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marinealbarede

You're not fooling us, Uber! 8 reasons why the "sharing economy" is all about corporate... - 2 views

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    Malgré les avantages de la consommation collaborative, elle se prête à un certain nombre de critiques ; parmi celles-ci, cet article liste 8 raisons pour lesquelles "l'économie du partage" n'est finalement qu'une couverture pour l'appétit toujours plus important de la Silicon Valley : des lobbys qui s'organisent, à l'importance mineure du "partage" pour les investisseurs, en passant par la fraude fiscale... la consommation collaborative cristallise décidément les avis contraires.
hubert guillaud

Peut-on vivre sans argent? Cet homme l'a fait - HuffingtonPost.fr - 1 views

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    Pas si simple de vivre sans argent !
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    Pas si simple de vivre sans argent !
hubert guillaud

Afficher sur sa porte les objets que l'on souhaite partager - SoonSoonSoon - 0 views

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    Pumpipupe - http://www.pumpipumpe.ch - vous propose de petits autocollants pour indiquer à vos voisins les objets que vous êtes prêts à leur prêter...
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    Pumpipupe - http://www.pumpipumpe.ch - vous propose de petits autocollants pour indiquer à vos voisins les objets que vous êtes prêts à leur prêter...
hubert guillaud

Observer la transition énergétique « par le bas » - Métropolitiques - 2 views

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    Intéressante enquête de terrain sur les acteurs et les modalités concrètes de la transition énergétique... Les valeurs environnementales ou la prise de conscience des questions énergétiques n'est pas première quand on fait installer des panneaux solaires. L'intérêt est avant tout financier, direct. Installer des panneaux solaires pour des particuliers, c'est d'abord un investissement financier pour trouver de nouvelles ressources (par des économies).
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    Intéressante enquête de terrain sur les acteurs et les modalités concrètes de la transition énergétique... Les valeurs environnementales ou la prise de conscience des questions énergétiques n'est pas première quand on fait installer des panneaux solaires. L'intérêt est avant tout financier, direct. Installer des panneaux solaires pour des particuliers, c'est d'abord un investissement financier pour trouver de nouvelles ressources (par des économies).
hubert guillaud

20+ Open Source Furniture Designs | MakingSociety - 0 views

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    Le mobilier Open Source.
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    Le mobilier Open Source.
hubert guillaud

Que signifient les poussées tarifaires d'Uber ? - NYTimes.com - 1 views

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    Annie Lowreyjan revient sur les poussées tarifaires d'Uber, la société de taxi nouvelle génération. Pour un même trajet, la veille du jour de l'an, un taxi normal coûtait 13$ (pourboire compris), quand un voyage avec Uber était proposé à 47 dollars. Le même service. La même quantité de temps. Le même voyage. Et pourtant un différentiel de 3,5 fois le prix. Face aux critiques sur ces poussées tarifaires au moment où les gens font le plus appel à ses services, Uber s'est montré clair, voire cynique : si vous ne voulez pas payer le prix, ne nous utilisez pas. En ayant accès à des données en temps réel sur la demande et l'offre ce qui lui permet d'adapter en permanence ses tarifs. Uber est haut de gamme et coûte généralement environ 50% de plus que la concurrence locale. Les voitures sont commandées en 15 minutes, vous payez via votre application et Uber garde 20% du prix de la course pour lui. Lors de la tempête ou des fêtes de fin d'années, nombreux sont ceux qui ont râlé sur les prix pratiqués par Uber. Mais c'est le logiciel qui est programmé ainsi, explique le patron d'Uber. La hausse des prix reflète l'état de la demande et de la disponibilité de celles-ci. Pour Kalanick, la tarification algorithmique bénéficie aux passagers : ils payent plus mais n'attendent pas. Les tarifs des taxis eux sont régulés pour protéger les consommateurs, qu'importe si c'est parfois au détriment du service et du temps d'attente. L'algorithme de Uber tente de maximiser le nombre de voyages, pas les revenus des chauffeurs. Reste que l'opacité de la tarification dynamique, du point de vue du client génère forcément de la frustration et du mécontentement. Uber fini par prendre un risque avec un tel algorithme qui génère de la grogne, et pourrait s'aliéner des clients à long terme. "L'efficacité du marché n'est pas toujours la même chose que le bénéfice des consommateurs". Il existe désormais des formes sournoises de discrimination p
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    Annie Lowreyjan revient sur les poussées tarifaires d'Uber, la société de taxi nouvelle génération. Pour un même trajet, la veille du jour de l'an, un taxi normal coûtait 13$ (pourboire compris), quand un voyage avec Uber était proposé à 47 dollars. Le même service. La même quantité de temps. Le même voyage. Et pourtant un différentiel de 3,5 fois le prix. Face aux critiques sur ces poussées tarifaires au moment où les gens font le plus appel à ses services, Uber s'est montré clair, voire cynique : si vous ne voulez pas payer le prix, ne nous utilisez pas. En ayant accès à des données en temps réel sur la demande et l'offre ce qui lui permet d'adapter en permanence ses tarifs. Uber est haut de gamme et coûte généralement environ 50% de plus que la concurrence locale. Les voitures sont commandées en 15 minutes, vous payez via votre application et Uber garde 20% du prix de la course pour lui. Lors de la tempête ou des fêtes de fin d'années, nombreux sont ceux qui ont râlé sur les prix pratiqués par Uber. Mais c'est le logiciel qui est programmé ainsi, explique le patron d'Uber. La hausse des prix reflète l'état de la demande et de la disponibilité de celles-ci. Pour Kalanick, la tarification algorithmique bénéficie aux passagers : ils payent plus mais n'attendent pas. Les tarifs des taxis eux sont régulés pour protéger les consommateurs, qu'importe si c'est parfois au détriment du service et du temps d'attente. L'algorithme de Uber tente de maximiser le nombre de voyages, pas les revenus des chauffeurs. Reste que l'opacité de la tarification dynamique, du point de vue du client génère forcément de la frustration et du mécontentement. Uber fini par prendre un risque avec un tel algorithme qui génère de la grogne, et pourrait s'aliéner des clients à long terme. "L'efficacité du marché n'est pas toujours la même chose que le bénéfice des consommateurs". Il existe désormais des formes sournoises de discrimination p
hubert guillaud

Crowdfunding sans licences libres = piège à gogos ? - S.I.Lex :: - 2 views

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    La prochaine fois que vous participerez à une opération de crowdfunding demandez-vous si les droits du public sont bien respectés, si les contreparties de votre financement sont équitables, non pas seulement pour vous personnellement, mais également pour le projet...
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    La prochaine fois que vous participerez à une opération de crowdfunding demandez-vous si les droits du public sont bien respectés, si les contreparties de votre financement sont équitables, non pas seulement pour vous personnellement, mais également pour le projet...
hubert guillaud

Vivre sans argent en France, pas si difficile que ça - Le nouvel Observateur - 2 views

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    Le projet Eotopia de Benjamin Lesage... http://www.eotopia.org Vivre sans argent en communauté...
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    Le projet Eotopia de Benjamin Lesage... http://www.eotopia.org Vivre sans argent en communauté...
marinealbarede

Pourquoi Paris s'en prend aux propriétaires qui louent aux touristes - Challe... - 1 views

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    Et oui, les investissements spéculatifs font s'envoler l'offre locative très lucrative que permet la location de courte durée type AirBNB... Au détriment du parc de logement et de location de longue durée... D'où le besoin de réguler !
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    Et oui, les investissements spéculatifs font s'envoler l'offre locative très lucrative que permet la location de courte durée type AirBNB... Au détriment du parc de logement et de location de longue durée... D'où le besoin de réguler !
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    "Adjoint au maire en charge du logement, Jean-Yves Mano prévient ceux qui utilisent les sites spécialisés comme Airbnb que la ville de Paris va se montrer implacable."
hubert guillaud

Drôle de monnaies, une ethnographie des monnaies locales - Ethnography Matters - 3 views

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    L'ethnographe Mario Campana s'est intéressé aux monnaies complémentaires, et notamment à celle de Brixton en Grande-Bretagne. Si la plupart des travaux mettent en avant l'impact positif de ces systèmes sur la communauté locale (favorisant la résilience, la cohésion sociale...), le chercheur pointe les différences de perception de cette monnaie. Alors que les émetteurs, les initiateurs de cette monnaie la voit avec une forte composante idéologique, les utilisateurs sont plus pragmatiques. Ceux-ci sont surtout de jeunes professionnels de la classe moyenne bien éduqués et disposant de bons revenus et l'utilisent pour son côté pratique et économique (la monnaie de Brixton est disponible au format électronique et payer avec permet d'avoir une réduction de 10%), donc assez hédoniste. Quant aux entreprises qui acceptent cette monnaie, on se rend compte qu'elle marche mieux dans les pubs et restaurants que pour acheter de la viande ou des légumes locaux, mais montre un certain engagement idéologique avec les créateurs. Enfin, la plupart de la communauté locale rejette cette monnaie considérée comme un gadget qui appartient à la nouvelle communauté gentrifiée de Brixton. Pour Campana, la monnaie locale reproduit un discours de pouvoir local.
marinealbarede

Revues.org - La consommation collaborative, le versant encore équivoque de l'... - 4 views

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    La consommation collaborative a le vent en poupe ; elle peut être définie comme le versant "consommatoire" de l'économie de la fonctionnalité, son extension naturelle dans le domaine tu BtoC ou du C2C. Mais quelles sont leurs interrelations ? Comment la consommation collaborative peut-elle contribuer à l'économie de fonctionnalité (et d'ailleurs, le peut-elle?) dans une logique de durabilité ? Cet article de recherche souligne aussi la dualité du consommateur, qui s'engage dans de nouvelles pratiques "hors système" tout en restant dans le système marchand. Sans doute, la consommation collaborative doit-elle interroger plus qu'elle ne le fait aujourd'hui la dimension politique de la consommation, tout en s'articulant mieux avec l'économie de fonctionnalité, pour être véritablement soutenable.
marinealbarede

Toward a network hospitality - First Monday - 0 views

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    La popularité croissante des réseaux et plateformes proposant une nouvelle forme d'hospitalité, tels Couchsurfing ou Airbnb semblent signifier un nouveau paradigme de sociabilités, dans laquelle les médias et les nouvelles technologies jouent un rôle pré-pondérant. Cet article introduit la notion de "network hospitality" (hospitalité en réseau) pour décrire ces nouvelles formes sociales qui émergent autour de réseaux sociaux mobiles, de de pair à pair et online autant qu'off-line ; il explique comment cette hospitalité en réseau joue un rôle essentiel aujourd'hui dans la façon dont les gens "font communauté" en ligne et hors ligne. Une hospitalité en réseau qui va de pair avec différentes tendances socio-techniques, telles la consommation collaborative, la culture pop-up, etc.
marinealbarede

Why Airbnb wants you to know how much its users are spending - Washington Post - 2 views

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    La plupart des startups ne sont pas autant préoccupées qu'AirBnb a montrer ses résultats : des utilisateurs qui restent deux fois plus longtemps que des touristes normaux et qui dépensent 300$ de plus en moyenne par voyage... Parce que les startups de l'économie collaborative doivent montrer qu'elles favorisent la consommation et l'activité économique pour justifier leur place dans le bouleversement qu'elles instaurent et limiter les effets de la réglementation qui les menace. Pour répondre à la critique que les locations d'AirBnb auraient un impact à la hausse sur les loyers, la startup a commandé une étude à Ken Rosen, président du Centre Fisher pour la recherche en économie urbaine de Berkeley. Pour Rosen, à San Francisco, le nombre de propriété offert à la location sur AirBnb est trop faible pour que le site ait un impact sur la hausse des loyers. Sans compter que 82% des offreurs de biens sur AirBnb partagent la maison qu'ils habitent.
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    Airbnb enquête auprès de ses usagers, afin de savoir combien ils dépensent lors d'un séjour... afin de démontrer comment les villes en bénéficient d'un point de vue économique. La startup en a même fait un véritable argument de promotion (comment ses utilisateurs consomment plus, consomment différemment, comment les retombées économiques se font dans des quartiers moins touristiques que ceux concernés habituellement par l'hôtellerie, etc.)
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    Il existe déjà des formes de coopération dans le vieux monde. Les impôts, les taxes, les aides, notamment les aides au logement en France. Prenons un exemple: le coût élevé du logement social (loyer modéré, ou programmes types Duflot), en particulier dans Paris, est un effort positif auquel consent la société pour permettre de réduire la charge incombant au bénéficiaire à la partie congrue. Cet effort sera complètement dévoyé lorqu'il serva à démultiplier la rentabilité d'une location de ce logement en chambre d'hôte. Hors qu'est ce qui empêche fondamentalement que le marché ne se développe dans ce sens, dans une ville touristique où nombre de logement à faible loyer sont indiscernables de logement classiques en terme de standing? Tout business qui va dans le sens d'une déconcentration et d'une collaboration de pair à pair comporte sans doute en lui une vertue. Mais la valeur d'une innovation ne peut pas se fonder uniquement sur la suppression pure et simple de mécanismes de régulation ou de redistribution sociale. Sans quoi la société s'y opposera, et malheureusement elle aura toute légitimité à le faire.
hubert guillaud

Si les voitures pouvaient vraiment se conduire elles-mêmes, de combien en aur... - 2 views

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    ... seulement d'un tiers du parc actuel. Pour autant que ces voitures soient partagées...
Aurialie Jublin

We Share vs Oui cher : faut-il avoir peur de l'économie collaborative ? - 2 views

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    "Maxime Baffert, Directeur général à Publicis Webformance, administrateur de Renaissance Numérique, publie sur son blog Chroniques de la transition numérique un nouvel article sur l'économie collaborative : faut-il avoir peur de ce nouveau modèle économique ? Opportunité de croissance, concurrence déloyale ou tendance destrucrice d'emplois : Maxime Baffet, nous donne les grilles de lecture pour comprendre et faire comprendre ce nouveau paradigme économique déjà bien implanté dans nos usages."
asselinj

Taxes Won't Kill Bitcoin, but Tax Reporting Might - 0 views

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    Conclusion applicable aux alternatives aux hotels, taxis, transports en communs, dispositifs d'échanges de services de pair à pair en général?
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    Si on est favorable à ces évolutions, mieux vaut anticiper ces questions plutôt que d'attendre qu'elles ne se constituent en menaces. Le "sharing" de "sharing economy" crée de la valeur ajoutée. L'extraction des contraintes sociales classiques (réglementations, impôts, charges sociales,...), auxquelles sont soumis les autres acteurs économiques, ne peut pas être l'unique source de cette valeur. Au-delà du marché et des questions de concurrence par corporation, ce risque pèse sur une assiette de bénéficiaires large. Exemple: si je propose un service sans payer les charges sociales afférentes, je peux quand même subir une maladie professionnelle, et être soigné, simplement ce sont les autres qui paieront pour moi -la réciproque n'étant pas vrai. La nouvelle économie, basée sur un model distributif, peut certainement trouver des solutions pour organiser de façon vertueuse son "empreinte sociétale". Et sans doute être plus efficiente que la "vielle économie", où la dissymétrie des profits entre société, consommateur et producteur domine les rapports. Cette question de responsabilité devient un évidence dans un contexte ou de nombreux petits ou grands opérateurs de l'économie du partage trouvent des façons de monétiser ces nouveaux usages; de leur donner des coordonnées tangible dans le champs de l'économie. C'est une très bonne chose (et surement le sens de l'Histoire), à condition que cela ne devienne pas une version relookée du "mutualiser les risques, privatiser les profits"...
marinealbarede

Shared City - Medium - 1 views

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    AirBnb, par la voix de son fondateur Brian Chesky, vient d'annoncer Shared City, son initiative pour contribuer à une ville agréable à vivre, qui redevient elle-même plateforme de partage, qui recrée du lien, etc. Au-delà de ce manifeste, cette initiative s'incarne à travers des partenariats concrets avec des villes, dont la première est Portland. Quelles actions précise derrière ce premier partenariat ? Collecte de taxe reversée à la ville, facilitation de la sécurisation des appartements, préparation aux situations de crise et de catastrophes naturelles, rencontres diverses, encouragement de la philanthropie du côté des hôtes qui sont invités à reverser une part de leur revenu à des associations locales... En bref, un nouveau positionnement pour la startup qui faisait jusqu'alors face à des réactions plutôt défensives de la part des villes.
marinealbarede

Airbnb cozies up to cities with Shared City initiative - Fortune Features - 1 views

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    AirBnb qui lance un partenariat avec Portland pour construire un nouveau modèle de la ville, dans lequel le partage est important, mais qui bénéficie aussi économiquement à la ville. Une façon de se prémunir des critiques, et d'assurer son positionnement au sein de la ville ?
marinealbarede

Communities: the institutions of the 21st century? An interview with Rachel Botsman. - ... - 4 views

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    Une interview récente de Rachel Botsman par Ouishare, dans laquelle elle élargit son sujet de prédilection, en évoquant la nécessité de ne pas envisager seulement la consommation collaborative, mais plutôt l'économie collaborative, dont toutes les pratiques sont sous-tendues par des valeurs et dynamiques proches.
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