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Laurent Bordet

Le cœur de l'enseignement supérieur bascule-t-il vers d'autres horizons ? | L... - 0 views

  • le cœur de l’enseignement supérieur mondial n’est-il pas en train de basculer vers l’extrême orient et le sud ?
  • La « vieille Europe » se retrouve coincée entre les deux grandes puissances avec lesquelles ses relations ne sont pas au beau fixe : des Etats-Unis sur la défensive et une Chine flamboyante.
  • 1. Le Qatar renforce son campus d’excellence tout comme Dubaï, Singapour ou la Malaisie.
  • ...10 more annotations...
  • Sur le modèle de Singapour, les émergents misent sur la matière grise et l’innovation pour se développer et rendre leur territoire mondialement attractif. « L’innovation est essentielle pour améliorer tant l’accès à l’éducation que sa qualité », a rappelé le président de Wise.
  • Education hubs comme l’explique le journal « Le Monde » daté du 10/11/2011 (pp. 16-17) «bousculent la planète universitaire » :
  • créés à Dubaï, Singapour ou au Qatar », ils redessinent la géographie de la connaissance.
  • 2. L’EFMD accrédite l’Afrique.
  • Même si les écoles africaines n’ont pas encore atteint les standards internationaux, elles s’en rapprochent de plus en plus. Les écoles de commerce de Casablanca, d’Ifrane, d’Alger ou de Dakar occupent la tête du classement africain (hors Afrique du sud) réalisé par Jeune Afrique
  • La question, pour les étudiants africains se posera, à terme, entre un séjour en Afrique du sud, au Maroc ou en France
  • 3. Les business schools chinoises ciblent nos étudiants.
  • Les écoles de commerce chinoises ciblent les étudiants occidentaux par un recrutement agressif.
  • mais révèlent un changement profond du paysage de l’enseignement supérieur à l’échelle mondiale
  • a concurrence en matière d’enseignement supérieur se situe, aujourd’hui, à l’échelle mondiale. J’ai expliqué ce phénomène maintes fois dans ce blog. - Quelles réponses apporter ? Faut-il prendre le risque de poursuivre notre modèle concurrentiel construit autour de baronnies et de cloisonnements ou opter pour un modèle collaboratif et ouvert ? A l’avenir, les étudiants décideront de leur parcours à une échelle qui mettra l’offre des formations supérieures hexagonale au même niveau que celles offertes à l’étranger. - Le développement des écoles doit accompagner celui des entreprises. L’étudiant (français ou étranger) choisira son établissement en fonction de la qualité des relations écoles-entreprises qu’il entretiendra au plan national et international. Ayons une vision mondiale et ouverte, ne pas accepter cette mutation, c’est voire notre influence et notre positionnement décliner. *Les organismes de référence en matière d’accréditation des business schools sont les suivants : l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business), l’EFMD (European Foundation for Management Development, Equis ou Epas) et l’AMBA (Association of MBAs). Share and Enjoy: Tags: Afrique, Chine, Enseignement supérieur Article du on Jeudi, novembre 10th, 2011 at 10:57 dans la rubrique Enseignement supérieur, géopolitique. Pour suivre les flux RSS de cet article : RSS 2.0 feed. Vous pouvez laisser un commentaire , ou un trackback sur votre propre site. « Et pourquoi pas un G20 Education ? Laisser un commentaire Name (required) Mail (will not be published) (required) Website Un blog A propos du Blog Tous les blogs Educpros Charte du blog Flux RSS Pages À propos Géopolitique Articles récents Le cœur de l’enseignement supérieur bascule-t-il vers d’autres horizons ? Et pourquoi pas un G20 Education ? Quand broyer du noir n’est pas forcément synonyme de morosité L’enjeu des compétences métier Relations étudiants/entreprises : il faut s’attendre à des surprises. Catégories Conjoncture économique Voir tous les articles classés dans diversit
Laurent Bordet

Les "prépas" contraintes de s'adapter face à la concurrence - LeMonde.fr - 0 views

  • Les classes préparatoires sont-elles menacées ? Une enquête inédite de la Conférence des grandes écoles (CGE, qui rassemble 220 établissements) montre que les étudiants qui intègrent une grande école (quelle que soit l'année d'entrée) ne sont plus que 38,5 % à être issus d'une prépa : 40,2 % pour les écoles d'ingénieurs et 37 % pour les écoles de management.
  • Dans le top 10 des écoles d'ingénieurs, neuf étudiants sur dix viennent de prépa. Sur les 400 élèves entrés à Polytechnique en 2011, 10 seulement venaient de l'université..
  • Les prépas intégrées séduisent de plus en plus, notamment dans les écoles d'ingénieurs. Un quart des élèves ingénieurs intègrent leur école dès la sortie du lycée et commencent par deux années de prépa.
  • ...3 more annotations...
  • Détour par l'université Objectif : décrocher un BTS, un DUT, voire une licence avant de tenter un concours de grande école. 18 % des jeunes qui intègrent une grande école ont opté pour un institut universitaire de technologie (IUT) et 9 % une section de technicien supérieur (STS). Un cycle préparatoire d'un an a même été créé pour eux : adaptation technicien supérieur (ATS). Il y a sans doute parmi eux des étudiants qui veulent s'épargner le choc de la prépa.
  • . Passer par l'université permet de décrocher un diplôme en cours de route, ce qui offre une porte de sortie, au cas où. Alors que le parcours prépa-école, c'est la garantie de ne pas toucher de salaire avant au moins cinq ans.
  • L'université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense a créé en 2006 une licence humanités. On y étudie les lettres, l'histoire, la philosophie et les langues. L'emploi du temps est dense et les enseignants mettent l'accent sur la méthodologie et l'accompagnement des étudiants. D'autres facs ont créé une classe prépa, stricto sensu, comme l'université de Bretagne-Sud en 2009. Mais de tels exemples sont rares.
Laurent Bordet

Mapping des grandes écoles de commerce ESC - 0 views

  • Notre infographie exclusive retrace les performances des écoles selon les 2 axes de nos palmarès : “excellence académique” et “reconnaissance par les entreprises” (le total possible des points pour chacun étant de 100). Trois groupes d’écoles se dégagent : “l’élite”, qui regroupe les 5 écoles les plus riches et, au passage, les plus sélectives ; “les incontournables”, établissements anciens qui possèdent souvent des moyens conséquents, avec des réseaux d’anciens développés. Enfin, “les valeurs sûres”, des écoles souvent plus jeunes et aux budgets moins étoffés, mais qui s’investissent tout autant dans la professionnalisation et la formation de leurs étudiants.
Laurent Bordet

Quand les Facs dament le pion aux grandes écoles - Challenges.fr - 0 views

  • Plus d'un étudiant sur deux prépare désormais un diplôme professionnel", constatent les études ministérielles. Mieux, ces jeunes accèdent à l'emploi dans des conditions bien plus satisfaisantes qu'on ne l'aurait imaginé. Une enquête nationale, chapeautée par le ministère de l'Enseignement supérieur, vient d'en apporter pour la seconde fois la preuve. Trente mois après leur diplôme, le taux d'insertion des masters de l'université est de 91%, presque tous en emploi stable, un score très comparable à celui des diplômés des grandes écoles
  • Alors que le grand public n'a pas encore pris conscience de ces changements, les entreprises, elles, ont déjà négocié le tournant. "Nous souhaitons ouvrir nos recrutements à environ 20% de diplômés venus de l'université, assure ainsi Jean-Marc Mickeler, responsable de la marque employeur chez Deloitte, l'un des Big Four, ces grands cabinets d'audit placés au firmament des débouchés de rêve par les étudiants. Elles ont aujourd'hui bien compris nos attentes, que ce soit Dauphine, bien sûr, mais aussi Paris 1, Nanterre, Strasbourg, Aix-en-Provence, Lyon..."
  • Pierre Tapie lui-même, président de la Conférence des grandes écoles, connu pour sa défense ardente de ce modèle d'excellence, assure désormais qu'entre une fac de droit et une école il n'y a pas de différence. "Les frontières entre les deux types d'établissement sont d e -plus en plus poreuses. Aujourd'hui, l'insertion professionnelle fait partie des missions de l'université. Tandis que les grandes écoles doivent faire de la recherche." Décidément, c'est la révolution.
Laurent Bordet

Pierre Tapie : «Nous restons bien moins chers que nos concurrents étrangers»,... - 0 views

  • Qui juge indispensable de solliciter davantage les familles pour faire face à un environnement ultra-compétitif.
  • Avec des frais de scolarité de 12.800 euros en moyenne par an dans la grande école, ne craignez-vous pas d'interdire à certains candidats de rejoindre votre école ?
  • 'Essec reverse à ses étudiants près de 30 % des frais de scolarité qu'elle perçoit sous forme d'aides, de bourses, de prêts d'honneur et d'apprentissage...
  • ...3 more annotations...
  • La moyenne des écoles d'ingénieurs est de un enseignant pour sept élèves.
  • Les dépenses d'accompagnement et la professionnalisation. Les entreprises et les étudiants sont devenus très exigeants. Un seul exemple : nous recevons chaque année 14.000 offres qualifiées de stage.
  • Or ces offres, nous devons d'abord les susciter, puis les gérer, les faire connaître de nos étudiants...
Laurent Bordet

Exclusif. Une majorité de jeunes et de recruteurs veulent la fusion des école... - 0 views

  • Les grandes écoles et les universités doivent-elles fusionner ? 65% des lycéens et étudiants y sont favorables, selon un sondage Ifop (*) réalisé pour Passerelle ESC, en partenariat avec l’Etudiant
  • 63%  se disent favorables à une telle évolution
  • Cette volonté traduit, chez les recruteurs comme chez les jeunes, un besoin de davantage de lisibilité et de simplification du système », analyse Jean-François Fiorina, président de Passerelle ESC. « Les recruteurs sont inondés de CV avec des sigles qu’ils ne connaissent pas, et les jeunes sont perdus face à l’offre de formatio
Laurent Bordet

Les masters d'ingénierie en débat - 0 views

  • Les écoles d'ingénieurs diplôment 30.000 personnes par an
  • faudrait  arriver à une filière d'ingénierie globale, qui réunisse grandes écoles et universités. Cela demande de la cohérence, donc de la concertation entre les principaux acteurs. L'important est de bien préparer les étudiants au métier d'ingénieur, quels  que soient leur titre et la filière suivie.
  • Pourquoi ne pas avoir fait évoluer vos écoles internes comme  Polytech Paris-UPMC ?
  • ...3 more annotations...
  • Polytech accueille des bacheliers technologiques ou des bacs S option Sciences de l'ingénieur, et forme des ingénieurs opérationnels
  • Nos masters d'ingénierie s'adresseront à des étudiants motivés, mais pas intéressés par les classes préparatoires.
  • Julien Roitman, vous avez évoqué l'idée de créer un ordre des ingénieurs. Les diplômés des masters d'ingénierie y auront-ils leur place ?
Laurent Bordet

25,9 % de filles dans les écoles d'ingénieurs en 2008-2009 - 1 views

  • La Conférence des Directeurs des Ecoles Françaises d’Ingénieurs (CDEFI) publie une note statistique sur la féminisation des écoles d’ingénieurs à partir des données de la Direction de l’Evaluation, de la Prospective et de la Performance du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
  • 25,9%.
Laurent Bordet

Yupeek : le réseau social pour étudiants, entreprises et écoles - 0 views

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    Avantage de ce réseau social pour les entreprises, les écoles / universités et les étudiants
Laurent Bordet

"Il ne faut pas avoir peur de venir à l'université" - LeMonde.fr - 0 views

  • Un site est entièrement dédié aux lycéens et un DVD présentant toutes les facettes de l'université est diffusé dans les lycées.
  • Nous avons aussi la chance d'avoir une école d'ingénieurs au sein de l'université : Polytech Nantes. Nos étudiants en sciences peuvent pendant deux ans suivre des cours supplémentaires en sciences de l'ingénieur et avoir ensuite accès aux douze écoles du réseau Polytech.
  • Qu'apporte l'université que ne donnent pas forcément les prépas ? D'abord le sens de l'autonomie que nos étudiants apprennent à développer très tôt. Ensuite une pédagogie différente pas fondée sur le bachotage, à l'exception évidemment de la première année de médecine
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  • Nous accordons ainsi plus de 200 000 € par an de subventions directes auprès de 140 associations recensées sur nos campus. Les projets sont divers et inventifs : solidarité locale, sport, culture, convivialité, international, média...
  • C'est une hérésie, un master devrait être un continuum sur deux ans. Là il y a une barrière entre les deux qui sanctionne des étudiants au milieu du gué. La législation actuelle date d'avant le LMD et n'a pas été modifiée : elle autorisait alors un accès libre en maîtrise, et imposait une sélection à l'entrée des DEA et DESS. La première barrière de sélection ne se fait donc qu'en M2. Il faudrait que la sélection se fasse dès le M1.
  • L'insertion professionnelle fait maintenant partie des missions de l'université. Pouvez-vous dresser un premier bilan de votre action ?
  • A la rentrée, nous lançons "Têtes de l'Emploi", notre premier forum de l'emploi afin de faire se rencontrer entreprises et futurs jeunes diplômés. Ce forum va venir renforcer les actions que nous menions déjà discipline par discipline. Par exemple en droit ou en lettres où les professions venaient se présenter aux étudiants dans le cadre de forums des métiers. Nous assurons également un vrai suivi de nos diplômés et avons d'excellentes relations avec les secteurs professionnels. Résultat, nos taux d'insertion n'ont rien à envier à ceux de grandes écoles pour nos masters et licences professionnels.
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    Inrerview du président de l'Université de Nantes.
Laurent Bordet

Le community management dans l'enseignement supérieur » Blog Archive » Des gr... - 1 views

  • Reste à savoir quand est-ce que le bulldozer Facebook s’attaquera aux réseaux sociaux d’entreprises. Une chose est sure, Facebook est encore très loin de s’arrêter de croître.
  • Une très mauvaise nouvelle pour les réseaux sociaux privés ciblant les écoles et les universités qui se développent actuellement… Une très bonne nouvelle pour les annonceurs qui voudront utiliser les publicités Facebook en ciblant encore mieux les étudiants.
Laurent Bordet

« Les écoles et les universités doivent former à la responsabilité sociale » ... - 0 views

  • Comment transformer le contenu de l’enseignement ?Il faut apprendre aux futurs managers à être socialement responsables et pour cela le contenu des formations ne doit pas être exclusivement orienté vers les recruteurs. L’enseignement doit les former aux enjeux de la société et leur donner de nouvelles compétences en faisant intervenir l’ensemble des parties prenantes avec qui ils devront coconstruire (ONG, syndicats, experts en risques psychosociaux, etc). Car ils seront confrontés un jour ou l’autre à la gestion de ces risques. Les entreprises ont besoin de dirigeants qui sauront dialoguer avec des publics différents, qui auront une vison de long terme pour l’entreprise tout en sachant répondre aux impératifs du court-terme. Demain, les ressources naturelles seront insuffisantes et coûteront trop cher aux entreprises de ne pas récupérer leurs déchets...Gérer la rareté et être capable de modifier le business model sera impératif. 
  • Où en est le processus de labellisation pour les campus durables ?La Conférence des Présidents d’Université (CPU) et la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) ont créé un comité labellisation et travaillent à le mettre en cohérence avec les autres initiatives internationales, comme « Stars » aux USA ou « LIFE » en Grande- Bretagne. Les premiers labels seront attribués en 2013. A terme, nous esperons que ces labels deviennent un des critères pour l’évaluation des écoles et des universités. 
Laurent Bordet

Les étudiants étrangers en froid avec la France - LeMonde.fr - 0 views

  • Oui, du mal a été fait", assure Pierre Tapie, président de la Conférence des grandes écoles (CGE). " Cette affaire a fait énormément de bruit en Inde, au Brésil, en Chine, au Maroc...
  • ans la guerre internationale du talent, tout pays qui complique l'obtention de visas pour les étudiants, la possibilité de travailler pendant les études ou de vivre une première expérience professionnelle après le diplôme se tire une balle dans le pied", m
  • e XXIe siècle est souvent présenté comme devant être celui de l'économie de la connaissance. Plus que jamais, c'est le savoir et l'innovation qui créeront la richesse. D'où l'importance d'attirer les meilleurs des 200 millions d'étudiants que devrait compter le monde en 2015. "
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  • Ces étudiants, futurs chercheurs ou entrepreneurs, s'interrogent aujourd'hui sur les intentions de la France. L'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin en a fait l'expérience, en visitant un Salon étudiant à Pékin. "Des étudiants chinois se sont attroupés et m'ont interpellé sur cette question, alors que j'étais interviewé par des télévisions chinoises", raconte-t-il.
  • u Maroc, des professeurs d'établissements français ont écrit à l'ambassadeur de France, le 14 octobre, pour prévenir de "l'effet désastreux produit au Maroc et en particulier de la consternation des familles ayant choisi de mettre leurs enfants dans les écoles du réseau d'enseignement français".
  • abil Sebti, 25 ans, est l'un d'eux. Marocain diplômé d'HEC, il est porte-parole du Collectif des étudiants étrangers. Après l'avoir interviewé, le New York Times constate, le 9 novembre :
  • assure que les étudiants étrangers qui ont obtenu au moins un master en France pourront rester pour une première expérience professionnelle sans que la situation de l'emploi puisse leur être opposée. François Fillon insiste : "Notre objectif est d'attirer les meilleurs étudiants du monde."
  • Mentionnant "une politique d'immigration maladroite", The Australian pointe ce dernier aspect dans un article du 23 novembre : "L'implacable montée de l'extrême droite en Europe n'est plus un sujet purement académique pour les universités d'excellence françaises.
  • n attendant, le Canada peut se frotter les mains. Le pays cherche à garder les jeunes qui viennent étudier sur son territoire, rappelle M. Lawton. "Et le Canada, dit-il, est évidemment très bien placé pour accueillir des étudiants étrangers francophones qui cherchent une destination accueillante pour suivre des études de qualité." Ainsi, dans les cours qu'il donne au Québec, Jean-Pierre Raffarin a beaucoup d'étudiants maghrébins. "Entre une administration canadienne accueillante et une administration française un peu fermée, ils font vite le choix", précise-t-il.
Laurent Bordet

Le Figaro - France : Les anciens étudiants, radins envers leurs facs - 0 views

  • Un sondage réalisé en octobre par Opinionway à la demande d'une agence de collecte de fonds démontre que seuls 7% des 601 diplômés de l'enseignement supérieur interrogés ont déjà donné une somme d'argent
  • le «terrain» n'est pas fermé en France, selon ce sondage qui révèle que les anciens se sentent attachés à leur établissement.
  • Ce sentiment varie de 58% à l'égard de l'université à plus de 80% pour les anciens étudiants en école de commerce et d'ingénieurs.
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  • : 41% estiment ainsi «qu'il est normal de faire des dons à son école ou à son université pour participer à son développement et à son rayonnement».
  • Reste que 80% des diplômés n'ont jamais été sollicités ou n'ont jamais pensé passer à l'acte.
  • Pourquoi les autres ne donnent-ils pas ? Principalement parce qu'ils n'ont jamais été sollicités (52%) voire parce qu'ils n'en ont pas les moyens (43%). Et 18% se disent aussi hostiles au financement privé des établissements...
  • Pour les universités, la difficulté est grande car elles n'ont pas de communauté constituée d'anciens élèves.
  • Université de Toulouse I Capitole de 1999 a 2004. Des amphis poussiéreux et inconfortables, des sièges qui grincent ou qui se relevent en claquant bruyamment, des couloirs lugubres, de ordinateurs dignes de l'ex RDA, des plafonds et des murs craquelés, des lumières blafardes, un service d'information et d'orientation fantôme, ou la potiche qui vous accueille ne connait pas la différence entre un DEA et un DESS ( a l'époque , avant la réforme des Masters ) etun enseignement théorique et prétentieux, à des années lumières des attentes des entreprises et des compétences réclamées sur le marché du travail. A l'issue de 5 années passées entre ces murs glauques, 3 ans de galère de CDD en intérim, en petits boulots et postes de sous fifre pour finalement décrocher un emploi digne de ce nom, correctement rémunéré, et avec un vague rapport avec les études réalisées.
  • Je viens d'un milieu ouvrier et j'ai eu la chance de faire bonnes études universitaires quasi-gratuites qui m'ont permis de prendre l'ascenseur social. Je suis aujourd'hui cadre supérieur, reconnu dans mon domaine d'expertise. Je dis bien humblement, n'en déplaise aux libéraux pur sucre, que je n'y serais pas arrivé dans un pays où l'université est payante. Je suis reconnaissant au système universitaire français.
  • Depuis 5 ans, je suis chargé de cours dans un master II et je ne perçois pas la rémunération correspondante. C'est une façon de renvoyer l'ascenseur, agréable, car l'enseignement est aussi un plaisir. Si cela vous tente, contactez vos anciens profs, ils sont demandeurs.
  •  
    Intéressant, surtout la partie réaction... A méditer
Laurent Bordet

Fusion universités-grandes écoles : en faire l'objet d'un débat au cours de l... - 0 views

  • « 63 % des recruteurs sont favorables à cette fusion, et 46% d’entre eux estiment que cette question devrait faire l’objet d’un débat au cours de la campagne pour l’élection présidentielle de 2012 ;
  • 65% des étudiants et des lycéens sont favorables à cette fusion dont 71% des lycéens interrogés, 39% des étudiants inscrits en classe préparatoire ou en grande école ; 62% des étudiants inscrits à l’université en niveau master ou plus et 64% de ceux inscrits en niveau licence ;
  • 5% des étudiants et des lycéens interrogés estiment que l’enseignement supérieur est un thème essentiel ou important dans le cadre de la campagne pour l’élection présidentielle de 2012 ».
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  • 52% d’entre eux perçoivent le système éducatif français plus complexe que les systèmes d’enseignement supérieur des autres pays européens ».
Laurent Bordet

La bataille de la matière grise est engagée - LeMonde.fr - 0 views

  • DÉVELOPPER UN RÉSEAU D'ANCIENS M. Ramanantsoa le reconnaît sans ambages. L'enjeu de la guerre des talents est de "rester dans le top 5 européen" et de conserver le "respect" de ceux qui, en Europe, aux Etats-Unis ou en Asie, partagent les fauteuils d'orchestre. Il s'agit aussi de développer un réseau d'anciens solide et prestigieux, gage d'influence, de réputation et de soutien financier juteux. "Les diplômés de l'ENA, en France, peuvent retrouver des anciens dans tout l'establishment français. Un ancien de Stanford trouvera d'influents diplômés partout dans le monde", notait cruellement The Economist dans le même numéro.
  • INDISPENSABLE DE "VENDRE" SA MARQUE Pour attirer les meilleurs étudiants – et enseignants –, les grandes écoles ont pris une longueur d'avance. Contrairement aux universités, elles sélectionnent, et c'est là un outil efficace. Mais pas suffisant. Il faut aussi être visible à l'international. L'accréditation accordée par trois organismes privés fait référence pour les écoles de management. Etre présents dans les classements s'impose. Shanghaï Times Higher Education ou Financial Times, les "radars", comme les appelle Richard Perrin, directeur international de l'Edhec, ne manquent pas
Laurent Bordet

Génération précaire met en garde contre un boom des stages | Question(s) soci... - 0 views

  • De quoi s'agit-il ? D'appliquer au stage les cinq critères retenus pour définir le cadre de référence de l'alternance : un temps unique de formation (6 mois non renouvelables maximum par année de formation), un pilotage de la formation associant école et entreprise, un tutorat effectif, un apprenant en situation professionnelle réelle dans le cadre d'une relation contractuelle et une reconnaissance des compétences acquises en entreprise, ce qui permettrait au stage de "recouvrer sa dimension pédagogique".
  • Pour éviter les dérives c
  • notamment certaines écoles de commerce
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  • les stages ne pourraient pas commencer avant que 50% des heures de formation n'aient été suivies et que les examens du premier semestre aient été passés.
  • ropose enfin une cotisation forfaitaire de 100 euros par stage au titre de la cotisation retraite et de 50 euros au titre de la cotisation chômage,
Laurent Bordet

Terra Nova veut augmenter les droits d'inscription en fac - 0 views

  • La fondation lance un pavé dans la marre en réclamant une hausse "modérée et étalée dans le temps" des droits d'inscription, en vue d'accroître les moyens financiers des universités. Le think tank propose également de créer une allocation d'études supérieures, utilisable tout au long de la vie active, ainsi que la suppression des cours en amphithéâtre.
  • Un triplement des droits d'inscription en licence et un quadruplement en master et en doctorat sur cinq ans pour permettre plus d'égalité dans le système et augmenter les moyens des universités, en maintenant une exonération totale pour tous les boursiers"
  • Une telle mesure permettrait également, selon Terra Nova, de lutter contre l'absentéisme et l'échec étudiant.
  • ...4 more annotations...
  • Création d'une allocation d'études supérieures
  • Une allocation qui serait "complétée" par un "prêt à taux zéro garanti par l'Etat", qui pourrait s'élever à 150 euros par mois en licence, et à 300 euros en master.
  • La fondation demande également la suppression "des cours en amphithéâtre dans les universités" et "d'instaurer une sélection" dès la première année de master
  • Terra Nova propose en effet, "à partir de la rentrée 2012, de diminuer de 33% en cinq ans le nombre de places en classes prépa, de réduire de 50% en cinq ans les places aux concours des grandes écoles, et d'augmenter les nombres d'admis dans les grandes écoles issus de l'université et n'étant pas passés par les prépas". Enfin, le think tank souhaite "rattacher administrativement les classes préparatoires aux universités ou aux PRES."
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