Skip to main content

Home/ Groups/ Lecture et écriture du texte numérique
Michel Roland-Guill

Pourquoi les outils de lecture de livres électroniques ne sont-ils pas plus i... - 0 views

  • Les logiciels qui équipent nos terminaux de lecture électronique ont besoin d'une révolution, non pas tant pour améliorer la lecture, que pour l'organiser.
  • Joe Wikert
  • (et dire que nombre de terminaux de lecture ne permettent encore même pas d'utiliser ce type d'outils pour faire glisser des contenus web dans son appareil de lecture !
  • ...3 more annotations...
  • arrêtez de croire que nous ne lirons que des "livres" sur nos appareils de lecture (et surtout que les livres que vous vendez !) : permettez-nous d'y lire le web d'une manière optimale.
  • Permettez-moi de mettre des tags sur les contenus.
  • Il serait temps de s'écarter des métaphores du monde physique pour s'appuyer sur les capacités des appareils numériques à aider leurs clients à gérer leurs contenus et à atteindre leurs objectifs de lecture.
  •  
    "Pourquoi les outils de lecture de livres électroniques ne sont-ils pas plus intelligents ?"
N UGUEN

Notre cerveau à l'heure des nouvelles lectures « InternetActu.net - 0 views

  • “l’écrémage est la nouvelle normalité”, assène-t-elle. “Avec le numérique, on scanne, on navigue, on rebondit, on repère. Nous avons tendance à bouger, à cliquer et cela réduit notre attention profonde, notre capacité à avoir une lecture concentrée. Nous avons tendance à porter plus d’attention à l’image. Nous avons tendance à moins internaliser la connaissance et à plus dépendre de sources extérieures.”
  • Nous pouvons deviner que l’accès à l’information ne va cesser d’augmenter. Mais nous ne savons pas si l’accès immédiat à de vastes quantités d’informations va transformer la nature du processus de lecture interne, à savoir la compréhension profonde et l’internalisation de la connaissance.
  • Nous ne savons pas si l’accès immédiat à cette quantité croissante d’information externe va nous éloigner du processus de lecture profonde ou au contraire va nous inciter à explorer la signification des choses plus en profondeur, estime Wolf en reconnaissant tout de même, après bien des alertes, l’ignorance des neuroscientifiques en la matière. Bref, nous ne savons pas si les changements qui s’annoncent dans l’intériorisation des connaissances vont se traduire par une altération de nos capacités cognitives, ni dans quel sens ira cette altération.
  • ...5 more annotations...
  • Nos organes physiologiques n’évoluent pas indépendamment de nos organes techniques et sociaux”, rappelle Christian Fauré. Dans cette configuration entre 3 organes qui se surdéterminent les uns les autres, le processus d’hominisation semble de plus en plus porté, “transporté” par l’organe technique. Car dans un contexte d’innovation permanente, le processus d’hominisation, ce qui nous transforme en hommes, est de plus en plus indexé par l’évolution de nos organes techniques
  • L’écriture a longtemps été notre principal organe technique. Parce qu’elle est mnémotechnique, elle garde et conserve la mémoire. Par son statut, par les interfaces de publication, elle rend public pour nous-mêmes et les autres et distingue le domaine privé et le domaine public. Or l’évolution actuelle des interfaces d’écriture réagence sans arrêt la frontière entre le privé et le public. Avec le numérique, les interfaces de lecture et d’écriture ne cessent de générer de la confusion entre destinataire et destinateur, entre ce qui est privé et ce qui est public, une distinction qui est pourtant le fondement même de la démocratie, via l’écriture publique de la loi. Avec le numérique, on ne sait plus précisément qui voit ce que je publie… ni pourquoi on voit les messages d’autrui.
  • La question qui écrit à qui est devenue abyssale, car, avec le numérique, nous sommes passés de l’écriture avec les machines à l’écriture pour les machines. L’industrie numérique est devenue une industrie de la langue, comme le soulignait Frédéric Kaplan. Et cette industrialisation se fait non plus via des interfaces homme-machine mais via de nouvelles interfaces, produites par et pour les machines, dont la principale est l’API, l’interface de programmation, qui permet aux logiciels de s’interfacer avec d’autres logiciels.
  • Le monde industriel va déjà plus loin que le langage, rappelle Christian Fauré sur la scène des Entretiens du Nouveau Monde industriel. “Nous n’écrivons plus. Nous écrivons sans écrire, comme le montre Facebook qui informe nos profils et nos réseaux sociaux sans que nous n’ayons plus à écrire sur nos murs. Nos organes numériques nous permettent d’écrire automatiquement, sans nécessiter plus aucune compétence particulière. Et c’est encore plus vrai à l’heure de la captation de données comportementales et corporelles. Nos profils sont renseignés par des cookies que nos appareils techniques écrivent à notre place. Nous nous appareillons de capteurs et d’API “qui font parler nos organes”. Les interfaces digitales auxquelles nous nous connectons ne sont plus des claviers ou des écrans tactiles… mais des capteurs et des données.”
  • Google et Intel notamment investissent le champ des API neuronales et cherchent à créer un interfaçage direct entre le cerveau et le serveur. Le document n’est plus l’interface. Nous sommes l’interface ! “Que deviennent la démocratie et la Res Publica quand les données s’écrivent automatiquement, sans passer par le langage ? Quand la distinction entre le public et le privé disparaît ? Alors que jusqu’à présent, la compétence technique de la lecture et de l’écriture était la condition de la citoyenneté”, interroge Christian Fauré.
Alexandre Serres

Une chronologie du livre numérique des origines à nos jours - Les univers du ... - 1 views

  •  
    Marie Lebert. "Une chronologie du livre numérique des origines à nos jours", 2 mars 2016
Michel Roland-Guill

Never Mind E-Books: Why Print Books Are Here to Stay - WSJ.com - 0 views

  • The initial e-book explosion is starting to look like an aberration. The technology's early adopters, a small but enthusiastic bunch, made the move to e-books quickly and in a concentrated period.
  • the shift from e-readers to tablets may also be dampening e-book purchases
  • The fact that an e-book can't be sold or given away after it's read also reduces the perceived value of the product.
  • ...2 more annotations...
  • Screen reading seems particularly well-suited to the kind of light entertainments that have traditionally been sold in supermarkets and airports as mass-market paperbacks.
  • Readers of weightier fare, including literary fiction and narrative nonfiction, have been less inclined to go digital. They seem to prefer the heft and durability, the tactile pleasures, of what we still call "real books"—the kind you can set on a shelf.
Michel Roland-Guill

5 Reasons Physical Books Might Be Better Than E-Books | Mental Floss - 0 views

  • It found that "enhanced" e-books might be distracting. Kids who read enhanced e-books—ones with interactive, multimedia experiences—were more engaged with them physically, but in the end they remembered fewer narrative details than those who read print books or basic e-books
  • And some studies have found that part of the difference between the way people absorb information from e-books versus paper might be due to approaching e-books differently—in one test, participants didn’t regulate their study time with digital books like they did with paper texts, leading to worse performances.
Michel Roland-Guill

The future is digital book discovery, not distracting gimmicks | The Passive Voice | A ... - 0 views

  • Kelly paints a future where access to content is free and immediate, discovery of it is personalised and social, consumption of it is fragmented, and everything is interlinked.
  • eBook sales are down 13%, audiobooks are up 38%, colouring books are up 1,100% (!), and – according to most analysts – sales of regular books are back in the black. This wasn’t the world we expected. Your stuff may be easier to acquire (thanks to the cloud and Amazon Prime) and consume (thanks to smartphones, a reading category that’s grown by 7% this year), but the core product – the book – is no more shareable or fluid than it was when Wired Magazine first hit the shelves in 1993.
« First ‹ Previous 181 - 200 Next › Last »
Showing 20 items per page