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Laurent Bordet

La fac ? Tu raques ! - Résultat d'exploitation(s) - 0 views

  • C'est que le financement des études pose un problème majeur. Le cycle de vie peut-être vu en "U". De la naissance au premier emploi, l'individu coûte à la société. Ensuite, il a un emploi et contribue au fonctionnement de celle-ci. Enfin, à partir de la retraite, il devient à nouveau un coût.
  • les études supérieures sont financées par l'impôt. Les étudiants qui "consomment" le plus d'études sont ceux qui auront les plus gros revenus et qui paieront le plus d'impôts pour financer les études de leurs successeurs. Est-ce forcément vrai ? Le hic, c'est que si 55% des étudiants accèdent à l'enseignement supérieur, c'est vrai pour 84% des enfants d'enseignants, 80% des enfants de cadres mais seulement 36% des ouvriers non qualifiés.
  • Enfin, la non-sélection à l'entrée de l'université engendre un taux d'échec très élevé en 1ère année (25% de redoublement, 25% de sortie de l'université). Enfin, à la sélection purement académique s'ajoute une sélection par l'argent : les étudiants qui ne peuvent vivre décemment (logement, nourriture) sont contraints d'arrêter ou de raccourcir leurs études.
  • ...4 more annotations...
  • a manne servant aujourd'hui à payer les universités est convertie de façon à payer à tous les étudiants, quel que soit le niveau de ressources de leurs parents, un "revenu d'autonomie". Les 25 Mds€ de budget actuels pourraient permettre d'allouer 800€/mois/étudiant.
  • ertains pourront rembourser aisément le prêt mais d'autres, à cause d'un "rendement trop faible" de leur diplôme ou d'accidents ou de choix de vie, ne le pourront pas. Il faut alors aménager la possibilité d'un effacement partiel ou total de la dette. Celui-ci doit être relativement "fin" pour éviter l'aléa moral
  • certains prêts pour imposer un "numerus clausus" soft sur certaines filières à faibles débouchés. Plus globalement, cela pourrait être un moyen de canaliser les étudiants vers les filières les plus utiles pour la communauté. Un choix qui serait très explosif politiquement ou socialement d'autant que cela reviendrait à donner plus de choix (d'aller vers des filières "bouchées" ceci dit) aux plus riches.  
  • ais nous avons tort de considérer le système etat-uniens comme totalement pervers et le nôtre, basé sur la liberté et une apparente quasi-gratuité, totalement vertueux. Surtout, notre système a le grand tort d'occulter totalement la question de la vie extra-scolaire de l'étudiant et transforme ceux-ci en nouveaux pauvres.  Un choix guère acceptable alors que la formation est un ingrédient indispensable de notre future compétitivité.
Laurent Bordet

Réseaux sociaux et universités, une situation paradoxale selon une étude Capg... - 1 views

  • Alors que les universités ont tout intérêt à s'emparer des réseaux sociaux pour développer des stratégies ambitieuses, elles ne font finalement qu' « acte de présence », constate Capgemini consulting dans une étude publiée sur le web fin mai 2012. Etonnant pour des établissements dont le cœur de métier se trouve précisément dans l'organisation d'interactions, dans la diffusion la plus large du savoir et dans la mise en place de réseaux pour rayonner nationalement, internationalement ou disciplinairement. Un champ des possibles s'ouvrent aux universités françaises, encore fait-il qu'elles sachent s'en saisir rapidement...
  • Une frilosité générale sur le numérique ? Le problème est peut-être précisément là. Et si la frilosité des universités envers les réseaux sociaux ne trahissait pas un mal plus profond, la difficulté à se positionner clairement dans un processus d’innovation par le numérique ? Pour Marie Angliviel, directrice associée de Capgemini consulting et responsable du pôle « enseignement supérieur et recherche », le réseau social doit s’inscrire dans le cadre d’une « politique de l’université » en matière numérique, « un sujet colossal qui touche l’ensemble des aspects de l’université, difficile à appréhender pour des structures qui doivent accompagner tant de transformations depuis la mise en place de la LRU jusqu’aux idex et autres projets du grand emprunt, aux opérations de fusion, etc. ».
  • Les universités auraient également intérêt à consolider par les réseaux sociaux « les liens avec les enseignants-chercheurs et les personnels Biatos ». Mais à cet égard, force est de déplorer le faible nombre de dispositifs alors qu’il « se passe des choses plus ambitieuses du côté des grandes écoles ».
Laurent Bordet

L'enseignement supérieur aux Etats Unis remis en question ? | Le blog de Brig... - 0 views

  • à l’heure d’une crise économique sans précédent, une université américaine privée, la National Louis University, un établissement privé de Chicago a mis en ligne une offre de cours au rabais sur le site d’achat groupé Groupon rapporte le Chicago Tribune.
  • “Nous avons réalisé que pour prospérer dans l’environnement très concurrentiel de l’enseignement, il fallait être là où sont nos étudiants, leur parler dans leur propre langage et beaucoup de nos étudiants potentiels reçoivent quotidiennement des e-mails de la part de Groupon“
  • ujourd’hui aux États Unis certains étudiants commencent à remettre en cause le fonctionnement des universités et se posent de nombreuses questions sur la nécessité de faire des études.
  • ...1 more annotation...
  • emettant en question le ROI du financement des études.
Laurent Bordet

Les étudiants étrangers en froid avec la France - LeMonde.fr - 0 views

  • Oui, du mal a été fait", assure Pierre Tapie, président de la Conférence des grandes écoles (CGE). " Cette affaire a fait énormément de bruit en Inde, au Brésil, en Chine, au Maroc...
  • ans la guerre internationale du talent, tout pays qui complique l'obtention de visas pour les étudiants, la possibilité de travailler pendant les études ou de vivre une première expérience professionnelle après le diplôme se tire une balle dans le pied", m
  • e XXIe siècle est souvent présenté comme devant être celui de l'économie de la connaissance. Plus que jamais, c'est le savoir et l'innovation qui créeront la richesse. D'où l'importance d'attirer les meilleurs des 200 millions d'étudiants que devrait compter le monde en 2015. "
  • ...6 more annotations...
  • Ces étudiants, futurs chercheurs ou entrepreneurs, s'interrogent aujourd'hui sur les intentions de la France. L'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin en a fait l'expérience, en visitant un Salon étudiant à Pékin. "Des étudiants chinois se sont attroupés et m'ont interpellé sur cette question, alors que j'étais interviewé par des télévisions chinoises", raconte-t-il.
  • u Maroc, des professeurs d'établissements français ont écrit à l'ambassadeur de France, le 14 octobre, pour prévenir de "l'effet désastreux produit au Maroc et en particulier de la consternation des familles ayant choisi de mettre leurs enfants dans les écoles du réseau d'enseignement français".
  • abil Sebti, 25 ans, est l'un d'eux. Marocain diplômé d'HEC, il est porte-parole du Collectif des étudiants étrangers. Après l'avoir interviewé, le New York Times constate, le 9 novembre :
  • assure que les étudiants étrangers qui ont obtenu au moins un master en France pourront rester pour une première expérience professionnelle sans que la situation de l'emploi puisse leur être opposée. François Fillon insiste : "Notre objectif est d'attirer les meilleurs étudiants du monde."
  • Mentionnant "une politique d'immigration maladroite", The Australian pointe ce dernier aspect dans un article du 23 novembre : "L'implacable montée de l'extrême droite en Europe n'est plus un sujet purement académique pour les universités d'excellence françaises.
  • n attendant, le Canada peut se frotter les mains. Le pays cherche à garder les jeunes qui viennent étudier sur son territoire, rappelle M. Lawton. "Et le Canada, dit-il, est évidemment très bien placé pour accueillir des étudiants étrangers francophones qui cherchent une destination accueillante pour suivre des études de qualité." Ainsi, dans les cours qu'il donne au Québec, Jean-Pierre Raffarin a beaucoup d'étudiants maghrébins. "Entre une administration canadienne accueillante et une administration française un peu fermée, ils font vite le choix", précise-t-il.
Laurent Bordet

Ne lisez pas l'enquête Masters 2008 | Histoires d'universités - 0 views

  • Ils sont donnés université par université, pour 4 grands types de discipline, chacune d’entre elles comportant plusieurs sous-disciplines. 4 indicateurs sont retenus pour mesurer la qualité du devenir professionnel : taux d’insertion, taux de cadres et de professions intermédiaires, taux d’emplois stables, taux d’emplois à temps plein.
  • résultats en ligne ne permettent pas de mesurer la qualité du devenir professionnel des diplômés 2008. Pourquoi ? Parce que la méthodologie de l’enquête a “éliminé” la majorité d’entre eux. Combien de diplômés de master en 2008 ? L’indicateur 8.18 des RERS 2010 donne la réponse : 22.140 diplômés de masters “recherche”, 65.221 de masters
  • La note méthodologique précise que 38% seulement des diplômés de master ont été retenus par l’enquête nationale
  • ...4 more annotations...
  • fessionnels”, 7.069 de masters “indifférenciés”, soit un total de 94.430 diplômés.
  • Combien de répondants ? 24.549. Mais où sont donc passés les 70.000 autres diplômés ? Certains se sont éliminés d’eux-mêmes (le taux de réponses - 68% - est plutôt bon). Les autres ont été évincés par la méthodologie de l’enquête.
  • éviction des diplômés étrangers, des diplômés en formation continue, des diplômés qui ont poursuivi des études immédiatement après l’obtention de leur diplôme ou repris des études avant le 1er décembre 2010
  • Surprenant ! L’ORESIPE de Strasbourg publie des fiches détaillées pour 49 Masters : excellent résumé des résultats en deux pages(mais il y a le problème de taux de réponses insuffisant).
Laurent Bordet

Le Figaro - France : Les anciens étudiants, radins envers leurs facs - 0 views

  • Un sondage réalisé en octobre par Opinionway à la demande d'une agence de collecte de fonds démontre que seuls 7% des 601 diplômés de l'enseignement supérieur interrogés ont déjà donné une somme d'argent
  • le «terrain» n'est pas fermé en France, selon ce sondage qui révèle que les anciens se sentent attachés à leur établissement.
  • Ce sentiment varie de 58% à l'égard de l'université à plus de 80% pour les anciens étudiants en école de commerce et d'ingénieurs.
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  • : 41% estiment ainsi «qu'il est normal de faire des dons à son école ou à son université pour participer à son développement et à son rayonnement».
  • Reste que 80% des diplômés n'ont jamais été sollicités ou n'ont jamais pensé passer à l'acte.
  • Pourquoi les autres ne donnent-ils pas ? Principalement parce qu'ils n'ont jamais été sollicités (52%) voire parce qu'ils n'en ont pas les moyens (43%). Et 18% se disent aussi hostiles au financement privé des établissements...
  • Pour les universités, la difficulté est grande car elles n'ont pas de communauté constituée d'anciens élèves.
  • Université de Toulouse I Capitole de 1999 a 2004. Des amphis poussiéreux et inconfortables, des sièges qui grincent ou qui se relevent en claquant bruyamment, des couloirs lugubres, de ordinateurs dignes de l'ex RDA, des plafonds et des murs craquelés, des lumières blafardes, un service d'information et d'orientation fantôme, ou la potiche qui vous accueille ne connait pas la différence entre un DEA et un DESS ( a l'époque , avant la réforme des Masters ) etun enseignement théorique et prétentieux, à des années lumières des attentes des entreprises et des compétences réclamées sur le marché du travail. A l'issue de 5 années passées entre ces murs glauques, 3 ans de galère de CDD en intérim, en petits boulots et postes de sous fifre pour finalement décrocher un emploi digne de ce nom, correctement rémunéré, et avec un vague rapport avec les études réalisées.
  • Je viens d'un milieu ouvrier et j'ai eu la chance de faire bonnes études universitaires quasi-gratuites qui m'ont permis de prendre l'ascenseur social. Je suis aujourd'hui cadre supérieur, reconnu dans mon domaine d'expertise. Je dis bien humblement, n'en déplaise aux libéraux pur sucre, que je n'y serais pas arrivé dans un pays où l'université est payante. Je suis reconnaissant au système universitaire français.
  • Depuis 5 ans, je suis chargé de cours dans un master II et je ne perçois pas la rémunération correspondante. C'est une façon de renvoyer l'ascenseur, agréable, car l'enseignement est aussi un plaisir. Si cela vous tente, contactez vos anciens profs, ils sont demandeurs.
  •  
    Intéressant, surtout la partie réaction... A méditer
Laurent Bordet

Démocratisation du supérieur : le conseil économique et social remet de timid... - 0 views

  • "En 1970, 75% des étudiants étaient à l’université, aujourd’hui ils ne sont plus que 56%. Les écoles publiques et privées ont bénéficié de cette situation sans que cela améliore le nombre de diplômés du supérieur". Selon lui : "l'université doit reprendre une place centrale dans l'enseignement supérieur et les filières courtes, les BTS et les IUT, doivent bénéficier davantage aux bacs professionnels et technologiques". L’avis du CESE en cela n’innove guère. Il a cependant le mérite de corroborer les résultats de l’enquête générationnelle 2007 du CEREQ ainsi que les études menées par la DEPP.
Laurent Bordet

Quand les Facs dament le pion aux grandes écoles - Challenges.fr - 0 views

  • Plus d'un étudiant sur deux prépare désormais un diplôme professionnel", constatent les études ministérielles. Mieux, ces jeunes accèdent à l'emploi dans des conditions bien plus satisfaisantes qu'on ne l'aurait imaginé. Une enquête nationale, chapeautée par le ministère de l'Enseignement supérieur, vient d'en apporter pour la seconde fois la preuve. Trente mois après leur diplôme, le taux d'insertion des masters de l'université est de 91%, presque tous en emploi stable, un score très comparable à celui des diplômés des grandes écoles
  • Alors que le grand public n'a pas encore pris conscience de ces changements, les entreprises, elles, ont déjà négocié le tournant. "Nous souhaitons ouvrir nos recrutements à environ 20% de diplômés venus de l'université, assure ainsi Jean-Marc Mickeler, responsable de la marque employeur chez Deloitte, l'un des Big Four, ces grands cabinets d'audit placés au firmament des débouchés de rêve par les étudiants. Elles ont aujourd'hui bien compris nos attentes, que ce soit Dauphine, bien sûr, mais aussi Paris 1, Nanterre, Strasbourg, Aix-en-Provence, Lyon..."
  • Pierre Tapie lui-même, président de la Conférence des grandes écoles, connu pour sa défense ardente de ce modèle d'excellence, assure désormais qu'entre une fac de droit et une école il n'y a pas de différence. "Les frontières entre les deux types d'établissement sont d e -plus en plus poreuses. Aujourd'hui, l'insertion professionnelle fait partie des missions de l'université. Tandis que les grandes écoles doivent faire de la recherche." Décidément, c'est la révolution.
Laurent Bordet

Etudiants étrangers : nouveaux ennemis de l'intérieur ? - Libération - 0 views

  • Marie Curie, Romain Gary et Georges Charpak ont été étudiants étrangers. Léopold Sédar Senghor a été camarade de khâgne de Georges Pompidou.
  • a faute économique, enfin. Ce sont les intérêts à long terme de la France qui sont bafoués. Nous sommes entrés dans l’ère du savoir. Une compétition mondiale pour la connaissance est en cours. La croissance de demain, les progrès de la science et de la technique, y compris pour faire face aux nouveaux défis, se jouent sur la qualité des investissements dans le «capital humain» et donc, pour une bonne part, dans le nombre d’ingénieurs et de docteurs que nous formerons.
  • Ajoutons ceci : ces étudiants ne prennent pas la place de Français. Une enquête publiée en 2008 à la Documentation française montrait que seuls 26% parmi ces étudiants envisageaient de rester en France après leurs études. La très grande majorité était décidée à rentrer dans leur pays d’origine et à participer à son développement. Ceux qui restent sont souvent recrutés dans des secteurs en tension et dans des domaines où leur expertise est jugée exceptionnelle.
Laurent Bordet

Le cœur de l'enseignement supérieur bascule-t-il vers d'autres horizons ? | L... - 0 views

  • le cœur de l’enseignement supérieur mondial n’est-il pas en train de basculer vers l’extrême orient et le sud ?
  • La « vieille Europe » se retrouve coincée entre les deux grandes puissances avec lesquelles ses relations ne sont pas au beau fixe : des Etats-Unis sur la défensive et une Chine flamboyante.
  • 1. Le Qatar renforce son campus d’excellence tout comme Dubaï, Singapour ou la Malaisie.
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  • Sur le modèle de Singapour, les émergents misent sur la matière grise et l’innovation pour se développer et rendre leur territoire mondialement attractif. « L’innovation est essentielle pour améliorer tant l’accès à l’éducation que sa qualité », a rappelé le président de Wise.
  • Education hubs comme l’explique le journal « Le Monde » daté du 10/11/2011 (pp. 16-17) «bousculent la planète universitaire » :
  • créés à Dubaï, Singapour ou au Qatar », ils redessinent la géographie de la connaissance.
  • 2. L’EFMD accrédite l’Afrique.
  • Même si les écoles africaines n’ont pas encore atteint les standards internationaux, elles s’en rapprochent de plus en plus. Les écoles de commerce de Casablanca, d’Ifrane, d’Alger ou de Dakar occupent la tête du classement africain (hors Afrique du sud) réalisé par Jeune Afrique
  • La question, pour les étudiants africains se posera, à terme, entre un séjour en Afrique du sud, au Maroc ou en France
  • 3. Les business schools chinoises ciblent nos étudiants.
  • Les écoles de commerce chinoises ciblent les étudiants occidentaux par un recrutement agressif.
  • mais révèlent un changement profond du paysage de l’enseignement supérieur à l’échelle mondiale
  • a concurrence en matière d’enseignement supérieur se situe, aujourd’hui, à l’échelle mondiale. J’ai expliqué ce phénomène maintes fois dans ce blog. - Quelles réponses apporter ? Faut-il prendre le risque de poursuivre notre modèle concurrentiel construit autour de baronnies et de cloisonnements ou opter pour un modèle collaboratif et ouvert ? A l’avenir, les étudiants décideront de leur parcours à une échelle qui mettra l’offre des formations supérieures hexagonale au même niveau que celles offertes à l’étranger. - Le développement des écoles doit accompagner celui des entreprises. L’étudiant (français ou étranger) choisira son établissement en fonction de la qualité des relations écoles-entreprises qu’il entretiendra au plan national et international. Ayons une vision mondiale et ouverte, ne pas accepter cette mutation, c’est voire notre influence et notre positionnement décliner. *Les organismes de référence en matière d’accréditation des business schools sont les suivants : l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business), l’EFMD (European Foundation for Management Development, Equis ou Epas) et l’AMBA (Association of MBAs). Share and Enjoy: Tags: Afrique, Chine, Enseignement supérieur Article du on Jeudi, novembre 10th, 2011 at 10:57 dans la rubrique Enseignement supérieur, géopolitique. Pour suivre les flux RSS de cet article : RSS 2.0 feed. Vous pouvez laisser un commentaire , ou un trackback sur votre propre site. « Et pourquoi pas un G20 Education ? Laisser un commentaire Name (required) Mail (will not be published) (required) Website Un blog A propos du Blog Tous les blogs Educpros Charte du blog Flux RSS Pages À propos Géopolitique Articles récents Le cœur de l’enseignement supérieur bascule-t-il vers d’autres horizons ? Et pourquoi pas un G20 Education ? Quand broyer du noir n’est pas forcément synonyme de morosité L’enjeu des compétences métier Relations étudiants/entreprises : il faut s’attendre à des surprises. Catégories Conjoncture économique Voir tous les articles classés dans diversit
Laurent Bordet

Universités : qui va décider ? - Le Nouvel Observateur - 0 views

  • C’est un des rares universitaires à avoir dirigé à la fois une université et une grande école.
  • L’autre dossier chaud dont héritent Fioraso et Mérindol est celui des « Idex » (Initiatives d’excellence), ces huit « super campus » promus par l’équipe Sarkozy par le biais de regroupements d’universités et d’écoles, qui doivent recevoir  eux aussi une pluie de millions (Saclay en fait partie). Certains ont été labellisés à la hussarde très peu de temps avant les présidentielles, et deux sont encore en suspens : Toulouse et Sorbonne Paris Cité, que conduisait Richard Descoings, le patron de Sciences Po, avant son décès.
  • es IDEX sont une matérialisation de son rêve de rationalisation. Dans une interview à l’agence AEF publiée peu avant sa nomination, Mérindol ne récusait pas les Idex
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  • « Une fusion (impensable dans la culture française) entre Paris VI, Paris VII, l’ENS et les Mines donnerait une université se classant dans les cinq premières mondiales au classement de Shanghaï. 
  • Le troisième dossier chaud est celui de la loi LRU dite d’autonomie des universités. « Elle est à revoir complètement sur la partie gouvernance des universités » disait Mérindol à l’AEF, citant la composition du CA des universités, le mode d’élection du président et la définition des grands secteurs disciplinaires « qui est archaïque »
  • Il plaide pour la remise à plat des Conseils scientifiques (qui datent de 1968) et des CEVU ( Conseil des études et de la vie universitaire), qui datent de  1984. Il conseille la création au sein des universités - et pour contrebalancer le pouvoir du CA -  d’une nouvelle instance remplaçant ces structures, baptisée Sénat
Laurent Bordet

Etudes : les spécialités qui facilitent les débuts de carrière - Les Echos.fr - 0 views

  • Parfois plus que le niveau de diplôme, le domaine d'études choisi se révèle plus ou moins favorable à l'entrée dans le monde du travail, selon une étude de l'Insee publiée aujourd'hui. Production, santé, sciences et informatique tirent leur épingle du jeu.
  • Pendant les dix premières années de vie active, le taux de chômage des titulaires de BTS et de DUT varie ainsi « entre 3 et 11 % selon la spécialité et celui des titulaires des masters entre 5 et 15 % », note l'Insee.
  • A l'autre bout du prisme, les diplômes du supérieur en sciences, production, informatique et santé offrent des débuts prometteurs.
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  • A l'inverse, elle souligne la vitalité du secteur informatique qui profite à tous les niveaux de diplômes, ainsi que la montée en puissance du conseil et de l'assistance aux entreprises, dans lesquels les étudiants des écoles de commerce sont près du quart à trouver des débouchés.
Laurent Bordet

Fréquenter les réseaux sociaux professionnels doit se faire dès l'université ... - 2 views

  • Les étudiants qui cultivent des liens sur des sites sociaux comme LinkedIn même pendant leurs études ont plus de chances de se voir proposer des offres d'emploi à la sortie de celles-ci.
  • voire leur apprendre à s'en servir
  • doivent encourager ceux qui suivent leurs cours à fréquenter ces réseaux,
  • ...2 more annotations...
  • ugmenter leurs chances de recevoir des informations pertinentes du milieu professionnel
  • 90 % des personnes interrogées ayant reçu une offre pertinente via un réseau social déclarent l'avoir obtenue via un site professionnel
Laurent Bordet

La crise économique pèse sur les budgets des universités européennes - 0 views

  • Selon une étude de l'European University Association (EUA), la crise économique a, depuis 2008, conduit une majorité de pays européens à couper dans leurs dépenses en matière d'enseignement supérieur et à augmenter leurs frais de scolarité. La France et l'Allemagne font figure d'exception.
  •  
    situation économique des universités en Europe
Laurent Bordet

2011/03/04 > Etats-Unis > L'enseignement supérieur aux Etats-Unis - 0 views

  • Le système d'enseignement supérieur américain se caractérise par une très grande diversité tant du point de vue des programmes proposés que par la nature des établissements concernés. L'enseignement supérieur aux Etats-Unis est aussi caractérisé par une forte logique d'autorégulation, un degré élevé de décentralisation et une large autonomie des établissements.
  • sation des études et enseignements dispensés : cycles d'études, organisations2. Les différents types d'institutions3. Accréditations4. La carrière de professeur des universités5. Le financement de l'enseignement supérieur6. Etudes à l'Etranger7. Gouvernance8. Relation avec le secteur privé : mesures gouvernementales ; transferts de connaissances, partenariats université/entreprise9. Rôle du gouvernement : fédéral, Etat, local
Laurent Bordet

Faire de la recherche dès la première année d'université, une expérience pour... - 0 views

  • Faire de la recherche dès la première année d'université, une expérience pour réconcilier les jeunes et la science
  • Face à la désaffection pour les études scientifiques, les initiatives pédagogiques se multiplient. Avant le 30 mai, les lycéens de terminale auront terminé leur choix d'orientation dans l'enseignement supérieur. Qui optera pour une université scientifique ? Depuis dix ans, la filière scientifique a perdu près de 20 % de ses effectifs. Une désaffection d'autant plus inquiétante qu'elle se double d'une baisse du niveau. Les derniers résultats de l'enquête PISA, qui évalue le niveau scolaire des pays de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), ont montré que la France se classait au 21e rang sur 34 pays.
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