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Laurent Bordet

la Confédération Etudiante tire la sonnette d'alarme - 0 views

  • L’absence de mesures pour améliorer l’insertion professionnelle à l’Université dans le discours de la Ministre pousse La Confédération Etudiante à tirer la sonnette d’alarme. Alors que les assises de l’enseignement supérieur s’ouvrent peu à peu dans les territoires, la  question de l’insertion professionnelle des jeunes diplômés, primordiale pour l’avenir de notre pays et première préoccupation des étudiants doit être au cœur des concertations.
  • La plus grande difficulté rencontrée par les jeunes diplômés pour trouver un emploi est la méconnaissance du monde de l’entreprise.
  • L’Université dont nous avons besoin, c’est  une Université décloisonnée, ouverte sur le monde qui l’entoure, qui soit le terreau de l’innovation et de la création de savoirs et de richesses.    C’est pourquoi la Cé propose ses mesures pour l’insertion professionnelle : Mise en place de stages obligatoires dès la licence quelle que soit la filière. Généralisation des réseaux d’anciens étudiants dans toutes les universités comme dans les écoles pour permettre à tous les étudiants dès la première année de se construire un réseau nécessaire à l’insertion professionnelle. Organisation de rencontres régulières entre les étudiants et le monde de l’entreprise : forums, petits déjeuners RH, visites d’entreprises, interventions de professionnels et anciens étudiants… Création de modules de formation à l’entreprenariat et la création d’incubateurs/pépinières à l’intérieur des universités
Laurent Bordet

La ministre de l'Enseignement supérieur veut valoriser et démocratiser l'univ... - 0 views

  • La ministre a déploré que 90% des étudiants titulaires d'un bac pro échouent à l'université dans le premier cycle "quand ils ne sont pas accompagnés". 9.900 intitulés de licences ou masters Elle a demandé aux recteurs d'accueillir en priorité les bac professionnels et technologiques dans les filières BTS, STS et IUT, "avec un accompagnement spécifique".
  • Pour rendre l'offre de l'université "plus lisible", elle veut simplifier licences et masters, qui totalisent 9.900 intitulés. Même les recruteurs s'y perdent, a-t-elle estimé. Cet automne, elle lancera une mission sur une e-université et l'e-formation.
  • L'allocation d'études supérieures promise par François Hollande fera l'objet d'une négociation avec les organisations étudiantes et ne devrait pas démarrer avant la rentrée 2013, a précisé Mme Fioraso à l'AFP.
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  • Enfin, la ministre a estimé qu'"il n'y avait pas de tabou" à faire payer les classes prépa aux grandes écoles mais qu'il fallait alléger le coût des concours.
Laurent Bordet

Démocratisation du supérieur : le conseil économique et social remet de timid... - 0 views

  • "En 1970, 75% des étudiants étaient à l’université, aujourd’hui ils ne sont plus que 56%. Les écoles publiques et privées ont bénéficié de cette situation sans que cela améliore le nombre de diplômés du supérieur". Selon lui : "l'université doit reprendre une place centrale dans l'enseignement supérieur et les filières courtes, les BTS et les IUT, doivent bénéficier davantage aux bacs professionnels et technologiques". L’avis du CESE en cela n’innove guère. Il a cependant le mérite de corroborer les résultats de l’enquête générationnelle 2007 du CEREQ ainsi que les études menées par la DEPP.
Laurent Bordet

http://rse-sud.adhere-rh.com/?p=229 - 0 views

  • En temps de crise rien ne vaut le rassemblement et la mutualisation des moyens. Les universités et écoles de Toulouse l’ont bien comprise et excellent dans la mise en pratique.
  • Mutualisation inédite en France, la structure s’est donnée pour missions notamment la gestion de l’enseignement doctoral et de la recherche, la gestion des moyens ou encore la qualité de la vie étudiante avec par exemple la mise à disposition d’une assurance-caution pour le logement des étudiants.
  • Vue comme une réelle fédéralisation sans aliénation, chaque entité conserve son mode de fonctionnement, son autonomie budgétaire et son organe de direction. L’identité de chaque membre est respectée.
Laurent Bordet

Assises : « Mais où sont donc passées les entreprises? », s'inquiètent les in... - 0 views

  • ans "un contexte de crise" et alors que la LRU prévoit "une insertion professionnelle des étudiant", "le monde socio-économique semble écarté de la définition des cursus de formation et du processus d'orientation. Peut-on imaginer préparer les jeunes à un métier en les coupant du monde du travail ?",
  • Au-delà d'un cursus fondé sur un socle de vastes connaissances scientifiques et techniques et ne rechignant pas à l'évaluation, leur réussite repose très largement sur une proximité délibérée avec les entreprises".
  • En matière de recherche, la CDEFI estime qu'il faut maintenir le cap. "Ce qui doit être au centre du système, c'est le fait que l'Université (au sens générique du terme) doit avoir une vraie stratégie recherche et qu'elle soit capable de la mettre en oeuvre. Les organismes (CNRS...) font corps avec les établissements d'enseignement
Laurent Bordet

Universités : les mensonges de Sarkozy - Libération - 1 views

  • En 2012, le budget total de la recherche et de l’enseignement supérieur sera de 25,4 milliards d’euros (soit un peu plus de 1,2% du PIB). Sur ce total, la moitié ira aux formations supérieures et à la recherche universitaire (12,5 milliards d’euros). Cette somme représente la totalité des moyens allant aux universités et aux diverses écoles et instituts, quel que soit leur ministère de rattachement. L’autre moitié ira aux aides étudiantes (2,2 milliards) et aux divers organismes de recherches : CNRS, ANR, Inra, Inserm, mais aussi recherche spatiale, nucléaire, etc. (10,7 milliards).
  • En attribuant les moyens des organismes de recherches aux étudiants (ce qui est douteux), on arrive péniblement à une dépense totale de l’ordre de 10 000 euros par étudiant en France, quand les Etats-Unis dépassent les 30 000 euros.
  • Que l’on ne s’y trompe pas : c’est grâce à cet investissement dans leurs campus que les Etats-Unis conservent leur suprématie économique et leur influence intellectuelle et culturelle, en dépit des failles de plus en plus évidentes de leur modèle politique et social hyperinégalitaire.
Laurent Bordet

Réseaux sociaux et universités, une situation paradoxale selon une étude Capg... - 1 views

  • Alors que les universités ont tout intérêt à s'emparer des réseaux sociaux pour développer des stratégies ambitieuses, elles ne font finalement qu' « acte de présence », constate Capgemini consulting dans une étude publiée sur le web fin mai 2012. Etonnant pour des établissements dont le cœur de métier se trouve précisément dans l'organisation d'interactions, dans la diffusion la plus large du savoir et dans la mise en place de réseaux pour rayonner nationalement, internationalement ou disciplinairement. Un champ des possibles s'ouvrent aux universités françaises, encore fait-il qu'elles sachent s'en saisir rapidement...
  • Une frilosité générale sur le numérique ? Le problème est peut-être précisément là. Et si la frilosité des universités envers les réseaux sociaux ne trahissait pas un mal plus profond, la difficulté à se positionner clairement dans un processus d’innovation par le numérique ? Pour Marie Angliviel, directrice associée de Capgemini consulting et responsable du pôle « enseignement supérieur et recherche », le réseau social doit s’inscrire dans le cadre d’une « politique de l’université » en matière numérique, « un sujet colossal qui touche l’ensemble des aspects de l’université, difficile à appréhender pour des structures qui doivent accompagner tant de transformations depuis la mise en place de la LRU jusqu’aux idex et autres projets du grand emprunt, aux opérations de fusion, etc. ».
  • Les universités auraient également intérêt à consolider par les réseaux sociaux « les liens avec les enseignants-chercheurs et les personnels Biatos ». Mais à cet égard, force est de déplorer le faible nombre de dispositifs alors qu’il « se passe des choses plus ambitieuses du côté des grandes écoles ».
Laurent Bordet

« Le prototype de l'école d'ingénieurs généralistes à la française » | Le nou... - 0 views

  • Au niveau international, ce que l’on comprend, c’est quelque chose qui s’appelle université.
  • . Nous avons l’énorme chance d’avoir à Paris XI un président qui a très bien compris cela, le but n’étant pas de faire une université française très traditionnelle du XXe siècle, mais une université moderne avec une gouvernance moderne et des ambitions.
  • Le cycle ingénieurs est passé à 520 diplômés et la cible est de 650. Cette évolution se fera très peu par le concours mais grâce aux mesures d’ouverture sociale, d’augmentation de la proportion des étudiants étrangers, 40 % peut-être, mais on pourrait arriver au seuil limite de 50 %.
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  • Après Centrale à Pékin, on va certainement faire Centrale à Casablanca. Le Maroc, c’est beaucoup plus simple. Il y a déjà des classes préparatoires, l’enseignement en français y est excellent, le bac de très bon niveau, parfois meilleur qu’en France.
  • L’Inde possède de très belles institutions très sélectives comme l’Indian Institute of Technology et l’Indian Institute of Management qui ne prennent que quelques milliers de candidats sur le demi-million qui se présente au concours.
  • Quand même 85 % des étudiants font autre chose que de la banque ! D’ailleurs, c’est assez compliqué de faire la part de ce qui est l’industrie et ce qui n’en est pas.
  • l’assurance, notamment pour l’analyse de risques
  • L’esprit entrepreneurial
  • otre filière de troisième année de préparation à la création d’entreprise doit dépasser 10 % de la promo, avec au moins 30 élèves dans la filière entrepreneurs. Du coup, notre incubateur est plein de projets de création d’entreprises.
  • Nous voyons émerger des effets absolument négatifs avec la communication par Internet. Aussi sommes-nous actuellement très attentifs à multiplier pour les étudiants les situations de communications interpersonnelles physiques, c’est essentiel. N
  • Deuxième étape, nous réfléchissons maintenant pour relancer notre cursus, à la valeur d’une présentielle. Je suis très admiratif, par exemple de ce que font Cambridge et Oxford, où un étudiant brillant, pendant 2 ans, travaillera avec un prof qui va s’occuper de lui ! Il va l’accompagner dans son chemin, guider ses choix.
Laurent Bordet

L'éducation à l'heure des réseaux sociaux | The Roxane Company - 0 views

  • Aujourd’hui, plus 3 millions d’étudiants américains suivent des cours en ligne, on prévoit qu’en 2019 50% des cours seront délivrés en ligne aux Etats-Unis.
  • Quant Harvard engage un directeur « marketing et communication » ce n’est pas pour travailler sur la notoriété mais bien parce que la présence sur les réseaux sociaux de la prestigieuse université est fondamentale pour son image.
  • il apparait que la communication sur les réseaux sociaux est de plus en plus importante. Et pourrait bientôt impacter les fameux classements des écoles, comme aux Etats-Unis où le site Mashable a ajouté un indicateur de « connectivité social media » au classement des universités de U.S. News.
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  • De plus, les réseaux sociaux permettent de nouvelles méthodes et fonctionnalités de travail. Notamment la mise en place de serious games ou de concours destinés aux étudiants, comme celui organisé par Viadeo : le Viadeo Student Challenge.
  • emple, Sprint subventionne et équipe une classe au Boston Emerson College en échange de leur généreuse contribution à la communication digitale du groupe (ils bloguent, tweetent et produisent des vidéos Youtube).
Laurent Bordet

Etudiants étrangers diplômés: des projets de vie menacés - 0 views

  • Je suis un étudiant algérien, âgé de 24 ans et arrivé en France le 25 août 2009, je m'étais inscrit en première année de Master à l'université d'Angers, une année réussie qui m'a permis d'avoir accès à une formation très sélective en Master 2 à l'université d'Angers en partenariat avec l'ESSCA (école de commerce).
Laurent Bordet

Les étudiants étrangers en froid avec la France - LeMonde.fr - 0 views

  • ui, du mal a été fait", assure Pierre Tapie, président de la Conférence des grandes écoles (CGE). " Cette affaire a fait énormément de bruit en Inde, au Brésil, en Chine, au Maroc...", alimenté par des diplômés "aigris" par cette sorte de "dépit amoureux" éprouvé à l'égard de la France
  • Une grande partie de la Silicon Valley s'appuie sur l'importation des meilleurs chercheurs, par exemple sur ceux qui proviennent des Indian Institutes of Technology et qui font leur doctorat à Stanford ou à Berkeley."
  • L'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin en a fait l'expérience, en visitant un Salon étudiant à Pékin. "Des étudiants chinois se sont attroupés et m'ont interpellé sur cette question, alors que j'étais interviewé par des télévisions chinoises"
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  • Mentionnant "une politique d'immigration maladroite", The Australian pointe ce dernier aspect dans un article du 23 novembre : "L'implacable montée de l'extrême droite en Europe n'est plus un sujet purement académique pour les universités d'excellence françaises." Et le quotidien de Sydney de souligner : "L'approche française est plus qu'une leçon pour l'Australie sur ce qu'il ne faut pas faire." L'Australie, pourtant, comme d'autres, est confrontée à ces affres, rappelle ainsi le New York Times, le 13 octobre : "Cette année, plusieurs nations occidentales, dont l'Australie, la Grande-Bretagne et la Suède, ont décidé de restreindre l'accès à leurs universités pour les étudiants étrangers.
  • Jean-Pierre Raffarin, pourtant très remonté contre cette "stratégie internationale absurde" relevant de la "démondialisation", veut croire que "cela peut se corriger". Il recommande d'"être plus subtil dans la communication. Il faut être sévère avec l'immigration illégale à condition d'accepter celle qui est légale. Et les étudiants sont au coeur de celle-ci".
Laurent Bordet

Idex : la France se dote de méga-universités | Peut mieux faire - 0 views

  • trois Idex donneront naissance à : Sorbonne Université qui rassemblera Paris 2 Assas - 4 Sorbonne et 6 Pierre-et-Marie-Curie ainsi que le Museum d’histoire naturelle, l’Insead et l’université de technologie de Compiègne
  • Elle accueillera 65 000 étudiants, 5000 chercheurs et 200 laboratoires.
  • Les modalités de fusion ne sont pas encore décidés. Une chose est sûre, les quatre universités membres du Pres (pôle de recherche et d’enseignement supérieur) ne feront plus qu’une. Les grands établissements ont vocation à s’intégrer dans cette université avec des modalités propres
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  • Outre les trois Idex parisiens, les deux autres lauréats sont Aix-Marseille, où les trois universités ont fusionné le 1er janvier, et Toulouse où il est prévu que les trois universités toulousaines et des écoles d’ingénieurs se regroupent.
Laurent Bordet

Le Figaro - Formation : Les étudiants du sud de l'Europe fuient la crise au nord - 0 views

  • Les destinations les plus demandées sont celles qui proposent le plus de formations en langue anglaise, plus faciles d'accès. D'après le site Studyportals, parmi les étudiants des quatre pays les plus en difficultés face à la crise, ils sont 27 % à se tourner vers la Grande-Bretagne et 17 % vers les Pays-Bas, qui offrent 1104 Licence et Masters enseignés en Anglais. La France se positionne en 5ème position des destinations les plus consultées par les étudiants, au même niveau que la Belgique.
  • Les Français sont eux aussi attirés par l'étranger, où les perspectives d'avenir leur semblent plus roses. Ils sont toujours plus nombreux à partir à l'étranger pour étudier et chercher leurs premiers jobs. D'après l'institut de sondage Gallileo, qui a enquêté en 2012 sur les ambitions professionnelles de 1600 étudiants de 16 des plus grandes écoles françaises, 23 % d'entre eux cherchent «prioritairement» leur premier job à l'étranger.
Laurent Bordet

Quelle Laïcité à l'Université ? - 0 views

  • L'Université a cette grande qualité d'être ouverte aux idées, aux cultures et au monde.
  • Cette diversité
  • se caractérise aussi par la présences d'étudiants portant des signes religieux tels le voile (musulman ou chrétien) la kippa ou le turban1.
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  • D'après l'article L141-6 du Code de l'Education, « le service public de l'enseignement supérieur est laïque et indépendant de toute emprise politique, économique, religieuse ou idéologique ; il tend à l'objectivité du savoir ; il respecte la diversité des opinions. Il doit garantir à l'enseignement et à la recherche leurs possibilités de libre développement scientifique, créateur et critique ».
  • ar conséquent, on peut légitimement émettre l'hypothèse que les établissements sont libres, dans leur règlement intérieur, de définir les bornes sauvegardant dans leurs murs « l'ordre public ».
  • Dans l'enseignement supérieur,
  • Sont formés des adultes, jeunes pour leur écrasante majorité4, en vue d'une formation intellectuelle et technique poussée
  • Or, côté usager (les étudiants), rien dans ne précise l'exclusion ou l'affichage de l'appartenance religieuse, contrairement à l'enseignement primaire et secondaire3. Pourquoi ?
  • Il n'est pas rare de croiser, aux hasards des couloirs un peu à l'écart, des étudiants pratiquant leur culte, priant leur divinité.
  • ourront toutefois être inscrites auxdits budgets les dépenses relatives à des services d'aumônerie et destinées à assurer le libre exercice des cultes dans les établissements publics tels que lycées, collèges, écoles, hospices, asiles et prisons ».
  • L'enseignement supérieur est un service public, et doit répondre aux règles qui s'appliquent aux établissements publics
  • Le public accueilli dépasse de loin le champ national, tandis que le caractère scientifique l'emporte sur la dimension partisane et politique.
Laurent Bordet

Universités : qui va décider ? - Le Nouvel Observateur - 0 views

  • C’est un des rares universitaires à avoir dirigé à la fois une université et une grande école.
  • L’autre dossier chaud dont héritent Fioraso et Mérindol est celui des « Idex » (Initiatives d’excellence), ces huit « super campus » promus par l’équipe Sarkozy par le biais de regroupements d’universités et d’écoles, qui doivent recevoir  eux aussi une pluie de millions (Saclay en fait partie). Certains ont été labellisés à la hussarde très peu de temps avant les présidentielles, et deux sont encore en suspens : Toulouse et Sorbonne Paris Cité, que conduisait Richard Descoings, le patron de Sciences Po, avant son décès.
  • es IDEX sont une matérialisation de son rêve de rationalisation. Dans une interview à l’agence AEF publiée peu avant sa nomination, Mérindol ne récusait pas les Idex
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  • « Une fusion (impensable dans la culture française) entre Paris VI, Paris VII, l’ENS et les Mines donnerait une université se classant dans les cinq premières mondiales au classement de Shanghaï. 
  • Le troisième dossier chaud est celui de la loi LRU dite d’autonomie des universités. « Elle est à revoir complètement sur la partie gouvernance des universités » disait Mérindol à l’AEF, citant la composition du CA des universités, le mode d’élection du président et la définition des grands secteurs disciplinaires « qui est archaïque »
  • Il plaide pour la remise à plat des Conseils scientifiques (qui datent de 1968) et des CEVU ( Conseil des études et de la vie universitaire), qui datent de  1984. Il conseille la création au sein des universités - et pour contrebalancer le pouvoir du CA -  d’une nouvelle instance remplaçant ces structures, baptisée Sénat
Laurent Bordet

Etudes : les spécialités qui facilitent les débuts de carrière - Les Echos.fr - 0 views

  • Parfois plus que le niveau de diplôme, le domaine d'études choisi se révèle plus ou moins favorable à l'entrée dans le monde du travail, selon une étude de l'Insee publiée aujourd'hui. Production, santé, sciences et informatique tirent leur épingle du jeu.
  • Pendant les dix premières années de vie active, le taux de chômage des titulaires de BTS et de DUT varie ainsi « entre 3 et 11 % selon la spécialité et celui des titulaires des masters entre 5 et 15 % », note l'Insee.
  • A l'autre bout du prisme, les diplômes du supérieur en sciences, production, informatique et santé offrent des débuts prometteurs.
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  • A l'inverse, elle souligne la vitalité du secteur informatique qui profite à tous les niveaux de diplômes, ainsi que la montée en puissance du conseil et de l'assistance aux entreprises, dans lesquels les étudiants des écoles de commerce sont près du quart à trouver des débouchés.
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