Group items tagged

"Le primat de Belgique et l'ensemble des évêques flamands ont décidé d'interdire aux prêtres catholiques de célébrer des offices religieux dans les crématoriums pour les enterrements."

"La Librairie éditrice vaticane et les éditions Bayard publient mercredi 10 janvier une méditation du pape François sur le « Notre Père ». Ce petit livre est le fruit d'un entretien télévisé en huit épisodes réalisé avec un jeune aumônier de prison italien. Le 4 août dernier, Don Marco Pozza, aumônier de prison à Padoue (nord de l'Italie), est venu au Vatican interroger le pape François sur le Notre Père. « Dans le havre qu'est Sainte-Marthe je lui apporte l'émotion muette, l'affection, le rire et le sourire de mes saltimbanques de prison. Je lui déballe mon histoire, comme le ferait un fils devant son père », raconte le jeune prêtre souriant dont l'entretien, découpé en huit points d'une dizaine de minutes a été diffusé d'octobre à décembre sur TV2000, la chaîne des évêques italiens, suivis de rencontres avec des personnalités de la culture et du spectacle s'interrogeant sur le sens de la plus connue des prières chrétiennes. Une prière qui fait appeler Dieu « Notre Père ». « Dieu offre la sécurité d'un père, rappelle François dans le premier des épisodes rassemblés par la Librairie éditrice vaticane dans un petit livre publié mercredi 10 janvier en français par Bayard (qui édite aussi La Croix). Il me donne de la sécurité, je ne me sens pas déraciné, je ne me sens pas orphelin. J'ai un père, un papa qui m'apporte l'histoire, qui me fait voir la racine, qui me protège, me fait aller de l'avant ». À lire aussi Extraits de « Quand vous priez, dites Notre Père », le nouveau livre du pape François Il avoue à Don Pozza lui arriver de s'endormir quand il prie ! Ce père longuement décrit par François, qui raconte avoir appris le Notre-Père avec cette grand-mère paternelle qui a tant compté, apparaît comme celui qui « chemine avec toi et si nécessaire », un père, « très proche, qui nous étreint » et qui, aussi, « aide immédiatement à se relever » quand o

Le projet de loi du « Mariage pour tous » va être examiné, débattu et probablement amendé par les députés à partir du 29 janvier à l'Assemblée nationale. L'examen du texte de loi, défendu par les ministre de la justice Christiane Taubira et de la famille Dominique Bertinotti, promet d'être houleux : 5.362 amendements ont déjà été déposés, majoritairement par les députés de l'opposition. Les débats dans l'hémicycle pourraient durer jusqu'à deux semaines, nuits et week-end compris.

"Le combat contre l'ouverture du mariage civil aux homosexuels est perdu ? Pourquoi ne pas riposter en marquant davantage l'écart entre mariage civil et religieux ? Telle est l'idée qui commence à émerger internationalement parmi les opposants à cette évolution qui s'impose à travers le monde. "

Blogs Fait religieux La crémation, un mode de funérailles plébiscité mais encore assez peu employé ACY - vu le 05/11/2012

Autre source Fait religieux Une conférence nationale sur la nouvelle évangélisation ? en Australie ACY - Vu le 10/08/2012

Blogs fait religieux Sur les pas de la Vierge le 15 août à Paris | ACY - Vu le 16/08/2012

blogs fait religieux Une brève histoire de l'Assomption ACY - vu le 16/08/2012

"Entre François et François, rien ne va plus. Entendez, entre le pape François et François d'Assise, ou plus exactement une branche de ses frères : les Franciscains de l'Immaculée. A la faveur du Motu proprio de 2007 rendant sa visibilité à la forme extraordinaire du rite latin, les Franciscains de l'Immaculée ont adopté la liturgie tridentine en raison de son caractère contemplatif. Si l'on en croit les récents événements, ce choix n'a pas fait l'unanimité dans la communauté. Certains frères ont fait appel à la Congrégation pour les religieux, invoquant notamment le problème que l'adoption des livres liturgiques antéconciliaires posait par rapport à «l'unité ecclésiale» de la communauté. Résultat : depuis le 11 août 2013, à la suite de la décision prise par la Congrégation des religieux, les Franciscains de l'Immaculée doivent célébrer ordinairement dans la forme ordinaire (Missel de Paul VI), et extraordinairement dans la forme extraordinaire."

"Lundi 21 septembre, les hauts responsables religieux ont fait une déclaration commune pour protester contre de nouvelles mesures de confinement des lieux de culte au Québec. "

« C'est une décision que tous ne comprendront pas. Nous serons - je serai accusé - de me laisser conduire par César et non par Dieu. Il n'en est rien, nous sommes tous conduits par le désir d'éviter que le virus ne se répande davantage. Il est déjà présent dans certains quartiers insalubres de trois de nos villes, là où les gestes barrière ne signifient pas grand-chose au vu de l'exiguïté des locaux et de la concentration de population. C'est bien la seule raison qui me fait comprendre la décision du préfet : tout faire pour qu'il ne soit pas dit qu'à cause d'une église ou d'une autre le virus s'est propagé davantage. Nous avons tous appris qu'il y a moins de quinze jours, quarante personnes ont été contaminées lors d'un service religieux dans une église allemande. (…) Je vous remercie de votre compréhension. L'heure est à l'unité pour faire face à une situation que ni les uns ni les autres n'ont voulue. Je sais que divers documents circulent qui apostrophent un tel ou un tel, les évêques et même le saint Père. Je crois pouvoir dire que les documents qui unissent ont d'avantage de chance d'être inspirés par l'Esprit Saint que les lettres, ou textes, ou commentaires qui créent un peu plus de division, de suspicion, de méfiance et de colère. Rien de tout cela n'est inspiré par l'Esprit de Dieu. Nous vivons unie période tout à fait inédite. Les autorités font face à des décisions à prendre qui ne sont pas forcément toujours les meilleures, qui ne prennent pas en compte toutes les situations particulières, mais elles ont été placées là pour prendre ces décisions, et nul n'est certain que s'il était à leur place, avec les connaissances, les contraintes, les pressions qui les entourent, il aurait fait autrement. »

Inhumation ou crémation ? Il a fallu attendre le XIXe siècle pour que l'Eglise catholique se pose la question et lance des interdits contre la crémation. Il a fallu attendre Vatican II pour permettre aux familles chrétiennes une certaine liberté de choix. Il était temps car, lentement, la pratique de la crémation s'est développée au point qu'aujourd'hui, 51% des Français expriment le souhait d'être incinéré et qu'en 2010, 30% des obsèques avaient lieu dans un crématorium.

"Point de rupture ou nouveau départ, le journal la Repubblica hésite : en Italie, la population, après l'avoir un temps délaissé, retrouve progressivement le chemin du confessionnal."

Les termes sont forts : « En contradiction avec l'Évangile que nous avons mission de faire connaître à tous, la division des chrétiens altère gravement notre témoignage. Conscients de la richesse de notre diversité mais refusant le statu quo de la séparation, nous voulons écrire, avec la grâce de Dieu, de nouvelles pages de notre ''Livre de l'unité'' ». Telle est la conclusion du message que le Conseil d'Eglises chrétiennes en France (CECEF) a adressé, jeudi 13 décembre, à l'occasion de son 25e anniversaire, aux communautés chrétiennes - conclusion qui exprime à la fois le remord d'une défaillance et la volonté d'y remédier.

"Pendant le temps du Carême, la musique devrait se faire plus belle que le silence. Dans bien des églises, on a d'ailleurs pris le parti de supprimer toute intervention purement instrumentale ; et pourtant, que de richesses permettent d'accompagner ce temps de recherche et d'approfondissement. Parmi les plus belles pages jamais écrites, le choral O Mensch, bewein dein' Sünde gross (Ô homme pleure tes grands péchés) BWV 622 de Bach constitue sans aucun doute un véritable moment de grâce, qui plus est recevable à plusieurs niveaux de lecture ou d'écoute."

"Les évêques de la Conférence épiscopale francophone pour les traductions liturgiques (CEFTL) ont remis au pape François la nouvelle Bible officielle en français, lors de l'audience générale du mercredi 5 février. Le pape a reçu un exemplaire aux armes du Vatican."

"Le diocèse de Vannes a signé le 10 septembre 2013 la charte « Oui au breton » (Ya d'ar Brezhoneg) de l'Office public de la langue bretonne et s'engage à réintroduire la langue bretonne dans la pratique religieuse, le catéchisme et l'information diocésaine. C'est la première fois qu'un diocèse adopte cette convention, déjà signée par 700 organismes, dont 164 communes. « C'est le signe que le diocèse de Vannes reconnaît dans la culture bretonne tout à la fois une source d'inspiration et un champ de mission », souligne Mgr Raymond Centène, évêque de Vannes, évoquant l'importance de l'attachement aux racines dans un monde en manque de repères. "

"Deux semaines avant Noël, la Saint Nicolas, le 6 décembre, est majoritairement célébrée au nord et à l'est de la France, mais aussi dans de nombreux pays européens, notamment la Belgique, la Suisse, le Luxembourg, les Pays-Bas, l'Allemagne, l'Autriche, la Pologne et la Russie. "

"Cet été, le Vatican a donné son accord à la publication d'une nouvelle traduction française complète de la Bible liturgique (Ancien Testament, psautier et Nouveau Testament), dont la dernière version remontait à 1993. Cette somme destinée à la célébration du culte, sera diffusée en France par les éditions MAME/Fleurus à partir du 22 novembre. Conséquence : une phrase du « Notre Père » va changer pour les catholiques de tous les pays francophones. A la messe, les prêtres ne liront plus la prière en demandant à Dieu : « [...] Et ne nous soumets pas à la tentation [...] ». Ils diront, si l'Évangile du jour aborde ce passage tiré des écrits de saint Matthieu ou de saint Luc : « [...] Et ne nous laisse pas entrer en tentation [...] »."

"Cet été, le Vatican a donné son accord à la publication d'une nouvelle traduction française complète de la Bible liturgique (Ancien Testament, psautier et Nouveau Testament), dont la dernière version remontait à 1993. Cette somme destinée à la célébration du culte, sera diffusée en France par les éditions MAME/Fleurus à partir du 22 novembre. Conséquence : une phrase du « Notre Père » va changer pour les catholiques de tous les pays francophones. A la messe, les prêtres ne liront plus la prière en demandant à Dieu : « [...] Et ne nous soumets pas à la tentation [...] ». Ils diront, si l'Évangile du jour aborde ce passage tiré des écrits de saint Matthieu ou de saint Luc : « [...] Et ne nous laisse pas entrer en tentation [...] »."