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Laurent Bordet

Le cœur de l'enseignement supérieur bascule-t-il vers d'autres horizons ? | L... - 0 views

  • le cœur de l’enseignement supérieur mondial n’est-il pas en train de basculer vers l’extrême orient et le sud ?
  • La « vieille Europe » se retrouve coincée entre les deux grandes puissances avec lesquelles ses relations ne sont pas au beau fixe : des Etats-Unis sur la défensive et une Chine flamboyante.
  • 1. Le Qatar renforce son campus d’excellence tout comme Dubaï, Singapour ou la Malaisie.
  • ...10 more annotations...
  • Sur le modèle de Singapour, les émergents misent sur la matière grise et l’innovation pour se développer et rendre leur territoire mondialement attractif. « L’innovation est essentielle pour améliorer tant l’accès à l’éducation que sa qualité », a rappelé le président de Wise.
  • Education hubs comme l’explique le journal « Le Monde » daté du 10/11/2011 (pp. 16-17) «bousculent la planète universitaire » :
  • créés à Dubaï, Singapour ou au Qatar », ils redessinent la géographie de la connaissance.
  • 2. L’EFMD accrédite l’Afrique.
  • Même si les écoles africaines n’ont pas encore atteint les standards internationaux, elles s’en rapprochent de plus en plus. Les écoles de commerce de Casablanca, d’Ifrane, d’Alger ou de Dakar occupent la tête du classement africain (hors Afrique du sud) réalisé par Jeune Afrique
  • La question, pour les étudiants africains se posera, à terme, entre un séjour en Afrique du sud, au Maroc ou en France
  • 3. Les business schools chinoises ciblent nos étudiants.
  • Les écoles de commerce chinoises ciblent les étudiants occidentaux par un recrutement agressif.
  • mais révèlent un changement profond du paysage de l’enseignement supérieur à l’échelle mondiale
  • a concurrence en matière d’enseignement supérieur se situe, aujourd’hui, à l’échelle mondiale. J’ai expliqué ce phénomène maintes fois dans ce blog. - Quelles réponses apporter ? Faut-il prendre le risque de poursuivre notre modèle concurrentiel construit autour de baronnies et de cloisonnements ou opter pour un modèle collaboratif et ouvert ? A l’avenir, les étudiants décideront de leur parcours à une échelle qui mettra l’offre des formations supérieures hexagonale au même niveau que celles offertes à l’étranger. - Le développement des écoles doit accompagner celui des entreprises. L’étudiant (français ou étranger) choisira son établissement en fonction de la qualité des relations écoles-entreprises qu’il entretiendra au plan national et international. Ayons une vision mondiale et ouverte, ne pas accepter cette mutation, c’est voire notre influence et notre positionnement décliner. *Les organismes de référence en matière d’accréditation des business schools sont les suivants : l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business), l’EFMD (European Foundation for Management Development, Equis ou Epas) et l’AMBA (Association of MBAs). Share and Enjoy: Tags: Afrique, Chine, Enseignement supérieur Article du on Jeudi, novembre 10th, 2011 at 10:57 dans la rubrique Enseignement supérieur, géopolitique. Pour suivre les flux RSS de cet article : RSS 2.0 feed. Vous pouvez laisser un commentaire , ou un trackback sur votre propre site. « Et pourquoi pas un G20 Education ? Laisser un commentaire Name (required) Mail (will not be published) (required) Website Un blog A propos du Blog Tous les blogs Educpros Charte du blog Flux RSS Pages À propos Géopolitique Articles récents Le cœur de l’enseignement supérieur bascule-t-il vers d’autres horizons ? Et pourquoi pas un G20 Education ? Quand broyer du noir n’est pas forcément synonyme de morosité L’enjeu des compétences métier Relations étudiants/entreprises : il faut s’attendre à des surprises. Catégories Conjoncture économique Voir tous les articles classés dans diversit
Laurent Bordet

Le Figaro - France : Les anciens étudiants, radins envers leurs facs - 0 views

  • Un sondage réalisé en octobre par Opinionway à la demande d'une agence de collecte de fonds démontre que seuls 7% des 601 diplômés de l'enseignement supérieur interrogés ont déjà donné une somme d'argent
  • le «terrain» n'est pas fermé en France, selon ce sondage qui révèle que les anciens se sentent attachés à leur établissement.
  • Ce sentiment varie de 58% à l'égard de l'université à plus de 80% pour les anciens étudiants en école de commerce et d'ingénieurs.
  • ...7 more annotations...
  • : 41% estiment ainsi «qu'il est normal de faire des dons à son école ou à son université pour participer à son développement et à son rayonnement».
  • Reste que 80% des diplômés n'ont jamais été sollicités ou n'ont jamais pensé passer à l'acte.
  • Pourquoi les autres ne donnent-ils pas ? Principalement parce qu'ils n'ont jamais été sollicités (52%) voire parce qu'ils n'en ont pas les moyens (43%). Et 18% se disent aussi hostiles au financement privé des établissements...
  • Pour les universités, la difficulté est grande car elles n'ont pas de communauté constituée d'anciens élèves.
  • Université de Toulouse I Capitole de 1999 a 2004. Des amphis poussiéreux et inconfortables, des sièges qui grincent ou qui se relevent en claquant bruyamment, des couloirs lugubres, de ordinateurs dignes de l'ex RDA, des plafonds et des murs craquelés, des lumières blafardes, un service d'information et d'orientation fantôme, ou la potiche qui vous accueille ne connait pas la différence entre un DEA et un DESS ( a l'époque , avant la réforme des Masters ) etun enseignement théorique et prétentieux, à des années lumières des attentes des entreprises et des compétences réclamées sur le marché du travail. A l'issue de 5 années passées entre ces murs glauques, 3 ans de galère de CDD en intérim, en petits boulots et postes de sous fifre pour finalement décrocher un emploi digne de ce nom, correctement rémunéré, et avec un vague rapport avec les études réalisées.
  • Je viens d'un milieu ouvrier et j'ai eu la chance de faire bonnes études universitaires quasi-gratuites qui m'ont permis de prendre l'ascenseur social. Je suis aujourd'hui cadre supérieur, reconnu dans mon domaine d'expertise. Je dis bien humblement, n'en déplaise aux libéraux pur sucre, que je n'y serais pas arrivé dans un pays où l'université est payante. Je suis reconnaissant au système universitaire français.
  • Depuis 5 ans, je suis chargé de cours dans un master II et je ne perçois pas la rémunération correspondante. C'est une façon de renvoyer l'ascenseur, agréable, car l'enseignement est aussi un plaisir. Si cela vous tente, contactez vos anciens profs, ils sont demandeurs.
  •  
    Intéressant, surtout la partie réaction... A méditer
Laurent Bordet

Ne lisez pas l'enquête Masters 2008 | Histoires d'universités - 0 views

  • Ils sont donnés université par université, pour 4 grands types de discipline, chacune d’entre elles comportant plusieurs sous-disciplines. 4 indicateurs sont retenus pour mesurer la qualité du devenir professionnel : taux d’insertion, taux de cadres et de professions intermédiaires, taux d’emplois stables, taux d’emplois à temps plein.
  • résultats en ligne ne permettent pas de mesurer la qualité du devenir professionnel des diplômés 2008. Pourquoi ? Parce que la méthodologie de l’enquête a “éliminé” la majorité d’entre eux. Combien de diplômés de master en 2008 ? L’indicateur 8.18 des RERS 2010 donne la réponse : 22.140 diplômés de masters “recherche”, 65.221 de masters
  • La note méthodologique précise que 38% seulement des diplômés de master ont été retenus par l’enquête nationale
  • ...4 more annotations...
  • fessionnels”, 7.069 de masters “indifférenciés”, soit un total de 94.430 diplômés.
  • Combien de répondants ? 24.549. Mais où sont donc passés les 70.000 autres diplômés ? Certains se sont éliminés d’eux-mêmes (le taux de réponses - 68% - est plutôt bon). Les autres ont été évincés par la méthodologie de l’enquête.
  • éviction des diplômés étrangers, des diplômés en formation continue, des diplômés qui ont poursuivi des études immédiatement après l’obtention de leur diplôme ou repris des études avant le 1er décembre 2010
  • Surprenant ! L’ORESIPE de Strasbourg publie des fiches détaillées pour 49 Masters : excellent résumé des résultats en deux pages(mais il y a le problème de taux de réponses insuffisant).
Laurent Bordet

La fac ? Tu raques ! - Résultat d'exploitation(s) - 0 views

  • C'est que le financement des études pose un problème majeur. Le cycle de vie peut-être vu en "U". De la naissance au premier emploi, l'individu coûte à la société. Ensuite, il a un emploi et contribue au fonctionnement de celle-ci. Enfin, à partir de la retraite, il devient à nouveau un coût.
  • les études supérieures sont financées par l'impôt. Les étudiants qui "consomment" le plus d'études sont ceux qui auront les plus gros revenus et qui paieront le plus d'impôts pour financer les études de leurs successeurs. Est-ce forcément vrai ? Le hic, c'est que si 55% des étudiants accèdent à l'enseignement supérieur, c'est vrai pour 84% des enfants d'enseignants, 80% des enfants de cadres mais seulement 36% des ouvriers non qualifiés.
  • Enfin, la non-sélection à l'entrée de l'université engendre un taux d'échec très élevé en 1ère année (25% de redoublement, 25% de sortie de l'université). Enfin, à la sélection purement académique s'ajoute une sélection par l'argent : les étudiants qui ne peuvent vivre décemment (logement, nourriture) sont contraints d'arrêter ou de raccourcir leurs études.
  • ...4 more annotations...
  • a manne servant aujourd'hui à payer les universités est convertie de façon à payer à tous les étudiants, quel que soit le niveau de ressources de leurs parents, un "revenu d'autonomie". Les 25 Mds€ de budget actuels pourraient permettre d'allouer 800€/mois/étudiant.
  • ertains pourront rembourser aisément le prêt mais d'autres, à cause d'un "rendement trop faible" de leur diplôme ou d'accidents ou de choix de vie, ne le pourront pas. Il faut alors aménager la possibilité d'un effacement partiel ou total de la dette. Celui-ci doit être relativement "fin" pour éviter l'aléa moral
  • certains prêts pour imposer un "numerus clausus" soft sur certaines filières à faibles débouchés. Plus globalement, cela pourrait être un moyen de canaliser les étudiants vers les filières les plus utiles pour la communauté. Un choix qui serait très explosif politiquement ou socialement d'autant que cela reviendrait à donner plus de choix (d'aller vers des filières "bouchées" ceci dit) aux plus riches.  
  • ais nous avons tort de considérer le système etat-uniens comme totalement pervers et le nôtre, basé sur la liberté et une apparente quasi-gratuité, totalement vertueux. Surtout, notre système a le grand tort d'occulter totalement la question de la vie extra-scolaire de l'étudiant et transforme ceux-ci en nouveaux pauvres.  Un choix guère acceptable alors que la formation est un ingrédient indispensable de notre future compétitivité.
Laurent Bordet

"Il ne faut pas avoir peur de venir à l'université" - LeMonde.fr - 0 views

  • Un site est entièrement dédié aux lycéens et un DVD présentant toutes les facettes de l'université est diffusé dans les lycées.
  • Nous avons aussi la chance d'avoir une école d'ingénieurs au sein de l'université : Polytech Nantes. Nos étudiants en sciences peuvent pendant deux ans suivre des cours supplémentaires en sciences de l'ingénieur et avoir ensuite accès aux douze écoles du réseau Polytech.
  • Qu'apporte l'université que ne donnent pas forcément les prépas ? D'abord le sens de l'autonomie que nos étudiants apprennent à développer très tôt. Ensuite une pédagogie différente pas fondée sur le bachotage, à l'exception évidemment de la première année de médecine
  • ...4 more annotations...
  • Nous accordons ainsi plus de 200 000 € par an de subventions directes auprès de 140 associations recensées sur nos campus. Les projets sont divers et inventifs : solidarité locale, sport, culture, convivialité, international, média...
  • C'est une hérésie, un master devrait être un continuum sur deux ans. Là il y a une barrière entre les deux qui sanctionne des étudiants au milieu du gué. La législation actuelle date d'avant le LMD et n'a pas été modifiée : elle autorisait alors un accès libre en maîtrise, et imposait une sélection à l'entrée des DEA et DESS. La première barrière de sélection ne se fait donc qu'en M2. Il faudrait que la sélection se fasse dès le M1.
  • L'insertion professionnelle fait maintenant partie des missions de l'université. Pouvez-vous dresser un premier bilan de votre action ?
  • A la rentrée, nous lançons "Têtes de l'Emploi", notre premier forum de l'emploi afin de faire se rencontrer entreprises et futurs jeunes diplômés. Ce forum va venir renforcer les actions que nous menions déjà discipline par discipline. Par exemple en droit ou en lettres où les professions venaient se présenter aux étudiants dans le cadre de forums des métiers. Nous assurons également un vrai suivi de nos diplômés et avons d'excellentes relations avec les secteurs professionnels. Résultat, nos taux d'insertion n'ont rien à envier à ceux de grandes écoles pour nos masters et licences professionnels.
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    Inrerview du président de l'Université de Nantes.
Laurent Bordet

Harvard rejoint les universitaires pour un boycott des éditeurs - 1 views

  • Trente-quatre mathématiciens ont dénoncé "un système dans lequel les éditeurs commerciaux font des profits sur la base du travail de mathématiciens et de frais d'abonnement des bibliothèques".
  • L'université de Harvard, à Boston, vient de rejoindre le combat. Elle a beau être la seconde institution à but non lucratif la plus riche dans le monde, sa collection de revues académiques spécialisées plombe aussi ses comptes. Le prix des abonnements par les éditeurs universitaires lui coûte chaque année en moyenne 3,75 millions de dollars. Une note publiée sur son site et envoyée à ses 2 100 professeurs et chercheurs, les encourage à mettre à disposition, librement, en ligne leurs recherches.
  • Un des litiges vient de la "loi sur les travaux de recherche", un projet présenté au Congrès américain en décembre 2011 qui interdit aux agences fédérales d'exiger le libre accès à des résultats scientifiques, même si ces recherches sont financées par l'Etat fédéral américain.
  • ...2 more annotations...
  • Ce mouvement met Harvard au centre d'un débat qui prend de l'ampleur : l'accès aux travaux de la recherche universitaire, dont une grande partie est financée par le contribuable.
  • De plus en plus d'universités à travers le monde commencent à exiger de leurs chercheurs de rendre disponible leurs publications en libre accès, et non plus par le biais de ces revues - qui permettent pourtant aux spécialistes de faire valider leurs travaux, de les diffuser, et participer à leur réputation et à celle de leur laboratoire universitaire. Un sondage international, réalisé à la demande du Comité pour la mutualisation des systèmes d'information de l'enseignement supérieur britannique, révèle que 81 % des chercheurs seraient prêts à déposer leurs articles dans des archives en libre accès.
Laurent Bordet

Les facs françaises se lancent dans la bataille du numérique - Le Figaro Étud... - 0 views

  • La ministre de l’Enseignement supérieur annonce la création de France Université numérique, une cellule qui doit réinventer la pédagogie à l’heure du Net et mettre 20% des cours des universités en ligne d’ici 2017. Un fonds de financement sera aussi crée.
  • D’un côté, Harvard, le MIT, Stanford, qui embrassent la révolution numérique. Ces prestigieuses universités américaines proposent désormais leurs cours en ligne et touchent déjà des millions d’étudiants de par le monde, attirés par la qualité et la gratuité… De l’autre, l’université française ,qui fait figure de vieille dame découvrant l’ordinateur. «On est en retard», reconnaît la ministre de l’Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso.
  • lle doit annoncer dans les prochains jours le lancement de FUN, «oui, FUN», assume-t-elle, France université numérique, une structure chargée de piloter la mise au Net des facs françaises.
  • ...5 more annotations...
  • Et certains, comme le patron de Stanford ,un brin provocateurs, prédisent la fin des cours en amphi…
  • L’Espagne ou le Royaume-Uni se sont lancés avant nous, en créant des universités totalement virtuelles d’où sortent des diplômés qui n’ont jamais fréquenté d’amphis.
  • Le projet devrait d’abord être testé sur des sites pilotes
  • les universités américaines ont pris une avance considérable. En proposant gratuitement des cours que leurs étudiants paient normalement des fortune, les géants américains pensent capter les futures élites mondiales.
  • . «Et dans quelques années, les compétences acquises en ligne seront reconnues», assure Jacques Froissant, du cabinet de recrutement 3.0 Altaide. Laissant entrevoir un étudiant «mondialisé», butinant d’un cours de Harvard à un module de Centrale.
Laurent Bordet

« Le prototype de l'école d'ingénieurs généralistes à la française » | Le nou... - 0 views

  • Au niveau international, ce que l’on comprend, c’est quelque chose qui s’appelle université.
  • . Nous avons l’énorme chance d’avoir à Paris XI un président qui a très bien compris cela, le but n’étant pas de faire une université française très traditionnelle du XXe siècle, mais une université moderne avec une gouvernance moderne et des ambitions.
  • Le cycle ingénieurs est passé à 520 diplômés et la cible est de 650. Cette évolution se fera très peu par le concours mais grâce aux mesures d’ouverture sociale, d’augmentation de la proportion des étudiants étrangers, 40 % peut-être, mais on pourrait arriver au seuil limite de 50 %.
  • ...8 more annotations...
  • Après Centrale à Pékin, on va certainement faire Centrale à Casablanca. Le Maroc, c’est beaucoup plus simple. Il y a déjà des classes préparatoires, l’enseignement en français y est excellent, le bac de très bon niveau, parfois meilleur qu’en France.
  • L’Inde possède de très belles institutions très sélectives comme l’Indian Institute of Technology et l’Indian Institute of Management qui ne prennent que quelques milliers de candidats sur le demi-million qui se présente au concours.
  • Quand même 85 % des étudiants font autre chose que de la banque ! D’ailleurs, c’est assez compliqué de faire la part de ce qui est l’industrie et ce qui n’en est pas.
  • l’assurance, notamment pour l’analyse de risques
  • L’esprit entrepreneurial
  • otre filière de troisième année de préparation à la création d’entreprise doit dépasser 10 % de la promo, avec au moins 30 élèves dans la filière entrepreneurs. Du coup, notre incubateur est plein de projets de création d’entreprises.
  • Nous voyons émerger des effets absolument négatifs avec la communication par Internet. Aussi sommes-nous actuellement très attentifs à multiplier pour les étudiants les situations de communications interpersonnelles physiques, c’est essentiel. N
  • Deuxième étape, nous réfléchissons maintenant pour relancer notre cursus, à la valeur d’une présentielle. Je suis très admiratif, par exemple de ce que font Cambridge et Oxford, où un étudiant brillant, pendant 2 ans, travaillera avec un prof qui va s’occuper de lui ! Il va l’accompagner dans son chemin, guider ses choix.
Laurent Bordet

Les "prépas" contraintes de s'adapter face à la concurrence - LeMonde.fr - 0 views

  • Les classes préparatoires sont-elles menacées ? Une enquête inédite de la Conférence des grandes écoles (CGE, qui rassemble 220 établissements) montre que les étudiants qui intègrent une grande école (quelle que soit l'année d'entrée) ne sont plus que 38,5 % à être issus d'une prépa : 40,2 % pour les écoles d'ingénieurs et 37 % pour les écoles de management.
  • Dans le top 10 des écoles d'ingénieurs, neuf étudiants sur dix viennent de prépa. Sur les 400 élèves entrés à Polytechnique en 2011, 10 seulement venaient de l'université..
  • Les prépas intégrées séduisent de plus en plus, notamment dans les écoles d'ingénieurs. Un quart des élèves ingénieurs intègrent leur école dès la sortie du lycée et commencent par deux années de prépa.
  • ...3 more annotations...
  • Détour par l'université Objectif : décrocher un BTS, un DUT, voire une licence avant de tenter un concours de grande école. 18 % des jeunes qui intègrent une grande école ont opté pour un institut universitaire de technologie (IUT) et 9 % une section de technicien supérieur (STS). Un cycle préparatoire d'un an a même été créé pour eux : adaptation technicien supérieur (ATS). Il y a sans doute parmi eux des étudiants qui veulent s'épargner le choc de la prépa.
  • . Passer par l'université permet de décrocher un diplôme en cours de route, ce qui offre une porte de sortie, au cas où. Alors que le parcours prépa-école, c'est la garantie de ne pas toucher de salaire avant au moins cinq ans.
  • L'université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense a créé en 2006 une licence humanités. On y étudie les lettres, l'histoire, la philosophie et les langues. L'emploi du temps est dense et les enseignants mettent l'accent sur la méthodologie et l'accompagnement des étudiants. D'autres facs ont créé une classe prépa, stricto sensu, comme l'université de Bretagne-Sud en 2009. Mais de tels exemples sont rares.
Laurent Bordet

Les étudiants étrangers en froid avec la France - LeMonde.fr - 0 views

  • Oui, du mal a été fait", assure Pierre Tapie, président de la Conférence des grandes écoles (CGE). " Cette affaire a fait énormément de bruit en Inde, au Brésil, en Chine, au Maroc...
  • ans la guerre internationale du talent, tout pays qui complique l'obtention de visas pour les étudiants, la possibilité de travailler pendant les études ou de vivre une première expérience professionnelle après le diplôme se tire une balle dans le pied", m
  • e XXIe siècle est souvent présenté comme devant être celui de l'économie de la connaissance. Plus que jamais, c'est le savoir et l'innovation qui créeront la richesse. D'où l'importance d'attirer les meilleurs des 200 millions d'étudiants que devrait compter le monde en 2015. "
  • ...6 more annotations...
  • Ces étudiants, futurs chercheurs ou entrepreneurs, s'interrogent aujourd'hui sur les intentions de la France. L'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin en a fait l'expérience, en visitant un Salon étudiant à Pékin. "Des étudiants chinois se sont attroupés et m'ont interpellé sur cette question, alors que j'étais interviewé par des télévisions chinoises", raconte-t-il.
  • u Maroc, des professeurs d'établissements français ont écrit à l'ambassadeur de France, le 14 octobre, pour prévenir de "l'effet désastreux produit au Maroc et en particulier de la consternation des familles ayant choisi de mettre leurs enfants dans les écoles du réseau d'enseignement français".
  • abil Sebti, 25 ans, est l'un d'eux. Marocain diplômé d'HEC, il est porte-parole du Collectif des étudiants étrangers. Après l'avoir interviewé, le New York Times constate, le 9 novembre :
  • assure que les étudiants étrangers qui ont obtenu au moins un master en France pourront rester pour une première expérience professionnelle sans que la situation de l'emploi puisse leur être opposée. François Fillon insiste : "Notre objectif est d'attirer les meilleurs étudiants du monde."
  • Mentionnant "une politique d'immigration maladroite", The Australian pointe ce dernier aspect dans un article du 23 novembre : "L'implacable montée de l'extrême droite en Europe n'est plus un sujet purement académique pour les universités d'excellence françaises.
  • n attendant, le Canada peut se frotter les mains. Le pays cherche à garder les jeunes qui viennent étudier sur son territoire, rappelle M. Lawton. "Et le Canada, dit-il, est évidemment très bien placé pour accueillir des étudiants étrangers francophones qui cherchent une destination accueillante pour suivre des études de qualité." Ainsi, dans les cours qu'il donne au Québec, Jean-Pierre Raffarin a beaucoup d'étudiants maghrébins. "Entre une administration canadienne accueillante et une administration française un peu fermée, ils font vite le choix", précise-t-il.
Laurent Bordet

Le Blog d'Henri Audier» Blog Archive » Pour l'UMP, la démolition doit s'achev... - 0 views

  • l’UMP préconise une nouvelle mesure, radicale, pour liquider totalement les organismes : les priver de personnels propres, et donc fusionner les corps de Directeur de recherche (DR) et de Professeur d’université
  • Mais tout se passe comme si, une fois la loterie des Idex terminée, la professionnalisation devenait, pour le gouvernement, la SEULE vocation des universités qui ont perdu.
  • il s’agit aussi de moduler les dotations aux universités en fonction des taux d’insertion, et de prendre en compte la professionnalisation dans l’évaluation des E-C (de quelle évaluation est-il question ?), de créer des entreprises issues des universités
  • ...5 more annotations...
  •  En effet, l’autonomie des universités n’est pas conciliable avec le maintien d’un statut contrôlé par l’État. »
  • Cela conduira inexorablement à de fortes différences (promotions, primes) entre universités riches et pauvres pour l’ensemble des personnels. De plus, cela constituera un frein important à la mobilité volontaire, géographique notamment.
  • À terme, il faudra envisager une réforme du statut de la fonction publique  universitaire.
  • Elle risque d’aboutir à un système à deux vitesses, avec des fonctionnaires nationaux d’une part et des employés locaux qui ne bénéficient d’aucune protection d’autre part
  • a fonction publique territoriale constitue un modèle intéressant de statut unique permettant le recrutement et la gestion par les collectivités (les fonctionnaires sont sélectionnés par concours au niveau national mais recrutés par les collectivités, un centre de gestion gérant les décalages frictionnels et garantissant les rémunérations de tous les titulaires). D
Laurent Bordet

la Confédération Etudiante tire la sonnette d'alarme - 0 views

  • L’absence de mesures pour améliorer l’insertion professionnelle à l’Université dans le discours de la Ministre pousse La Confédération Etudiante à tirer la sonnette d’alarme. Alors que les assises de l’enseignement supérieur s’ouvrent peu à peu dans les territoires, la  question de l’insertion professionnelle des jeunes diplômés, primordiale pour l’avenir de notre pays et première préoccupation des étudiants doit être au cœur des concertations.
  • La plus grande difficulté rencontrée par les jeunes diplômés pour trouver un emploi est la méconnaissance du monde de l’entreprise.
  • L’Université dont nous avons besoin, c’est  une Université décloisonnée, ouverte sur le monde qui l’entoure, qui soit le terreau de l’innovation et de la création de savoirs et de richesses.    C’est pourquoi la Cé propose ses mesures pour l’insertion professionnelle : Mise en place de stages obligatoires dès la licence quelle que soit la filière. Généralisation des réseaux d’anciens étudiants dans toutes les universités comme dans les écoles pour permettre à tous les étudiants dès la première année de se construire un réseau nécessaire à l’insertion professionnelle. Organisation de rencontres régulières entre les étudiants et le monde de l’entreprise : forums, petits déjeuners RH, visites d’entreprises, interventions de professionnels et anciens étudiants… Création de modules de formation à l’entreprenariat et la création d’incubateurs/pépinières à l’intérieur des universités
Laurent Bordet

Quand les Facs dament le pion aux grandes écoles - Challenges.fr - 0 views

  • Plus d'un étudiant sur deux prépare désormais un diplôme professionnel", constatent les études ministérielles. Mieux, ces jeunes accèdent à l'emploi dans des conditions bien plus satisfaisantes qu'on ne l'aurait imaginé. Une enquête nationale, chapeautée par le ministère de l'Enseignement supérieur, vient d'en apporter pour la seconde fois la preuve. Trente mois après leur diplôme, le taux d'insertion des masters de l'université est de 91%, presque tous en emploi stable, un score très comparable à celui des diplômés des grandes écoles
  • Alors que le grand public n'a pas encore pris conscience de ces changements, les entreprises, elles, ont déjà négocié le tournant. "Nous souhaitons ouvrir nos recrutements à environ 20% de diplômés venus de l'université, assure ainsi Jean-Marc Mickeler, responsable de la marque employeur chez Deloitte, l'un des Big Four, ces grands cabinets d'audit placés au firmament des débouchés de rêve par les étudiants. Elles ont aujourd'hui bien compris nos attentes, que ce soit Dauphine, bien sûr, mais aussi Paris 1, Nanterre, Strasbourg, Aix-en-Provence, Lyon..."
  • Pierre Tapie lui-même, président de la Conférence des grandes écoles, connu pour sa défense ardente de ce modèle d'excellence, assure désormais qu'entre une fac de droit et une école il n'y a pas de différence. "Les frontières entre les deux types d'établissement sont d e -plus en plus poreuses. Aujourd'hui, l'insertion professionnelle fait partie des missions de l'université. Tandis que les grandes écoles doivent faire de la recherche." Décidément, c'est la révolution.
Laurent Bordet

Universités : qui va décider ? - Le Nouvel Observateur - 0 views

  • C’est un des rares universitaires à avoir dirigé à la fois une université et une grande école.
  • L’autre dossier chaud dont héritent Fioraso et Mérindol est celui des « Idex » (Initiatives d’excellence), ces huit « super campus » promus par l’équipe Sarkozy par le biais de regroupements d’universités et d’écoles, qui doivent recevoir  eux aussi une pluie de millions (Saclay en fait partie). Certains ont été labellisés à la hussarde très peu de temps avant les présidentielles, et deux sont encore en suspens : Toulouse et Sorbonne Paris Cité, que conduisait Richard Descoings, le patron de Sciences Po, avant son décès.
  • es IDEX sont une matérialisation de son rêve de rationalisation. Dans une interview à l’agence AEF publiée peu avant sa nomination, Mérindol ne récusait pas les Idex
  • ...3 more annotations...
  • « Une fusion (impensable dans la culture française) entre Paris VI, Paris VII, l’ENS et les Mines donnerait une université se classant dans les cinq premières mondiales au classement de Shanghaï. 
  • Le troisième dossier chaud est celui de la loi LRU dite d’autonomie des universités. « Elle est à revoir complètement sur la partie gouvernance des universités » disait Mérindol à l’AEF, citant la composition du CA des universités, le mode d’élection du président et la définition des grands secteurs disciplinaires « qui est archaïque »
  • Il plaide pour la remise à plat des Conseils scientifiques (qui datent de 1968) et des CEVU ( Conseil des études et de la vie universitaire), qui datent de  1984. Il conseille la création au sein des universités - et pour contrebalancer le pouvoir du CA -  d’une nouvelle instance remplaçant ces structures, baptisée Sénat
Laurent Bordet

Réseaux sociaux et universités, une situation paradoxale selon une étude Capg... - 1 views

  • Alors que les universités ont tout intérêt à s'emparer des réseaux sociaux pour développer des stratégies ambitieuses, elles ne font finalement qu' « acte de présence », constate Capgemini consulting dans une étude publiée sur le web fin mai 2012. Etonnant pour des établissements dont le cœur de métier se trouve précisément dans l'organisation d'interactions, dans la diffusion la plus large du savoir et dans la mise en place de réseaux pour rayonner nationalement, internationalement ou disciplinairement. Un champ des possibles s'ouvrent aux universités françaises, encore fait-il qu'elles sachent s'en saisir rapidement...
  • Une frilosité générale sur le numérique ? Le problème est peut-être précisément là. Et si la frilosité des universités envers les réseaux sociaux ne trahissait pas un mal plus profond, la difficulté à se positionner clairement dans un processus d’innovation par le numérique ? Pour Marie Angliviel, directrice associée de Capgemini consulting et responsable du pôle « enseignement supérieur et recherche », le réseau social doit s’inscrire dans le cadre d’une « politique de l’université » en matière numérique, « un sujet colossal qui touche l’ensemble des aspects de l’université, difficile à appréhender pour des structures qui doivent accompagner tant de transformations depuis la mise en place de la LRU jusqu’aux idex et autres projets du grand emprunt, aux opérations de fusion, etc. ».
  • Les universités auraient également intérêt à consolider par les réseaux sociaux « les liens avec les enseignants-chercheurs et les personnels Biatos ». Mais à cet égard, force est de déplorer le faible nombre de dispositifs alors qu’il « se passe des choses plus ambitieuses du côté des grandes écoles ».
Laurent Bordet

La réforme qui murmure encore à l'oreille des universités - LeMonde.fr - 0 views

  • le projet du Parti socialiste est peu disert, annonçant notamment… l'organisation d'assises : il semble bien plus construit quand il s'agit de l'école et des lycées que de l'enseignement supérieur.
  • L'évolution progressive d'un modèle de financement public vers un modèle mixte conduit à solliciter un effort supplémentaire de la part des entreprises d'un côté
  • Le premier renvoie à la concurrence entre universités, ainsi qu'avec d'autres grandes causes culturelles
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  • Le second impose la montée des droits d'inscription, dont l'essentiel porterait sur les classes moyennes
  • Les PRES (pôles de recherche et d'enseignement supérieur) qui regroupent des universités devraient déboucher sur de véritables fusions entre établissements comme à Strasbourg et à Bordeaux
  • Selon un rapport publié par l'University Alliance britannique qui regroupe 23 universités, il n'y a pas de relation continue entre la taille de l'unité de recherche et sa performance du point de vue du classement par les pairs, du nombre d'articles publiés et de leur impact
  • Il faut inventer le temps 2 de la réforme
Laurent Bordet

Terra Nova veut augmenter les droits d'inscription en fac - 0 views

  • La fondation lance un pavé dans la marre en réclamant une hausse "modérée et étalée dans le temps" des droits d'inscription, en vue d'accroître les moyens financiers des universités. Le think tank propose également de créer une allocation d'études supérieures, utilisable tout au long de la vie active, ainsi que la suppression des cours en amphithéâtre.
  • Un triplement des droits d'inscription en licence et un quadruplement en master et en doctorat sur cinq ans pour permettre plus d'égalité dans le système et augmenter les moyens des universités, en maintenant une exonération totale pour tous les boursiers"
  • Une telle mesure permettrait également, selon Terra Nova, de lutter contre l'absentéisme et l'échec étudiant.
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  • Création d'une allocation d'études supérieures
  • Une allocation qui serait "complétée" par un "prêt à taux zéro garanti par l'Etat", qui pourrait s'élever à 150 euros par mois en licence, et à 300 euros en master.
  • La fondation demande également la suppression "des cours en amphithéâtre dans les universités" et "d'instaurer une sélection" dès la première année de master
  • Terra Nova propose en effet, "à partir de la rentrée 2012, de diminuer de 33% en cinq ans le nombre de places en classes prépa, de réduire de 50% en cinq ans les places aux concours des grandes écoles, et d'augmenter les nombres d'admis dans les grandes écoles issus de l'université et n'étant pas passés par les prépas". Enfin, le think tank souhaite "rattacher administrativement les classes préparatoires aux universités ou aux PRES."
Laurent Bordet

« Les écoles et les universités doivent former à la responsabilité sociale » ... - 0 views

  • Comment transformer le contenu de l’enseignement ?Il faut apprendre aux futurs managers à être socialement responsables et pour cela le contenu des formations ne doit pas être exclusivement orienté vers les recruteurs. L’enseignement doit les former aux enjeux de la société et leur donner de nouvelles compétences en faisant intervenir l’ensemble des parties prenantes avec qui ils devront coconstruire (ONG, syndicats, experts en risques psychosociaux, etc). Car ils seront confrontés un jour ou l’autre à la gestion de ces risques. Les entreprises ont besoin de dirigeants qui sauront dialoguer avec des publics différents, qui auront une vison de long terme pour l’entreprise tout en sachant répondre aux impératifs du court-terme. Demain, les ressources naturelles seront insuffisantes et coûteront trop cher aux entreprises de ne pas récupérer leurs déchets...Gérer la rareté et être capable de modifier le business model sera impératif. 
  • Où en est le processus de labellisation pour les campus durables ?La Conférence des Présidents d’Université (CPU) et la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) ont créé un comité labellisation et travaillent à le mettre en cohérence avec les autres initiatives internationales, comme « Stars » aux USA ou « LIFE » en Grande- Bretagne. Les premiers labels seront attribués en 2013. A terme, nous esperons que ces labels deviennent un des critères pour l’évaluation des écoles et des universités. 
Laurent Bordet

L'éducation à l'heure des réseaux sociaux | The Roxane Company - 0 views

  • Aujourd’hui, plus 3 millions d’étudiants américains suivent des cours en ligne, on prévoit qu’en 2019 50% des cours seront délivrés en ligne aux Etats-Unis.
  • Quant Harvard engage un directeur « marketing et communication » ce n’est pas pour travailler sur la notoriété mais bien parce que la présence sur les réseaux sociaux de la prestigieuse université est fondamentale pour son image.
  • il apparait que la communication sur les réseaux sociaux est de plus en plus importante. Et pourrait bientôt impacter les fameux classements des écoles, comme aux Etats-Unis où le site Mashable a ajouté un indicateur de « connectivité social media » au classement des universités de U.S. News.
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  • De plus, les réseaux sociaux permettent de nouvelles méthodes et fonctionnalités de travail. Notamment la mise en place de serious games ou de concours destinés aux étudiants, comme celui organisé par Viadeo : le Viadeo Student Challenge.
  • emple, Sprint subventionne et équipe une classe au Boston Emerson College en échange de leur généreuse contribution à la communication digitale du groupe (ils bloguent, tweetent et produisent des vidéos Youtube).
Laurent Bordet

Les étudiants étrangers en froid avec la France - LeMonde.fr - 0 views

  • ui, du mal a été fait", assure Pierre Tapie, président de la Conférence des grandes écoles (CGE). " Cette affaire a fait énormément de bruit en Inde, au Brésil, en Chine, au Maroc...", alimenté par des diplômés "aigris" par cette sorte de "dépit amoureux" éprouvé à l'égard de la France
  • Une grande partie de la Silicon Valley s'appuie sur l'importation des meilleurs chercheurs, par exemple sur ceux qui proviennent des Indian Institutes of Technology et qui font leur doctorat à Stanford ou à Berkeley."
  • L'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin en a fait l'expérience, en visitant un Salon étudiant à Pékin. "Des étudiants chinois se sont attroupés et m'ont interpellé sur cette question, alors que j'étais interviewé par des télévisions chinoises"
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  • Mentionnant "une politique d'immigration maladroite", The Australian pointe ce dernier aspect dans un article du 23 novembre : "L'implacable montée de l'extrême droite en Europe n'est plus un sujet purement académique pour les universités d'excellence françaises." Et le quotidien de Sydney de souligner : "L'approche française est plus qu'une leçon pour l'Australie sur ce qu'il ne faut pas faire." L'Australie, pourtant, comme d'autres, est confrontée à ces affres, rappelle ainsi le New York Times, le 13 octobre : "Cette année, plusieurs nations occidentales, dont l'Australie, la Grande-Bretagne et la Suède, ont décidé de restreindre l'accès à leurs universités pour les étudiants étrangers.
  • Jean-Pierre Raffarin, pourtant très remonté contre cette "stratégie internationale absurde" relevant de la "démondialisation", veut croire que "cela peut se corriger". Il recommande d'"être plus subtil dans la communication. Il faut être sévère avec l'immigration illégale à condition d'accepter celle qui est légale. Et les étudiants sont au coeur de celle-ci".
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