un droit, alors, plutôt que de lâcher 200 képis à la poursuite de pauvres auto-entrepreneurs ou d'interdire une application, c'est aujourd'hui que notre classe politique doit lire du Michel Bauwens (cf supra), c'est son rôle de faire en sorte que LE Droit puise offrir à chaque citoyen la possibilité de réinstaller au coeur d'un système outrancièrement individualiste l'horizon d'une représentation et d'une négociation collective possible. C'est aujourd'hui également que la question de savoir ce qui relève du bien commun inaliénable, dans nos usages sociaux comme dans nos ressources naturelles, doit être posée.  Bref, Candide avait raison : il nous faut cultiver notre jardin. Mais le cultiver en commun. Le cultiver comme un bien commun. Sinon on va tous se faire uberiser. A sec.
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    "Du côté de l'uberisation du monde et de nos amis les taxis, les derniers jours ont été riches d'enseignements et ont accessoirement permis à ma navritude (c'est un peu comme la bravitude) d'atteindre des niveaux jusqu'ici inégalés devant tant d'incurie politique."
Aurialie Jublin

Et si les techno-optimistes avaient tort? | Slate.fr - 0 views

  • Tout semble plaider donc en faveur de la thèse d’une excitation démesurée de nos contemporains vis-à-vis du changement technologique, sauf que ce dernier aura néanmoins un impact très puissant sur un plan fondamental de l’organisation des sociétés, celui de l’emploi. La probabilité que les machines et algorithmes se substituent à l’emploi humain est à présent bien établie: en particulier, on sait que ces technologies détruisent de l’emploi de qualifications moyennes et faibles, quand les salariés très qualifiés ont plutôt tendance à en profiter, ce qu’on nomme le biais de compétence du changement technologique. Ce que l’investisseur de la Silicon Valley Marc Andreessen a résumé d’une formule lapidaire: le marché du travail va se scinder en deux parties, «les gens qui donnent des ordres aux ordinateurs et ceux à qui les ordinateurs donnent des ordres».
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    "En dépit d'une grande agitation autour du potentiel de rupture des nouvelles technologies, les gains de productivité sont-ils définitivement derrière nous?"
Aurialie Jublin

UberPOP : pourquoi taxis, VTC et internautes doivent s'unir contre Uber - 0 views

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    "Lorsque taxis, VTC ou prestataires UberPOP se font la guerre, Uber regarde ceux qui s'affrontent comme autant de proies qu'il entend abattre les unes après les autres. Plus qu'un conflit entre des professionnels, c'est un symptôme d'une société malade, qui doit choisir sa voie. Le capitalisme décomplexé qui fait de certaines plateformes les nouveaux seigneurs d'un monde féodal moderne, ou un autre modèle de société à inventer, en restant uni ?"
Aurialie Jublin

affordance.info: Du droit à l'oubli au capitalisme de la surveillance. - 0 views

  • Nous avons donc, d'un côté, les actuels GAFAM qui, pour mieux asseoir leur contrôle sur notre activité de consommation, opèrent une redistribution des règles de la privacy à leur seule convenance, avec le risque déjà palpable de la mise en oeuvre d'une société du contrôle Orwellienne, et fondent ce nouveau capitalisme de la surveillance. D'un autre côté, le High-Frequency Trading est le modèle déjà constitué et opératoire de régulation des marchés grâce à une analyse temps-réel dont sont seuls capables les algorithmes dédiés et la puissance de calcul associée, risquant à tout moment de nous plonger dans une nouvelle crise spéculative. En parallèle, est en train d'émerger, dans le sillage d'Airbn'B et d'Uber notamment, un nouveau modèle de salariat algorithmique, dont l'enjeu est de proposer un nouveau cadre de régulation de ce qui restera du travail ou des activités humaines non-automatisables, modèle qui en externalisant presque totalement les charges incombant jusqu'ici à l'employeur et en précarisant les travailleurs, renforce le risque d'une fin du modèle social compensatoire que nous connaissions jusqu'ici (et dans lequel les employeurs payaient des charges qui elles-mêmes permettaient de financer des politiques publiques, dans lequel un modèle de protection sociale était fondé sur l'impôt, etc ...).
  • Ceux qui supportent ces changements, c'est à dire ... nous, ont vaguement fait le deuil du rêve d'intelligence collective (trop rarement réactivé par exemple lors des négociations collectives autour de la privacy) qui avait présidé à l'émergence d'internet et se sont constitués en une nouvelle classe, un "cognitariat" jusqu'ici presque uniforme mais qui commence, du fait de la pression du salariat algorithmique et de la portion congrue des activités échappant encore au seul traitement calculatoire, un cognitariat disais-je, qui commence à voir émerger un sous-cognitariat. C'est ce cognitariat qui supporte des bouleversements dont l'enjeu d'est rien d'autre que la régulation des comportements sociaux (la régulation des comportements socio-culturels étant déjà opératoire au travers de la théorie de la bulle de filtre d'Eli Pariser notamment), régulation qui se fait notamment au travers de l'analyse prédictive permise par le traitement des "Big Data", et qui comporte également de nombreux risques liés à une essentialisation de l'humain ainsi qu'à une "biologisation" déjà à l'oeuvre au travers de l'essor de la génomique personnelle et de l'internet du génome.
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    "Fin du travail, plein d'amis mais sans famille, apatrides du numérique. Le "Digital Labor" sera à n'en pas douter la problématique politique et économique des 50 prochaines années. Il amènera des changements et des disruptions profondes dont nous peinons encore aujourd'hui à mesurer l'ampleur. Ces bouleversements se structureront autour de 3 grands axes en revanche déjà identifiables : celui de ce capitalisme de la surveillance et du rôle des GAFAM celui du salariat algorithmique cette fois préempté par le modèle d'une partie des NATU (AirB'B et Uber donc) et celui, enfin, d'une nouvelle classe 'trans-' ou 'hyper-'sociale, le cognitariat, et sa version sombre, le lumpen-cognitariat dont je vous parlais dans mon billet sur "les coolies de la pop économie"."
abrugiere

▶ Quand les humains n'auront plus besoin de postuler ! - YouTube - 1 views

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    une video édifiante sur l'automatisation / robotisation  vers des machines intelligentes ? 
Aurialie Jublin

Pourquoi les robots vont détruire des millions d'emplois - Capital.fr - 0 views

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    Interview de Paul Jorion Déjà entendu chez un autre : "Les richesses doivent être mieux partagées. Actuellement, 20% de la population concentrent plus de 50% des richesses au monde. Les politiques doivent imposer une solidarité nationale et créer une allocation universelle, afin de rétribuer ceux qui ont perdu leur emploi pour être remplacés par un robot. Pour financer cette caisse commune, je suggère de créer une taxe "Sismondi" (ndlr, du nom de l'économiste Simonde de Sismondi) sur la productivité des machines. L'Homme doit pouvoir toucher une part importante des gains générés par la machine qui l'a remplacé.
Aurialie Jublin

Why the Robots Might Not Take Our Jobs After All: They Lack Common Sense - NYTimes.com - 0 views

  • “Many of the middle-skill jobs that persist in the future will combine routine technical tasks with the set of non-routine tasks in which workers hold comparative advantage — interpersonal interaction, flexibility, adaptability and problem-solving,” Mr. Autor writes. He specifically mentions medical support jobs, building trades and some clerical jobs that require decision-making rather than typing and filing.In the paper, Mr. Autor presents data showing that these middle-skill jobs have indeed been under pressure over the last few decades, with much stronger growth in the number of both very basic low-paying jobs and the most advanced jobs for skilled professionals. It is a hollowing-out of the American work force, in effect, with fewer jobs for technicians and factory workers and the middle-class wages that come with them.
  • “I expect that a significant stratum of middle-skill, non-college jobs combining specific vocational skills with foundational middle skills — literacy, numeracy, adaptability, problem-solving and common sense — will persist in the coming decades.” He argues that it is hard to blame computerization for jobs that have disappeared over the last decade in that much of the shift happened after capital investment in information technology fell following the collapse of the dot-com bubble.
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    "So what does that mean for workers over the years and decades ahead? Mr. Autor says that this weakness leaves plenty of opportunities for humans to serve as intermediaries of sorts between increasingly intelligent computers that nonetheless lack that common sense. He invokes the idea of "Polanyi's Paradox," named for the Hungarian thinker Michael Polanyi, who observed that "we know more than we can tell," meaning humans can do immensely complicated things like drive a car or tell one species of bird from another without fully understanding the technical details. "Following Polanyi's observation," Mr. Autor writes, "the tasks that have proved most vexing to automate are those demanding flexibility, judgment, and common sense - skills that we understand only tacitly.""
Aurialie Jublin

Actualité > 8 domaines où les robots prennent de plus en plus de place - 0 views

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    "Qu'ils soient auto-stoppeurs sur les routes canadiennes ou en passe de participer à leurs premières Olympiades en 2020 à Tokyo, les robots et leurs cousins immatériels (applications, logiciels, OS, etc.) continuent d'envahir notre quotidien et notre planète, parfois dans les endroits les plus incongrus. Voici un scan des domaines où ils progressent. - Aide à la personne - environnement (robot pollinisateur) - social (humanoïde membre de la famille) - sexe (application pour vibrer de plaisir) - robotique (robots qui s'assemblent tout seuls) - défense (robot chien de l'armée américaine) - sport
Aurialie Jublin

Bernard Stiegler : « Les gens qui perdent le sentiment d'exister votent Front... - 3 views

  • Le coût de l’automatisation va diminuer, et les PME françaises vont de plus en plus pouvoir s’y engager – même si elle ne le veulent pas, en raison de la concurrence, et le chômage va monter en flêche. Il n’y a qu’une solution pour contrer la montée proportionnelle du FN, c’est de créer une alternative au modèle keynésien : un modèle contributif.
  • Dans l’économie contributive, il n’y a plus de salariat ni de propriété industrielle au sens classique. Pour vous donner un exemple, j’ai travaillé il y a quelques années avec des étudiants stylistes sur un modèle d’entreprise de mode contributive. L’entreprise devenait un club d’amateurs de mode, dont certains contribuaientt par des idées, d’autres par des achats, d’autres par un travail de confection, d’autres par tout cela à la fois ou alternativement.
  • Et comment seraient-ils rémunérés ? Ce n’est pas à l’échelle micro-économique de la firme qu’il faut poser et résoudre ce problème : c’est une question de macro-économie qui doit dépasser le couple valeur d’usage/valeur d’échange, et promouvoir ce que nous appelons valeur pratique (c’est-à-dire savoirs) et valeur sociétale (c’est-à-dire qui renforce fonctionnellement la solidarité). C’est la valorisation mutuelle et par une puissance publique réinventée de ce qu’Amartya Sen appelle les « capabilités » – c’est-à-dire les savoir-faire, les savoir-vivre et les savoirs formels – qui constitue la base d’une économie contributive. C’est en fait la généralisation du modèle des intermittents du spectacle, qui cultivent leurs savoirs avec l’aide de leur revenu intermittent et qui les valorisent lorsqu’ils entrent en production, et que l’on voudrait détruire au moment même où il faudrait en généraliser l’état d’esprit si intelligent.
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  • Ensuite, il faut que la presse parle de l’automatisation et plus généralement du numérique en un sens approfondi et non « tendance » ou dans la rubrique « geek », et qu’elle ne soit pas dans le déni. L’automatisation vient, il faut l’assumer, et arrêter de dire qu’on va inverser la courbe du chômage. Celui-ci va considérablement augmenter.
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    "Oui, on n'a plus besoin de caissière, et on n'aura bientôt plus besoin de chauffeurs de camion - ni de nombreux techniciens, ingénieurs, etc. Ce qui est en train d'advenir, c'est la disparition de l'emploi. Pas un mot de cette question dans le tout récent rapport Pisani-Ferry si j'en crois la presse - pas plus que dans le rapport Gallois d'il y a presque deux ans déjà... Que de temps perdu ! Et que de fureur accumulée ! L'automatisation va se développer désormais massivement, notamment parce que le numérique permet d'intégrer toutes sortes d'automatismes jusqu'alors isolés, et qu'il en résulte une baisse rapide du coût des robots."
Aurialie Jublin

Robots:Terminators of the World Factory - 0 views

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    If factory automation is practical, why does Apple still maintain a partnership with Hon Hai? The fact is, 90% of the assembly of a smart phone can only be done by human labor. It is impossible for a robot to put together 500-600 parts in a tiny space only 4-5 inches in length.
Aurialie Jublin

Et si l'innovation technologique nuisait à la société humaine? | Slate.fr - 0 views

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    Un autre article sur l'automatisation tuant l'emploi
Aurialie Jublin

Bernard Stiegler : L'emploi est mort, vive le travail ! - Culture Mobile - 0 views

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    "D'ici une vingtaine d'années, l'automatisation va déferler sur tous les secteurs de l'économie mondiale et signer la mort définitive de l'emploi. Et si c'était une vraie bonne nouvelle ? Parce que l'emploi, cette activité privée de sens qui est sanctionnée par un salaire, a détruit le travail, explique le philosophe Bernard Stiegler. Et parce que la fin de l'emploi est l'occasion de réinventer le travail au cœur de nos sociétés du numérique, de construire une économie contributive en lieu et place de cette «économie de l'incurie» qui nous détruit à petit feu."
Aurialie Jublin

Des robots pour bichonner les clients à l'hôtel - Les clés de demain - 0 views

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    "Des robots pour assurer le "room service" d'un hôtel. C'est l'expérience que mène actuellement le groupe hôtelier américain Starwood dans l'un de ses établissements situé à Cupertino, en Californie. Serviette, brosse à dents, nourriture... Les deux robots, baptisés A.L.O, sont en mesure d'apporter différents produits directement à la chambre des clients grâce à une technologie Wifi. Ils disposent également d'une tablette tactile pour permettre aux clients de laisser différentes annotations. Si cette opération pilote se révèle concluante, le groupe hôtelier devrait déployer de nouveaux employés-robot dans d'autres établissements. Starwood précise que le projet ne consiste pas à remplacer des employés par des robots mais à libérer du temps pour permettre au personnel de se concentrer sur d'autres tâches plus élaborées."
abrugiere

L'engagement citoyen face au mythe du plein emploi | TEDxParis - 0 views

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    plusieurs exemples de métiers dématérialisés 
Aurialie Jublin

3 millions d'emplois détruits par le numérique d'ici à 2025 en France - 0 views

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    La numérisation pourrait détruire en France 3 millions d'emplois d'ici 2025, pointe l'étude Les Classes moyennes et la transformation digitale, publiée le 27 octobre par le cabinet Roland Berger. Pour juguler le phénomène, ses auteurs appellent l'Etat à mettre en œuvre une politique volontariste en soutenant la R&D et en investissant dans les infrastructures numériques. Objectif : rendre les entreprises plus productives et leur permettre de réaliser environ 30 milliards d'euros d'investissements supplémentaires. 
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