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Ministère des solidarités - Annexes - Stratégie nationale de prévention et de... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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Ministère des solidarités - Résumé des 21 mesures - Stratégie nationale de pr... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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Ministère des solidarités - Document de référence - Stratégie nationale de pr... - 0 views

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    À l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté, le 17 octobre, le ministère des Solidarités et de la Santé a mis en ligne le document exposant la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, accompagné de nombreuses annexes sur les travaux d'élaboration de la stratégie. Sous-titré "Investir dans les solidarités pour l'émancipation de tous", ce document de référence de 120 pages détaille les mesures présentées par Emmanuel Macron le 13 septembre dernier. Il commence par présenter le constat : une augmentation des dépenses sociales qui contient la pauvreté mais ne la fait pas reculer, une société française marquée par la reproduction de la pauvreté (avec une forte vulnérabilité des plus jeunes), un système de solidarité caractérisé par sa complexité - qui favorise le non recours - et par la faiblesse du retour à l'emploi et, enfin, un accompagnement insuffisant vers l'emploi des bénéficiaires du RSA. Le document rappelle aussi les cinq engagements qui structurent la stratégie de lutte contre la pauvreté : l'égalité des chances "dès les premiers pas pour rompre la reproduction de la pauvreté", la garantie des droits fondamentaux des enfants, un parcours de formation garanti pour tous les jeunes, l'évolution vers des droits sociaux plus accessibles, plus équitables et plus incitatifs à l'activité et, enfin, l'investissement en faveur de l'accompagnement de tous vers l'emploi. Cette première partie s'achève par la présentation des trois "leviers de transformation" : tout d'abord un "choc de participation" et la rénovation du travail social, ensuite un pilotage de la stratégie à partir des territoires, enfin une stratégie évaluée et un fonds d'investissement social. Tous ces éléments figuraient déjà dans la présentation de la stratégie de lutte contre pauvreté, lors de son lancement le 13 septembre dernier. Le plus intéressant du document mis en ligne par l
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INSEE - L'espérance de vie par niveau de vie : chez les hommes, 13 ans d'écar... - 0 views

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    "Plus on est aisé, plus l'espérance de vie est élevée. Ainsi, parmi les 5 % les plus aisés, l'espérance de vie à la naissance des hommes est de 84,4 ans, contre 71,7 ans parmi les 5 % les plus pauvres, soit 13 ans d'écart. Chez les femmes, cet écart est plus faible : 8 ans séparent les plus aisées des plus pauvres. Aux alentours d'un niveau de vie de 1 000 euros par mois, 100 euros supplémentaires sont associés à 0,9 an d'espérance de vie en plus chez les hommes et 0,7 an chez les femmes, tandis que l'écart n'est plus que de 0,3 an et 0,2 an aux alentours d'un niveau de vie de 2 000 euros par mois. Les femmes ont une espérance de vie plus élevée que les hommes (6 ans en moyenne). Elles vivent même en général plus longtemps que les hommes les plus aisés : celles dont le niveau de vie se situe parmi les 70 % les plus aisées ont une espérance de vie plus longue que les hommes parmi les 5 % les plus aisés. Les personnes les plus aisées ont plus souvent un diplôme du supérieur, mais cela n'explique qu'en partie les écarts d'espérance de vie selon le niveau de vie. Avec ou sans diplôme, plus on est aisé, plus l'espérance de vie augmente. "
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France Stratégie - Nés sous la même étoile ? Origine sociale et niveau de vie - 0 views

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    L'origine sociale joue un rôle plus important sur le niveau de vie des individus que le sexe, l'âge ou l'origine migratoire. Ce poids de l'origine sociale s'explique principalement par l'influence qu'elle a en France sur la réussite scolaire des individus. France Stratégie propose une analyse inédite sur le poids de l'origine sociale sur les revenus, qui ne se borne pas à son influence sur les salaires, mais qui prend également en compte le contexte familial (revenu d'un éventuel conjoint, présence ou non d'enfant dans le ménage). Lorsque l'on classe entre 2011 et 2014 des individus nés entre 1970 et 1984 sur l'échelle des niveaux de vie, et que l'on parcourt cette échelle, c'est la proportion relative d'enfants de catégories populaires ou favorisées qui varie le plus fortement. Ainsi, parmi les 10 % d'individus les plus modestes, on plus de la moitié sont des enfants d'd'ouvriers et moins d'un sur dix est un enfant de cadre supérieur. À l'inverse, parmi les 10 % les plus aisés, un peu moins d'un sur cinq est enfant d'ouvrier et un peu plus d'un sur trois est enfant de cadre supérieur. Pour autant, l'origine sociale d'un individu n'assure pas un niveau de vie particulier : elle influe sur la probabilité d'atteindre une position plutôt qu'une autre. Si les enfants de la classe moyenne ont les mêmes chances d'accéder aux classes les plus modestes ou au aux classes les plus aisées, il en va autrement pour les autres. Un individu dont le père exerce une profession libérale a 50 % de chance de faire partie des 20 % les plus aisés, celui dont le père est professeur 40 %. Pour un enfant d'ouvrier agricole, la probabilité chute à moins de 10 %. L'origine sociale a un effet plus discriminant sur l'accès à un niveau de vie élevé que sur le probabilité de faire partie des ménages modestes. En outre, l'origine sociale beaucoup plus d'impact le niveau de vie des individus
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INSEE - Les niveaux de vie en 2015 - 0 views

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    En 2015, en France, le niveau de vie médian de la population s'élève à 20 300 euros annuels, soit un montant légèrement plus élevé que celui de 2014 en euros constants. Dans le haut de la distribution, les niveaux de vie repartent à la hausse après plusieurs années de baisse, l'augmentation étant particulièrement marquée pour les plus aisés. Dans le bas de la distribution, les niveaux de vie stagnent à l'exception du premier décile dont l'augmentation compense le léger repli de l'année précédente. En 2015, les 10 % de personnes les plus modestes ont un niveau de vie inférieur à 10 860 euros. Les 10 % les plus aisées ont un niveau de vie au moins 3,5 fois supérieur, au-delà de 37 510 euros. Après une forte baisse en 2013, les inégalités globales, mesurées par l'indice de Gini, restent stables depuis 2014. Le seuil de pauvreté monétaire, qui correspond à 60 % du niveau de vie médian de la population, s'établit à 1 015 euros mensuels. La pauvreté ainsi définie touche 14,2 % de la population, proportion stable par rapport à 2014 ; cependant, l'intensité de la pauvreté diminue. La situation vis-à-vis de la pauvreté est très liée au statut d'activité. En 2015, 37,6 % des chômeurs vivent au-dessous du seuil de pauvreté contre 6,5 % des salariés. Pour les actifs, occupés ou au chômage, le taux de pauvreté varie fortement selon la catégorie socioprofessionnelle : 15,3 % des ouvriers sont pauvres selon l'approche monétaire contre 3,1 % des cadres et professions intellectuelles supérieures. A télécharger
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France Stratégie - Le couple contribue-t-il encore à réduire les inégalités ? - 0 views

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    Entre 1996 et 2015, la hausse de l'activité des femmes a fait chuter les inégalités de revenus entre femmes et hommes. Pour autant, les inégalités de niveaux de vie - celles qui tiennent compte de la structure des ménages et de la redistribution socio-fiscale - sont restées relativement stables. Pour comprendre pourquoi, France Stratégie met en lumière que la France a été marquée non par une mais par trois transformations sociales qui ont modifié la répartition des revenus en France. La Note d'analyse souligne en particulier l'utilité qu'il y a à s'intéresser à un mécanisme trop souvent négligé lorsque l'on cherche à comprendre les évolutions des inégalités en France, celui de la mise en commun des ressources au sein d'un ménage, la « redistribution privée ». France Stratégie montre ainsi que la progression de l'activité féminine a bien réduit les inégalités. Mais, dans le même temps, deux autres évolutions sociales ont joué en sens contraire : La modification des structures familiales induite par les nouveaux modes de vie, avec une mise en couple plus tardive et une hausse des désunions. En 2015, 69 % des 25-60 ans étaient en couple alors qu'ils étaient 78 % en 1996. En particulier, les familles monoparentales sont devenues 1,6 fois plus nombreuses sur la période. Le renforcement de l' « homogamie de revenu » : les hommes et les femmes sont de plus en plus souvent en couple avec une personne qui perçoit un revenu proche du leur. Cela se traduit par une diminution des inégalités au sein des couples mais par une augmentation des inégalités entre couples. L'impact de ces deux dernières évolutions sociales s'observe lors de la mise en commun des ressources au sein des ménages - une étape qui permet de réduire les inégalités entre individus tant que les écarts de rémunérations entre conjoints persistent. De fait, des couples moins nombreux, c'est moins d'individus susceptibles de
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Insee - Revenus-Salaires - Les niveaux de vie en 2014 - 0 views

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    "En 2014, en France, le niveau de vie médian de la population s'élève à 20 150 euros annuels, soit un montant proche de celui de 2013 en euros constants. Il stagne depuis le début de la crise, en 2008. Dans le haut de la distribution, la situation continue de se dégrader, mais de façon moins marquée qu'en 2013. Dans le bas de la distribution, après la hausse de 2013, le niveau de vie du premier décile se stabilise. En 2014, les 10 % de personnes les plus modestes ont un niveau de vie inférieur à 10 770 euros. Les 10 % les plus aisés ont un niveau de vie au moins 3,5 fois supérieur, au-delà de 37 260 euros. Après deux années de baisse, les inégalités globales, mesurées par l'indice de Gini, se stabilisent en 2014. Depuis le début de la crise économique, les inégalités se sont un peu plus réduites en France que dans le reste de l'Union européenne à 27. Le seuil de pauvreté, qui correspond à 60 % du niveau de vie médian de la population, s'établit à 1 008 euros mensuels. La pauvreté ainsi définie touche 14,1 % de la population, proportion stable par rapport à 2013. La situation vis-à-vis de la pauvreté est grandement dépendante du statut d'activité. En 2014, 36,6 % des chômeurs vivent au-dessous du seuil de pauvreté. La situation familiale joue aussi un rôle important, 35,9 % des personnes vivant dans une famille monoparentale sont pauvres en termes monétaires. "
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INSEE - Les niveaux de vie en 2014 - 2 views

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    En 2014, en France, le niveau de vie médian de la population s'élève à 20 150 euros annuels, soit un montant proche de celui de 2013 en euros constants. Il stagne depuis le début de la crise, en 2008. Dans le haut de la distribution, la situation continue de se dégrader, mais de façon moins marquée qu'en 2013. Dans le bas de la distribution, après la hausse de 2013, le niveau de vie du premier décile se stabilise. En 2014, les 10 % de personnes les plus modestes ont un niveau de vie inférieur à 10 770 euros. Les 10 % les plus aisés ont un niveau de vie au moins 3,5 fois supérieur, au-delà de 37 260 euros. Après deux années de baisse, les inégalités globales, mesurées par l'indice de Gini, se stabilisent en 2014. Depuis le début de la crise économique, les inégalités se sont un peu plus réduites en France que dans le reste de l'Union européenne à 27. Le seuil de pauvreté, qui correspond à 60 % du niveau de vie médian de la population, s'établit à 1 008 euros mensuels. La pauvreté ainsi définie touche 14,1 % de la population, proportion stable par rapport à 2013. La situation vis-à-vis de la pauvreté est grandement dépendante du statut d'activité. En 2014, 36,6 % des chômeurs vivent au-dessous du seuil de pauvreté. La situation familiale joue aussi un rôle important, 35,9 % des personnes vivant dans une famille monoparentale sont pauvres en termes monétaires.
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INSEE - Les revenus et le patrimoine des ménages - 0 views

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    En 2013, en France métropolitaine, le niveau de vie médian de la population s'élève à 20 000 euros annuels. Il reste quasiment inchangé, en euros constants, par rapport à celui de 2012, s'inscrivant dans une tendance à la baisse depuis 2008. Sur cinq ans, entre 2008 et 2013, le niveau de vie médian a perdu 1,1 %. Cette baisse est toutefois mesurée par rapport à celle observée dans d'autres pays d'Europe. Entre 2008 et 2011, les inégalités se sont nettement creusées sous l'effet de la hausse du chômage. De 2011 à 2013, les niveaux de vie diminuent chez les plus aisés en raison notamment d'un repli des revenus financiers, tandis que le niveau de vie des plus modestes progresse légèrement. Sur cette seconde période, les inégalités se réduisent, effaçant la hausse de 2008-2011. Au total, depuis 2008, le premier décile de niveau de vie baisse de 3,5 % en euros constants. En 2013, le seuil de pauvreté, qui correspond à 60%du niveau de vie médian de la population, s'établit à 1 000 euros mensuels. La pauvreté concerne 8,6 millions de personnes, soit 14,0 % de la population. Cette proportion diminue légèrement en 2012 et 2013 (- 0,4 puis - 0,3 point), mais, sur cinq ans, la pauvreté a augmenté de 0,7 point, en rupture avec sa tendance précédente à la baisse. Cette hausse de la pauvreté, plus modérée qu'ailleurs en Europe, touche surtout les ménages actifs, notamment les ouvriers, les familles monoparentales et les familles nombreuses.
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DREES - Dépenses pré-engagées : quel poids dans le budget des ménages ? - 0 views

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    En les distinguant selon leur niveau de vie, il est possible de catégoriser les ménages en ménages pauvres, ménages modestes non pauvres, classes moyennes et ménages aisés. Malgré une convergence des structures de dépenses sur longue période, particulièrement concernant la part de l'alimentation, des différences persistent entre ces différentes catégories, notamment en termes de logement, de transport ou de loisirs. Une partie des dépenses des ménages est dite pré-engagée, c'est-à-dire qu'elles sont engagées par contrat (assurances, loyers, remboursements d'emprunts, etc.) et difficilement renégociables à court terme. La part des dépenses pré-engagées dans le revenu disponible des ménages est d'autant plus forte que leur niveau de vie est faible : elle passe de 61 % pour les ménages pauvres à 23 % pour les ménages aisés. En déduisant les dépenses pré-engagées du revenu disponible, on peut construire un niveau de vie arbitrable avec lequel les ménages composent pour régler leurs autres dépenses (alimentaires, habillement, etc.). Cet indicateur vise à mieux rendre compte du ressenti qu'ont les ménages de leur aisance financière que le niveau de vie « usuel ». Les inégalités apparaissent plus fortes estimées à partir du niveau de vie arbitrable plutôt qu'à partir du niveau de vie. La moitié des personnes pauvres ont un niveau de vie arbitrable inférieur à 340 euros par mois.
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INSEE - Les niveaux de vie en 2016 - 0 views

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    "En 2016, en France, le niveau de vie médian de la population s'élève à 20 520 euros annuels, soit un montant supérieur de 0,9 % à celui de 2015 en euros constants. Il retrouve son niveau d'avant-crise. Les 10 % de personnes les plus modestes ont un niveau de vie inférieur à 11 040 euros annuels. Les 10 % les plus aisées ont un niveau de vie au moins 3,4 fois supérieur, au-delà de 37 570 euros. En 2016, les niveaux de vie augmentent davantage dans le bas et le milieu de la distribution. Les ménages les plus modestes ont notamment bénéficié de la mise en place de la prime d'activité en janvier 2016. Les niveaux de vie sont en revanche stables dans le haut de la distribution et diminuent même pour les 5 % les plus aisés. Après une stabilité en 2015, les inégalités globales diminuent légèrement en 2016. L'indice de Gini passe de 0,292 à 0,288. En 2016, 8,8 millions de personnes vivent au-dessous du seuil de pauvreté monétaire, qui s'élève à 1 026 euros par mois. Le taux de pauvreté s'établit à 14,0 % de la population, après 14,2 % en 2015. L'intensité de la pauvreté est stable à 19,7 %. La situation vis-à-vis de la pauvreté reste très liée au statut d'activité. En 2016, 38,3 % des chômeurs vivent au-dessous du seuil de pauvreté contre 6,4 % des salariés. Le taux de pauvreté varie également fortement selon la situation familiale : 34,8 % des personnes vivant dans une famille monoparentale sont pauvres en 2016. "
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JOC - Enquête : Emploi digne et autonomie des jeunes de 13 à 30 ans - 0 views

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    Depuis septembre 2016, la Jeunesse Ouvrière Chrétienne (JOC) vit sa nouvelle campagne nationale d'action « Dignes et Travailleurs, notre défi pour demain ». Les responsables du mouvement ont voté cette campagne sur deux ans pour conscientiser les jeunes aux questions de dignité et d'épanouissement au travail et par le travail. 80% des jeunes se disent enthousiastes à l'idée d'entrer dans le monde du travail(1). L'entrée dans la vie active est aujourd'hui toujours considérée par les jeunes de la JOC comme la clé pour entrer dans la « vraie vie » : une vie d'adulte libre et autonome, avec la possibilité de mener des projets d'avenir et une vie épanouissante. Mais alors qu'ils expriment le souhait d'être libres de construire leur vie et leur avenir par eux-mêmes, les jeunes déclarent être souvent obligés de vivre au jour le jour et d'assumer des choix de vie que les circonstances leur imposent. Dans un contexte où 45% des jeunes en quartiers populaires sont privés d'emploi en 2015(2), les jeunes rejoints par la JOC mettent parfois leurs exigences matérielles et morales de côté, pour accepter n'importe quel travail dans n'importe quelles conditions. « Je travaille beaucoup et mes heures ne me sont pas payées. Pourquoi je devrais me plaindre car pour tous mes collègues c'est pareil. Même si je voulais ne pas me laisser faire, je ne fais pas le poids face à mon patron » Alan, 21 ans. Ceux qui sont privés d'emploi éprouvent, quant à eux, des difficultés à se projeter et mettre en place des projets.
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Insee - Revenus-Salaires - Les niveaux de vie en 2012 - 0 views

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    "En 2012, en France métropolitaine, le niveau de vie médian de la population s'élève à 19 740 euros annuels ; il baisse de 1,0 % en euros constants par rapport à 2011. Toute l'échelle des niveaux de vie est en recul, mais de manière plus marquée en bas et en haut de la distribution. Les 10 % des personnes les plus modestes ont un niveau de vie inférieur à 10 610 euros. Les 10 % les plus aisées disposent d'au moins 37 430 euros, soit 3,5 fois plus. Le seuil de pauvreté, fixé par convention à 60 % du niveau de vie médian de la population, s'établit à 987 euros mensuels. La pauvreté, mesurée par référence à ce seuil, diminue et revient à un niveau proche de celui de 2010 : elle concerne 8,5 millions de personnes (13,9 % de la population), après 8,7 millions en 2011 (14,3 %). Dans le même temps, l'intensité de la pauvreté augmente : le niveau de vie des personnes pauvres est relativement plus éloigné du seuil de pauvreté. La pauvreté s'accroît parmi les familles monoparentales : leurs revenus d'activité baissent, dans un contexte où les prestations sociales sont peu revalorisées. A contrario, la situation relative des retraités s'améliore."
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Sens Auxerre - "Vous avez reçu gratuitement : donnez gratuitement". Mt 10, 8 - 0 views

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    "En choisissant de développer le thème de la gratuité, ce numéro de rentrée d'ÉDY pourrait sembler indifférent aux préoccupations du moment. Qu'est-ce que la gratuité quand sévit la guerre, que l'inflation renforce l'incertitude du quotidien ? C'est alors peut-être qu'il nous faut réaliser que, sans la gratuité, rien ne serait et pas même notre existence. Nous croyons au don gratuit de Dieu dans sa Création, dans la vie qui nous est offerte ; nous célébrons le don total que le Christ a fait de lui-même pour nous ouvrir la vie éternelle ; nous recevons de la plénitude de l'Esprit Saint la faculté d'agir au cœur d'une Église qui accompagne l'humanité dans son pèlerinage terrestre. Comment donc ne pas reconnaître que la vie n'est pas d'abord constituée par des rapports de droits et de devoirs mais par des relations de gratuité ? Car Dieu n'est jamais dans la logique du donnant-donnant, mais dans celle de la gratuité. Le pape François le rappelait récemment, au sujet du Synode qui "nous a fait aussi mieux comprendre que les vrais défenseurs de la doctrine ne sont pas ceux qui défendent les formules mais la gratuité de l'amour de Dieu". Le temps donné, l'affection discrète, la prière apparemment inutile sont des champs de l'apostolat de la gratuité, celle qui naît de la bonté de Dieu."
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Semaines sociales de France - Inégalités d'espérances de vie - 0 views

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    "L'espérance de vie à la naissance s'accroît depuis plus d'un siècle d'au moins deux à trois mois par an. La France fait partie des pays ayant la plus forte espérance de vie (82 ans). La mortalité étant maintenant très faible pour les enfants et les jeunes adultes, sa baisse actuelle concerne les personnes âgées. L'écart d'espérance de vie entre les femmes et les hommes, élevé en France, se réduit. Il était de 8,2 ans en 1994. Il est de 6 ans en 2015. On ne sait pas à quel rythme l'espérance de vie continuera à croître à l'avenir, ou bien si elle plafonnera. Dans la suite, afin d'analyser les écarts entre catégories sociales et entre diplômés, je ne traiterai que de l'espérance de vie à l'âge de 35 ans."
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HCFEA - Note de synthèse - Lutter contre la pauvreté des familles et des enfants - 0 views

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    l s'agit d'une part d'identifier les caractéristiques des familles pauvres ou en risque d'exclusion sociale, et les difficultés auxquelles elles sont confrontées ainsi que leurs enfants, et d'autre part d'interroger les politiques publiques conduites pour lutter contre la pauvreté et le risque d'exclusion sociale et contre leurs conséquences. Le Président de la République a décidé, le 17 octobre 2017, d'engager l'élaboration d'une stratégie nationale de lutte contre la pauvreté. Cette stratégie est actuellement portée Olivier NOBLECOURT, nommé Délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes. L'objectif des travaux du Conseil de la famille est d'apporter une contribution à cette stratégie et aux débats sur la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale et de soumettre des pistes pour améliorer la situation des familles pauvres ou en risque d'exclusion sociale. Deux raisons principales motivent le choix de ce thème de travail : d'abord l'importance du taux de pauvreté des enfants : si, en 2014, 14 % de la population métropolitaine, soit 8,6 millions de personnes, vit en dessous du seuil de pauvreté, la pauvreté des enfants est sensiblement supérieure à celle de l'ensemble de la population puisqu'elle atteint 19,8 % ; deux types de familles sont particulièrement concernés, les familles monoparentales et les familles nombreuses ; ensuite l'importance des phénomènes de reproduction sociale en la matière : l'enfant d'une famille pauvre a beaucoup plus de risques de se retrouver lui aussi dans une position disqualifiée socialement lorsqu'il atteint l'âge adulte, parce qu'il ne dispose pas des ressources économiques, sociales, ou relationnelles nécessaires ; lutter contre les conséquences de la pauvreté pour les enfants, en termes de risque accru d'exclusion sociale, est donc particulièrement important. Pour le H
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Secours populaire - Rapport complet - Rapport d'activité 2016 - 0 views

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    Cela ne fait aucun doute. La pauvreté gagne du terrain. Aujourd'hui, on compte près de neuf millions de pauvres en France. C'est un million de plus qu'il y a dix ans. Derrière ces chiffres se cachent des enfants, des hommes et des femmes en détresse, des situations dramatiques au quotidien, des familles désespérées qui viennent pousser la porte de nos antennes. En l'espace d'un an, les demandes d'aide auprès de nos permanences ont explosé. Les bénévoles font face à une augmentation soudaine allant de 15 à 50 % dans certains départements, comme dans l'Hérault. La situation se détériore pour les travailleurs précaires, les personnes en fin de droit, les jeunes, les personnes âgées, celles déboutées du droit d'asile... La peur de sombrer dans la pauvreté aussi se répand dans notre société. Plus d'un Français sur deux (55%) craint que sa vie quotidienne soit menacée par la pauvreté. Ils étaient déjà 45% avant la crise économique de 2008. Ils ne sont pas plus optimistes pour les générations futures, puisque 83% des Français estiment que les risques de connaître une situation de pauvreté seront plus importants pour leurs enfants. La pauvreté et l'exclusion abîment les êtres. Les Français les plus pauvres se privent de tout, vacances, loisirs, culture, mais aussi alimentation. Ils en viennent à sacrifier leur santé. Ainsi, 50% d'entre eux ont déjà renoncé à effectuer une consultation chez le dentiste (+22% par rapport à 2008). C'est pourquoi les « Médecins du Secours populaire » s'efforcent d'aider à l'accès aux soins pour tous. N'oublions pas les personnes au-delà de nos frontières qui souffrent de la faim ou qui sont confrontées à la violence et aux catastrophes naturelles, comme en Equateur ou en Italie en 2016. Encore aujourd'hui, 10% de la population mondiale est confrontée à la pauvreté. Et comment rester insensible aux millions de personnes déplacées, qui fuient la vio
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Secours populaire - Essentiel - Rapport d'activité 2016 - 0 views

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    Cela ne fait aucun doute. La pauvreté gagne du terrain. Aujourd'hui, on compte près de neuf millions de pauvres en France. C'est un million de plus qu'il y a dix ans. Derrière ces chiffres se cachent des enfants, des hommes et des femmes en détresse, des situations dramatiques au quotidien, des familles désespérées qui viennent pousser la porte de nos antennes. En l'espace d'un an, les demandes d'aide auprès de nos permanences ont explosé. Les bénévoles font face à une augmentation soudaine allant de 15 à 50 % dans certains départements, comme dans l'Hérault. La situation se détériore pour les travailleurs précaires, les personnes en fin de droit, les jeunes, les personnes âgées, celles déboutées du droit d'asile... La peur de sombrer dans la pauvreté aussi se répand dans notre société. Plus d'un Français sur deux (55%) craint que sa vie quotidienne soit menacée par la pauvreté. Ils étaient déjà 45% avant la crise économique de 2008. Ils ne sont pas plus optimistes pour les générations futures, puisque 83% des Français estiment que les risques de connaître une situation de pauvreté seront plus importants pour leurs enfants. La pauvreté et l'exclusion abîment les êtres. Les Français les plus pauvres se privent de tout, vacances, loisirs, culture, mais aussi alimentation. Ils en viennent à sacrifier leur santé. Ainsi, 50% d'entre eux ont déjà renoncé à effectuer une consultation chez le dentiste (+22% par rapport à 2008). C'est pourquoi les « Médecins du Secours populaire » s'efforcent d'aider à l'accès aux soins pour tous. N'oublions pas les personnes au-delà de nos frontières qui souffrent de la faim ou qui sont confrontées à la violence et aux catastrophes naturelles, comme en Equateur ou en Italie en 2016. Encore aujourd'hui, 10% de la population mondiale est confrontée à la pauvreté. Et comment rester insensible aux millions de personnes déplacées, qui fuient la vio
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ZENIT - Journée mondiale des pauvres : « suivre la pauvreté de Jésus-Christ » - 0 views

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    "Le pape François invite « à suivre la pauvreté de Jésus-Christ, partageant la vie par amour » avec « les derniers » dans son message pour la VIe Journée mondiale des pauvres qui sera célébrée le 13 novembre prochain. « La richesse de Jésus c'est son amour qui ne se ferme à personne et va à la rencontre de tous, en particulier de ceux qui sont marginalisés et privés du nécessaire » : c'est ainsi que le pape François explique le « grand paradoxe de la vie de foi » -  « la pauvreté du Christ nous enrichit ». Son message pour la VIe Journée mondiale des pauvres - paru ce mardi 14 juin 2022 - porte comme titre une phrase de l'apôtre Paul adressée aux premiers chrétiens de Corinthe : « Jésus-Christ … s'est fait pauvre à cause de vous »."
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