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Home/ Solidarité & Précarité/ Group items tagged Famille monoparentale

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HCFEA - Note de synthèse - Lutter contre la pauvreté des familles et des enfants - 0 views

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    l s'agit d'une part d'identifier les caractéristiques des familles pauvres ou en risque d'exclusion sociale, et les difficultés auxquelles elles sont confrontées ainsi que leurs enfants, et d'autre part d'interroger les politiques publiques conduites pour lutter contre la pauvreté et le risque d'exclusion sociale et contre leurs conséquences. Le Président de la République a décidé, le 17 octobre 2017, d'engager l'élaboration d'une stratégie nationale de lutte contre la pauvreté. Cette stratégie est actuellement portée Olivier NOBLECOURT, nommé Délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes. L'objectif des travaux du Conseil de la famille est d'apporter une contribution à cette stratégie et aux débats sur la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale et de soumettre des pistes pour améliorer la situation des familles pauvres ou en risque d'exclusion sociale. Deux raisons principales motivent le choix de ce thème de travail : d'abord l'importance du taux de pauvreté des enfants : si, en 2014, 14 % de la population métropolitaine, soit 8,6 millions de personnes, vit en dessous du seuil de pauvreté, la pauvreté des enfants est sensiblement supérieure à celle de l'ensemble de la population puisqu'elle atteint 19,8 % ; deux types de familles sont particulièrement concernés, les familles monoparentales et les familles nombreuses ; ensuite l'importance des phénomènes de reproduction sociale en la matière : l'enfant d'une famille pauvre a beaucoup plus de risques de se retrouver lui aussi dans une position disqualifiée socialement lorsqu'il atteint l'âge adulte, parce qu'il ne dispose pas des ressources économiques, sociales, ou relationnelles nécessaires ; lutter contre les conséquences de la pauvreté pour les enfants, en termes de risque accru d'exclusion sociale, est donc particulièrement important. Pour le H
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Métropolitiques - Une double peine : les conditions de logement et de confine... - 0 views

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    "Les familles monoparentales comptent parmi les ménages les plus touchés par la précarité économique et la crise sanitaire. Laure Crepin et Fanny Bugeja-Bloch montrent que la dégradation des conditions de logement de ces familles remonte au début des années 2000, bien avant le confinement."
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Aleteia - Une jeune famille sur dix est confinée dans un logement exigu - 0 views

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    "Une étude de l'Insee publiée ce 21 avril révèle les chiffres relatifs aux conditions de vie des Français en confinement. Les familles avec de jeunes enfants, et notamment les familles monoparentales, sont les plus touchées par la promiscuité."
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Observatoire des inégalités - Famille monoparentale rime souvent avec pauvreté - 0 views

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    "Une famille monoparentale sur cinq est pauvre au seuil de 50 %, ce qui représente 1,2 million d'individus. Dans 82 % des cas il s'agit de femmes avec enfants."
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Le Monde - « La situation française se caractérise par un taux de pauvreté gl... - 0 views

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    "Michel Villac, président du Conseil de la famille, observe que la pauvreté se concentre aujourd'hui dans les familles monoparentales et les familles nombreuses à faible revenu."
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Famille Chrétienne - Cinq candidats à la présidentielle nous répondent sur la... - 0 views

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    "Natalité, SMIC, France périphérique, PMA, familles monoparentales... De Yannick Jadot à Marine Le Pen, en passant par Jean-Luc Mélenchon et Valérie Pécresse, Famille Chrétienne a interrogé cinq candidats à l'élection présidentielle sur leur programme concernant la pauvreté et la politique familiale."
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INSEE - Les revenus et le patrimoine des ménages - 0 views

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    En 2013, en France métropolitaine, le niveau de vie médian de la population s'élève à 20 000 euros annuels. Il reste quasiment inchangé, en euros constants, par rapport à celui de 2012, s'inscrivant dans une tendance à la baisse depuis 2008. Sur cinq ans, entre 2008 et 2013, le niveau de vie médian a perdu 1,1 %. Cette baisse est toutefois mesurée par rapport à celle observée dans d'autres pays d'Europe. Entre 2008 et 2011, les inégalités se sont nettement creusées sous l'effet de la hausse du chômage. De 2011 à 2013, les niveaux de vie diminuent chez les plus aisés en raison notamment d'un repli des revenus financiers, tandis que le niveau de vie des plus modestes progresse légèrement. Sur cette seconde période, les inégalités se réduisent, effaçant la hausse de 2008-2011. Au total, depuis 2008, le premier décile de niveau de vie baisse de 3,5 % en euros constants. En 2013, le seuil de pauvreté, qui correspond à 60%du niveau de vie médian de la population, s'établit à 1 000 euros mensuels. La pauvreté concerne 8,6 millions de personnes, soit 14,0 % de la population. Cette proportion diminue légèrement en 2012 et 2013 (- 0,4 puis - 0,3 point), mais, sur cinq ans, la pauvreté a augmenté de 0,7 point, en rupture avec sa tendance précédente à la baisse. Cette hausse de la pauvreté, plus modérée qu'ailleurs en Europe, touche surtout les ménages actifs, notamment les ouvriers, les familles monoparentales et les familles nombreuses.
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Insee - Revenus-Salaires - Une pauvreté très présente dans les villes-centres... - 0 views

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    "En France métropolitaine, en 2012, le taux de pauvreté est le plus élevé dans le Nord et le Sud-Est, ainsi qu'en Seine-Saint-Denis. Le taux de pauvreté est le plus important dans les villes-centres des grandes aires urbaines, où la pauvreté touche particulièrement les familles monoparentales, les familles nombreuses et les ménages jeunes, ainsi qu'en dehors de l'influence des villes. Les inégalités de niveaux de vie à l'intérieur des régions et des départements sont souvent fortes ; elles sont les plus prononcées à Paris, dans les Hauts-de-Seine, et en Haute-Savoie, du fait d'un niveau de vie particulièrement élevé de la partie aisée de la population qui y habite. Le niveau de vie médian est généralement plus élevé dans l'espace urbain, en particulier dans les couronnes des grands pôles urbains. Pour les personnes les plus pauvres, la part des prestations sociales dans le revenu disponible est importante et varie fortement selon les régions ; elle est la plus élevée dans les villes-centres où elle représente en moyenne 46 % du revenu disponible pour les 10 % de personnes les plus modestes. À l'inverse, pour les personnes les plus aisées, la part des revenus du patrimoine est alors prédominante : dans les villes-centres, qui concentrent souvent les plus fortes inégalités, elle représente en moyenne 30 % du revenu disponible pour les 10 % de personnes les plus aisées."
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Secours Catholique - Rappport Statistique - Notre État de la pauvreté en Fran... - 0 views

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    "Le Secours Catholique-Caritas France publie jeudi 8 novembre son Rapport statistique annuel État de la pauvreté en France 2018. Constats et analyses sur la précarité issus de l'observation sur l'ensemble du territoire national de plus de 86 000 situations (sur les 1 363 000 personnes accueillies en 2017). Pour son rapport 2018, l'association a également mené une enquête auprès de plus de 3 000 personnes afin de définir la base d'une protection sociale inclusive de tous et en particulier des plus fragiles. - 51% des ménages sont des familles avec enfants dont plus de la moitié de familles monoparentales. Les mineurs réprésentent plus de 40% des personnes accompagnées. - 7.9 % des ménages rencontrés vivent au dessus du seuil de pauvreté - 25 % des travailleurs rencontrés sont en CDI - 80 % des personnées âgées vivent seules - 78 % des étrangers sans statut vivent dans les logements instables
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Secours Catholique - Infographie - Notre État de la pauvreté en France 2018 - 0 views

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    "Le Secours Catholique-Caritas France publie jeudi 8 novembre son Rapport statistique annuel État de la pauvreté en France 2018. Constats et analyses sur la précarité issus de l'observation sur l'ensemble du territoire national de plus de 86 000 situations (sur les 1 363 000 personnes accueillies en 2017). Pour son rapport 2018, l'association a également mené une enquête auprès de plus de 3 000 personnes afin de définir la base d'une protection sociale inclusive de tous et en particulier des plus fragiles. - 51% des ménages sont des familles avec enfants dont plus de la moitié de familles monoparentales. Les mineurs réprésentent plus de 40% des personnes accompagnées. - 7.9 % des ménages rencontrés vivent au dessus du seuil de pauvreté - 25 % des travailleurs rencontrés sont en CDI - 80 % des personnées âgées vivent seules - 78 % des étrangers sans statut vivent dans les logements instables
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La Vie - À Nantes, une association s'engage contre l'isolement des familles m... - 0 views

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    "a crise sanitaire a bien souvent renforcé l'isolement des mères célibataires. Marraine et Vous apporte un soutien aux mères grâce à des parrainages de familles qui instaurent des relations dans la durée."
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Le Monde - Les familles monoparentales et les jeunes sont les plus touchés pa... - 0 views

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    "Le nombre de personnes pauvres a progressé de 4,4 à 5 millions de personnes en une décennie, selon un rapport de l'Observatoire des inégalités."
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INSEE - Logements suroccupés, personnes âgées isolées... : des conditions de ... - 0 views

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    "Les mesures de confinement mises en place depuis le 17 mars 2020 touchent de façon différenciée les populations, selon le type de logement qu'elles occupent ou la composition de leur ménage. Cinq millions de personnes vivent dans un logement au nombre de pièces insuffisant. Par ailleurs, dix millions de personnes, dont 2,4 millions de 75 ans ou plus, vivent seules dans leur logement. En période de confinement, certaines populations peuvent être davantage fragilisées : les familles monoparentales avec de jeunes enfants dans des logements trop petits ou les personnes âgées vivant seules, dans des zones rurales éloignées des commerces d'alimentation générale. Si les technologies numériques peuvent faciliter l'accès à la vie économique et sociale ou permettre de rester en contact avec les siens, les populations âgées ou peu diplômées en sont davantage privées, ayant moins accès à Internet et des difficultés accrues à les mobiliser."
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Secours Catholique - Mères seules : la débrouille au cœur du quotidien de San... - 0 views

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    "La France compte près de 2 millions de familles monoparentales, en majorité des femmes célibataires et leurs enfants. Une population particulièrement à risque de pauvreté. Logement, travail, isolement, éducation… Ces mères solos composent avec toutes les difficultés auxquelles elles font face au quotidien. Nous avons suivi trois d'entre elles, dans le Rhône, en Isère et en région parisienne."
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Insee - Revenus-Salaires - Les niveaux de vie en 2014 - 0 views

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    "En 2014, en France, le niveau de vie médian de la population s'élève à 20 150 euros annuels, soit un montant proche de celui de 2013 en euros constants. Il stagne depuis le début de la crise, en 2008. Dans le haut de la distribution, la situation continue de se dégrader, mais de façon moins marquée qu'en 2013. Dans le bas de la distribution, après la hausse de 2013, le niveau de vie du premier décile se stabilise. En 2014, les 10 % de personnes les plus modestes ont un niveau de vie inférieur à 10 770 euros. Les 10 % les plus aisés ont un niveau de vie au moins 3,5 fois supérieur, au-delà de 37 260 euros. Après deux années de baisse, les inégalités globales, mesurées par l'indice de Gini, se stabilisent en 2014. Depuis le début de la crise économique, les inégalités se sont un peu plus réduites en France que dans le reste de l'Union européenne à 27. Le seuil de pauvreté, qui correspond à 60 % du niveau de vie médian de la population, s'établit à 1 008 euros mensuels. La pauvreté ainsi définie touche 14,1 % de la population, proportion stable par rapport à 2013. La situation vis-à-vis de la pauvreté est grandement dépendante du statut d'activité. En 2014, 36,6 % des chômeurs vivent au-dessous du seuil de pauvreté. La situation familiale joue aussi un rôle important, 35,9 % des personnes vivant dans une famille monoparentale sont pauvres en termes monétaires. "
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INSEE - Les niveaux de vie en 2014 - 2 views

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    En 2014, en France, le niveau de vie médian de la population s'élève à 20 150 euros annuels, soit un montant proche de celui de 2013 en euros constants. Il stagne depuis le début de la crise, en 2008. Dans le haut de la distribution, la situation continue de se dégrader, mais de façon moins marquée qu'en 2013. Dans le bas de la distribution, après la hausse de 2013, le niveau de vie du premier décile se stabilise. En 2014, les 10 % de personnes les plus modestes ont un niveau de vie inférieur à 10 770 euros. Les 10 % les plus aisés ont un niveau de vie au moins 3,5 fois supérieur, au-delà de 37 260 euros. Après deux années de baisse, les inégalités globales, mesurées par l'indice de Gini, se stabilisent en 2014. Depuis le début de la crise économique, les inégalités se sont un peu plus réduites en France que dans le reste de l'Union européenne à 27. Le seuil de pauvreté, qui correspond à 60 % du niveau de vie médian de la population, s'établit à 1 008 euros mensuels. La pauvreté ainsi définie touche 14,1 % de la population, proportion stable par rapport à 2013. La situation vis-à-vis de la pauvreté est grandement dépendante du statut d'activité. En 2014, 36,6 % des chômeurs vivent au-dessous du seuil de pauvreté. La situation familiale joue aussi un rôle important, 35,9 % des personnes vivant dans une famille monoparentale sont pauvres en termes monétaires.
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Fondation Abbé Pierre - La France du logement trop cher - 0 views

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    a France n'est pas sortie du logement hors de prix. Malgré le tassement des prix depuis 2011, à l'achat comme à la location, se loger correctement reste un objectif inatteignable pour une large part des ménages des couches populaires et moyennes, notamment dans les grandes villes. La Fondation Abbé Pierre a testé, dans douze agglomérations françaises de diverses tailles, ce que différents ménages-types pouvaient concrètement s'offrir, à la location ou à l'achat, dans le neuf ou dans l'ancien, dans le privé ou dans le parc social. Résultat : en dehors du logement vraiment social (PLAI et PLUS), les prix proposés sont souvent trop élevés pour la plupart des ménages, et pas seulement en région parisienne. Les ménages les plus modestes ne sont pas les seuls touchés. Par exemple, un couple gagnant 2 200 € par mois avec un enfant ne pourra pas, à Nice, Lyon, Ivry, Bordeaux ou Montpellier, acheter un T3 à la mesure de ses moyens, sauf à subir un taux d'effort excessif ou à choisir un logement dégradé. Un décalage SUBI PAR DES MILLIONS DE PERSONNES Une famille monoparentale avec deux enfants et un salaire au SMIC ne peut louer un logement adapté et à un taux d'effort correct de 25 % dans aucune des 12 villes testées ici (voir document ci-dessous), même avec les APL. Ces exemples, tirés de la vie quotidienne de millions de personnes, illustrent à quel point les marchés de l'immobilier sont devenus décalés par rapport aux revenus de ménages des classes moyennes inférieures, sans même parler des couches populaires. Cette réalité appelle des politiques locales et nationales volontaristes de régulation des marchés de l'immobilier, de construction à coût abordable dans les zones tendues, de production de logements vraiment sociaux à grande échelle et d'aides au logement revalorisées. À tous les niveaux, la pénurie de logements financièrement acc
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Conseil d'analyse économique - Mieux lutter contre la pauvreté par des aides ... - 0 views

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    Le système de redistribution français affiche des performances globalement satisfaisantes en comparaison d'autres pays européens. Toutefois, la complexité des prestations sous condition de ressource et le manque de coordination des acteurs pèsent sur les taux de recours et conduisent à des incohérences. En 2014, 8,8 millions de personnes vivaient en dessous du seuil de pauvreté monétaire fixé à 60 % du niveau de vie médian (1 008 euros par mois). Certaines catégories de foyers sont particulièrement touchées, notamment les jeunes et les familles monoparentales. Les auteurs de la Note, Olivier Bargain, Stéphane Carcillo, Étienne Lehmann et Yannick L'Horty, proposent de réduire les taux de non‐recours par une simplification des aides et... Cette note a été présentée au cabinet du Premier ministre le 23 mars 2017
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La pauvreté en France et en Europe - Dossiers - La Documentation française - 0 views

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    "Les idéaux d'égalité et de fraternité de la Révolution française sont mis à mal depuis l'orée du XXIème siècle par la persistance, voire l'accroissement de la pauvreté et des inégalités, notamment depuis la crise économique de 2008. En effet, et contrairement à ce qu'avait pu laisser espérer le développement économique continu des premières décennies d'après-guerre, non seulement la pauvreté a cessé de régresser, mais elle a recommencé à croître dans les pays développés. En dépit des politiques mises en œuvre pour venir en aide aux plus démunis, elle touche un nombre croissant de citoyens en France et en Europe, affectant plus particulièrement certaines catégories sociales, jeunes, familles monoparentale, chômeurs ou immigrés. "
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La pauvreté plus forte dans les centres-villes qu'en banlieue - L'Express - 0 views

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    "Le taux de pauvreté est plus important au centre des grandes agglomérations, où se concentrent les familles monoparentales ou nombreuses ainsi que les ménages jeunes, révèle ce mardi une étude de l'Insee. "
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