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Aurialie Jublin

L'ouvre-boîtes | Ouvre-Boîtes CFDT - 0 views

  • Les 9 types d'annonces d'une offre Ouvre-Boîtes J'aide un jeune à trouver du travail ou un stage Je parle de mon métier et de mon expérience Je parle de mon entreprise ou de mon administration J'aide à bâtir un projet professionnel Je diffuse un CV ou une candidature autour de moi         Je publie une offre d'emploi, de stage ou de mobilité Je mets en relation auprès de mes contacts J'aide à trouver la bonne formation J'aide à préparer un concours public
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    "L'Ouvre-Boîtes est le premier site de petites annonces sur les questions professionnelles, le travail et l'emploi. Il est gratuit et ouvert aux adhérents CFDT. Quel que soit votre parcours, celui-ci est utile à d'autres."
Aurialie Jublin

CFDT Cadres d'Oracle France: Télétravail au support - Le temps du retour de b... - 1 views

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    "Après Yahoo!, HP, Oracle parait devoir envisager une révision de sa politique de Work@Home, à tout le moins pour le service du support Téléphonique US. "
Chamila Puylaurent

Droit à la déconnexion : inventer un nouveau modèle de gouvernance - 1 views

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    "Après la CFDT et la CFE-CGC, la CGT Cadres a exigé la reconnaissance comme temps de travail effectif du travail réalisé par les cadres hors de leur temps et lieu de travail grâce aux technologies de l'information, le désormais fameux « blurring ». La réintégration de ce volume d'heures ferait alors exploser le temps de travail des cadres car la majeure partie d'entre eux utilise son smartphone, sa tablette et/ou son ordinateur portable tant à la maison que dans les transports en commun."
Aurialie Jublin

«Si on passe à côté du CPA, on ne le reverra pas avant dix ans» - Libération - 0 views

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    "Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, Arthur De Grave, de OuiShare, et Vincent Laurent, de Génération précaire, ont débattu pour «Libération». A leurs yeux, le compte personnel d'activité est un enjeu social et sociétal qui devrait être déconnecté des débats sur la loi travail."
Aurialie Jublin

CFDT - Travailleurs des plateformes : beaucoup de bruit pour rien ? - 0 views

  • Devant la cour d’appel, son contrat, dénommé « contrat de prestations de services », a été passé au peigne fin. Il en est ressorti que, si le livreur pouvait choisir ses plages horaires (« shifts ») pour effectuer des livraisons, il ne pouvait, sans pénalité, se désengager moins de 72 heures avant leur commencement. Qui plus est, la société Take eat easy se réservait le pouvoir de résiliation du contrat dans certains cas. Aussi, la société avait-elle édicté un « petit guide du coursier », instaurant un système de bonus-malus, les malus étant plus couramment appelés strike. 3 strikes en 1 mois conduisait à une convocation à un entretien avec la société sur les motivations du coursier et 4 strikes à la rupture des relations contractuelles. A la suite du rejet de ses prétentions par le conseil de prud’hommes de Paris, le livreur a interjeté appel. Par une décision du 20 avril 2017, la cour d’appel de Paris a refusé de reconnaître l’existence d’un contrat de travail. Selon les juges du fond, bien que le système de bonus/malus mis en place évoque un pouvoir de sanction, les pénalités sanctionnent des manquements à des obligations contractuelles, ce qui ne caractérise pas un pouvoir de sanction de type salarial. De plus, la cour relève que ces stipulations ne remettent pas en cause la liberté du coursier de choisir ses horaires, le moment de ses congés, tout comme sa durée de travail. Les juges du fond en déduisent que la société Take eat easy « ne détermine pas unilatéralement les conditions d’exécution du travail ».
  • Selon la Cour, le système de la géolocalisation du livreur permettant son suivi en temps réel, ainsi que le système de sanctions auraient dû conduire les juges du fond à reconnaitre l’existence d’un pouvoir de direction et de contrôle et celle d’un pouvoir de sanction. Toutes choses caractérisant l’existence un contrat de travail.
  • Dans sa décision très attendue, la Haute juridiction contredit la solution retenue en appel. La Cour de cassation considère que le livreur était bien lié à la plateforme par un contrat de travail. A cette fin, elle applique les principes classiques en matière de reconnaissance de la qualité de salarié.
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  • La cour relève également que le livreur n’est lié par aucune clause d’exclusivité. Régisseur dans un petit théâtre parisien, celui-ci exerce même une seconde activité professionnelle. Aux yeux des juges d’appel, « cette liberté totale de travailler ou non (…) est exclusive d’une relation salariale ».
  • En tout cas, les décisions semblaient autant se fonder sur le degré d’autonomie du travailleur que sur les principes classiques de qualification d’un contrat de travail, qu’elles rappelaient malgré tout. Manière sans doute de prendre en compte la nouveauté de ces situations… La Cour de cassation ne l’entend pas ainsi. Pour elle, dès lors que les indices classiques de l’existence d’un lien de subordination sont présents, l’autonomie (réelle ou supposée selon les cas) des travailleurs du numérique n’est pas déterminante. Ce qui compte c’est l’existence, ou non, d’un pouvoir de direction et de contrôle, sur lequel s’appuie le pouvoir de sanction.
  • En tout cas, il n’est sans doute pas anodin que, dans la note explicative de l’arrêt, la Haute juridiction indique que les textes actuellement existants concernant les travailleurs des plateformes (pas applicables en l’espèce) ne comportent aucune réponse à la question. La Cour de cassation prend ainsi explicitement position pour dire que la loi Travail (9) ne pose pas de présomption d’indépendance vis-à-vis de ces travailleurs, mais seulement l’esquisse d’une responsabilité sociale des plateformes.
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    "Grande première : la Cour cassation vient d'analyser la relation liant un livreur à une plateforme ! Appliquant des principes très classiques à cette situation pourtant spécifique, la Haute juridiction a considéré que le livreur était bien lié à la plateforme par un contrat de travail. Selon la Cour de cassation, la plateforme disposait d'un pouvoir de direction, de contrôle et de sanction sur le livreur. Cass.soc.28.11.18, n°17-20079."
François-Michel Drevet

Parlons travail: Une majorité de salariés aime bosser - 0 views

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    Alerte info: les Français aiment travailler. L'enquête nationale de la CFDT auprès de 200.000 personnes montre, entre autres, qu'une majorité de salariés aime son travail mais en juge la charge "excessive" et 36% déclarent avoir déjà fait un burn out. L'e...
Aurialie Jublin

Comment le «hackathon» réinvente l'innovation en entreprise - 0 views

  • D'autres inquiétudes, plus concrètes, entourent l'intérêt des entreprises pour ces concours à l'innovation. Le spectre du travail non rémunéré plane sur les hackathons. Un participant du concours organisé par Axa confie sa crainte du vol d'idées, surtout quand les thèmes sont très spécifiques.«Les participants doivent protéger leurs productions par l'utilisation de licences libres», prévient Ivan Béraud, secrétaire général de la fédération CFDT de la communication, du conseil et de la culture. Ce dernier affirme n'avoir reçu aucune plainte relative à des hackathons à ce jour.
  • «Une grande entreprise aura plus intérêt à impliquer une personne ayant une idée géniale plutôt que d'en profiter dans son dos», relativise John Karp, cofondateur de la société BeMyApp, qui organise de nombreux hackathons, comme ceux d'Axa ou de Pernod Ricard. Pour beaucoup de développeurs, les hackathons sont un moyen de rencontrer des potentiels recruteurs. «Depuis octobre, j'ai reçu une dizaine de propositions d'emplois», s'enthousiasme Cédric Le Gouard, développeur free-lance de 26 ans et neuf hackathons à son actif. Selon lui, les idées issues des hackathons n'ont pas le temps de mûrir et ont donc peu de risques d'être exploitées aux dépens de leurs créateurs. «Un produit fini va bien plus loin que le genre de projets qu'on développe dans un hackathon», confirme John Karp.
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    "Axa, Pernod Ricard et la SNCF ont adopté les méthodes de Facebook. Elles font plancher des week-ends entiers des génies de l'informatique sur des projets d'applications et de services en ligne. Enquête sur un phénomène"
Thierry Nabeth

Internet et les bouleversements du travail salarié - 1 views

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    Comment Internet a-t-il bouleversé le travail des salariés ? Le droit du travail est-il adapté ? Avec Jean-Emmanuel Ray, professeur de droit ; Jérôme Chemin de la CFDT-cadres, et Christine Ballagué, vice-présidente du Conseil National du Numérique.
Chamila Puylaurent

Le numérique change-t-il le travail ? - 1 views

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    Données ouvertes (open data), espace numérique collaboratif, système d'information partageable, virtualisation : les outils s'emploient à dissoudre les frontières de l'entreprise. Ces frontières bougent, notamment dans les secteurs où la diffusion du numérique est la plus forte. Le numérique, s'il n'en est pas la cause, est le facilitateur : progressivement, l'imbrication entre entreprises clientes et prestataires sous-traitants se renforce
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    "Au-delà de la possibilité technique et des compétences des salariés, le changement d'organisation n'est possible que si culturellement le tissu social est prêt". Un article qui est issu de dernier numéro des cahiers de l'ARCEP "Technologies : impacts économiques, sociétaux et réglementaires." Je vous conseille aussi toute la partie sur les impacts sur l'Humain.
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