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Financer les actions sociales avec de l'argent privé : tel est l'objectif des obligations à impact social (SIB). La première expérience du genre en Angleterre assurait aux investisseurs un remboursement avec intérêt en cas de succès. Si l'idée a le mérite de proposer une vraie solution alors que les Finances publiques sont au plus bas, soumettre l'action sociale à un objectif d'efficacité pose question. A suivre néanmoins avec intérêt ; la Croix Rouge souhaite y recourir.

Financer les actions sociales avec de l'argent privé : tel est l'objectif des obligations à impact social (SIB). La première expérience du genre en Angleterre assurait aux investisseurs un remboursement avec intérêt en cas de succès. Un pari, somme toute. Si l'idée a le mérite de proposer une vraie solution alors que les Finances publiques sont au plus bas, soumettre l'action sociale à un objectif d'efficacité pose question. A suivre néanmoins avec intérêt ; la Croix Rouge souhaite y recourir.

Située à 50 kilomètres à l'ouest de Paris, entre Epône et Mantes-la-ville, la biocoop du Mantois est l'un des premiers bâtiments commerciaux vraiment écolos d'île-de-France. Solidement isolée, la construction récupère l'eau de pluie, et produit de l'électricité via des panneaux solaires posés sur une toiture joliment végétalisée. Pour réunir la somme nécessaire à la mise en place de cet ambitieux projet, les consommateurs ont été sollicités pour participer au financement. Une quinzaine de salariés ont également pris des parts dans la société !

Située à 50 kilomètres à l'ouest de Paris, entre Epône et Mantes-la-ville, la biocoop du Mantois est l'un des premiers bâtiments commerciaux vraiment écolos d'île-de-France. Solidement isolée, la construction récupère l'eau de pluie, et produit de l'électricité via des panneaux solaires posés sur une toiture joliment végétalisée. Pour réunir la somme nécessaire à la mise en place de cet ambitieux projet, les consommateurs ont été sollicités pour participer au financement. Une quinzaine de salariés ont également pris des parts dans la société !

Concept émergent dans les années 2000 par la révolution numérique marchandée initialement par IBM, la smartcity peine à trouver un modèle économique réel. Si de nombreuses expérimentation sont réalisés, notamment dans le champ de la mobilité, la généralisation de ses services pose des questions en terme de financement, de gestion qui ne sont aujourd'hui pas encore prévues. Les prévisions alléchante de croissance font de la smartcity un thème de prédilection pour l'innovation et les startups. Attention à ne pas se faire aveugler par des estimations trop spéculatives.

Concept émergent dans les années 2000 par la révolution numérique marchandée initialement par IBM, la smartcity peine à trouver un modèle économique réel. Si de nombreuses expérimentation sont réalisés, notamment dans le champ de la mobilité, la généralisation de ses services pose des questions en terme de financement, de gestion qui ne sont aujourd'hui pas encore prévues. Les prévisions alléchante de croissance font de la smartcity un thème de prédilection pour l'innovation et les startups. Attention à ne pas se faire aveugler par des estimations trop spéculatives.

Opérations d'aménagement et évolutions de peuplement sont intimement liés. Dans le cadre du Grand Paris, la faiblesse des finances des collectivités, la course à l'attractivité dans laquelle les pouvoirs publics se lancent et les tentatives de privatisation de morceaux de ville reposent une question essentielle : pour qui construit-on la ville ?

Opérations d'aménagement et évolutions de peuplement sont intimement liés. Dans le cadre du Grand Paris, la faiblesse des finances des collectivités, la course à l'attractivité dans laquelle les pouvoirs publics se lancent et les tentatives de privatisation de morceaux de ville reposent une question essentielle : pour qui construit-on la ville ?

Kutsuplus, le service de transport à la demande d'Helsinki, ouvert en 2010 a dû fermer fin 2015 faute de financement, malgré ses performances et une croissance de 60% sur sa dernière année.

Kutsuplus, le service de transport à la demande d'Helsinki, ouvert en 2010 a dû fermer fin 2015 faute de financement, malgré ses performances et une croissance de 60% sur sa dernière année.

Le rapport annuel de l'Agence Bio montre que tous les feux sont au vert pour l'agriculture biologique en France! En 2016 par rapport à l'année précédente : +20% de bio dans l'alimentation des ménages (soit 7 Mds€) +12% d'exploitants certifiés bio (soit 32.300) +16% de surfaces agricoles (soit 1,5 M ha ; 5,7% de la surface totale agricole) Seule ombre au tableau : les financements : illisibilité des dispositifs, retards accumulés dans les paiements, enveloppe financière insuffisante..

Quand les investisseurs commencent à paniquer.

"comment financer les services publics et les solidarités si la suroptimisation fiscale devient la règle ? Comment faire vivre nos cultures diverses lorsque les effets d'échelle poussent au winner takes all (« le gagnant rafle tout ») ? Comment préserver la personne humaine, à commencer par sa vie privée, lorsque celle-ci devient une monnaie d'échange ?"

Le modèle d'assurance connecté arrive en France avec Allianz. Pas encore de malus lié à une "mauvaise" conduite mais les premiers pas d'une révolution de l'assurance. La France rattrape donc son retard sur ce modèle qui reste encore timide et contestable dans certaines de ses dimensions.

"il n'y a pas de débat sur le modèle de gouvernance qu'on veut associer à la transition énergétique. Les collectivités locales ont ainsi un rôle central à jouer et on assiste à une véritable dynamique de "remunicipalisation" de l'énergie en Europe. "

Pathétiques, ces fuites en avant des infrastructures centralisatrice, élitistes, obsolètes et déficitaires.