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Libération.fr - Le Grand Paris sera ou ne sera pas culturel. - 0 views

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    Le pouvoir de définir ce qui relève ou non de la culture distingue toujours une élite d'une masse, argue le socio-anthropologue Fabrice Raffin. Pour le chercheur, certains professionnels de la culture reconduisent de fait la frontière séparant culture noble et culture populaire. Cependant, parce qu'ils sont partagés par des millions de personnes dans les lieux pouvant être commerciaux, les jeux vidéos, les mangas ou encore les cosplay devraient être reconnus comme dignes d'intérêt, au même titre que les arts "légitimes" plaide-t-il. Ces questions sont intervenues au cours des débats portant sur le Grand Paris et, plus spécifiquement, sur sa capacité à dépasser une dualité culturelle qui sépare aussi le centre de "ses" marges.
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    Le pouvoir de définir ce qui relève ou non de la culture distingue toujours une élite d'une masse, argue le socio-anthropologue Fabrice Raffin. Pour le chercheur, certains professionnels de la culture reconduisent de fait la frontière séparant culture noble et culture populaire. Cependant, parce qu'ils sont partagés par des millions de personnes dans les lieux pouvant être commerciaux, les jeux vidéos, les mangas ou encore les cosplay devraient être reconnus comme dignes d'intérêt, au même titre que les arts "légitimes" plaide-t-il. Ces questions sont intervenues au cours des débats portant sur le Grand Paris et, plus spécifiquement, sur sa capacité à dépasser une dualité culturelle qui sépare aussi le centre de "ses" marges.
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Pourquoi ouvrir les parcs la nuit ? - Sortir - Télérama.fr - 0 views

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    " La mesure (50 % des espaces verts ouverts 24h/24 les vendredis et samedis depuis mai et tous les jours en juillet-août - NDLR) répond à notre politique d'ouverture et de réappropriation de l'espace public par les habitants"
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    " La mesure (50 % des espaces verts ouverts 24h/24 les vendredis et samedis depuis mai et tous les jours en juillet-août - NDLR) répond à notre politique d'ouverture et de réappropriation de l'espace public par les habitants"
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Mexico bannit les voitures de ses rues un jour par semaine - 0 views

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    Pour faire face aux pics de pollutions majeurs, Mexico a décidé d'interdire la circulation aux voitures dans son centre-ville un jour par semaine et un samedi par mois jusqu'au mois de juin. Avec un tiers de son parc automobile âgé de plus de 20 ans, et une position géographique enclavée, Mexico est gangrénée par la pollution. Pour la première fois en 10 ans, la municipalité a déclenché une alerte à la pollution suite à des taux deux fois supérieurs à la norme acceptable.
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    Pour faire face aux pics de pollutions majeurs, Mexico a décidé d'interdire la circulation dans son centre-ville aux voitures un jour par semaine et un samedi par mois jusqu'au mois de juin. Avec un tiers de son parc automobile âgé de plus de 20 ans, et une position géographique enclavée, Mexico est gangrénée par la pollution. Pour la première fois en 10 ans, la municipalité a déclenché une alerte à la pollution suite à des taux deux fois supérieurs à la norme acceptable.
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The MIT Press - The New Science of Cities The MIT Press - 0 views

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    Michael Batty dans The New Science of City . Il explique que la ville gagne en complexité lorsque la qualité et la densité des connexions entre ses constituants élémentaires se transforment. Toutefois, ce n'est pas tant le nombre d'éléments constitutifs du système qui importe, mais bien la nature et la densité des relations entre eux. Aussi, il est certes important d'avoir de nouveaux composants mais il faut surtout surveiller le maillage qui s'opère car il n'est pas neutre sur le fonctionnement et les propriétés du système. Il peut y avoir de grands systèmes inefficaces et au contraire de petits systèmes plus performants parce que plus résilients par exemple. La taille, cet impensé !
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CNRS - Ca veut dire quoi, être en vacances ? - 0 views

  • Aujourd'hui, nous consacrons seulement 14 % de notre vie éveillée au travail... contre 70 % au XIXe siècle.
  • « Des vacances où l’on ne fait rien, cela n’a jamais existé », affirme le sociologue Jean Viard
  • “Faire des ruptures est nécessaire à la productivité, indique Jean Viard. Croire qu’on produit beaucoup parce qu’on travaille beaucoup est une absurdité.”
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    Le CNRS nous offre une brève perspective historique sur les vacances, avec des références pour aller plus loin. En bref : nos "congés" sont loin de s'apparenter à de l'inactivité, ils sont au contraire de plus en plus remplis !
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    Le CNRS nous offre une brève perspective historique sur les vacances, avec des références pour aller plus loin. En bref : nos "congés" sont loin de s'apparenter à de l'inactivité, ils sont au contraire de plus en plus remplis !
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lemonde - Dans le métro comme au boulot - 0 views

  • le concept des cinq bus-cafés créés à San Francisco par la start-up Leap, début avril. Un idyllique deux-en-un – monnayé cinq fois le prix d’un billet de bus classique – mais suspendu, fin mai, par les autorités parce qu’il contrevient aux lois du pays.
  • Si près de la moitié des usagers privilégient la lecture lors de leur temps de transport, deux sur dix répondent à leurs SMS et courriers électroniques (sondage CSA pour Direct Matin, janvier)
  • « C’est l’endroit où je peux me concentrer le plus dans la journée. Cela paraît bête, mais ce sont des instants calmes où je peux travailler sereinement. »
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  • « Mon travail empiète toujours un peu plus sur un moment qui pourrait être consacré à autre chose, déplore Cécile. J’envie, parfois, les personnes plongées dans un bon livre. »
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    32 % des actifs franciliens passent plus de 45' dans les transports, à l'aller et au retour (Insee, avril 2011), un temps qu'ils cherchent à optimiser par le travail en transport.
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legazette - La métropole, "bonne échelle pour développer le service public lo... - 0 views

  • veiller à une évolution en continu des infrastructures de collecte, de diffusion et de production de données.
  • identifier la manière de créer de la valeur sur le territoire à partir de ces données, en améliorant leur diffusion et leur exploitation, en lien avec les chefs de projet numérique de la métropole et les start-ups locales.
  • Le troisième relève de l’animation de la communauté, nous passons notamment via notre outil de travail au quotidien, le TUBÀ, un espace ouvert dédié à la création des services publics de demain. Il nous permet de rencontrer les utilisateurs, de connaître leurs besoins et de travailler à la diffusion des données.
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  • Nous les avons découpés en trois volets. Le premier consiste à développer l’accès au patrimoine informationnel de la métropole, et donc à faire évoluer notre plate-forme.
  • La solution ne serait-elle pas de travailler main dans la main avec Google, ce que nous faisons, dans un sens ? C’est aussi un potentiel de création de services, on le voit dans les villes qui ont ouvert leurs données à Google
  • La troisième partie porte sur l’acquisition de données. Jusqu’à présent, nous étions plutôt sur des stratégies d’opportunités, c’est-à-dire que, dans le cadre d’un projet, comme Optimod’Lyon
  • Moovit exploite nos données et celles de nos partenaires en temps réel, après avoir signé la licence, et les enrichit avec le retour de ses utilisateurs.
  • Second point, nous souhaitons accompagner la réutilisation des données par nos réutilisateurs, à travers le TUBÀ, par des hackathons, des challenges, des meet-ups…  Nous avons aussi un projet avec la Fing baptisé MesInfos, et portant sur le “selfdata”, que nous allons essayer de valider.
  • L’objectif est vraiment de poser la métropole comme le porteur du service public de la donnée sur son territoire et au travers des tests, de faire la preuve d’un service et ensuite de le porter sur le territoire national.
  • Nous allons d’ailleurs nous rapprocher de la CNIL. C’est une question d’efficience du service public. Nous essayons également d’être force de proposition et territoire d’expérimentation, par exemple sur les taxis ou sur le développement d’un moissonneur de nos données autre que géographiques qui serve à d’autres collectivités.
  • Sous “licence engagée /Engaged license avec authentification des réutilisateurs (annexe 2 / appendix 2), visant à s’assurer que les réutilisations soient compatibles avec les politiques publiques sur la base des données de l’annexe 1 / appendix 1. Il s’agit d’éviter, par exemple, que le trafic routier soit envoyé devant des écoles parce que l’axe principal situé dans une rue parallèle est indiqué saturé. Cette licence permet des échanges entre le Grand Lyon et les réutilisateurs afin de mieux connaître les usages prévus et mieux comprendre les données”;
  • sous « licence associée / associated license visant à garantir un écosystème concurrentiel équitable, en évitant la formation de monopoles. Pour cela, cette licence outre l’authentification du réutilisateur (annexe 2 / appendix 2), introduit la possibilité d’une redevance en fonction d’un seuil élevé du taux de pénétration du produit ou du service créé
  • Nathalie Vernus-Prost est la première administratrice générale des données (AGD) en collectivité, nommée en avril 2015 au sein de la métropole de Lyon.
  • Notre système de licence est un vrai facteur vertueux. Nous avons le sentiment de faire en sorte que les partenaires privés participent à l’intérêt général. Je ne sais pas si nous aurions pu entamer notre échange avec Google sans lui.
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    "la collectivité s'est positionnée comme un animateur des producteurs de données, avec une plate-forme unique d'accès, dans un cadre de confiance. Les licences les rassurent et les encouragent à cette ouverture, car ils connaissent leurs réutilisateurs."
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