"La voie de la concertation choisie pour mener la réforme du lycée professionnel déconcerte. Selon l'entourage de la ministre déléguée Carole Grandjean, tout est « ouvert » et des « investissements massifs » pourraient être mis sur la table. Dans le monde enseignant, certains veulent tenter le coup, d'autres ont déjà claqué la porte, échaudés par les précédents et les annonces hâtives du président de la République."
"La paroisse Sainte Clotilde des Andelys (Eure) a été retenue pour la 13e Nuit des églises. Deux concerts et une visite guidée sont programmés le dimanche 30 juin 2024"
Les cinq universités catholiques françaises (Angers, Lille, Lyon, Paris et Toulouse) s'inquiètent « des restrictions budgétaires de l'État, imposées de manière unilatérale et sans concertation » qui pourraient, selon elles, mettre en péril leur « projet pédagogique et financier, performant et solidaire ».
" 5 conférences plénières réparties sur deux jours :
- Les finalités de l'éducation : quelle vision commune ?
- Les défis de l'éducation aujourd'hui.
- Pour une alliance des acteurs de l'éducation.
- Interpellation des partis candidats à la présidentielle avec les propositions de la plateforme collaborative.
- éduquer au monde de demain."
"Dans un rapport remis fin mars au gouvernement, Olivier Klein, maire de Clichy-sous-Bois, formule 16 recommandations en vue de "Favoriser la rénovation du patrimoine scolaire des quartiers populaires pour créer une école moderne et attractive". Il suggère de commencer par dresser un inventaire des besoins à grande échelle pour, dans un second temps, élaborer un plan pluriannuel chiffré. Il a quant à lui recensé les moyens publics déjà disponibles (Anru, DPV, FISL, PIA...) et invite à envisager les rénovations en intégrant d'ores et déjà des impératifs d'innovation, de concertation et de cohérence avec le contrat de ville."
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22 acteurs de l'éducation appellent les candidats à lancer les États Généraux de l'Éducation
Au jour du premier débat télévisé entre les principaux candidats, 22 acteurs de l'éducation de tous horizons déplorent le manque de place accordée à l'éducation dans la campagne et demandent le lancement d'États Généraux de l'Éducation.
A l'initiative de Vers Le Haut, think tank dédié aux jeunes et à l'éducation, 22 organismes interpellent les candidats à la présidentielle à partir de ce lundi pour leur demander d'organiser des Etats Généraux de l'Éducation en cas de victoire en mai 2017.
Sur le modèle du Grenelle de l'Environnement, dont les conclusions avaient permis d'obtenir des avancées majeures sur des grands défis environnementaux, les Etats Généraux de l'Education permettront de définir une feuille de route des réformes éducatives à entreprendre pour la prochaine décennie.
« Il grand temps de sortir des carcans idéologiques, des pesanteurs institutionnelles, du poids des habitudes pour relancer tous ensemble un pacte éducatif », déclare Marc Vannesson, délégué général de Vers le Haut.
Le think tank propose d'associer à cette démarche pour la première fois ensemble, État, collectivités locales, mouvements de jeunesse et associations familiales, acteurs de l'éducation, syndicats de salariés et représentants des entreprises, non pas pour une énième concertation, mais pour prendre les décisions indispensables face à l'urgence éducative. « C'est la meilleure garantie pour lever les blocages qui pénalisent aujourd'hui les jeunes générations » conclut son délégué général.
Soutien notamment de : Apprentis d'Auteuil, Secours catholique, Coexister, AFC, Collège des Bernardins
"Une concertation avec les acteurs de l'enseignement supérieur a été lancée lundi 17 juillet pour trouver une solution face au trop-plein d'étudiants qui veulent entrer à l'université."
"Alors qu'une concertation à l'initiative du gouvernement concerne notamment l'instauration de prérequis à l'entrée à l'université, 379 licences sélectionnent déjà illégalement leurs étudiants, selon un rapport du syndicat étudiant UNEF publié mercredi 19 juillet."
"Bravo à l'enseignement catholique. Dans une lettre, un chef d'établissement des environs de Rodez motive l'annulation « par la polémique grandissante concernant cette pièce ». Elle précise que « la décision est prise en concertation » avec le directeur diocésain de l'enseignement catholique et « en accord avec le Père Evêque »."
Le baccalauréat fait l'objet d'une vaste concertation à laquelle la présente note souhaite contribuer.
Le baccalauréat ne doit plus être l'aboutissement symbolique des études secondaires. Il doit mieux s'articuler avec le supérieur. Par ailleurs, la filière professionnelle, à la fois socialement déconsidérée, opaque et excessivement centralisée, doit être administrée au plus près des territoires, en confiant un rôle plus actif aux branches professionnelles et en favorisant une implication plus grande des parents dans l'orientation.
Repenser le baccalauréat implique de concevoir une réforme profonde du lycée.
C'est l'objet de la présente note : Pour repenser le bac, réformons le lycée et l'apprentissage. Son auteur, Faÿçal Hafied, est spécialiste de la croissance et du financement de l'innovation.
Cette note a été écrite par Faÿçal Hafied, qui a précédemment réalisé l'étude de la Fondation pour l'innovation politique sur la réforme du marché du travail : Marché du travail : pour la réforme (juillet 2017). Il est également l'auteur de Super Croissance, La stagnation séculaire n'aura pas lieu (FYP éditions, 2017) et de Introduction au capital-risque. Un levier pour le financement de l'innovation (Revue Banque, 2017).
"Revalorisation financière, protection des professeurs, renforcement du travail en équipe, sont au menu de cette concertation." [RDP du 23 octobre 2020]
"Malgré l'attentat de Conflans qui vient d'endeuiller le corps professoral, le ministre de l'éducation, Jean-Michel Blanquer, a maintenu l'ouverture, jeudi 22 octobre, d'une vaste concertation visant notamment à revaloriser le métier d'enseignant."
"Ouverture des collèges de 8 heures à 18 heures ou accueil des enfants dès 2 ans en éducation prioritaire… Le chef de l'Etat fait du temps de présence à l'école un facteur de réduction des inégalités sociales et scolaires. Les syndicats déplorent le manque de concertation sur la mise en œuvre de telles mesures."
"Présenté en mars dernier et prévu initialement pour la rentrée 2024, le projet de programme d'éducation à la vie sexuelle fait l'objet de concertations depuis le printemps. Contesté notamment par des associations familiales, il doit être présenté courant décembre au Conseil supérieur de l'éducation. Mercredi 27 novembre, Alexandre Portier, ministre délégué à la réussite scolaire, a lui-même estimé qu'il n'était « pas acceptable » en l'état."