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Aurialie Jublin

Un documentaire sur les hackers d'ADN - LeMonde - 2 views

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    Les manipulations génétiques ne sont plus réservées aux labos académiques. Une jeune génération de bricoleurs d'ADN émerge, dans les garages, dans les caves. Leurs projets sont surprenants, leur liberté de ton détonne. Le réalisateur Nicolas Six a rencontré pour Le Monde.fr trois "hackers" d'ADN, Cathal, Claire et Thomas, qui exposent leur démarche dans un documentaire interactif. A retrouver à partir du 8 juillet sur www.lemonde.fr/adn
Thierry Marcou

Non, les données de de santé publique ne sont pas cachées - 0 views

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    "La France dispose d'une base de données médico-administratives concernant plus de 60 millions de personnes gérée par la Caisse nationale d'Assurance maladie, vraisemblablement sans équivalent au monde : le Système d'information inter-régimes de l'Assurance maladie (SNIIR-AM), couvrant de façon exhaustive et permanente l'ensemble de la population. Elle est alimentée des informations générées par la prise en charge de la totalité des consommations de soins et des hospitalisations en France. Elle contient des données très détaillées, malgré certaines limites ; par exemple elle ne comporte quasiment pas de données sur la situation socioéconomique des bénéficiaires. Cette base de données est gigantesque et d'une très grande complexité. Quelques chiffres permettent d'en mesurer l'ampleur : 1,2 milliards de feuilles de soins gérées chaque année, une volumétrie de 450 téraoctets, ce qui classe le SNIIR-AM parmi le TopTen des plus grosses bases de données mondiales. On conçoit qu'une telle base de données, alimentée quotidiennement, ne soit pas d'une gestion et d'un accès facile, d'autant qu'il s'agit de données de santé considérée comme " sensibles " au sens de la loi Informatique et libertés, et à ce titre particulièrement sécurisées."
Aurialie Jublin

Body hacking : l'homme artificiellement augmenté est-il plus libre ? - #POLIT... - 2 views

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    "Depuis les années 70, utopies et cultures numériques ont imaginé l'image d'un homme plus libre, dégagé de nombreuses contraintes dans un monde ouvert. Le « Body hacking », c'est le corps augmenté, libéré de ses propres limites. C'est la transformation volontaire du corps par l'implantation de technologies et de composants artificiels dans la chaire. Autrement dit, c'est un peu le corps en open source, librement modifiable, améliorable, amendable. Certains se sont fait implanter des puces RFID. D'autres, voyant les performances exceptionnelles du coureur handicapé Oscar Pistorius pourraient même rêver de s'amputer volontairement pour remplacer leurs membres par des prothèses bien plus efficaces... Le « body hacking » peut-il libérer l'homme de ses propres contraintes ?"
Thierry Marcou

"La liberté d'utiliser ou de repousser la technologie est inexistante aujourd... - 5 views

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    De quoi le transhumanisme est-il le nom ? Nietzsche aurait répondu : d'un immense dégoût de vivre. Croire qu'une technologie puisse nous rendre plus heureux traduit une immense fatigue d'être.
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    "De quoi le transhumanisme est-il le nom ? Nietzsche aurait répondu : d'un immense dégoût de vivre. Croire qu'une technologie puisse nous rendre plus heureux traduit une immense fatigue d'être. Il faut réellement mettre à jour l'économie de désir à l'œuvre derrière le transhumanisme. C'est un mouvement morbide."
Aurialie Jublin

Le transhumanisme français : que des surhommes, pas de sous-hommes | Rue89 - 2 views

  • Mais pour Jean-Michel Besnier, philosophe des technologies d’information et de communication et enseignant à la Sorbonne, le transhumanisme avance masqué. Hostile au mouvement, il l’accuse de se servir de l’argument du handicap et des maladies pour servir un autre objectif : réaliser le vieux fantasme du XVIIe siècle selon lequel la science serait l’instrument du bonheur, un outil au service d’une réalisation pleine et entière de l’homme
  • « Ce que veut le transhumanisme, ce n’est pas parfaire l’humanité, mais nous arracher à l’humanité. Faire de nous des êtres qui ne naîtront plus mais qui seront fabriqués, lisser la vie psychique, ne plus vieillir grâce au téléchargement de la conscience, éradiquer la souffrance et donc le plaisir. Le désir, même, alors que c’est le moteur de l’humanité... Arrêtons de dire que c’est au service de l’humanité alors que ce n’est que pour la détruire. »
  • « L’un des risques, c’est qu’une oligarchie s’accapare cette technologie et que nous tombions dans une sorte de dictature. Dans la littérature et les films, le transhumanisme a été développé uniquement sous l’angle de la dystopie et de la peur. C’est nécessaire pour réfléchir, mais il ne faut pas systématiquement être guidé par cette idée. »
  • ...2 more annotations...
  • Dans le technoprogressisme, il n’y aurait donc pas de laissés pour compte, pas de surhommes et de sous-hommes. Ce serait un transhumanisme modéré, conscient des dangers et militant pour une société post-humaine, certes, mais respectant toujours les valeurs humaines fondamentales que sont l’égalité, la liberté et la dignité.
  • Le courant californien a donc toutes les cartes en main : un leader en la personne de Ray Kurzweil, une université (la « Singularity University ») dans la Silicon Valley, ainsi qu’une une totale absence de scrupules ou de réflexion sur les répercussions sociales de leur idéologie, contrairement à son homologue français.
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    Progrès en neurologie, robotique et informatique... Les cyborgs, c'est pour bientôt ? Les transhumanistes en sont persuadés, et militent pour l'homme 2.0.
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