Dans les camps de réfugiés, dans les zones de conflits ou les situation de catastrophe naturelles, il y a des standards de prise en charge minimum, encadrées par les Nations Unies : 20 litres d’eau par jour et par personne pour limiter des épidémie comme la gale, la rougeole ou le choléra. À Calais ces standards ne sont même pas appliqués ! On laisse pourrir la situation. Tout le monde est perdant : les migrants, qui prennent des risques pour leur santé et pour leur vie, et les « riverains » qui s’exaspèrent. Ne rien faire renforce les sentiments d’hostilité et l’émancipation des pensées extrêmes