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Thierry Marcou

Interstices - L'intelligence artificielle, mythes et réalités - 0 views

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    "Au final, l'intelligence artificielle est un champ de recherche extrêmement fécond, qui a enfanté à son tour de très nombreux champs de recherche, que ce soit en reconnaissance de la parole, en algorithmes pour la génétique, en fouille de données, en vision par ordinateur, en réseaux de neurones artificiels, en apprentissage machine, etc. L'IA « canal historique » a permis de concevoir de très nombreux algorithmes que l'on retrouve aujourd'hui dans un très grand nombre d'applications grand public. Et si aujourd'hui on ne les appelle plus IA, ils en sont pourtant les héritiers directs. C'est d'ailleurs là une des malédictions de l'IA, car dès qu'un algorithme fonctionne, on a tendance à lui retirer sa filiation. En effet, si une machine sait le faire, c'est qu'il ne s'agit plus d'intelligence !"
Thierry Marcou

Faut-il craindre l'Intelligence Artificielle ? - INNOVATION - l'ADN - 0 views

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    "Plus généralement, on pense que la science est à l'aube d'une révolution considérable. Dans les démarches expérimentales classiques, on part d'une hypothèse scientifique, on construit un dispositif matériel, on recueille des observations qui se confrontent à ce qu'anticipe la théorie, ce qui permet de repenser la théorie elle-même. C'est le cycle expérimental présenté depuis Galilée, depuis le début de l'âge moderne, qui est exprimé très clairement par des gens comme Claude Bernard. La science avance sur ce schéma-là et aujourd'hui, tout change, puisque les données sont produites de façon systématique. Elles sont engendrées soit parce qu'il y a des capteurs, par exemple un radiotélescope qui prend d'énormes quantités de données, ou parce qu'il y a des Hommes qui vont envoyer des données systématiques : on appelle ça le crowdsourcing. Cela transforme l'activité scientifique dans énormément de domaines, que ce soit la biologie, la physique les sciences du climat... C'est ça, je crois, le plus important et qui fait que l'Intelligence Artificielle, cumulée au machine learning, devient centrale. Il ne s'agit pas de recréer un double de nous-même, ça relève de la science-fiction, des fantasmes. C'est une crainte qui est ancrée dans le cœur de l'Homme depuis extrêmement longtemps."
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    "Plus généralement, on pense que la science est à l'aube d'une révolution considérable. Dans les démarches expérimentales classiques, on part d'une hypothèse scientifique, on construit un dispositif matériel, on recueille des observations qui se confrontent à ce qu'anticipe la théorie, ce qui permet de repenser la théorie elle-même. C'est le cycle expérimental présenté depuis Galilée, depuis le début de l'âge moderne, qui est exprimé très clairement par des gens comme Claude Bernard. La science avance sur ce schéma-là et aujourd'hui, tout change, puisque les données sont produites de façon systématique. Elles sont engendrées soit parce qu'il y a des capteurs, par exemple un radiotélescope qui prend d'énormes quantités de données, ou parce qu'il y a des Hommes qui vont envoyer des données systématiques : on appelle ça le crowdsourcing. Cela transforme l'activité scientifique dans énormément de domaines, que ce soit la biologie, la physique les sciences du climat... C'est ça, je crois, le plus important et qui fait que l'Intelligence Artificielle, cumulée au machine learning, devient centrale. Il ne s'agit pas de recréer un double de nous-même, ça relève de la science-fiction, des fantasmes. C'est une crainte qui est ancrée dans le cœur de l'Homme depuis extrêmement longtemps."
marinealbarede

T'as d'beaux yeux-caméras, tu sais - Libération - 1 views

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    Un corps truffé de composants artificiels… Les surhommes sont un futur business. Dans Google Démocratie, David Angevin, journaliste, et Laurent Alexandre, médecin et fondateur de Doctissimo.fr, ont imaginé un monde très proche - en l'an 2018 - où des centres de génomique permettront de suivre des cures de cellules souches et des thérapies géniques. Mais ce futur des interventions de la science sur l'humain pourra aussi s'incarner dans l'implantation croissante de composants artificiels dans le corps.
Aurialie Jublin

Body hacking : l'homme artificiellement augmenté est-il plus libre ? - #POLIT... - 2 views

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    "Depuis les années 70, utopies et cultures numériques ont imaginé l'image d'un homme plus libre, dégagé de nombreuses contraintes dans un monde ouvert. Le « Body hacking », c'est le corps augmenté, libéré de ses propres limites. C'est la transformation volontaire du corps par l'implantation de technologies et de composants artificiels dans la chaire. Autrement dit, c'est un peu le corps en open source, librement modifiable, améliorable, amendable. Certains se sont fait implanter des puces RFID. D'autres, voyant les performances exceptionnelles du coureur handicapé Oscar Pistorius pourraient même rêver de s'amputer volontairement pour remplacer leurs membres par des prothèses bien plus efficaces... Le « body hacking » peut-il libérer l'homme de ses propres contraintes ?"
justinecoubard

III] Les limites de la production et de l'utilisation du sang synthétique : l... - 1 views

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    C'est pour ces raisons que le sang artificiel sera une bonne alternative au sang naturel.Le sang artificiel est une solution envisageable puisqu'il permettrait de supprimer les risques d'incompatibilité de groupe sanguin et donc éviter une réaction hémolytique.
Thierry Marcou

L'intelligence artificielle n'aura pas lieu. | Scilogs.fr :Intelligence mécan... - 0 views

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    Un article de Nicolas Rougier de l'Inria et correspondant Bodyware "Un premier courant symbolique considère la machine comme un système de manipulation de symboles qui peut être utilisé pour instancier des représentations formelles du monde. Il repose sur la logique, se faisant ainsi l'héritier des rationalistes, et sa philosophie peut se résumer à la volonté de construire un esprit ("making a mind"). Mené par Allen Newell et Herbert Simon, ce courant symbolique stipule que l'intelligence repose sur la notion de symbole. Le deuxième courant connexionniste considère en revanche la machine comme un support de la modélisation du cerveau offrant les capacités nécessaires pour simuler les interactions entre les neurones. Il repose sur le domaine des statistiques et sa philosophie peut se résumer à la volonté de modéliser le cerveau ("modelling the brain"). Ce courant connexionniste mené par, entre autres, Frank Rosenblatt propose une vision numérique du traitement de l'information et s'oppose à l'hypothèse symboliste. Aujourd'hui, nous savons que l'intelligence humaine ne se réduit pas à une simple manipulation des symboles. L'expérience du monde physique, au travers du corps, est un élément essentiel du développement de la cognition. C'est ce qu'on appelle la cognition incarnée et les plus gros défis de l'intelligence artificielle se situe aujourd'hui dans ce domaine."
Thierry Marcou

Nemesis TV - Le transhumanisme : comment l'intelligence artificielle va prendre le pouvoir - 0 views

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    Le transhumanisme vu par Arte
Thierry Marcou

Un agriculteur chinois fabrique ses propres bras bioniques - 0 views

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    "Sun Jifa, un agriculteur de la province du Jilin (nord-est de la Chine), est devenu une star à l'échelle nationale : ayant perdu ses mains il y a neuf ans en pêchant à l'explosif, cet homme de 53 ans s'est fabriqué ses propres prothèses afin de pouvoir continuer à travailler dans son exploitation. Complètement autodidacte, il assure avoir depuis vendu plus d'un millier de prothèses artisanales, à un dixième du prix auquel s'acquiert normalement ce type de membre artificiel en milieu hospitalier."
Aurialie Jublin

Peut-on faire confiance à un pancréas artificiel open source contre le diabèt... - 0 views

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    "Faute de solution industrielle homologuée par les autorités sanitaires, des malades atteints de diabète de type 1 s'en remettent à une solution open source pour réguler leur taux de glucose dans le sang, avec une pompe à insuline connectée. Mais est-ce raisonnable ?"
Thierry Marcou

Laurent Alexandre : "La stratégie secrète de Google apparaît…" - leJDD.fr - 1 views

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    "Regardez la vague de rachats de start-up et de sociétés auxquels Google procède! En deux ans, cette entreprise a réussi à préempter trois marchés clés. Celui de la lutte contre la mort : elle a créé Calico, une filiale qui a cet objectif fou d'augmenter l'espérance de vie de vingt ans d'ici à 2035. Elle a investi dans le séquençage ADN avec sa filiale 23andMe, mais aussi dans un projet de lentilles intelligentes pour les diabétiques, qui mesurent en temps réel votre glycémie. Parallèlement et en moins d'un an, Google a racheté les huit principales sociétés de robotique. Dont Boston Dynamics, qui crée le chien robot "BigDog" pour l'armée américaine, ou Nest, leader mondial de la domotique et des objets intelligents… Pendant ce temps, sa Google Car, un mélange incroyable de robotique et d'intelligence artificielle, roule seule sur des milliers de kilomètres sur les routes de Californie sans accident. Si en l'an 2000 vous évoquiez l'idée d'une voiture robot autonome, tout le monde riait! En 2025, elle sera démocratisée. Enfin, depuis quelques années, Google débauche les plus grands noms de l'intelligence artificielle. Comme Ray Kurzweil, le "pape" du transhumanisme, qui vient d'être nommé ingénieur en chef du moteur de recherche."
Thierry Marcou

La levure future super OGM ? - 0 views

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    "La revue n'hésite pas à parler de «Mont Everest» de la biologie synthétique avec cette publication. Motif ? Il s'agit du «premier chromosome d'eucaryote» artificiel. L'un des seize chromosomes de la levure du boulanger, Saccharomyces cerevisiae pour les biologistes. Un micro-organisme utilisé pour faire du pain, de la bière, ou dans les productions de bioéthanol en fermenteur industriel. Mais également l'outil de base de la génétique des eucaryotes dans les laboratoire de biologie moléculaire du monde entier, apprécié pour sa robustesse et sa capacité à recopier l'ADN. «La levure c'est pratique, pas cher, robuste… un peu l'outil à tout faire», explique Romain Koszul (Cnrs, Institut Pasteur) l'un des 80 signataires de l'article de Science. Une équipe internationale, surtout américaine (John Hopkins University à Baltimore) dirigée par Jef Boeke (New-York University), mais où plusieurs groupes français (Cnrs, Université Pierre et Marie Curie) se sont glissés."
Thierry Marcou

Quand votre psy sera un ordi - HOMME + - l'ADN - 1 views

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    "Les thérapeutes bientôt remplacés par du machine learning ? Avant d'en arriver à cette extrémité, l'Intelligence Artificielle pourrait s'avérer un précieux soutien : du moins c'est ce que pense Talkspace en s'associant à IBM Watson."
Thierry Marcou

Qui a peur de l'intelligence artificielle ? - 0 views

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    "L'une des applications de l'apprentissage profond est de permettre à tout un chacun de dialoguer avec un ordinateur en langage naturel. Il n'y a qu'un pas à franchir pour assimiler le résultat du deep learning à un supercerveau à qui l'on cause! Mais pour cela, il serait indispensable d'inculquer à la machine une forme de « sens commun », de compréhension du monde… ce qui lui manque absolument. "
Thierry Marcou

L'intelligence artificielle Watson d'IBM pensera en français en 2016 - 0 views

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    "Jérôme Pesanti"
Thierry Marcou

Un Super Mario doté d'une intelligence artificielle joue en fonction de ses é... - 0 views

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    Mario est intelligent, et il parle comme Stephen Hawking !
Thierry Marcou

LYON * Priorité donnée à l'innovation | Courrier international - 4 views

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    ""Nos peaux reconstruites sont produites à partir de déchets humains, explique Céline Morel. La matière première provient de résidus opératoires, souvent de chirurgies plastiques, essentiellement de plasties abdominales, réalisées dans les hôpitaux de la région. Les cellules qui nous intéressent sont extraites et testées. Il n'est pas question d'utiliser des échantillons contaminés. Une fois isolées, ces cellules sont multipliées sur divers types de support, dont du collagène. Elles sont bien entendu 'nourries' au cours de leurs diverses phases de développement en fonction du produit recherché. Lorsque la peau reconstituée est prête à être utilisée, nous la figeons dans un gel." Il faut une à quatre semaines pour produire des échantillons de peau opérationnels. Une fois figés dans un gel, ils sont expédiés par séries, sur des plaquettes. Leur durée de vie effective est alors de deux à trois semaines, durant lesquelles ces échantillons sont prêts à être "maltraités" - le but de l'opération consistant à tester les cosmétiques et leurs composants, notamment en matière de toxicité."
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