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Solutions d'associations - Présentation du projet - 0 views

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    "À l'approche des échéances électorales de 2017, chacun observe avec inquiétude l'écart grandissant qui existe entre le langage politique et les attentes ainsi que les initiatives des citoyens. Des mutations de grande ampleur travaillent notre société, interrogeant l'avenir et le lien social lui-même. Face aux différents problèmes à résoudre, se déploient partout en France des solutions innovantes. À la manœuvre, les citoyens et le monde associatif, foisonnent d'idées. Dans ce cadre, convaincus que la vitalité associative est au cœur de la vitalité démocratique du pays, la Fonda et le Mouvement associatif ont pris l'initiative de mobiliser l'expertise et le savoir-faire des associations face aux vrais défis à relever. Enjeux liés à l'éducation, à la santé, à l'écologie, à l'économie, à la solidarité, à la justice, à la culture, au développement : sur tous les fronts, en France ou à l'étranger, les associations agissent chaque jour avec créativité et efficacité. Parce qu'elles font un travail exceptionnel et possèdent une vision experte et pragmatique des défis à relever, la Fonda et le Mouvement associatif leur donnent la parole et ont décidé de valoriser leurs idées et solutions. Elles constituent autant d'exemples à suivre et d'initiatives à essaimer, pour construire un futur souhaitable à notre société. C'est dans cet objectif qu'est né le projet « Solutions d'associations », sous la forme à la fois d'un site internet et d'une publication."
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Collectif Alerte - Propositions - Stratégie de prévention et de lutte contre ... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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Collectif Alerte - Intervention de François Soulage - Stratégie de prévention... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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Collectif Alerte - Communiqué de presse - Stratégie de prévention et de lutte... - 0 views

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    Alors qu'une "réunion de ministres" doit se tenir ce jeudi 15 mars à Matignon sur la préparation de la stratégie de prévention et de lutte contre la pauvreté des jeunes et des enfants et que les groupes de travail, coordonnés par le délégué interministériel Olivier Noblecourt, doivent remettre dans la soirée leurs préconisations, le collectif Alerte a déjà fait entendre sa voix, en formulant ses propositions mardi lors d'une conférence de presse. Celles-ci ont également été avancées dans le cadre des différents groupes de travail. Alerte regroupe 37 associations de lutte contre l'exclusion, dont l'APF, ATD Quart Monde, Emmaüs, la Fédération des acteurs de la solidarité (ex Fnars) la fondation Abbé-Pierre, Médecins du Monde, le Secours catholique, Soliha, l'Unaf, l'Uniopss.La principale revendication d'Alerte porte sur le périmètre de la démarche engagée par le gouvernement (voir nos articles ci-dessous). En effet, comme l'a expliqué François Soulage, le président du collectif (et ancien président du Secours catholique), "les enfants pauvres vivent dans des familles pauvres. [...] On ne peut donc préparer des mesures pour les enfants sans s'occuper de la situation des familles dans lesquelles ils vivent". De même, "on ne peut traiter les jeunes hors d'un contexte global". Lors de sa récente audition par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale (voir notre article ci-dessous du 13 février 2018), Olivier Noblecourt, le délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes, avait devancé cette critique en indiquant qu'il ne s'agit pas de "créer un grand soir des politiques sociales" qui remettrait en cause les politiques de ces dernières années, mais d'apporter "une inflexion" sur les jeunes et les enfants, dans la mesure où "c'est aujourd'hui le public qui est le plus directement victime de la pauvreté". Auditionnée à son tour en compagnie de Jean-M
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Dares - Des demandeurs d'emploi qui travaillent ? Les 7 visages de l'activité... - 0 views

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    Fin 2015, un peu moins d'un demandeur d'emploi indemnisable sur deux1 avait exercé une activité rémunérée au cours du mois (communément appelée « activité réduite »). Leur part au sein de l'ensemble des demandeurs d'emploi indemnisables tend à croître depuis 2009. Le dispositif d'activité réduite a pour objectif initial de favoriser le retour à l'emploi : le demandeur d'emploi exerce une activité rémunérée, souvent à faible volume horaire, parallèlement à sa recherche d'emploi, ce qui lui permet de conserver un lien avec le marché du travail et a vocation à favoriser une sortie vers l'emploi durable. Il apparaît cependant qu'un certain nombre de demandeurs d'emploi s'inscrivent durablement dans le dispositif, pour pallier la faiblesse de leur allocation chômage ou lisser leur revenu, dans le cas d'une trajectoire professionnelle heurtée. Ce document d'études vise à éclairer la diversité des rôles que remplit de facto ce dispositif phare de l'assurance chômage, situé à la frontière entre assurance et solidarité. Il propose dans un premier temps un état des lieux du recours à l'activité réduite, en exploitant des données issues du système d'information de Pôle emploi. Il présente ensuite un panorama des trajectoires des demandeurs d'emploi en activité réduite. (...) Il en ressort sept groupes de trajectoires, associés à des profils sociodémographiques et des situations hétérogènes au regard de d'indemnisation. L'interaction entre l'activité réduite et les dispositifs de solidarité (...) est analysée à l'aide d'une maquette de cas-types, pour deux trajectoires d'individus qui exercent très régulièrement une activité réduite (...). Pour les deux cas étudiés, le cumul entre allocation chômage et revenu d'activité permet d'améliorer nettement le revenu global des individus par rapport à une situation où le cumul serait impossible. Il induit un li
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Amiens - Lettre Info Solidarité # 8 - Laudato Si et Diaconie - 0 views

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    "Du 16 au 24 mai, nous sommes invités à participer à une semaine « Laudato si » qui se clôturera par une journée mondiale de prière. Mais en quoi est-ce que cette semaine concerne la diaconie et donc la dimension du « servir » dans chacune de nos communautés ? Laudato Si est d'abord une encyclique sociale parce que la préoccupation pour le développement humain intégral c'est-à-dire l'épanouissement de la personne humaine dans toutes ses dimensions, est au centre de ce texte. Les pauvres sont les premières victimes du délabrement de notre maison commune. La dégradation de l'environnement et de la société affecte les populations les plus vulnérables de la planète. Il n'y a qu'à regarder ce qui se passe au Brésil et plus largement en Amazonie et en tant d'autres pays. La crise écologique contemporaine est causée principalement par la minorité riche, pourtant ses premières victimes, innocentes et disproportionnées sont les membres pauvres et vulnérables de notre famille commune. Ils ne contribuent pratiquement pas au réchauffement de la planète, ce sont pourtant eux qui en connaissent et en connaîtront les pires conséquences. En prenant soin de notre maison commune nous sommes invités à prendre soin des membres les plus faibles. C'est particulièrement vrai aujourd'hui au sortir de ce temps de confinement. Les pauvres ont appris depuis longtemps à vivre avec peu, à être inventifs, à recycler, à faire durer, à récupérer les invendus, à faire du neuf avec du vieux… Nous sommes conviés à faire nôtre l'invitation à la sobriété, à l'arrêt de la surconsommation. Nous avons appris en ces jours -contraints et forcés par la fermeture des magasins- à nous passer d'un certain nombre de choses… Peut-être pouvons-nous, à partir de là, nous poser la question de nos modes de consommation et nous mettre à l'école de ce que les plus précaires ont appris depuis longtemps."
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France Stratégie - Document de travail - Comment estimer le rendement de l'in... - 0 views

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    L'investissement social apparaît à la fin des années 1990 comme un modèle d'action sociale renouvelé pour faire face à l'évolution de sociétés fragilisées par l'émergence de nouveaux risques sociaux. Il consiste à investir dans le capital humain des individus de façon à augmenter et à maintenir leurs compétences et leur capacité à supporter les chocs. La notion s'appuie en outre largement sur la promesse que la dépense sociale d'aujourd'hui rapportera à un moment donné. Sa crédibilité repose donc sur l'existence de travaux permettant d'identifier ce rendement. Ce document de travail analyse les recherches existantes sur les impacts de l'investissement social. Il montre que l'approche consistant à lier les dépenses d'investissement social aux performances macroéconomiques des États n'est pas en mesure d'identifier de façon crédible l'effet causal de l'investissement social et a fortiori son rendement. Ce document propose en outre d'adopter une vision plus locale et de séparer en deux étapes l'identification du rendement de l'investissement social. La première consiste à recourir à des évaluations d'impact en adoptant des méthodes qui permettent d'interpréter les résultats comme un lien de cause à effet. Une littérature scientifique abondante évalue déjà l'effet de politiques assimilables à de l'investissement social : la collecte de ces informations est un prérequis pour engager de nouvelles réformes d'investissement social. Nous proposons d'adopter une démarche de collecte systématique et d'analyses statistiques, en produisant davantage de méta-analyses. La deuxième étape consiste à intégrer les résultats des évaluations d'impact dans des modèles de calculs socioéconomiques, afin de comparer les bénéfices des investissements ainsi identifiés aux coûts réels et sociaux de leur mise en œuvre. Le succès de cette étape suppose toutefois de surmonter
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Dernière Revue : Qui est mon prochain dans une société multiculturelle ? | Ré... - 0 views

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    "Qui est mon prochain dans une société multiculturelle ? Editorial Dans l'histoire de l'humanité, des femmes et des hommes ont considéré que tout être humain était leur prochain. Ils voyaient en lui leur frère ou leur sœur, leur fils ou leur fille, leur père ou leur mère. Ils rêvaient d'une société fraternelle et ont tenté de la créer sur terre. Certains ont compris le besoin de fraternité par la raison ou la recherche passionnée de l'amour, de la justice et de la paix. Les disciples de Jésus ont en héritage un message de fraternité. Chez les uns et les autres, il y a certainement une part d'inné, un caractère qui facilite la fraternité, mais aussi une part d'acquis reçue par l'éducation et l'exemple. Et tout cela se vit toujours à force de beaucoup d'amour, de réconciliation, de pardon après des doutes et des échecs. Des prédispositions n'évitent pas la tentation permanente de réduire la solidarité à sa famille, à ses enfants, à ses parents, à ses proches. Les uns se trouvent enclins à leur assurer confort et sécurité, les autres à assurer la survie de sa tribu, notamment contre celui qui est considéré comme un rival, un profiteur, un voleur. C'est en des conjonctures considérées comme plus difficiles que l'étranger, celui qui est culturellement ou religieusement différent de moi, est rejeté, devient le bouc-émissaire des mes malheurs réels ou supposés. C'est aussi en ces périodes que l'évangile du Ressuscité prend tout son sens et nous fait vivre dans l'espérance d'une société plus humaine. L'enseignement de Jésus n'est pas une utopie, une fantaisie pour bien-pensants, un supplément d'âme dont on pourrait se passer à certains moments. Jésus a une parfaite connaissance de la complexité des relations humaines et de leurs interactions. Quand une partie de la société est rejetée, discréditée, marginalisée, toute la société se déshumanise. L'Eglise de Jésu
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L'aide et l'action sociales en France - édition 2017 - Panoramas de la DREES ... - 0 views

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    "L'aide et l'action sociales représentent 10 % des dépenses de la protection sociale et 3,2 % du produit intérieur brut. Ces aides et actions sont délivrées principalement par les départements. Fin 2015, ces derniers octroient 4,3 millions de prestations d'aide sociale, pour une dépense annuelle nette de 33 milliards d'euros. Au cours des cinq dernières années, ces dépenses augmentent de 2 % par an en moyenne. Après un premier éclairage sur le périmètre de l'aide et de l'action sociales et sur le financement de l'aide sociale départementale, celle-ci est décrite dans le détail : pour les personnes âgées dépendantes, pour les personnes handicapées, pour la protection de l'enfance et pour l'insertion. L'ouvrage s'attache à exposer les caractéristiques des bénéficiaires de l'aide sociale et la répartition des dépenses associées. Des rétrospectives sont proposées, et les disparités territoriales de l'aide sociale sont analysées." Ouvrage complet ou fiches séparées à télécharger Analyses transversales Fiche 01 - Le périmètre et les acteurs de l'aide et de l'action sociales en France Fiche 02 - Le financement des dépenses départementales d'aide sociale Fiche 03 - L'opinion des Français envers les politiques publiques d'aide sociale L'aide sociale aux personnes âgées Fiche 04 - Les dispositifs d'aide sociale aux personnes âgées Fiche 05 - L'aide sociale départementale aux personnes âgées Fiche 06 - Les bénéficiaires et les dépenses de l'allocation personnalisée d'autonomie Fiche 07 - L'aide sociale à l'hébergement des personnes âgées Fiche 08 - Les caractéristiques des bénéficiaires d'une aide sociale aux personnes âgées L'aide sociale aux personnes handicapées Fiche 09 - Les dispositifs d'aide sociale aux personnes handicapées Fiche 10 - L'aide sociale départementale aux personnes handicapées Fiche 11 - La prestation de compensation du hand
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Ifop - Regards franco-allemands sur les défis démographiques de l'Europe - 0 views

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    A quelques semaines des élections européennes du mai 2019, Alliance Vita a souhaité connaitre l'opinion des Français et des Allemands sur les grands enjeux démographiques. Cette enquête révèle des conceptions convergentes quant aux solutions à apporter au vieillissement des populations, mais divergentes sur les questions liées à la natalité. Face à la problématique de l'isolement des personnes âgées, les Français et les Allemands retiennent la même hiérarchie entre les solutions proposées dans l'enquête en privilégiant largement des logiques de solidarité (plus de 50% des citations pour « développer des modes d'accompagnement de la dépendance » et « valoriser la solidarité entre les générations »), à des logiques d'ajustement des équilibres démographiques (moins de 30% des citations pour « accroître le recours à l'euthanasie pour les personnes âgées qui le demandent » ; moins de 20% pour « favoriser la venue de populations extra-européennes plus jeunes » et « encourager la natalité »). Si le rapport des Français et des Allemands au vieillissement de la population est assez proche malgré quelques nuances, leurs regards respectifs sur les enjeux liés à la natalité sont en revanche très différents. Les Français retiennent ainsi à égalité « les conditions de vie difficiles pour les familles » (52% des citations) et « la peur de l'avenir » (52%) comme les principales raisons expliquant le décalage entre le désir d'enfant et les naissances effectives. Si les Allemands mettent également « les conditions de vie difficiles pour les familles » en haut de classement (46%), c'est cette fois-ci à égalité avec « la faiblesse des politiques familiales, l'insuffisance des aides accordées aux familles avec enfants » (46% contre 16% seulement en France). On observe enfin que, malgré des situations économiques et sociales très différentes (3,2% de chômage en Allemagne, 8,8% e
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Sénat - Délégation à la prospective - Rapport sur l'avenir du pacte entre les... - 0 views

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    Ce rapport étudie la transformation des relations entre les générations et formule une vingtaine de recommandations en vue d'adapter les politiques publiques à la nouvelle donne générationnelle. Sa première partie, faisant le point sur un débat qui court depuis plus de deux décennies, revient sur l'opposition entre une génération parfois qualifiée de « dorée », celle des baby-boomers, et des générations postérieures qui seraient « maltraitées ». Le rapport souligne que, si le Pacte intergénérationnel issu de la Libération est bien traversé de tensions qui menacent sa soutenabilité économique et son acceptabilité politique, la cohésion sociale est cependant moins menacée par le scénario catastrophe de la « guerre des âges » que par un risque de fragmentation interne aux générations, lié à la hausse des inégalités et à la divergence des intérêts au sein de chaque classe d'âge. L'enjeu des réformes du Pacte intergénérationnel n'est donc pas seulement de lier entre elles les différentes générations, mais faire en sorte que les membres des nouvelles générations continuent à se sentir liés par un destin commun. Le rapport aborde également la dimension symbolique des relations intergénérationnelles. Il montre que, dans ses rapports à la famille, à la politique, à l'école et au travail, la jeunesse est mue par un même projet de quête de sens. Or, de plus en plus de jeunes ont le sentiment de devoir prendre leur place dans un monde qui ne correspond pas à leurs attentes en termes d'épanouissement personnel ou de désir de participation directe au fonctionnement des institutions. Face à des univers scolaire et professionnel hyper compétitifs, qui ne permettent ni l'erreur ni le tâtonnement, face à des mondes du travail et de la politique encore faiblement participatifs, ils semblent hésiter entre une résignation désabusée, de nouvelles formes de radicalité ou une forme silencieuse de révolution con
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Ministère des solidarités - Résumé des 21 mesures - Stratégie nationale de pr... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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Ministère des solidarités - Document de référence - Stratégie nationale de pr... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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Ministère des solidarités - Annexes - Stratégie nationale de prévention et de... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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Observatoire des inégalités - Inégalités : une hypocrisie française - 0 views

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    "Le tableau des inégalités brossé par la seconde édition du Rapport sur les inégalités en France ne pousse pas à l'optimisme. Les classes favorisées, gourmandes, en veulent « toujours plus ». Rien de nouveau, mais le refus de voir les inégalités sociales dont sont victimes les classes populaires, l'exploitation des travailleurs flexibles par des stables, la précarité et le chômage des non-diplômés, conduit à une exaspération qui s'exprime dans les urnes. Le débat sur l'état des inégalités est loin d'être à la hauteur. Un grand nombre de commentateurs refusent de voir les conséquences de cette montée des écarts entre milieux sociaux. À l'opposé, la dramatisation n'aide pas davantage. Ainsi par exemple, l'école française n'amplifie pas les inégalités comme l'a pourtant indiqué récemment un rapport officiel. Le modèle d'un État social à la française, s'il n'a rien de « providence », n'est pas à l'agonie : notre pays demeure l'un des pays où il fait le meilleur vivre sur la planète. Les autres pays sont loin de faire mieux que la France, y compris dans le domaine de l'emploi. Le chômage mine notre société mais les meilleures « performances » de nos voisins ont le plus souvent été obtenues au prix d'une montée de la pauvreté laborieuse ou en sortant une partie des actifs du marché du travail. Dans ce concert confus, le Rapport sur les inégalités en France cherche à apporter des éléments concrets qui visent à décrire la réalité sociale comme elle se présente, sans être « à charge ». Ceux qui manient la critique sociale sans retenue, même avec la meilleure volonté du monde, gagneraient à y réfléchir à deux fois et devraient se demander quels intérêts ils servent au final. Une partie de ceux qui dénoncent les inégalités défendent des modèles sociaux encore plus inégalitaires."
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Fondation Amée du Salut - Etat d'urgence sociale : nos combats pour la dignit... - 0 views

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    Enkystement d'un chômage de masse, précarisation financière et humaine extrême de certains territoires, banalisation de la très grande précarité, incapacité à intégrer socialement et professionnellement les citoyens jugés moins « compétitifs », montée des individualismes, course à la croissance au détriment des personnes et de l'environnement, disparition de toute perspective ou avenir commun… Depuis plusieurs dizaines d'années, tous ces facteurs minent de l'intérieur une communauté nationale qui en vient à oublier ce qui la rend humaine, à savoir l'attention qu'elle doit porter aux plus fragiles, aux plus vulnérables. Face à cela, la Fondation de l'Armée du Salut ne pourra jamais se résigner à regarder sombrer des millions d'hommes et de femmes rencontrant des difficultés. Elle ne pourra non plus jamais se résigner à voir se fragmenter la société française, car la solidarité, si chère à nos yeux, devient impossible dès lors que l'autre est vu comme un ennemi. Dans une société divisée, la recherche de coupables tue toute solidarité et remplace la recherche de solutions. Face aux épreuves rencontrées par notre pays, la devise républicaine « liberté, égalité et fraternité » doit rester notre seul modèle, car seules ces valeurs garantiront à la fois le progrès social et la cohésion absolument nécessaires. Elles doivent également nous prémunir contre tout glissement vers une préférence nationale, négation absolue des valeurs d'accueil et d'inconditionnalité si chères à la Fondation de l'Armée du Salut.
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Terra Nova - "Plan pauvreté" : un projet cohérent, des ambitions à concrétiser - 0 views

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    vec 8,8 millions de personnes pauvres, la France connaît une situation où l'augmentation des dépenses sociales n'a pas suffi à faire reculer la pauvreté. Cet échec conduit à une reproduction de la pauvreté, qui enferme trop d'enfants et de jeunes dans un échec annoncé. Tel est le constat de départ du plan de lutte contre la pauvreté présenté par le président de la République en septembre. Pour changer de logique, le plan met l'accent sur le retour à l'emploi et l'accompagnement dès le plus jeune âge. Ce plan a-t-il des chances de réussir ? Si l'on peut saluer la cohérence du diagnostic et des pistes de solutions qui sont apportées, il faut aussi relever une série de difficultés persistantes qui ne sont pas levées par ces annonces. Le retour à l'emploi est présenté à juste titre comme un objectif prioritaire. Mais la qualité des emplois proposés, surtout aux salariés les plus fragiles, n'est pas toujours au rendez-vous, alors que l'injonction à reprendre le travail se fait plus pressante. En effet, des emplois temporaires, précaires ou à temps partiel, qui se développent rapidement, ne garantissent pas toujours un revenu suffisant ni un statut stable à ceux qui s'engagent dans le monde du travail, ou y reviennent. L'accompagnement est également, en principe, la bonne démarche pour lutter contre la pauvreté. Il ne concerne cependant pas tous les publics de la même manière. Les enfants dès le premier âge, les jeunes en échec scolaire ou ceux en formation, les femmes élevant seules leur enfant, les personnes éloignées de l'emploi depuis trop longtemps... ne relèvent pas tous des mêmes besoins ni des mêmes dispositifs.Trop souvent par le passé, c'est l'effectivité de l'accompagnement qui a fait défaut dans les politiques sociales. Si l'on parle d'engagement pour l'insertion, celui-ci doit venir autant de la mobilisation des services publics que du bénéficiaire des aides. Enfin, l'annonce d'un « revenu universel
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« Toucher les plus pauvres peut nous purifier et nous sensibiliser à leur con... - 0 views

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    "Au cours de l'audience générale du 22 juin 2016, le pape François a donné une catéchèse sur la rencontre de Jésus avec le lépreux qui, dans l'Évangile de Luc, ne demande pas seulement à être guéri mais aussi à être purifié (Lc 5, 12). Considéré comme impur, le lépreux n'a pas hésité à enfreindre la loi pour aller à la rencontre de Jésus, a commenté le pape, avant de louer son courage et sa foi. « La supplication du lépreux montre que, lorsque nous nous présentons devant Jésus, il n'est pas nécessaire de faire de longs discours. Peu de paroles suffisent » a-t-il continué. Il a exhorté ses auditeurs à supplier le Seigneur comme le lépreux. « Le soir, avant de me coucher, je dis cette courte prière : "Seigneur, si tu le veux, tu peux me purifier'' ! » leur a-t-il confié. Ensuite, le pape a expliqué que, pour le réintégrer dans son milieu social, Jésus a touché le lépreux. Il a donc invité les participants à l'audience à voir dans les pauvres, le corps du Christ. « Le chrétien n'exclut personne, il donne une place à chacun » a-t-il insisté, invitant ainsi les fidèles à voir dans les réfugiés qui l'accompagnaient des « frères » et non pas des « exclus »."
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DREES - Le fonds d'aide aux jeunes en 2015 - 0 views

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    Le fonds d'aide aux jeunes est une aide départementale de dernier recours destinée à l'insertion sociale et professionnelle des jeunes. Le fonds octroie principalement des aides financières individuelles, dont le montant moyen s'élève à 193 euros. En 2015, près de 91 000 jeunes de 18 à 25 ans en grande difficulté sociale ont bénéficié de ces aides individuelles. Versées à titre subsidiaire, la moitié des aides individuelles ont une finalité alimentaire. Le fonds est aussi sollicité pour des aides au transport ou à la formation. Par ailleurs, près d'une aide sur cinq est allouée en urgence. 67 % des aides sont accordés à des jeunes qui ne sont ni scolarisés, ni en emploi, ni en formation, 66 % à des jeunes sans ressources financières et 39 % à des jeunes en situation incertaine vis-à-vis du logement. Le fonds d'aide aux jeunes finance également des actions collectives dans une quarantaine de départements. Il s'agit principalement d'aides à l'insertion ou au logement. Enfin, les ressources du fonds alimentent, dans un quart des départements, d'autres fonds ou organismes oeuvrant pour les jeunes. En 2015, 36 millions d'euros ont été dépensés sur les 41 millions d'euros du budget global du fonds, financé pour l'essentiel par les conseils départementaux.
Veille & Documentation

Fédération des agences d'urbanisme - Métroscope : 50 indicateurs pour les mét... - 0 views

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    Créées pour répondre à la montée en puissance du « fait métropolitain », la France compte début 2017 quinze métropoles au sens institutionnel du terme, quinze métropoles qui se caractérisent par une grande diversité de configurations, d'atouts territoriaux comme de gouvernance, dont trois métropoles de statut particulier, celles d'Aix-Marseille, de Lyon et du Grand Paris. Dans le cadre du Pacte État Métropole signé le 6 juillet 2016, la Fédération des agences d'urbanisme (FNAU), France Urbaine et l'Assemblée des communautés de France (AdCF), associées au Commissariat général à l'Égalité des Territoires (CGET) ont souhaité initier une démarche de connaissance et d'observation en réseau des métropoles françaises. (…) Cette dynamique a abouti à la construction collective d'indicateurs originaux à l'échelle nationale, appuyés sur des statistiques nationales - notamment de l'INSEE - ou de données collectés sur les territoires. Mais surtout la démarche se caractérise par l'analyse partagée des indicateurs entre les acteurs de l'observation. Cette publication s'attache ainsi à la mise en perspective d'une cinquantaine d'indicateurs qui rendent compte des dynamiques métropolitaines, de la qualité de vie et de la cohésion sociale, de l'attractivité et du rayonnement des quinze premières métropoles françaises, en associant analyses, cartographies, data-visualisation et zooms locaux. Refusant d'établir un classement, l'enjeu est de permettre aux acteurs locaux comme nationaux, de situer la spécificité de chaque métropole dans le contexte national, mais aussi de saisir les tendances communes et les différenciations à l'œuvre. L'objectif est de pouvoir inscrire cette connaissance dans le temps, de l'élargir aux six nouvelles métropoles, à de nouvelles problématiques ainsi qu'à une inscription dans un contexte élargi européen. Métroscope donne à voir et à comprendre l
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