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"For my talk at Books in Browsers 2012, I decided to explore the idea of the reading experience on the big screen. I have terrible theater karma-I'll invariably sit behind a guy with an afro, or next to a screaming baby when I got to the cinema-so some years ago I decided to save myself some aggravation and purchased a Very Large Television." Quelle pourrait être le design d'une interface de lecture sur un très grand écran ?

"La cour d'appel des États-Unis vient de conforter Google Books dans son projet de numérisation de livres. Au cours de l'audience du 16 octobre, le tribunal a estimé que le projet ne violait pas le droit d'auteur, et rejeté la demande des auteurs, portée par l'Authors Guild. Selon ces derniers, la firme réaliserait son chiffre d'affaires dans la plus totale illégalité. Mais toutes les revendications d'infraction ont été repoussées à New York. "

"L'American Library Association (ALA) a mis en ligne son rapport sur les modèles économiques des e-books pour les bibliothèques publiques. Ce rapport décrit les caractéristiques générales du marché actuel de l'e-book et met en évidence les contraintes et les restrictions des modèles économiques actuels. Il émet ensuite des suggestions aux éditeurs pour présenter leurs contenus dans les bibliothèques publiques. Selon Robert Wolve, co-président de DCWG, aujourd'hui "aucun modèle n'offre les meilleures conditions pour toutes les bibliothèques et aucun ne sera adopté par tous les éditeurs et distributeurs. Ce rapport décrit les conditions que les bibliothèques devraient rechercher dans leurs accords avec les éditeurs et distributeurs, ainsi que celles qu'elles devraient éviter.""

"NGram Viewer propose d'exploiter de manière originale et pertinente Google Books, en réalisant des études historico-linguistiques sur l'énorme base de données textuelle constituée par les centaines de milliers d'ouvrages numérisés par Google. En effet, ce nouvel outil développé par la firme américaine, permet de rechercher des expressions, en affinant par période (depuis le 16e siècle jusqu'à nos jours) et par langue, et de générer des graphiques qui montrent la fréquence d'apparition de l'expression recherchée dans le gigantesque corpus d'ouvrages. NGram Viewer offre également la possibilité de suivre la carrière de plusieurs séquences de mots, l'outil trace alors des courbes permettant de comparer leur fréquence d'usage au cours du temps. L'outil a cependant ses limites : la typographie irrégulière des ouvrages anciens amoindrit souvent les performances de l'OCR, les mots ne sont alors pas reconnus. Par ailleurs, on note aussi une absence de pondération entre les ouvrages à large diffusion et ceux plus confidentiels."

"Books are dead. Long live the book."

"E-book sales in the four weeks to 9th June declined 9% over the previous four-week period, and 26% over the same period last year, according to Nielsen BookData's latest digital report, Understanding the E-book Consumer. The drop-off was not only because of the huge sales of Fifty Shades of Grey in 2012; there was also a comparative fall in sales of children's titles and non-fiction."

"A partir d'un livre numérique on peut faire beaucoup de choses et notamment imprimer un livre papier. L'Espresso Book Machine est un appareil incroyable, en moins de 5 minutes elle est capable d'imprimer n'importe quel livre issu d'un catalogue de livres numériques. Cette machine pourra bientôt se trouver chez un libraire, dans une bibliothèque ou sur un campus universitaire. Elle permet aux structures de vendre un livre imprimé à la demande (POD)."

Synthèse et réflexions sur le numérique dans le cadre de la "London Book Fair" : manque d'expérimentations dans le numérique du côté des éditeurs qui se traduit par la reproduction de la forme papier du livre ; positionnement des auteurs face au numérique, et de certains acteurs comme Kobo : "authors are the most enduring of all brands" ; questions liées aux abonnements (type Oyster ou Scribd) sont encore plus fortes qu'auparavant. Globalement Porter Anderson semble penser que les évolutions suivent leur cours.

"There's been much ado recently about Bookerly and Literata, the two newly designed default typefaces for Kindle and Google Play Books, respectively. But according to expert ebook developer Laura Brady and top digital typographer Charles Nix, neither new ebook font is all it's cracked up to be. That's because "the ebook environment challenges the fundamentals of legibility," as Nix puts it, and the new typefaces represent "band-aid" solutions to that larger problem. The "idea that one font will work well for every single kind of ebook," Brady explains, "really just throws book design out the window by dispensing with any halfway nuanced appreciation of the content-something that should make any author or publisher recoil as well.""

"On Monday March 23rd, an all-day series of panel talks [1] took place at the Paris Book Fair, to discuss the challenges and opportunities presented by accessible publishing in France. This covered a wide range of topics such as: regulatory issues (copyright exceptions), business models, production practices and end-user perspectives. The event was organised by the French Ministry of Culture and Communication, who actively engage in support of open, interoperable standards. I'm Daniel Weck - I work with the DAISY Consortium and I act as the lead developer in the Readium SDK project. I spoke [2] about converging technologies and the synergy between mainstream and specialised publishing sectors. Other notable speakers included Hadrien Gardeur (Feedbooks, Readium Foundation board member), Luc Audrain (Hachette, IDPF member), Virginie Clayssen (Editis, National Syndicate of Publishers), and Fernando Pinto Da Silva (Association Valentin Hauy, President of the French DAISY Consortium)."

"HarperCollins is one of the largest publishers in the world and they might soon be pulling all of their e-books and print titles from Amazon. The contract between these two companies is set to expire soon and HC is refusing to sign the new deal."

Aux Etats-Unis, la lecture de textes en formats numériques et les ventes d'e-books semblent avoir atteint un palier. Elles ont même reculé. Selon l'Association of American Publishers, la baisse des ventes de livres numériques grand public (« trade » », hors livres scolaires, universitaires et professionnels) aurait atteint 10% entre janvier et mai 2015. Notons ici que les chiffres publiés par l'AAP correspondent au chiffre d'affaires des éditeurs (vente directe, via des sites, aux libraires, statistiques des 1200 principaux éditeurs américains) et pas au total des ventes de détail.

"Quelques hypothèses à propos de la baisse des ventes d'e-books aux Etats-Unis." "Selon le blogueur Michael Kozlowski, les gens achètent des livres numériques et ne les lisent pas ou peu : l'analyse des données de lecture par Kobo montre que 60% des e-books achetés ne sont jamais ouverts, surtout quand ces derniers ne sont pas chers." "Autre facteur à l'origine de la baisse des ventes, il y a tout simplement les prix. Les prix des livres numériques ont fortement augmenté depuis un an aux Etats-Unis, et la sensibilité de la demande au prix est considérée comme élevée." "L'uberisation du monde éditorial pointerait alors son nez à la marge, du côté de l'autoédition."

"Librinova et Book Weather sont des start-ups françaises du livre qui se sont rencontrées au Labo de l'édition : aujourd'hui, la bonne entente s'est transformée en un projet commun autour des BookTubers. Nouveaux ambassadeurs du livre sur Internet, il s'agit à présent de les rapprocher de l'édition traditionnelle, ce que les deux sociétés souhaitent faire avec BookTube.fr, une plateforme dédiée."

"La vente de livres électroniques semble prendre enfin son envol en Europe, estime le monde de l'édition réuni à la Foire du livre de Francfort, même si la part de marché des e-books sur le Vieux Continent reste très en deçà de ce qu'elle est en Amérique du Nord, notamment en raison de l'arrivée plus tardive des liseuses. Pour le directeur de la Foire de Francfort, Juergen Boos, un attachement sociologique au livre papier peut, au moins partiellement, expliquer qu'une partie de l'Europe - France et Allemagne en tête - rechigne à en adopter son pendant immatériel."

"La transition du marché des appareils de lecture s'opérerait clairement vers une adoption des tablettes, au détriment des lecteurs ebook, vient de noter une étude de la Book Industry Study Group. Mesurant les comportements des consommateurs, dans l'enquête Consumer Attitudes Toward E-Book Reading survey, elle vient de rendre ses dernières conclusions."

"Les difficultés et résistances que rencontre le libre accès ne se comptent plus : outre l'accès en bibliothèques, constamment limité et remis en cause, l'offre restreinte ne bénéficie pas d'une visibilité extraordinaire. Le portail OpenEdition, à l'origine de Revues.org, Calenda et Hypotheses, s'apprête à lancer OpenEdition Books dès janvier, pour proposer à terme 15.000 ouvrages de sciences humaines et sociales en accès libre."

"Une solution intermédiaire pourrait donc être le fait de payer un peu plus cher pour le même livre, mais sans DRM. Pour voir si les lecteurs peuvent adhérer à cette option, Digital Book World propose un ouvrage sans DRM pour un dollar de plus que le même ouvrage chez Amazon." L'article original de Digital Book World : http://www.digitalbookworld.com/2013/how-much-more-would-you-pay-for-a-drm-free-ebook/

"Dans un courrier daté du 7 mars adressé à l'Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN), l'association des éditeurs américains (PA) s'inquiète de la possible attribution de l'extension .book à Amazon, soulignant que "ce ne serait pas dans l'intérêt public"."

"The U.S. consumer book publishing industry had a strong 2012, fueled in part by the growth of ebooks."

"Depuis le 22 mai, un test a été lancé dans 13 Magasins U. Les clients ont la possibilité de commander des livres ou e-book sur le site www.uculture.fr. Systeme U s'associe à TEA, The Ebook Alternative, pour son offre de 120 000 livres numériques. Système U a choisi la société TEA pour développer ce nouveau service et ainsi renforcer son offre de livres. Avec 120 000 e-book à télécharger, ce mode d'achat permet aux clients de disposer d'une offre plus large, complémentaire à celle qu'ils peuvent trouver dans les rayons culture de leur Hyper U ou Super U. TEA, theEbook alternative leur offre un modèle unique, car c'est la seule solution de lecture numérique, ouverte, opérable sur tous supports, leur garantissant ainsi la maitrise et la propriété de leur bibliothèque numérique."