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Laurent Bordet

Ne lisez pas l'enquête Masters 2008 | Histoires d'universités - 0 views

  • Ils sont donnés université par université, pour 4 grands types de discipline, chacune d’entre elles comportant plusieurs sous-disciplines. 4 indicateurs sont retenus pour mesurer la qualité du devenir professionnel : taux d’insertion, taux de cadres et de professions intermédiaires, taux d’emplois stables, taux d’emplois à temps plein.
  • résultats en ligne ne permettent pas de mesurer la qualité du devenir professionnel des diplômés 2008. Pourquoi ? Parce que la méthodologie de l’enquête a “éliminé” la majorité d’entre eux. Combien de diplômés de master en 2008 ? L’indicateur 8.18 des RERS 2010 donne la réponse : 22.140 diplômés de masters “recherche”, 65.221 de masters
  • La note méthodologique précise que 38% seulement des diplômés de master ont été retenus par l’enquête nationale
  • ...4 more annotations...
  • fessionnels”, 7.069 de masters “indifférenciés”, soit un total de 94.430 diplômés.
  • Combien de répondants ? 24.549. Mais où sont donc passés les 70.000 autres diplômés ? Certains se sont éliminés d’eux-mêmes (le taux de réponses - 68% - est plutôt bon). Les autres ont été évincés par la méthodologie de l’enquête.
  • éviction des diplômés étrangers, des diplômés en formation continue, des diplômés qui ont poursuivi des études immédiatement après l’obtention de leur diplôme ou repris des études avant le 1er décembre 2010
  • Surprenant ! L’ORESIPE de Strasbourg publie des fiches détaillées pour 49 Masters : excellent résumé des résultats en deux pages(mais il y a le problème de taux de réponses insuffisant).
Laurent Bordet

Les masters d'ingénierie en débat - 0 views

  • Les écoles d'ingénieurs diplôment 30.000 personnes par an
  • faudrait  arriver à une filière d'ingénierie globale, qui réunisse grandes écoles et universités. Cela demande de la cohérence, donc de la concertation entre les principaux acteurs. L'important est de bien préparer les étudiants au métier d'ingénieur, quels  que soient leur titre et la filière suivie.
  • Pourquoi ne pas avoir fait évoluer vos écoles internes comme  Polytech Paris-UPMC ?
  • ...3 more annotations...
  • Polytech accueille des bacheliers technologiques ou des bacs S option Sciences de l'ingénieur, et forme des ingénieurs opérationnels
  • Nos masters d'ingénierie s'adresseront à des étudiants motivés, mais pas intéressés par les classes préparatoires.
  • Julien Roitman, vous avez évoqué l'idée de créer un ordre des ingénieurs. Les diplômés des masters d'ingénierie y auront-ils leur place ?
Laurent Bordet

Terra Nova veut augmenter les droits d'inscription en fac - 0 views

  • La fondation lance un pavé dans la marre en réclamant une hausse "modérée et étalée dans le temps" des droits d'inscription, en vue d'accroître les moyens financiers des universités. Le think tank propose également de créer une allocation d'études supérieures, utilisable tout au long de la vie active, ainsi que la suppression des cours en amphithéâtre.
  • Un triplement des droits d'inscription en licence et un quadruplement en master et en doctorat sur cinq ans pour permettre plus d'égalité dans le système et augmenter les moyens des universités, en maintenant une exonération totale pour tous les boursiers"
  • Une telle mesure permettrait également, selon Terra Nova, de lutter contre l'absentéisme et l'échec étudiant.
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  • Création d'une allocation d'études supérieures
  • Une allocation qui serait "complétée" par un "prêt à taux zéro garanti par l'Etat", qui pourrait s'élever à 150 euros par mois en licence, et à 300 euros en master.
  • La fondation demande également la suppression "des cours en amphithéâtre dans les universités" et "d'instaurer une sélection" dès la première année de master
  • Terra Nova propose en effet, "à partir de la rentrée 2012, de diminuer de 33% en cinq ans le nombre de places en classes prépa, de réduire de 50% en cinq ans les places aux concours des grandes écoles, et d'augmenter les nombres d'admis dans les grandes écoles issus de l'université et n'étant pas passés par les prépas". Enfin, le think tank souhaite "rattacher administrativement les classes préparatoires aux universités ou aux PRES."
Laurent Bordet

La ministre de l'Enseignement supérieur veut valoriser et démocratiser l'univ... - 0 views

  • La ministre a déploré que 90% des étudiants titulaires d'un bac pro échouent à l'université dans le premier cycle "quand ils ne sont pas accompagnés". 9.900 intitulés de licences ou masters Elle a demandé aux recteurs d'accueillir en priorité les bac professionnels et technologiques dans les filières BTS, STS et IUT, "avec un accompagnement spécifique".
  • Pour rendre l'offre de l'université "plus lisible", elle veut simplifier licences et masters, qui totalisent 9.900 intitulés. Même les recruteurs s'y perdent, a-t-elle estimé. Cet automne, elle lancera une mission sur une e-université et l'e-formation.
  • L'allocation d'études supérieures promise par François Hollande fera l'objet d'une négociation avec les organisations étudiantes et ne devrait pas démarrer avant la rentrée 2013, a précisé Mme Fioraso à l'AFP.
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  • Enfin, la ministre a estimé qu'"il n'y avait pas de tabou" à faire payer les classes prépa aux grandes écoles mais qu'il fallait alléger le coût des concours.
Laurent Bordet

Quand les Facs dament le pion aux grandes écoles - Challenges.fr - 0 views

  • Plus d'un étudiant sur deux prépare désormais un diplôme professionnel", constatent les études ministérielles. Mieux, ces jeunes accèdent à l'emploi dans des conditions bien plus satisfaisantes qu'on ne l'aurait imaginé. Une enquête nationale, chapeautée par le ministère de l'Enseignement supérieur, vient d'en apporter pour la seconde fois la preuve. Trente mois après leur diplôme, le taux d'insertion des masters de l'université est de 91%, presque tous en emploi stable, un score très comparable à celui des diplômés des grandes écoles
  • Alors que le grand public n'a pas encore pris conscience de ces changements, les entreprises, elles, ont déjà négocié le tournant. "Nous souhaitons ouvrir nos recrutements à environ 20% de diplômés venus de l'université, assure ainsi Jean-Marc Mickeler, responsable de la marque employeur chez Deloitte, l'un des Big Four, ces grands cabinets d'audit placés au firmament des débouchés de rêve par les étudiants. Elles ont aujourd'hui bien compris nos attentes, que ce soit Dauphine, bien sûr, mais aussi Paris 1, Nanterre, Strasbourg, Aix-en-Provence, Lyon..."
  • Pierre Tapie lui-même, président de la Conférence des grandes écoles, connu pour sa défense ardente de ce modèle d'excellence, assure désormais qu'entre une fac de droit et une école il n'y a pas de différence. "Les frontières entre les deux types d'établissement sont d e -plus en plus poreuses. Aujourd'hui, l'insertion professionnelle fait partie des missions de l'université. Tandis que les grandes écoles doivent faire de la recherche." Décidément, c'est la révolution.
Laurent Bordet

Etudiants étrangers diplômés: des projets de vie menacés - 0 views

  • Je suis un étudiant algérien, âgé de 24 ans et arrivé en France le 25 août 2009, je m'étais inscrit en première année de Master à l'université d'Angers, une année réussie qui m'a permis d'avoir accès à une formation très sélective en Master 2 à l'université d'Angers en partenariat avec l'ESSCA (école de commerce).
Laurent Bordet

Le Figaro - France : Les anciens étudiants, radins envers leurs facs - 0 views

  • Un sondage réalisé en octobre par Opinionway à la demande d'une agence de collecte de fonds démontre que seuls 7% des 601 diplômés de l'enseignement supérieur interrogés ont déjà donné une somme d'argent
  • le «terrain» n'est pas fermé en France, selon ce sondage qui révèle que les anciens se sentent attachés à leur établissement.
  • Ce sentiment varie de 58% à l'égard de l'université à plus de 80% pour les anciens étudiants en école de commerce et d'ingénieurs.
  • ...7 more annotations...
  • : 41% estiment ainsi «qu'il est normal de faire des dons à son école ou à son université pour participer à son développement et à son rayonnement».
  • Reste que 80% des diplômés n'ont jamais été sollicités ou n'ont jamais pensé passer à l'acte.
  • Pourquoi les autres ne donnent-ils pas ? Principalement parce qu'ils n'ont jamais été sollicités (52%) voire parce qu'ils n'en ont pas les moyens (43%). Et 18% se disent aussi hostiles au financement privé des établissements...
  • Pour les universités, la difficulté est grande car elles n'ont pas de communauté constituée d'anciens élèves.
  • Université de Toulouse I Capitole de 1999 a 2004. Des amphis poussiéreux et inconfortables, des sièges qui grincent ou qui se relevent en claquant bruyamment, des couloirs lugubres, de ordinateurs dignes de l'ex RDA, des plafonds et des murs craquelés, des lumières blafardes, un service d'information et d'orientation fantôme, ou la potiche qui vous accueille ne connait pas la différence entre un DEA et un DESS ( a l'époque , avant la réforme des Masters ) etun enseignement théorique et prétentieux, à des années lumières des attentes des entreprises et des compétences réclamées sur le marché du travail. A l'issue de 5 années passées entre ces murs glauques, 3 ans de galère de CDD en intérim, en petits boulots et postes de sous fifre pour finalement décrocher un emploi digne de ce nom, correctement rémunéré, et avec un vague rapport avec les études réalisées.
  • Je viens d'un milieu ouvrier et j'ai eu la chance de faire bonnes études universitaires quasi-gratuites qui m'ont permis de prendre l'ascenseur social. Je suis aujourd'hui cadre supérieur, reconnu dans mon domaine d'expertise. Je dis bien humblement, n'en déplaise aux libéraux pur sucre, que je n'y serais pas arrivé dans un pays où l'université est payante. Je suis reconnaissant au système universitaire français.
  • Depuis 5 ans, je suis chargé de cours dans un master II et je ne perçois pas la rémunération correspondante. C'est une façon de renvoyer l'ascenseur, agréable, car l'enseignement est aussi un plaisir. Si cela vous tente, contactez vos anciens profs, ils sont demandeurs.
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    Intéressant, surtout la partie réaction... A méditer
Laurent Bordet

"Il ne faut pas avoir peur de venir à l'université" - LeMonde.fr - 0 views

  • Un site est entièrement dédié aux lycéens et un DVD présentant toutes les facettes de l'université est diffusé dans les lycées.
  • Nous avons aussi la chance d'avoir une école d'ingénieurs au sein de l'université : Polytech Nantes. Nos étudiants en sciences peuvent pendant deux ans suivre des cours supplémentaires en sciences de l'ingénieur et avoir ensuite accès aux douze écoles du réseau Polytech.
  • Qu'apporte l'université que ne donnent pas forcément les prépas ? D'abord le sens de l'autonomie que nos étudiants apprennent à développer très tôt. Ensuite une pédagogie différente pas fondée sur le bachotage, à l'exception évidemment de la première année de médecine
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  • Nous accordons ainsi plus de 200 000 € par an de subventions directes auprès de 140 associations recensées sur nos campus. Les projets sont divers et inventifs : solidarité locale, sport, culture, convivialité, international, média...
  • C'est une hérésie, un master devrait être un continuum sur deux ans. Là il y a une barrière entre les deux qui sanctionne des étudiants au milieu du gué. La législation actuelle date d'avant le LMD et n'a pas été modifiée : elle autorisait alors un accès libre en maîtrise, et imposait une sélection à l'entrée des DEA et DESS. La première barrière de sélection ne se fait donc qu'en M2. Il faudrait que la sélection se fasse dès le M1.
  • L'insertion professionnelle fait maintenant partie des missions de l'université. Pouvez-vous dresser un premier bilan de votre action ?
  • A la rentrée, nous lançons "Têtes de l'Emploi", notre premier forum de l'emploi afin de faire se rencontrer entreprises et futurs jeunes diplômés. Ce forum va venir renforcer les actions que nous menions déjà discipline par discipline. Par exemple en droit ou en lettres où les professions venaient se présenter aux étudiants dans le cadre de forums des métiers. Nous assurons également un vrai suivi de nos diplômés et avons d'excellentes relations avec les secteurs professionnels. Résultat, nos taux d'insertion n'ont rien à envier à ceux de grandes écoles pour nos masters et licences professionnels.
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    Inrerview du président de l'Université de Nantes.
Laurent Bordet

Enseignement supérieur: Sarkozy rate l'excellence - Libération - 0 views

  • Les 8 lauréats des Idex se trouvent pour moitié en Ile-de-France, les autres en province (Toulouse, Strasbourg,  Bordeaux et Aix-Marseille). Mais tout le Nord et l’Ouest de la France ont été oubliés. On se retrouve avec un paysage totalement déséquilibré, des régions entières sans grands pôles et un écart qui se creuse avec les petites universités exclues de la manne financière.
  • La «circulaire Guéant», le grand ratage final A l’origine, baisser les chiffres de l’immigration légale Obnubilés par la politique du chiffre en matière d’immigration, les ministres de l’Intérieur et du Travail, Claude Guéant et Xavier Bertrand adressent le 31 mai 2011 une circulaire aux préfectures pour qu’elles examinent avec «plus de rigueur» les demandes d’autorisation de travail des immigrés. Sont visés entre autres les jeunes diplômés étrangers, de niveau master ou plus, qui à la fin de leurs cursus effectuaient jusqu’ici une première expérience professionnelle en France.
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    Principaux jalons de la réforme universitaire sous l'ère Sarkozy
Laurent Bordet

Ce que "l'enfer des prépas" ne dit pas - LeMonde.fr - 0 views

  • Est-on si sûr en fin de compte que les premiers cycles universitaires soient moins "infernaux" et plus épanouissants que les prépas, avec leurs amphis bondés, leurs classes de TD surchargées, leur absence de suivi individualisé, leurs emplois du temps en forme de gruyère, leur spécialisation précoce, et leurs professeurs trop souvent inaccessibles ? Et moins socialement inégaux, quand les enfants d'ouvriers à l'université sont 12,3 % en licence, 7,7 % en master et 4,7 % en doctorat ? Sur-sélection insidieuse car progressive et silencieuse. Aucune statistique ne permet d'ailleurs d'affirmer que la consommation d'anti-dépresseurs ou le taux de suicide sont plus élevés chez les jeunes en prépa plutôt que dans les premiers cycles universitaires.
  • L'idéal, sans doute, serait d'allier le meilleur de l'université (mixité sociale plus grande en premier cycle, lien avec la recherche, autonomie des étudiants) et le meilleur de la prépa, en créant des "Collèges universitaires" accessibles à tous, qui délivreraient les diplômes de Licence. Mais à en croire les projets des candidats déclarés à la prochaine élection présidentielle, aucun d'entre eux ne semble jusqu'à présent mesurer l'importance d'une réforme indispensable pour une jeunesse qui n'a pas le temps d'attendre.
Laurent Bordet

Les étudiants étrangers en froid avec la France - LeMonde.fr - 0 views

  • Oui, du mal a été fait", assure Pierre Tapie, président de la Conférence des grandes écoles (CGE). " Cette affaire a fait énormément de bruit en Inde, au Brésil, en Chine, au Maroc...
  • ans la guerre internationale du talent, tout pays qui complique l'obtention de visas pour les étudiants, la possibilité de travailler pendant les études ou de vivre une première expérience professionnelle après le diplôme se tire une balle dans le pied", m
  • e XXIe siècle est souvent présenté comme devant être celui de l'économie de la connaissance. Plus que jamais, c'est le savoir et l'innovation qui créeront la richesse. D'où l'importance d'attirer les meilleurs des 200 millions d'étudiants que devrait compter le monde en 2015. "
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  • Ces étudiants, futurs chercheurs ou entrepreneurs, s'interrogent aujourd'hui sur les intentions de la France. L'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin en a fait l'expérience, en visitant un Salon étudiant à Pékin. "Des étudiants chinois se sont attroupés et m'ont interpellé sur cette question, alors que j'étais interviewé par des télévisions chinoises", raconte-t-il.
  • u Maroc, des professeurs d'établissements français ont écrit à l'ambassadeur de France, le 14 octobre, pour prévenir de "l'effet désastreux produit au Maroc et en particulier de la consternation des familles ayant choisi de mettre leurs enfants dans les écoles du réseau d'enseignement français".
  • abil Sebti, 25 ans, est l'un d'eux. Marocain diplômé d'HEC, il est porte-parole du Collectif des étudiants étrangers. Après l'avoir interviewé, le New York Times constate, le 9 novembre :
  • assure que les étudiants étrangers qui ont obtenu au moins un master en France pourront rester pour une première expérience professionnelle sans que la situation de l'emploi puisse leur être opposée. François Fillon insiste : "Notre objectif est d'attirer les meilleurs étudiants du monde."
  • Mentionnant "une politique d'immigration maladroite", The Australian pointe ce dernier aspect dans un article du 23 novembre : "L'implacable montée de l'extrême droite en Europe n'est plus un sujet purement académique pour les universités d'excellence françaises.
  • n attendant, le Canada peut se frotter les mains. Le pays cherche à garder les jeunes qui viennent étudier sur son territoire, rappelle M. Lawton. "Et le Canada, dit-il, est évidemment très bien placé pour accueillir des étudiants étrangers francophones qui cherchent une destination accueillante pour suivre des études de qualité." Ainsi, dans les cours qu'il donne au Québec, Jean-Pierre Raffarin a beaucoup d'étudiants maghrébins. "Entre une administration canadienne accueillante et une administration française un peu fermée, ils font vite le choix", précise-t-il.
Laurent Bordet

Le Figaro - Formation : Les étudiants du sud de l'Europe fuient la crise au nord - 0 views

  • Les destinations les plus demandées sont celles qui proposent le plus de formations en langue anglaise, plus faciles d'accès. D'après le site Studyportals, parmi les étudiants des quatre pays les plus en difficultés face à la crise, ils sont 27 % à se tourner vers la Grande-Bretagne et 17 % vers les Pays-Bas, qui offrent 1104 Licence et Masters enseignés en Anglais. La France se positionne en 5ème position des destinations les plus consultées par les étudiants, au même niveau que la Belgique.
  • Les Français sont eux aussi attirés par l'étranger, où les perspectives d'avenir leur semblent plus roses. Ils sont toujours plus nombreux à partir à l'étranger pour étudier et chercher leurs premiers jobs. D'après l'institut de sondage Gallileo, qui a enquêté en 2012 sur les ambitions professionnelles de 1600 étudiants de 16 des plus grandes écoles françaises, 23 % d'entre eux cherchent «prioritairement» leur premier job à l'étranger.
Laurent Bordet

Le cœur de l'enseignement supérieur bascule-t-il vers d'autres horizons ? | L... - 0 views

  • le cœur de l’enseignement supérieur mondial n’est-il pas en train de basculer vers l’extrême orient et le sud ?
  • La « vieille Europe » se retrouve coincée entre les deux grandes puissances avec lesquelles ses relations ne sont pas au beau fixe : des Etats-Unis sur la défensive et une Chine flamboyante.
  • 1. Le Qatar renforce son campus d’excellence tout comme Dubaï, Singapour ou la Malaisie.
  • ...10 more annotations...
  • Sur le modèle de Singapour, les émergents misent sur la matière grise et l’innovation pour se développer et rendre leur territoire mondialement attractif. « L’innovation est essentielle pour améliorer tant l’accès à l’éducation que sa qualité », a rappelé le président de Wise.
  • Education hubs comme l’explique le journal « Le Monde » daté du 10/11/2011 (pp. 16-17) «bousculent la planète universitaire » :
  • créés à Dubaï, Singapour ou au Qatar », ils redessinent la géographie de la connaissance.
  • 2. L’EFMD accrédite l’Afrique.
  • Même si les écoles africaines n’ont pas encore atteint les standards internationaux, elles s’en rapprochent de plus en plus. Les écoles de commerce de Casablanca, d’Ifrane, d’Alger ou de Dakar occupent la tête du classement africain (hors Afrique du sud) réalisé par Jeune Afrique
  • La question, pour les étudiants africains se posera, à terme, entre un séjour en Afrique du sud, au Maroc ou en France
  • 3. Les business schools chinoises ciblent nos étudiants.
  • Les écoles de commerce chinoises ciblent les étudiants occidentaux par un recrutement agressif.
  • mais révèlent un changement profond du paysage de l’enseignement supérieur à l’échelle mondiale
  • a concurrence en matière d’enseignement supérieur se situe, aujourd’hui, à l’échelle mondiale. J’ai expliqué ce phénomène maintes fois dans ce blog. - Quelles réponses apporter ? Faut-il prendre le risque de poursuivre notre modèle concurrentiel construit autour de baronnies et de cloisonnements ou opter pour un modèle collaboratif et ouvert ? A l’avenir, les étudiants décideront de leur parcours à une échelle qui mettra l’offre des formations supérieures hexagonale au même niveau que celles offertes à l’étranger. - Le développement des écoles doit accompagner celui des entreprises. L’étudiant (français ou étranger) choisira son établissement en fonction de la qualité des relations écoles-entreprises qu’il entretiendra au plan national et international. Ayons une vision mondiale et ouverte, ne pas accepter cette mutation, c’est voire notre influence et notre positionnement décliner. *Les organismes de référence en matière d’accréditation des business schools sont les suivants : l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business), l’EFMD (European Foundation for Management Development, Equis ou Epas) et l’AMBA (Association of MBAs). Share and Enjoy: Tags: Afrique, Chine, Enseignement supérieur Article du on Jeudi, novembre 10th, 2011 at 10:57 dans la rubrique Enseignement supérieur, géopolitique. Pour suivre les flux RSS de cet article : RSS 2.0 feed. Vous pouvez laisser un commentaire , ou un trackback sur votre propre site. « Et pourquoi pas un G20 Education ? Laisser un commentaire Name (required) Mail (will not be published) (required) Website Un blog A propos du Blog Tous les blogs Educpros Charte du blog Flux RSS Pages À propos Géopolitique Articles récents Le cœur de l’enseignement supérieur bascule-t-il vers d’autres horizons ? Et pourquoi pas un G20 Education ? Quand broyer du noir n’est pas forcément synonyme de morosité L’enjeu des compétences métier Relations étudiants/entreprises : il faut s’attendre à des surprises. Catégories Conjoncture économique Voir tous les articles classés dans diversit
Laurent Bordet

Fusion universités-grandes écoles : en faire l'objet d'un débat au cours de l... - 0 views

  • « 63 % des recruteurs sont favorables à cette fusion, et 46% d’entre eux estiment que cette question devrait faire l’objet d’un débat au cours de la campagne pour l’élection présidentielle de 2012 ;
  • 65% des étudiants et des lycéens sont favorables à cette fusion dont 71% des lycéens interrogés, 39% des étudiants inscrits en classe préparatoire ou en grande école ; 62% des étudiants inscrits à l’université en niveau master ou plus et 64% de ceux inscrits en niveau licence ;
  • 5% des étudiants et des lycéens interrogés estiment que l’enseignement supérieur est un thème essentiel ou important dans le cadre de la campagne pour l’élection présidentielle de 2012 ».
  • ...1 more annotation...
  • 52% d’entre eux perçoivent le système éducatif français plus complexe que les systèmes d’enseignement supérieur des autres pays européens ».
Laurent Bordet

Etudes : les spécialités qui facilitent les débuts de carrière - Les Echos.fr - 0 views

  • Parfois plus que le niveau de diplôme, le domaine d'études choisi se révèle plus ou moins favorable à l'entrée dans le monde du travail, selon une étude de l'Insee publiée aujourd'hui. Production, santé, sciences et informatique tirent leur épingle du jeu.
  • Pendant les dix premières années de vie active, le taux de chômage des titulaires de BTS et de DUT varie ainsi « entre 3 et 11 % selon la spécialité et celui des titulaires des masters entre 5 et 15 % », note l'Insee.
  • A l'autre bout du prisme, les diplômes du supérieur en sciences, production, informatique et santé offrent des débuts prometteurs.
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  • A l'inverse, elle souligne la vitalité du secteur informatique qui profite à tous les niveaux de diplômes, ainsi que la montée en puissance du conseil et de l'assistance aux entreprises, dans lesquels les étudiants des écoles de commerce sont près du quart à trouver des débouchés.
Laurent Bordet

Des diplômes bientôt émis par les pôles du supérieur - ENSEIGNEMENT - 0 views

  • Des diplômes bientôt émis par les pôles du supérieur
  • En clair, pour les masters et les doctorats communs qui sont en train de se développer entre les universités, mais aussi entre les universités et les grandes écoles membres de ces regroupements.
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