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Ministère des solidarités - Annexes - Stratégie nationale de prévention et de... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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Ministère des solidarités - Résumé des 21 mesures - Stratégie nationale de pr... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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Ministère des solidarités - Document de référence - Stratégie nationale de pr... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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Collectif Alerte - Propositions - Stratégie de prévention et de lutte contre ... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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Collectif Alerte - Intervention de François Soulage - Stratégie de prévention... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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Collectif Alerte - Communiqué de presse - Stratégie de prévention et de lutte... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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Ministère des solidarités et de la santé - Lancement de la concertation de la... - 0 views

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    Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé et Olivier Noblecourt, Délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, ont présenté aujourd'hui les principaux chantiers ainsi que l'organisation de la concertation qui aboutira à la remise officielle de la stratégie au Président de la République en avril 2018. Cette stratégie devra répondre à l'exigence du Président de la République de rompre le déterminisme de la pauvreté dans une logique de prévention et d'investissement social. Elle concernera en priorité les enfants et les jeunes, mais elle s'inscrira dans une approche plus globale, visant à prévenir les fragilités susceptibles de toucher toutes les personnes et à poursuivre les mesures de réduction de la pauvreté et de renforcement de l'inclusion sociale sur toute la durée du quinquennat. La ministre des Solidarités et de la Santé a identifié quatre principaux chantiers pour la concertation : - la construction d'une politique affirmée de prévention de la pauvreté mobilisant le droit commun. Il s'agit d'assurer une meilleure égalité des chances dès l'enfance, en favorisant par exemple l'accueil des enfants des familles les plus défavorisées en crèche ; - le repérage et l'accompagnement des personnes en situation de pauvreté, dans une logique d'intervention précoce et de parcours visant à préserver l'autonomie des personnes. Le non-recours aux aides sociales entretient la pauvreté et il convient donc de favoriser l'accès aux prestations et aux services auxquels les personnes ont droit ; - le recours à des dispositifs d'accompagnement spécifiques pour les personnes touchées par la grande pauvreté ; - le renouvellement de la gouvernance à la fois nationale et territoriale de la lutte contre la pauvreté pour permettre une bonne articulation des actions menées par les différents intervenants, adapter les efforts à la
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France Stratégie - Le couple contribue-t-il encore à réduire les inégalités ? - 0 views

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    Entre 1996 et 2015, la hausse de l'activité des femmes a fait chuter les inégalités de revenus entre femmes et hommes. Pour autant, les inégalités de niveaux de vie - celles qui tiennent compte de la structure des ménages et de la redistribution socio-fiscale - sont restées relativement stables. Pour comprendre pourquoi, France Stratégie met en lumière que la France a été marquée non par une mais par trois transformations sociales qui ont modifié la répartition des revenus en France. La Note d'analyse souligne en particulier l'utilité qu'il y a à s'intéresser à un mécanisme trop souvent négligé lorsque l'on cherche à comprendre les évolutions des inégalités en France, celui de la mise en commun des ressources au sein d'un ménage, la « redistribution privée ». France Stratégie montre ainsi que la progression de l'activité féminine a bien réduit les inégalités. Mais, dans le même temps, deux autres évolutions sociales ont joué en sens contraire : La modification des structures familiales induite par les nouveaux modes de vie, avec une mise en couple plus tardive et une hausse des désunions. En 2015, 69 % des 25-60 ans étaient en couple alors qu'ils étaient 78 % en 1996. En particulier, les familles monoparentales sont devenues 1,6 fois plus nombreuses sur la période. Le renforcement de l' « homogamie de revenu » : les hommes et les femmes sont de plus en plus souvent en couple avec une personne qui perçoit un revenu proche du leur. Cela se traduit par une diminution des inégalités au sein des couples mais par une augmentation des inégalités entre couples. L'impact de ces deux dernières évolutions sociales s'observe lors de la mise en commun des ressources au sein des ménages - une étape qui permet de réduire les inégalités entre individus tant que les écarts de rémunérations entre conjoints persistent. De fait, des couples moins nombreux, c'est moins d'individus susceptibles de
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France Stratégie - Evaluation de la stratégie nationale de prévention et de l... - 0 views

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    "Le comité d'évaluation de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, présidé par Louis Schweitzer, publie son premier rapport annuel. Il s'agit d'une note d'étape qui présente les grands axes de la démarche d'évaluation, les méthodes envisagées et le calendrier des travaux. Deux démarches participatives ont été engagées pour enrichir les travaux du comité : d'une part, la consultation du collège des personnes en situation de pauvreté du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale, d'autre part, la réunion d'un panel de trente citoyens représentatifs de la population française. Le comité a décidé que l'évaluation aurait une double dimension stratégique et analytique. Elle sera réalisée à deux niveaux : Une évaluation portant sur trente-cinq mesures et leurs effets Les trente-cinq mesures de la stratégie nationale regroupées autour de cinq thèmes : petite enfance et éducation ; santé ; accompagnement, formation et emploi ; logement et droits sociaux feront l'objet d'un suivi et leurs effets seront évalués au moyen d'indicateurs choisis en fonction des résultats attendus. L'appui sur la littérature scientifique permettra d'apporter un éclairage sur les effets attendus pour chacun des cinq grands thèmes. Certaines mesures feront l'objet d'une évaluation scientifique d'impact afin de déterminer leur effet causal. Une évaluation portant sur la stratégie nationale dans son ensemble La Stratégie vise deux grands objectifs : éviter la reproduction sociale de la pauvreté et permettre aux gens de sortir de la pauvreté. Le comité a décidé d'évaluer également au regard d'un troisième objectif : ne laisser personne en situation de grande pauvreté. L'évaluation prendra en considération les politiques qui partagent l'objectif de lutte contre la pauvreté comme celles qui poursuivent d'autres objectif
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FAO, FIDA, OMS, PAM et Unicef - l'État de la sécurité alimentaire et de la nu... - 0 views

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    820 millions de personnes - soit une personne sur neuf dans le monde - souffrent de la faim aujourd'hui. Cette tendance souligne l'immense défi que pose la réalisation de l'Objectif de la faim zéro des Objectifs de développement durable (ODD) d'ici 2030, estime le rapport sur l'État de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le monde 2019. Lancé à New York en marge du Forum politique de haut niveau développement durable - la principale plate-forme des Nations Unies qui assure le suivi des mesures prises par les États pour donner suite aux ODD - le rapport ventile les statistiques par région et montre que la faim a augmenté de près de 20% en Afrique, un continent qui connait également la prévalence la plus élevée de sous-alimentation. Bien que la prévalence de la faim en Amérique latine et dans les Caraïbes soit encore inférieure à 7%, elle augmente lentement. Et en Asie, la sous-alimentation touche 11% de la population. Bien que l'Asie du Sud ait enregistré de grands progrès au cours des cinq dernières années, elle demeure la sous-région où la prévalence de la sous-alimentation est la plus élevée. La faim s'aggrave dans de nombreux pays où la croissance économique accuse un retard, en particulier dans les pays à revenu intermédiaire et ceux qui dépendent fortement du commerce international des produits de base. Le rapport annuel des agences onusiennes montre également que les inégalités des revenus augmentent dans de nombreux pays où la faim est en hausse, ce qui rend encore plus difficile pour les pauvres, les personnes vulnérables ou marginalisées de faire face aux ralentissements et aux crises économiques. « Nous devons encourager une transformation structurelle favorable aux pauvres et inclusive, qui soit axée sur les personnes et qui place les communautés au centre des préoccupations, pour réduire les vulnérabilités économiques et être en mesure de poursuivre comme prévu notre objectif : élimi
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HCFEA - Note de synthèse - Lutter contre la pauvreté des familles et des enfants - 0 views

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    l s'agit d'une part d'identifier les caractéristiques des familles pauvres ou en risque d'exclusion sociale, et les difficultés auxquelles elles sont confrontées ainsi que leurs enfants, et d'autre part d'interroger les politiques publiques conduites pour lutter contre la pauvreté et le risque d'exclusion sociale et contre leurs conséquences. Le Président de la République a décidé, le 17 octobre 2017, d'engager l'élaboration d'une stratégie nationale de lutte contre la pauvreté. Cette stratégie est actuellement portée Olivier NOBLECOURT, nommé Délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes. L'objectif des travaux du Conseil de la famille est d'apporter une contribution à cette stratégie et aux débats sur la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale et de soumettre des pistes pour améliorer la situation des familles pauvres ou en risque d'exclusion sociale. Deux raisons principales motivent le choix de ce thème de travail : d'abord l'importance du taux de pauvreté des enfants : si, en 2014, 14 % de la population métropolitaine, soit 8,6 millions de personnes, vit en dessous du seuil de pauvreté, la pauvreté des enfants est sensiblement supérieure à celle de l'ensemble de la population puisqu'elle atteint 19,8 % ; deux types de familles sont particulièrement concernés, les familles monoparentales et les familles nombreuses ; ensuite l'importance des phénomènes de reproduction sociale en la matière : l'enfant d'une famille pauvre a beaucoup plus de risques de se retrouver lui aussi dans une position disqualifiée socialement lorsqu'il atteint l'âge adulte, parce qu'il ne dispose pas des ressources économiques, sociales, ou relationnelles nécessaires ; lutter contre les conséquences de la pauvreté pour les enfants, en termes de risque accru d'exclusion sociale, est donc particulièrement important. Pour le H
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Observatoire national de la politique de la ville - Rapport 2016 - 0 views

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    Le rapport 2016 de l'Observatoire national de la politique de la ville (ONPV) est le premier rendu dans le format de la nouvelle politique de la ville. Ce rapport, publié le 6 avril 2017, se veut fidèle à la dynamique dictée par les grandes orientations de l'ONPV, visant à présenter davantage de travaux évaluatifs tout en continuant à mettre à jour les données concernant les quartiers de la politique de la ville et leurs habitants, de même qu'à rendre compte des principales politiques mises en œuvre dans ces quartiers. Il s'articule donc en deux parties. La première partie est un recueil de trois études approfondies, en écho à la loi de programmation de 2014 et porte sur une connaissance approfondie de la nouvelle géographie de la politique de la ville, sur l'évaluation du programme national de rénovation urbaine (PNRU) et sur l'évaluation de la participation des habitants via les conseils citoyens. La seconde partie rassemble des fiches synthétiques sur chacun des trois piliers de la politique de la ville, ainsi que sur les moyens financiers qui y sont afférents.
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Secours populaire - Rapport complet - Rapport d'activité 2016 - 0 views

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    Cela ne fait aucun doute. La pauvreté gagne du terrain. Aujourd'hui, on compte près de neuf millions de pauvres en France. C'est un million de plus qu'il y a dix ans. Derrière ces chiffres se cachent des enfants, des hommes et des femmes en détresse, des situations dramatiques au quotidien, des familles désespérées qui viennent pousser la porte de nos antennes. En l'espace d'un an, les demandes d'aide auprès de nos permanences ont explosé. Les bénévoles font face à une augmentation soudaine allant de 15 à 50 % dans certains départements, comme dans l'Hérault. La situation se détériore pour les travailleurs précaires, les personnes en fin de droit, les jeunes, les personnes âgées, celles déboutées du droit d'asile... La peur de sombrer dans la pauvreté aussi se répand dans notre société. Plus d'un Français sur deux (55%) craint que sa vie quotidienne soit menacée par la pauvreté. Ils étaient déjà 45% avant la crise économique de 2008. Ils ne sont pas plus optimistes pour les générations futures, puisque 83% des Français estiment que les risques de connaître une situation de pauvreté seront plus importants pour leurs enfants. La pauvreté et l'exclusion abîment les êtres. Les Français les plus pauvres se privent de tout, vacances, loisirs, culture, mais aussi alimentation. Ils en viennent à sacrifier leur santé. Ainsi, 50% d'entre eux ont déjà renoncé à effectuer une consultation chez le dentiste (+22% par rapport à 2008). C'est pourquoi les « Médecins du Secours populaire » s'efforcent d'aider à l'accès aux soins pour tous. N'oublions pas les personnes au-delà de nos frontières qui souffrent de la faim ou qui sont confrontées à la violence et aux catastrophes naturelles, comme en Equateur ou en Italie en 2016. Encore aujourd'hui, 10% de la population mondiale est confrontée à la pauvreté. Et comment rester insensible aux millions de personnes déplacées, qui fuient la vio
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Secours populaire - Essentiel - Rapport d'activité 2016 - 0 views

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    Cela ne fait aucun doute. La pauvreté gagne du terrain. Aujourd'hui, on compte près de neuf millions de pauvres en France. C'est un million de plus qu'il y a dix ans. Derrière ces chiffres se cachent des enfants, des hommes et des femmes en détresse, des situations dramatiques au quotidien, des familles désespérées qui viennent pousser la porte de nos antennes. En l'espace d'un an, les demandes d'aide auprès de nos permanences ont explosé. Les bénévoles font face à une augmentation soudaine allant de 15 à 50 % dans certains départements, comme dans l'Hérault. La situation se détériore pour les travailleurs précaires, les personnes en fin de droit, les jeunes, les personnes âgées, celles déboutées du droit d'asile... La peur de sombrer dans la pauvreté aussi se répand dans notre société. Plus d'un Français sur deux (55%) craint que sa vie quotidienne soit menacée par la pauvreté. Ils étaient déjà 45% avant la crise économique de 2008. Ils ne sont pas plus optimistes pour les générations futures, puisque 83% des Français estiment que les risques de connaître une situation de pauvreté seront plus importants pour leurs enfants. La pauvreté et l'exclusion abîment les êtres. Les Français les plus pauvres se privent de tout, vacances, loisirs, culture, mais aussi alimentation. Ils en viennent à sacrifier leur santé. Ainsi, 50% d'entre eux ont déjà renoncé à effectuer une consultation chez le dentiste (+22% par rapport à 2008). C'est pourquoi les « Médecins du Secours populaire » s'efforcent d'aider à l'accès aux soins pour tous. N'oublions pas les personnes au-delà de nos frontières qui souffrent de la faim ou qui sont confrontées à la violence et aux catastrophes naturelles, comme en Equateur ou en Italie en 2016. Encore aujourd'hui, 10% de la population mondiale est confrontée à la pauvreté. Et comment rester insensible aux millions de personnes déplacées, qui fuient la vio
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DREES - Suicide : quels liens avec le travail et le chômage ? Penser la préve... - 0 views

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    En 2016, la France comptabilise près de 9 300 décès par suicide, un chiffre qui s'inscrit à la baisse depuis les années 2000. La moitié de ces décès concerne des personnes en âge de travailler, entre 35 et 64 ans. Ainsi, il se peut que certains de ces suicides soient liés aux conditions de travail des personnes concernées ou à leur vécu d'une situation de chômage. Toutefois, le constat ne peut être que partiellement posé. Le processus suicidaire est en effet un phénomène multifactoriel dans lequel le rôle joué par le travail ou le chômage est difficile à isoler. De plus, le système d'information permettant de répondre à ces questions est perfectible. Centré sur les suicides liés au travail et au chômage, le quatrième rapport de l'Observatoire national du suicide est composé de deux dossiers et de 18 fiches. Ce rapport a été rédigé avant la crise sanitaire liée au Covid-19. Par conséquent, il ne propose pas d'analyse de l'impact psychologique de cette crise ni de ses effets sur les conduites suicidaires. Certains résultats du rapport peuvent néanmoins éclairer la question des effets de cette crise sanitaire sur les travailleurs selon leur situation professionnelle. Le premier dossier revient sur la mise en place de politiques spécifiques de prévention du suicide élaborées ces dernières années et sur l'évolution du cadre législatif de la santé au travail. Malgré ces avancées et tout en rappelant que le travail est protecteur, ce 4ème rapport souligne que certaines conditions de travail et certaines pratiques de management peuvent générer un climat anxiogène pour les travailleurs et créer des risques psycho-sociaux. Même si le lien de causalité avec les conduites suicidaires n'est pas direct, le travail peut ainsi être en cause dans le processus suicidaire. De même, l'impact de la perte d'emploi et l'inactivité forcée occasionnent des formes de souffrances psychiques susceptibles de cond
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Fédération des acteurs de la solidarité - Investir dans la solidarité Agisson... - 0 views

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    "Investir dans la solidarité" A la veille de son congrès intitulé "Investir dans la solidarité", qui se tient ces 12 et 13 janvier 2017 à Dijon, la Fédération des acteurs de la solidarité" - présidée par Louis Gallois et qui s'appelait encore la Fnars jusqu'au congrès - présentait sa "plateforme de propositions". Baptisé du même nom que le congrès, ce document expose 25 "propositions de réformes prioritaires". Signe du changement de périmètre de la Fédération, elles couvrent une bonne part du champ social et sont organisées en quatre grands domaines : investir dans l'enfance et la jeunesse, investir pour prévenir la précarité et l'exclusion, investir dans la citoyenneté et le pouvoir d'agir et, enfin, investir pour des territoires plus solidaires. Parmi ces propositions très argumentées, on retiendra notamment la garantie de l'accès aux cantines scolaires, le renforcement des moyens financiers de la PMI, la mise en place d'une véritable couverture logement universelle, le doublement des places de Cada (centres d'accueil pour demandeurs d'asile) ou encore la fixation, dans chaque intercommunalité, d'un objectif chiffré d'attribution de logements sociaux aux ménages sans domicile et mal logés équivalant à au moins un quart des attributions annuelles. A noter : dans le débat actuel sur le revenu universel, la Fédération propose de fusionner les minima sociaux pour créer un revenu minimum décent de 850 euros par mois, ouvert aux personnes sans emploi dès l'âge de 18 ans et attribué automatiquement afin de supprimer "des démarches administratives inutiles et stigmatisantes".
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Terra Nova - Lutte contre la précarité énergétique : en finir avec les demi-m... - 0 views

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    La précarité énergétique touche, selon les définitions, jusqu'à un Français sur cinq. Selon l'INSEE, 14,6 % (3,9 millions) des ménages sont ainsi en situation de vulnérabilité énergétique en ce qui concerne le logement, et 10,2% (2,7 millions) pour les déplacements. En outre, ces chiffres déjà élevés ne prennent pas en compte les éventuelles restrictions volontaires de chauffage ou de mobilité que peuvent s'imposer les ménages modestes. Sous l'effet de la volatilité des prix de l'énergie et de la nécessaire augmentation de la fiscalité carbone, et sans mesures appropriées, ce phénomène ne fera que croître dans les années à venir. Les politiques publiques mises en places en France n'ont jusqu'ici pas été à la mesure du problème : l'attention s'est principalement portée sur les politiques curatives, qui ne permettent pas d'apporter une réponse structurelle à la précarité énergétique. Les moyens des politiques préventives ont été dispersés sur plusieurs dispositifs, trop souvent complexes, méconnus et insuffisamment ciblés. Terra Nova formule cinq propositions concernant le logement et la mobilité, notamment pour réorienter la fiscalité et les dispositifs d'aides, mieux utiliser les outils réglementaires et tirer profit de l'innovation. - Proposition 1 : Instaurer pour tous les logements un standard minimum de performance énergétique, dont le non-respect interdirait la location du logement. - Proposition 2 : Changer d'échelle dans le financement de la lutte contre la précarité dans le logement, en créant un compte d'affectation spécial « Précarité énergétique » au sein du budget de l'Etat, qui assurera à la fois le financement des politiques préventives (en particulier le financement de l'Agence nationale de l'habitat), sur lesquelles l'accent devra être mis, et curatives (le financement du chèque énergie). - Proposition 3 : Renforcer et massifier le programme Habiter
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CNCDH - Déclaration à l'occasion de la journée mondiale du refus de la misère - 0 views

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    "Là où des hommes sont condamnés à vivre dans la misère, les droits de l'Homme sont violés. S'unir pour les faire respecter est un devoir sacré" A l'occasion de la 30ème journée mondiale du refus de la misère, créée en 1987 par Joseph Wresinski, la CNCDH publie une déclaration rappelant fermement que la pauvreté est une violation des droits humains et que, à ce titre, la combattre est une obligation des pouvoirs publics. Placée au premier rang des Objectifs de développement durable adoptés en 2015, l'éradication de la pauvreté est un combat fort de la CNCDH. Dans différents avis, et ce depuis 1990, la CNCDH a rappelé à plusieurs reprises que les situations de pauvreté, de précarité et d'exclusion sociale témoignent de l'indivisibilité et de l'interdépendance des droits fondamentaux et qu'à ce titre, la lutte contre la pauvreté est un enjeu fondamental des droits humains. Ainsi, la CNCDH rappelle que la pauvreté n'est pas seulement de nature socio-économique, mais qu'elle est aussi liée à la rupture du lien social. Soulignant que les personnes en situation de pauvreté et d'exclusion sociale doivent être associées, à tous niveaux, à l'élaboration des politiques, aux processus de décisions et à l'adoption des mesures les concernant, la CNCDH insiste à nouveau sur le besoin d'une démarche véritablement participative, valorisant l'expérience et les connaissances des personnes en situation de précarité.
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Dernière Revue : Qui est mon prochain dans une société multiculturelle ? | Ré... - 0 views

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    "Qui est mon prochain dans une société multiculturelle ? Editorial Dans l'histoire de l'humanité, des femmes et des hommes ont considéré que tout être humain était leur prochain. Ils voyaient en lui leur frère ou leur sœur, leur fils ou leur fille, leur père ou leur mère. Ils rêvaient d'une société fraternelle et ont tenté de la créer sur terre. Certains ont compris le besoin de fraternité par la raison ou la recherche passionnée de l'amour, de la justice et de la paix. Les disciples de Jésus ont en héritage un message de fraternité. Chez les uns et les autres, il y a certainement une part d'inné, un caractère qui facilite la fraternité, mais aussi une part d'acquis reçue par l'éducation et l'exemple. Et tout cela se vit toujours à force de beaucoup d'amour, de réconciliation, de pardon après des doutes et des échecs. Des prédispositions n'évitent pas la tentation permanente de réduire la solidarité à sa famille, à ses enfants, à ses parents, à ses proches. Les uns se trouvent enclins à leur assurer confort et sécurité, les autres à assurer la survie de sa tribu, notamment contre celui qui est considéré comme un rival, un profiteur, un voleur. C'est en des conjonctures considérées comme plus difficiles que l'étranger, celui qui est culturellement ou religieusement différent de moi, est rejeté, devient le bouc-émissaire des mes malheurs réels ou supposés. C'est aussi en ces périodes que l'évangile du Ressuscité prend tout son sens et nous fait vivre dans l'espérance d'une société plus humaine. L'enseignement de Jésus n'est pas une utopie, une fantaisie pour bien-pensants, un supplément d'âme dont on pourrait se passer à certains moments. Jésus a une parfaite connaissance de la complexité des relations humaines et de leurs interactions. Quand une partie de la société est rejetée, discréditée, marginalisée, toute la société se déshumanise. L'Eglise de Jésu
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Unicef - 14e rapport Innocenti : Construire l'avenir : les enfants et les obj... - 0 views

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    Innocenti, le centre de recherche de l'Unicef basé à Florence, publie son quatorzième bilan intitulé "Construire l'avenir : les enfants et les objectifs de développement durable dans les pays riches". En effet, pour le rapport - qui porte sur 41 pays développés de l'Union européenne et de l'OCDE -, le signe le plus révélateur des progrès accomplis par une nation pour atteindre les objectifs de développement durable "est sans doute la façon dont elle répond aux besoins de ses enfants". L'étude s'appuie donc sur l'analyse de 9 objectifs et de 25 indicateurs de développement durable en lien avec la thématique des enfants. (...) La 19e place de la France sur les 41 pays étudiés recouvre bien sûr des écarts importants selon les objectifs de développement durable considérés. Côté positif : le 7e rang de la France sur l'objectif "Faim zéro" (éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire et améliorer la nutrition). De même, le classement apparaît correct avec le 14e rang sur l'objectif "Education de qualité" et le 15e rang sur l'objectif "Pas de pauvreté", voire avec le 17e rang sur l'objectif "Bonne santé et bien-être". Deux autres critères se situent juste dans la moyenne de l'échantillon : la France figure ainsi au 20e rang sur l'objectif "Travail décent et croissance économique" et au 21e rang sur "Paix, justice et institutions efficaces". En revanche, la situation sur les autres objectifs est nettement moins favorable et pèse sur le classement final. La France figure ainsi au 23e rang sur l'objectif "Villes et communautés durables" et au 25e sur "Consommation et production responsables". Mais le plus mauvais résultat concerne l'objectif "Inégalités réduites", sur lequel la France se classe au 34e rang, tout juste devant les Etats-Unis (35e). Sur ce critère, tous les autres grands pays développés se trouvent classés devant la France. Ce critère combine trois indicateurs portant respectivement sur l'inégalité (ind
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