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"« Affronter les défis de nos vies dans la confiance » tel est le thème l'intervention de Michel CASTRO demandée par l'ACI diocésaine de Lille, mais ouverte à tous. Le jeudi 18 mars, nous n'étions pas encore confinés et avons fait le choix de nous retrouver dans une église afin de garder les gestes de distanciation. Près de 60 personnes étaient présentes redisant le plaisir de se voir, de se rencontrer. Le samedi, nous venions d'être à nouveau confinés, et une quarantaine de personnes se sont connectées sur Zoom pour écouter Michel. Le COVID nous demande de nous adapter à sa présence et l'ACI comme beaucoup sont appelés à devenir flexibles dans l'organisation. Michel nous propose trois étapes pour travailler le thème de la rencontre : Les défis de l'Église naissante, du temps de Luc auteur des Actes des Apôtres et d'un Évangile, Les défis de notre Église aujourd'hui et comment nos communautés y font face, Dans la Confiance (« Oser la confiance » étant notre thème d'année en ACI)."

"'C'est pourquoi nous appelons de nos vœux la convocation d'un « Concile du peuple de Dieu ». Le peuple tout entier ne doit-il pas se mettre à l'écoute de l'Esprit, afin d'entendre « les joies et les espoirs, les tristesses et les angoisses des hommes de ce temps » (Gaudium et Spes, §1) ? Le peuple tout entier ne doit-il pas contribuer à redéfinir les bases d'une Église attentive aux appels du Seigneur ? N'est-ce pas en écoutant le peuple tout entier que la confiance abîmée peut revenir ? Réunir à parité des représentants du peuple de Dieu, hommes et femmes, laïcs et clercs, serait le signe de votre volonté d'un profond renouvellement dans l'Église et permettrait de lui redonner la confiance de ses membres. "

Au début et à la fin du confinement nous avons été portés par la Parole de Dieu : "Confiance ! C'est moi ; n'ayez pas peur ! Il monta ensuite avec eux dans la barque et le vent tomba" (Marc 6, 50). Jésus est à nos côtés et nous demande de ne pas avoir peur. "Ne t'ai-je pas commandé : "Sois fort et courageux !" ? Ne crains pas, ne t'effraie pas, car le Seigneur ton Dieu sera avec toi partout où tu iras." (Jos 1, 9) dit le Seigneur à Josué après la mort de Moïse. Ces deux versets étaient cités par le père Michel Euler, vicaire général, dans son communiqué du 7 mai dernier. Ils continuent à nous habiter. Nous souhaitons qu'ils nous habitent tous chaque jour. Dieu est toujours présent à chaque instant dans nos vies et dans la vie de l'Église, dans la vie de chacun d'entre nous et de toute personne que nous rencontrons, dans la vie du monde. "Allez ! De toutes les nations faites des disciples : baptisez-les au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, apprenez-leur à observer tout ce que je vous ai commandé. Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde" (Mt, 28, 20). La situation sanitaire que nous vivons nous invite aussi à beaucoup plus de souplesse, de plasticité dirait le pape François : "La paroisse n'est pas une structure caduque ; précisément parce qu'elle a une grande plasticité, elle peut prendre des formes très diverses qui demandent la docilité et la créativité missionnaire du pasteur et de la communauté".("La Joie de l'Évangile" N° 28) Nous avons retenu quatre points d'attention, des balises, pour nous aider à bien vivre cette nouvelle année pastorale. La situation sanitaire apparait comme un facteur d'accélération de la transformation missionnaire de nos paroisses, services, mouvements, communautés religieuses et associations de fidèles. Pour chacun de ces points d'attention nous donnerons des exemples (en annexe), très simples et trÃ

"Alors que les récentes révélations d'abus sexuels au sein de l'Église secouent gravement l'institution, dix personnalités posent un constat lucide et donnent des pistes pour renouer avec la transparence, l'humilité et la confiance. "

"Dénonciation des crimes sexuels, conséquences de la condamnation du cardinal Barbarin, prise de position du pape François : Monseigneur Bozo, évêque du diocèse de Limoges, répond sans tabou à ce qui agite les catholiques. "

Les membres de l 'assemblée synodale ont été appelés à proposer une vision pour les années à venir, sans complexe, détachés de tous clivages, avec un objectif en tête : annoncer le Christ. Les orientations adoptées pendant cette troisième assemblée portent du sens ; comme l'a expliqué notre évêque, elles nous provoquent et nous appellent à la conversion. Elles proposent "du prêt-à-élaborer" et non du "prêt-à-utiliser", pour dessiner les contours d'une Église renouvelée où chacun pourra, dans la foi et dans la joie, avancer en vérité et en liberté. Le père Gérard le Stang, théologien du synode, a résumé notre intuition missionnaire dans une expression magnifique : la confiance et l'amour du Christ provoquent toujours une réverbération vers les autres.

"Après l'ascension et le départ de Jésus, les disciples se sont retrouvés seuls, enfermés au Cénacle, confinés, dans la peur et l'inquiétude : est-ce que tout était fini ? Et puis est venu le jour de la Pentecôte, ils ont reçu l'Esprit saint et ont retrouvé confiance, espérance, force et courage pour aller proclamer la bonne nouvelle de Jésus-Christ ressuscité. Et nous, disciples du Christ qui sommes confinés depuis plusieurs semaines, qui avons vécu Pâques enfermés chez nous, comment allons-nous sortir du confinement ? Avec notre évêque nous allons vous proposer, de l'Ascension à la Pentecôte, de vivre comme les apôtres cette expérience de sortie du confinement : en priant la venue de l'Esprit Saint, reprenons conscience de notre vocation de baptisé. Dans un monde ébranlé par la pandémie et en proie au doute et à l'incertitude, comment vivre de l'Esprit, comme chrétien ? Quelle bonne nouvelle avons-nous encore à annoncer à nos contemporains ? Et vous, quelles sont les questions que vous vous posez sur votre vie de chrétiens dans ce monde de l'après-confinement ? Nous attendons vos questions pour construire avec vous une petite formation diocésaine pour tous, à suivre ou à écouter en ligne, dans la prière et l'attente de l'Esprit saint, entre l'ascension et la Pentecôte."

"D'ici peu, les fidèles vendéens vont être consultés sur le redécoupage paroissial et la naissance de nouvelles paroisses. Une nouvelle étape pastorale qui a pour origine le manque de prêtres, mais aussi le manque de laïcs qui peuvent prendre des responsabilités. D'aucun voudraient, à cette occasion, poser la question de la gouvernance. Face à l'idée de prêtres relégués à la célébration des sacrements, et d'une gouvernance passée aux laïcs, l'abbé Jean Bondu, vicaire épiscopal, attire notre attention sur l'importance du ministère ordonné et de sa configuration au Christ. Devons-nous voir la paroisse uniquement de manière horizontale ou y percevons-nous plutôt l'action du Christ ? Une démarche de foi et de confiance doit être au cœur des réformes de structures."

"Alors que le synode sur l'Amazonie s'achève dans un climat bouillonnant, le cardinal Christoph Schönborn arrache une heure à un emploi du temps bien chargé pour nous recevoir. Serein et souriant, il nous accueille dans un bureau de la célèbre Maison Sainte-Marthe au Vatican, la résidence hôtelière des visiteurs du Saint-Siège bien connue depuis que le pape François a décidé d'en faire sa demeure. L'entretien se déroule en français, une langue qu'il maîtrise à la perfection, lui qui a étudié la théologie entre autres au Saulchoir et à l'Institut catholique de Paris. Bien qu'autrichien, l'archevêque de Vienne, président de la conférence épiscopale de son pays, est l'une des figures centrales des trois semaines qui viennent de s'écouler à Rome. En effet, le pape lui a manifesté sa confiance à deux reprises : en le nommant, il y a quelques semaines, parmi les 33 invités spéciaux du synode, pour la plupart extérieurs à la région - il était donc l'un des..."

"Comment dépasser la crise qui frappe depuis plusieurs mois l'Église catholique ? Le chantier peut sembler colossal pour restaurer la confiance et la ferveur, mais les idées ne manquent pas ! Voici notre contribution au débat."

"Le Figaro a recueilli les analyses de plusieurs experts, à l'aube d'une année 2020 décisive pour que l'Église retrouve la confiance."

L'an dernier avec la lettre pastorale sur le baptême, de petites fraternités ont été constituées pour la lire et échanger. Les petits groupes permettent de faire une expérience de la communauté paroissiale complémentaire de celle des assemblées dominicales. Ils favorisent le lien fraternel entre les membres. Ils permettent de partager, de s'encourager et de grandir dans la foi, dans un climat de confiance et de bienveillance. Il est plus facile de prendre soin les uns des autres dans un groupe restreint que dans une assemblée anonyme. Comme Jésus rassemblant les disciples à la maison, les premières communautés chrétiennes se sont rassemblées à la maison. Nos communautés ne grandissent et ne rayonnent qu'à la mesure de leur qualité de fraternité. Plus encore qu'une vertu, la « fraternité » désignait au début de l'Église cette réalité nouvelle issue de l'Evangile que constituaient ces petits groupes de frères et de sœurs qui avaient plaisir à se retrouver, à prier ensemble, et à se former à l'école du Seigneur. Comme celle sur le baptême, cette lettre pastorale est ainsi conçue pour favoriser la naissance et la création de petites « fraternités » dans nos paroisses. Pourquoi pas avec vous ? Voici un « mode d'emploi » très simple

"Il redit sa confiance dans le pape François"

Les principaux enseignements de notre sondage I - Religions, croyance et rites l'état des lieux 50 % Appartenance religieuse : 50% des Français se disent chrétiens, plus de 4 Français sur 10 s'affichent « sans religion ». 72 % Mais seulement 27% des Français se disent croyants. II - Rôle des religions et du christianisme Une vision assez critique des religions en général, mais moins du Christianisme. III - Espérance, croyance en l'avenir et « bonne vie » 71 % des Français pensent que leurs concitoyens ne sont pas des personnes confiantes en l'avenir et 51% n'ont pas confiance en leur propre avenir. Les croyants et surtout les pratiquants sont plus optimistes. Une bonne vie pour les Français, c'est avant tout « savoir profiter de la vie comme elle vient ». L'espérance apparaît moins essentielle. 46 % De fait, l'espérance d'une vie après la mort et encore plus d'une présence de Dieu à nos côtés est le fait d'une minorité (46% dont 17% de « sûrs).

Nous avons donc pensé ce guide en vue d'un accompagnement des paroisses qui le souhaitent dans l'élaboration de leur Projet Pastoral Missionnaire. Il se veut un outil pour tracer, dans votre paroisse, un chemin que nous avons modélisé sous forme d'étapes mais qui n'est jamais duplicable car chaque communauté est unique, dans une histoire, un terroir et un contexte uniques. Vous verrez, de fait, qu'une grande partie de ce guide se présente, à chaque étape, sous forme de questions dont les réponses appartiennent à la Communauté paroissiale. Ces questions vous aideront à trouver un chemin qui vous soit propre et à développer avec confiance une créativité originale. Vous prenez un chemin de conversion et vous ne saurez pas immédiatement où vous allez. Il y aura sûrement de l'inattendu. Mais le chemin pour aboutir à un projet pastoral missionnaire est déjà un temps de transformation missionnaire pour la paroisse.

A l'occasion de la Pentecôte, je vous adresse une lettre pastorale pour nous inviter tous à vivre la mission. L'annonce du Christ et la transmission de la Bonne Nouvelle du Salut à tous est une urgence.

"Lors de la prochaine Assemblée plénière des évêques de France, qui aura lieu du 31 mars au 4 avril, l'épiscopat élira un nouveau président qui succédera à Mgr Éric de Moulins-Beaufort. Après six ans de mandat, l'archevêque de Reims fait le bilan d'une présidence marquée de manière indélébile par la question des violences sexuelles dans l'Église"