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TradiNews: [Abbé Hervé Mercury - A Crucetta] Les Confirmations de Mgr Bonfils... - 0 views

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    "[Abbé Hervé Mercury - A Crucetta] Les Confirmations de Mgr Bonfils - Entretien avec l'abbé Hervé Mercury 2/2 SOURCE - Abbé Hervé Mercury - A Crucetta - Octobre 2012 La rédaction d'A Crucetta précise que cet entretien a été réalisé avant le renvoi de l'abbé Mercury de la Fraternité Saint-Pie X. A Crucetta : Monsieur l'Abbé, dans quelle mesure les fidèles ont-ils été associés à la décision de laisser Mgr Bonfils procéder aux confirmations? Abbé Mercury : Dans la semaine qui a suivi le 23 janvier, après avoir transmis l'information à l'abbé Radier, j'ai avertiles parents concernés que Mgr Bonfils tenait à faire lui-même les confirmations dans la forme extraordinaire du rite romain. Je leur ai demandé de réfléchir à la question et de me donner leur avis. Il était évident que, si les fidèles étaient contre, le projet tombait à l'eau de lui-même. Certaines familles m'ont demandé des éclaircissements sur la validité et la licéité du rite dans un cas pareil. Je leur ai présenté les arguments que j'ai déjà développés dans la première partie de cet entretien. Elles ont été rassurées de voir que nous ne marchions pas à l'aveuglette. Ce qui nous guide, ce sont les principes obvies de la théologie catholique.Les discussions durant cette période ont été sereines. Les fidèles ont pu avoir tous les éléments nécessaires pour se forger une opinion et envisager calmement la venue ou non de Mgr Bonfils dans leur chapelle. Finalement, il n'y a eu aucune opposition de la part des fidèles contactés. Le 12 février, je leur ai annoncé que les confirmations auraient bien lieu le 11 mars selon ce qu'en avait décidé l'évêque du diocèse. Je n'avais aucune nouvelle des supérieurs. S'ils ne m'avaient pas contacté pour une affaire aussi grave, c'est qu'ils ne voyaient aucun obstacle majeur à cette cérémonie. Vu la proximité de la date du 11 mars, j'ai commencé immédiatement la
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« Quand vous priez, dites Notre Père », le nouveau livre du pape François - L... - 0 views

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    "La Librairie éditrice vaticane et les éditions Bayard publient mercredi 10 janvier une méditation du pape François sur le « Notre Père ». Ce petit livre est le fruit d'un entretien télévisé en huit épisodes réalisé avec un jeune aumônier de prison italien. Le 4 août dernier, Don Marco Pozza, aumônier de prison à Padoue (nord de l'Italie), est venu au Vatican interroger le pape François sur le Notre Père. « Dans le havre qu'est Sainte-Marthe je lui apporte l'émotion muette, l'affection, le rire et le sourire de mes saltimbanques de prison. Je lui déballe mon histoire, comme le ferait un fils devant son père », raconte le jeune prêtre souriant dont l'entretien, découpé en huit points d'une dizaine de minutes a été diffusé d'octobre à décembre sur TV2000, la chaîne des évêques italiens, suivis de rencontres avec des personnalités de la culture et du spectacle s'interrogeant sur le sens de la plus connue des prières chrétiennes. Une prière qui fait appeler Dieu « Notre Père ». « Dieu offre la sécurité d'un père, rappelle François dans le premier des épisodes rassemblés par la Librairie éditrice vaticane dans un petit livre publié mercredi 10 janvier en français par Bayard (qui édite aussi La Croix). Il me donne de la sécurité, je ne me sens pas déraciné, je ne me sens pas orphelin. J'ai un père, un papa qui m'apporte l'histoire, qui me fait voir la racine, qui me protège, me fait aller de l'avant ». À lire aussi Extraits de « Quand vous priez, dites Notre Père », le nouveau livre du pape François Il avoue à Don Pozza lui arriver de s'endormir quand il prie ! Ce père longuement décrit par François, qui raconte avoir appris le Notre-Père avec cette grand-mère paternelle qui a tant compté, apparaît comme celui qui « chemine avec toi et si nécessaire », un père, « très proche, qui nous étreint » et qui, aussi, « aide immédiatement à se relever » quand o
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"Ne nous laisse pas entrer en tentation" - 1 views

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    "Notre Père Qu'est-ce qui change ? Retour sur la sixième demande du Notre Père avec le P. Michel Souchon, alors que le Vatican vient d'approuver une nouvelle traduction en français de la Bible liturgique.La formule du Notre Père " Et ne nous soumets pas à la tentation" y est remplacée par «Et ne nous laisse pas entrer en tentation". Facebook Twitter Google Plus Share This Mains ouvertes d'enfants pour la prière du Notre Père. © Corinne Simon/Ciric "Ne nous soumets pas à la tentation", quelle demande étrange ! Le mot à mot est tout aussi troublant : « Ne nous conduis pas en tentation » (« Ne nous fais pas entrer dans l'épreuve », traduit Sœur Jeanne d'Arc). Dieu serait-il tentateur ? Saint Jacques s'oppose à cette idée : « Que nul, s'il est éprouvé, ne dise : « C'est Dieu qui m'éprouve ». Dieu en effet n'éprouve pas le mal, il n'éprouve non plus personne. Mais chacun est éprouvé par sa propre convoitise qui l'éprouve et le leurre. Puis la convoitise, ayant conçu, donne naissance au péché, et le péché, parvenu à son terme, enfante la mort » (Jacques 1,13-15). Saint Paul est plus ambigu. S'adressant à Dieu, il lui attribue la responsabilité de la tentation : « Tu es fidèle et tu ne permets pas que nous soyons tentés au-delà de nos forces. Avec la tentation, tu nous donnes aussi le moyen d'en sortir et la force de la supporter » (1 Corinthiens 10,13). Et la Bible témoigne d'une curieuse inversion des rôles : « C'est toi, Dieu, qui nous as éprouvés, affinés comme on affine un métal. Tu nous as conduits dans un piège. Tu as serré un étau sur nos reins » (Psaume 66, 10-11). Les évangiles (Matthieu 4,1-11 ; Marc 1,12-13 ; Luc 4,1-12) disent que Jésus lui-même a connu la tentation ! Jésus repousse les offres du diable. Il est ainsi le modèle de la foi du chrétien. Si le Christ a été tenté, il ne peut nous enseigner u
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Damien Labadie - 1 views

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    "vendredi 18 octobre 2013 Quelques remarques sur la nouvelle version française du Notre Père... La nouvelle version française du Notre Père, qui paraîtra dans la prochaine traduction liturgique de la Bible et entrera en vigueur dans les lectionnaires dès 2014, s'annonce tout aussi infidèle que les précédentes. Il est regrettable de constater que dix-sept années d'un travail prudent et patient produisent pareil résultat ! En lisant les diverses versions anciennes de l'oratio Dominica (latine, syriaque, arabe, copte, arménienne, slavonne), je ne laisse pas de m'émerveiller de leur fidélité au texte grec. Nos traducteurs modernes en tireraient quelque leçon de sobriété et de style. Mais pourquoi la prière du Notre Père est-elle devenue à ce point un nœud de discorde théologique alors qu'elle a traversé les siècles au sein des communautés chrétiennes sans souffrir la moindre altération ? Depuis plusieurs décennies, la publication d'une nouvelle traduction de la Bible est prétexte, pour nos traducteurs, à d'ingénieuses innovations syntaxiques et sémantiques ; pourtant ce vin nouveau n'a jamais retrouvé la saveur de l'original. Peut-être nos traducteurs modernes ont-ils le défaut d'être aussi des théologiens ; trop sensibles aux aspérités du texte du Notre Père, ils l'inondent de considérations propres à l'exégèse et impropres à la traduction. À titre d'illustration, dans la dernière version de la Traduction Œcuménique de la Bible (2010), « que ton nom soit sanctifié » est devenu « fais connaître à tous qui tu es » ; le traducteur se révèle bien ici traditor... Contentons-nous de traduire. L'interprétation viendra ensuite, opportunément. Revenons à la nouvelle traduction liturgique. Elle conservera l'ancien « pardonne-nous nos offenses ». Pourtant, le texte grec ne parle à aucun moment « d'offense ». Le terme employé est opheilêma, qui signifie proprement
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Nevers - Le Missel romain 2.0 - épisode 2 - 0 views

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    "A partir du 1er dimanche de l'Avent 2021, nous pourrons découvrir la nouvelle traduction du Missel romain dont on nous parle depuis un certain temps déjà. Mais, nous dira-t-on, en quoi cela nous concerne-t-il, nous, les membres de l'assemblée ? Ce Missel n'est-il pas avant tout le « livre du prêtre » ? Il est vrai que le Missel romain est un livre discret, un livre de service que le prêtre célébrant consulte, dont il lit certaines prières. De plus, il n'est pas honoré comme l'Évangéliaire ni même le Lectionnaire. Il n'est pas porté en procession, il n'est pas encensé. C'est un livre 'serviteur', au service des célébrations liturgiques. Il est destiné à la célébration de l'Eucharistie, selon les normes en vigueur dans l'Église Catholique romaine, dont il tire son nom. Ainsi, le Missel romain est un instrument d'unité : il garantit que chaque célébration est un acte d'Eglise. Car la liturgie nous est donnée, nous n'en sommes pas propriétaires ; ainsi, la liturgie signifie et réalise l'unité de l'Eglise. Ce livre nous concerne donc tous ! Le Missel romain contient les textes de prière (les formulaires) pour la célébration de la messe, celle du dimanche comme celle de chaque jour de l'année et pour différentes circonstances. Il présente les textes de prière, mais il prend également en compte les attitudes physiques et les gestes du célébrant et des fidèles, les moments de silence, ainsi que les parties chantées ou cantillées."
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Voeux de Mgr Mathieu, notre évêque - 0 views

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    "Le tourbillon des nouvelles quotidiennes nous fait perdre le Nord... Entre violences des conflits fratricides et menaces effrayantes sur l'environnement, d'une part, et inventions scientifiques non contrôlées aux capacités insoupçonnables, d'autre part, quelles routes allons-nous emprunter ? Chacun a bien ses raisons de vivre, pour se lever chaque matin, faire son ouvrage, son « métier » d'homme ou de femme, qu'on soit jeune, ou adulte, ou vieillard, en bonne santé ou marqué par divers handicaps. L'on est attaché à des êtres chers et des projets passionnants. En ces jours d'hiver où les nuits sont longues, les lumières ne manquent pas, scintillements qui éblouissent et aveuglent, ou qui éclairent nos routes. Puisque nous allons fêter Noël et le Nouvel An, je me pose d'abord deux questions : À quelle source pouvons-nous boire ? Vers quoi allons-nous ? « Tout nous est donné » ou « le subversif de la crèche ». Evidemment, en croyant que je suis, la source est à la crèche ! Quelques-uns en font un épouvantail et d'autres un drapeau. Elle est d'abord un pauvre berceau, inoffensif. C'est l'accueil d'un enfant. Nous sommes tous passés par là. La crèche nous renvoie à ceux dont nous sommes venus, qui nous ont façonnés, marqués, notre héritage génétique, la couleur de nos yeux, notre tempérament. L'éducation reçue dans la famille et à l'école nous a fait grandir. Notre histoire est jalonnée de nos réussites, nos échecs. De multiples rencontres nous ont influencés, et aussi des épreuves, et les carrefours de la maladie, des ruptures. Des choix successifs nous ont construits. Chacun peut se souvenir de son histoire personnelle, comment notre enfance, notre adolescence et notre jeunesse nous ont ouverts à l'autre, à la vie ensemble. Je sais bien - ou plutôt je pressens - le poids de nos conditionnements dans tous les lieux et communautés où nous avons grandi. À notre tour nous les avons mar
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Tours - Joyeux Noël ! - 0 views

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    "Dans quelques jours nous fêterons Noël. Dans la nuit de la nativité, c'est Dieu lui-même qui vient vers nous. Et il vient justement dans la faiblesse et la fragilité. Il vient se faire l'un d'entre nous. Il vient nous porter le salut en nous partageant sa vie. Il vient nous libérer de la nuit et des ténèbres. Il vient nous donner la force intérieure pour avancer et persévérer. Il vient nous donner la force intérieure pour demeurer dans l'espérance. Il vient nous donner la paix intérieure. Il vient nous donner la joie qui est une grâce. Il vient nous permettre de traverser ces temps pénibles et lourds. Il vient nous rappeler que viendront des temps meilleurs."
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Le sens chrétien du corps - Diocèse La Rochelle - Saintes - 0 views

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    "Le sens chrétien du corps Une réflexion de notre évêque, Mgr Bernard Housset, à propos de la Toussaint. Cette fête de la Toussaint 2014 nous invite à l'espérance, tout en nous faisant réfléchir à notre mort. Les pratiques qui accompagnent celle-ci sont concernées par une évolution importante. Comme chacun le sait, la crémation (appelée incinération récemment encore) prend de plus en plus d'importance. Sa pratique, de 0,5 % en 1980, est passée à 30 % des enterrements en 2010. Certains spécialistes pensent même qu'elle sera demandée par 50 % des Français en 2020, c'est-à-dire demain. Plusieurs raisons - qu'il serait trop long de présenter - expliquent cette progression. Je voudrais simplement rappeler que l'Eglise catholique a évolué par rapport à la crémation. A l'heure actuelle, elle ne voit pas d'objection majeure à cette pratique, puisque celle-ci n'est plus voulue pour s'opposer à la foi chrétienne. Pas de contradiction entre la crémation et les convictions de l'Eglise par rapport au sens chrétien du corps. Quelles sont-elles ? Tout d'abord un grand respect Pour quelles raisons ? Simplement parce que chacun de nous est une personne créée par Dieu et procréée par ses parents. Notre corps est voulu par Dieu Créateur. De plus, nous croyons que Dieu le Fils s'est incarné dans un corps humain véritable, qui n'était pas une simple apparence. Enfin notre corps est appelé à ressusciter comme le Christ et grâce à Lui. Pour ces trois raisons (Création, Incarnation, Résurrection), notre corps possède une grande dignité et mérite un réel respect, sans en faire une idole ni le considérer avec dédain. D'ailleurs, lors des obsèques chrétiennes, le corps est désigné par les expressions « le défunt » ou « le corps du défunt », qui se réfèrent à une personne, contrairement aux mots « cadavre », « cendres » ou « restes ». De plus, notre foi chrétienne nous invite fermemen
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« Le bilan de Dieu n'est pas celui d'une société, l'actif c'est l'amour » - 0 views

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    "« C'est le cœur de notre Père, Dieu est ainsi : il ne se fatigue pas, il ne se fatigue pas ! Et pendant tant de siècles il a fait cela, avec tant d'apostasie, tellement d'apostasie du peuple. Et il revient toujours car notre Dieu est un Dieu qui attend. De cette après-midi dans le Paradis terrestre, Adam en est sorti avec un châtiment mais aussi avec une promesse. Et il est fidèle, le Seigneur est fidèle à sa promesse car il ne peut pas se renier lui-même. Il est fidèle. Et ainsi, il nous a tous attendus, tout au long de l'histoire. C'est le Dieu qui nous attend, toujours ! »"
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Avignon - 9 Avril 2020 : Jeudi Saint (pour adultes) - 0 views

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    "Comment montrer à travers une œuvre d'art l'actualité de l'Évangile ? Saint Luc, qui n'utilise pas moins de 12 fois le terme « aujourd'hui » peut nous aider à répondre à cette question. Lui, dont on qualifie l'évangile « d'évangile de la miséricorde » dit « Aujourd'hui, vous est né un Sauveur » (Luc 2, 11) et nous en donne le portrait quelques pages plus loin : « Jésus vint à Nazareth, où il avait grandi. Comme il en avait l'habitude, il entra dans la synagogue le jour du sabbat, et il se leva pour faire la lecture. On lui présenta le livre du prophète Isaïe. Il ouvrit le livre et trouva le passage où il est écrit : L'Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m'a consacré par l'onction. Il m'a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux prisonniers qu'ils sont libres, et aux aveugles qu'ils verront la lumière, apporter aux opprimés la libération, annoncer une année de bienfaits accordée par le Seigneur. Jésus referma le livre, le rendit au servant et s'assit. Tous, dans la synagogue, avaient les yeux fixés sur lui. Alors il se mit à leur dire : Cette parole de l'Écriture, que vous venez d'entendre, c'est aujourd'hui qu'elle s'accomplit. » (Luc 4, 16-21)."
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Mgr Cattenoz - "Il est le Chemin, la Vérité et la Vie" - 0 views

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    "Quand Jésus les avait rencontré, il leur avait posé la question : « Que cherchez-vous ? » Ils lui avaient répondu : « Maître, où demeures-tu ? » Jésus leur avait alors dit : « Venez et voyez. » L'évangéliste avait alors ajouté : « Ils vinrent, ils virent où il demeurait et ils demeurèrent auprès de lui ce jour-là. » Pour eux, à partir de là, ils allaient devoir passer d'un "demeurer auprès de lui" à un "demeurer en lui", et expérimenter la vie avec celui qui leur disait : « Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie » (Jn 14, 6)."
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Poitiers - Saint Hilaire 2022 - 0 views

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    "Que l'on parle de nature ou de substance, ce qui compte c'est ce qui veut être exprimé de Dieu, mais aussi de nous, les êtres humains. Et ceci est sans doute plus simple que les mots employés. Dans ceci, à travers ces mots, nature, substance, il est question d'amour et de salut. Dieu nous a aimés au point de venir nous rejoindre dans notre humanité, d'entrer en communion avec notre humanité. Et, ainsi, Dieu nous sauve, tout simplement, il nous prend par la main, il nous enserre dans ses bras, il est avec nous contre les forces du mal, contre la mort.   Et cela, Dieu ne le fait pas par des discours, par des exhortations morales, il le fait lui-même, il se donne lui-même. Jésus n'est pas un bel exemple, il est Dieu qui se montre tel il est. Dans la vie de Jésus, nous comprenons qui est Dieu. Pas du tout un grand horloger, mais un Père qui souffre de la souffrance de celles et ceux qu'il a créés et qu'il aime. Dieu est une personne, Dieu est amour, Dieu est compassion, Dieu est tendresse."
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Saint-Dié - Veiller - 0 views

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    "Au fil des semaines, nous avons passé notre temps à attendre que nous soient à nouveau concédés des biens et des libertés qui nous sont nécessaires. Mais sommes-nous en état de veille ? Car c'est bien l'exhortation à veiller que nous adresse le temps de l'Avent, notamment dans la Parole de Dieu qu'il nous propose. Combien de fois, dans l'Evangile, Jésus ne demande-t-il pas à ses disciples de « veiller » ? Le disciple qui veille ne subit pas le présent dans l'attente inquiète et impatiente de jours meilleurs. Il s'investit bien plutôt dans l'aujourd'hui que Dieu lui donne, car il n'y en a pas d'autre. Loin d'être résigné, le veilleur  sait que Dieu est toujours là, que sa Parole est toujours accessible et vivifiante, et que l'Esprit-Saint continue de le relier aux autres membres du Corps du Christ. Pour celui qui veille, le temps n'est pas fait de jours qui passent, mais de journées où il peut toujours se passer quelque chose de beau et de bien, parce que le Royaume de Dieu est parmi nous, et qu'il est en nous. Depuis de longs mois, avec l'aide de l'Esprit-Saint, beaucoup de chrétiens, pasteurs et fidèles, ont  été des veilleurs fidèles et créatifs : ils ont approfondi et partagé le trésor de la Parole de Dieu, ils ont continué de transmettre la foi, ils ont trouvé les moyens de rejoindre ceux qu'affecte la souffrance, l'isolement ou la précarité."
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Pamiers - Les « liturgies du seuil » - 1 views

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    "Il est assez fréquent que les jeunes responsables de l'école de musique (pour la Sainte Cécile), la présidente du comité des fêtes (pour la fête de son village), ou encore une municipalité (pour le 11 novembre), nous demandent une « messe » en ces occasions. Doit-on mettre derrière ce mot, utilisé souvent par commodité, toute la charge de son contenu traditionnel ? Nous nous trouvons dans un pays pour lequel le taux de pratique de la messe dominicale avoisine désormais les 2%. Ceci nous permet de comprendre que nombre de ceux qui seront rassemblés pour ce type d'événement, non seulement ne sont pas (ou ne sont plus) initiés aux « mystères » qui se célèbrent dans la Sacrement Pascal. Mais ils ne sont pas non plus catéchumènes ; ils ne demandent pas à vivre un itinéraire de foi et de conversion. Il nous faut sans doute entendre cette demande, mais tout en la prenant pour ce qu'elle est. Il s'agit de vivre dans l'église de la commune, un temps souvent qualifié de « spirituel », sans qu'il soit pour autant possible d'en dire beaucoup plus sur ce terme. Alors comment répondre de façon adéquate à cette demande tout en ne nous berçant pas de l'illusion nous donnant à croire que nos contemporains seraient encore chrétiens ou même catholiques ? Le travail réalisé par la fraternité diaconale de notre diocèse (l'ensemble des diacres permanents), intitulé : « Petit guide pour célébrer à l'église lors d'une fête de village », représente une tentative de proposer une démarche spirituelle, éclairée par la Parole de Dieu, mais aussi par d'autres sources de sagesse, en ces occasions décrites plus haut. Il s'agit de développer ce que nous pourrions appeler une « liturgie du seuil », susceptible peut-être (si le Seigneur le souhaite) de donner envie, un jour, aux personnes présentes d'aller plus loin et de franchir ce fameux « seuil ». Ils seraient alors, peu à peu, « initi
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Femmes : le pape prendra-t-il leur pied ? - Le blog de cathoreve - 0 views

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    "Dans le concert de louange entendus depuis l'avènement du cardinal Bergoglio, on avait peu entendu la frange catholique traditionnelle, qu'elle se situe dans ou hors de la communion romaine. Il faut dire qu'un jésuite aux tendances franciscaines leur est hautement suspect. Encore plus quand il décide de simplifier les habits papaux, tournant le dos à un Benoît XVI aux goûts vestimentaires passéistes. Voici venue la première discorde. Et elle est de toute première importance. On a apprit que le pape comptait se rendre, pour célébrer le Jeudi saint, dans une prison, comme il en avait l'habitude en Argentine. Selon la tradition, il va procéder au lavement des pieds de certains détenus. Sur le blog traditionaliste leforumcatholique.org - lequel pourtant invite les intervenants à « manifester à l'égard du Souverain Pontife les égards dus à sa personne et à sa fonction »-, un certain Chicoutimia exprimé sa plus vive inquiétude. La prison qui attend la visite du pape est mixte. Et, par la passé en pareille occasion, le cardinal Bergoglio, a déjà lavé, horreur !, des pieds de femmes. Des photos de presse prouvant ce forfait circulent. Maintenant pape, osera-t-il renouveler ce geste scandaleux ?"
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Reims - Homélie pour le 5ème dimanche de Carême, année A, le 29 mars 2020 - 0 views

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    "« Ainsi parle le Seigneur Dieu : Je vais ouvrir vos tombeaux et je vous en ferai remonter, ô mon peuple ». Nous attendons, frères et sœurs, d'entendre cette grande parole retentir dans la nuit de Pâques, si singulière soit la manière dont nous vivrons cette Vigile. Des morts nombreux sont à craindre dans la semaine qui vient. Peut-être certains d'entre vous qui vous unissez à cette messe ce matin ont-ils été frappés en ces jours, à cause du virus ou d'une autre manière. La mort n'attend pas et elle paraît toujours l'emporter. Pourtant, ce matin, alors que la mort se prépare à multiplier ses ravages, nous réentendons cette promesse : « Je vais ouvrir vos tombeaux et je vous en ferai remonter, ô mon peuple ».  Nous l'entendons en contemplant Jésus aller vers le tombeau de Lazare, son ami. Il l'a laissé mourir, il l'a même laissé être mis au tombeau et commencer à s'y décomposer. Jésus n'est pas venu parmi nous, il n'a pas été envoyé par le Père, pour faire des miracles, pour arranger des situations. Selon l'évangéliste saint Jean, il fait des signes : des gestes pleins de significations qui annoncent et font comprendre ce qu'il vient, lui Jésus, apporter à tous et chacun des nommes qui veulent bien se laisser approcher par lui. Il vient pour apporter la vie en plénitude, la vie qui ne connaîtra pas la mort, la vie qui peut être la vie pour toujours. C'est ce travail-là que nous le voyons opérer au long du récit qui vient d'être proclamé, le travail qui consiste à préparer ses amis à recevoir la vie en plénitude ou à entrer dans la vie en plénitude. Tout se noue dans le dialogue entre Jésus et Marthe. Vous avez entendu, frères et sœurs, Jésus déclarer : « Moi, je suis la Résurrection et la vie » et ajouter : « Celui qui croit en moi, même s'il meurt, vivra ; quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? »."
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Marseille - Homélie lors de la bénédiction des rameaux - 0 views

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    "Ce matin, Jésus est acclamé en entrant à Jérusalem. Mais il sait que l'enthousiasme de la foule est malheureusement trompeur. Il sait que c'est plutôt avec la trahison, avec la violence, la souffrance, l'injustice et la mort, qu'il a rendez-vous dans les jours qui viennent. Tout cela, il le sait. Mais au fond de lui-même, dans son cœur d'homme où se mêlent, comme en les nôtres, tous les sentiments qu'une telle situation peut susciter - la peur, la tristesse, la déception, l'angoisse - dans son cœur, Jésus croit en son Père, il Lui fait confiance, il Lui confie son espérance, il s'abandonne à Lui. Et le Père sait que son Fils est passé en faisant le bien, même s'il a pris le risque, en son Nom, d'apparaître plus attentif aux pauvres qu'aux riches, aux malades qu'aux bien-portants, à ceux qui se savent pécheurs qu'à ceux qui se prétendent justes. À travers le cœur humain de Jésus, c'est le cœur de Dieu qui a voulu montrer au monde son amour et sa miséricorde."
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Meaux - Homélie de Mgr Nahmias - Dimanche 5 avril 2020 - Rameaux - 0 views

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    "Après les cris enthousiastes de la foule qui l'acclame à son entrée à Jérusalem, Jésus crucifié entend les moqueries des grands prêtres et des scribes qui reprennent les mots du psaume 21 : «  Il en a sauvé d'autres et il ne peut se sauver lui-même ! Il est roi d'Israël : qu'il descende maintenant de la croix, et nous croirons en lui » (Mt 27, 42). Non seulement Jésus est crucifié, mais les moqueries et les insultes ne lui sont pas épargnées. Ils l'attaquent sur sa mission et son identité avec les mots-mêmes de l'Ecriture : « Il a mis sa confiance en Dieu. Que Dieu le délivre maintenant, s'il l'aime ! Car il a dit : Je suis Fils de Dieu » (Mt 27, 43)."
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Pamiers - Un carême pour faire mémoire des merveilles que le Seigneur a faite... - 0 views

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    "Le désert où le Seigneur nous conduit est le lieu de la mémoire. Le retour sur soi, la relecture de notre passé, l'observation rétrospective de notre chemin de vie, sont des étapes essentielles de notre vie spirituelle. Il ne s'agit pas tant, ou principalement, de nous remémorer les pages les plus sombres ou les plus douloureuses de notre histoire et ainsi de risquer de nous enfermer exclusivement et complaisamment dans la lamentation ou dans une culpabilité malsaine. Certes une étape de contrition, dans laquelle nous reconnaissons humblement que nous avons été de connivence avec les ténèbres, doit se vivre, mais pour nous relever il convient surtout de faire l'anamnèse, de faire mémoire, des instants de grâce qui constituent comme les fondations du meilleur de ce que nous sommes. Dieu, à tel ou tel moment, bien souvent sans que je m'y attende, est venu me saisir avec la puissance de son amour. Il m'a fait faire des pas considérables sur mon chemin de disciple. Il me faut donc fermer un peu les yeux et retrouver, en mon for intérieur, ces premiers émois amoureux. Je dois veiller à ne pas tomber sous le coup du reproche de l'ange au début du livre de l'Apocalypse : « Mais j'ai contre toi que ton premier amour, tu l'as abandonné. » (Ap 2, 4) Quelles sont ces phares, encore lumineux, qui ont par le passé éclairé ma route, et que je peux discerner à nouveau dans la tempête ? Si je fixe mon regard sur eux, ils vont me reconduire au port. Pour certains il s'est agi d'une rencontre avec un témoin d'Évangile ; pour d'autres d'un temps de retraite dans un centre spirituel ou d'un pèlerinage ; pour d'autres encore cela a été associé l'expérience d'une épreuve avec son lot de découverte de l'essentiel… Nous seuls pouvons dire quels ont été ces moments clés, personne n'est habilité à faire ce travail à notre place."
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Séez - Heureux les artisans de Paix ! - 0 views

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    "Le 1er novembre, la fête de la Toussaint met à l'honneur nos amis les saints. Ils sont de tous les âges, de toutes les conditions, de tous les états de vie. Ils se répartissent aussi en « catégorie ». Il y a les éducateurs, les missionnaires, les serviteurs des pauvres, les priants … Parmi eux on trouve aussi les martyrs. Souvent ils nous impressionnent, ils ont donné leur vie pour Dieu, ils sont morts pour leur foi."
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