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Les principaux enseignements de notre sondage I - Religions, croyance et rites l'état des lieux 50 % Appartenance religieuse : 50% des Français se disent chrétiens, plus de 4 Français sur 10 s'affichent « sans religion ». 72 % Mais seulement 27% des Français se disent croyants. II - Rôle des religions et du christianisme Une vision assez critique des religions en général, mais moins du Christianisme. III - Espérance, croyance en l'avenir et « bonne vie » 71 % des Français pensent que leurs concitoyens ne sont pas des personnes confiantes en l'avenir et 51% n'ont pas confiance en leur propre avenir. Les croyants et surtout les pratiquants sont plus optimistes. Une bonne vie pour les Français, c'est avant tout « savoir profiter de la vie comme elle vient ». L'espérance apparaît moins essentielle. 46 % De fait, l'espérance d'une vie après la mort et encore plus d'une présence de Dieu à nos côtés est le fait d'une minorité (46% dont 17% de « sûrs).

"A la suite de la lettre pastorale "Jetez les filets", nous pouvons prier l'Esprit-Saint qu'il nous assiste dans cette transformation missionnaire de nos communautés. La prière "Nous voici en ta présence" est inspirée du "Ad Sumus". Prière pour vivre ensemble la mission dans le souffle de l'Esprit-Saint"

"De nombreuses paroisses se sont lancées dans une nouvelle dynamique missionnaire et pastorale. Au cœur de cette transformation, que chaque chrétien devienne "disciple missionnaire" et le renouveau d'une annonce explicite du kérygme. La condition pour que cette annonce ne bascule pas dans un prosélytisme creux : permettre une rencontre personnelle avec Jésus-Christ. Quelques références et quelques outils simples et accessibles."

"L'édition 2022 du Congrès Mission se tiendra à Paris les 30 septembre, 1er et 2 octobre. Jean-Benoît Harel et Antoine Jaron expliquent l'importance de cet événement, lieu de rencontre entre croyants et non-croyants."

"À l'occasion du Congrès Mission 2022, un sondage Ifop, présenté mardi 27 septembre, explore la sociologie et les aspirations des baptisés en France. L'étude montre un détachement croissant de la foi catholique et de la pratique, avec toutefois un attachement persistant à certains gestes, comme allumer un cierge ou se rendre dans un sanctuaire."

"Après une année au service du diocèse comme évêque d'Amiens, je m'adresse à chacun de vous par cette première lettre pastorale. Son but est de proposer mon propre regard sur le temps que nous vivons, qui appelle la redécouverte du sens communautaire et un engagement concret de tous pour le bien commun, nourris par une vision de foi plus crédible et cohérente que jamais. Je voudrais aussi indiquer précisément quelques chantiers pastoraux, et vous inviter à y prendre part, chacun selon les talents que vous avez reçus, non pour les enterrer mais pour les faire fructifier (Mt 25,14-30). Aujourd'hui, l'Église est appelée à renouer profondément avec sa raison d'être, pour en- tendre et mettre en œuvre ce que Dieu attend d'elle. Elle a besoin de témoins authentiques et courageux. Le Pape François nous invite à vivre, ensemble et avec persévérance, notre pèlerinage de foi, d'espérance et de charité. Cette lettre est une invitation, faite à tout le diocèse d'Amiens, à entrer dans cette démarche. Me lirez-vous jusqu'au bout ?" Mgr Le Stang y aborde : les rassemblements dominicaux, les sacrements, la diaconie et le service des plus fragiles, l'évangélisation, la catéchèse familiale, le témoignage missionnaire, la formation, la synodalité

"Alors que le mois d'octobre marque les 10 ans de la création de la Manif pour tous et la première année après la publication du rapport Sauvé, Josselin Tricou et Anthony Favier évoquent le point commun entre ces deux événements : la manière dont les sujets de genre et de sexualité sont abordés dans l'Église. Selon eux, l'heure est à un vaste aggiornamento."

"Notre diocèse est vaste et ses communautés sont très diverses. Pour cette raison, je ne souhaite pas donner des orientations pastorales diocésaines que chaque paroisse aurait ensuite à mettre en œuvre. Je demande plutôt à chaque communauté de se mettre d'une manière nouvelle à l'écoute du Seigneur, pour discerner l'appel missionnaire que Dieu lui adresse aujourd'hui. Cela suppose d'une part une écoute commune de la Parole de Dieu, mais aussi une attention aux besoins de ceux qui habitent sur le territoire de la paroisse, de ceux que nous voyons occasionnellement et de ceux que nous ne côtoyons pas. Chaque paroisse est donc invitée à formuler, dans le cours de cette année, un projet missionnaire réfléchi et discerné, non seulement avec le conseil pastoral, mais aussi dans des assemblées paroissiales, car le Seigneur nous éclairera les uns par les autres. Il nous faut accueillir ce qu'il met dans le cœur de chacun, en étant particulièrement attentifs à cette consigne de saint Paul : « N'éteignez pas l'Esprit, ne méprisez pas les prophéties, mais discernez la valeur de toute chose : ce qui est bien, gardez-le ; éloignez-vous de toute espèce de mal » (1 Th 5, 19-22). Ne demandons pas à l'Esprit de réaliser nos projets personnels mais demandons-lui plutôt un cœur ouvert pour découvrir comment il est à l'œuvre, pour aller là où il nous précède et nous attend. Nous pourrons alors discerner les priorités et les moyens nécessaires pour les mettre en œuvre. Notre belle rencontre du Grand Conseil en juin a permis de dégager quelques pistes pour ce renouveau missionnaire : aider à vivre la foi en famille et accompagner les jeunes familles, développer la fraternité et relancer les fraternités locales missionnaires, former les chrétiens à la Parole de Dieu, à l'accueil, à la liturgie, au dialogue… Il y en a bien d'autres possibles. Le tout nouveau Conseil Diocésain de Pastorale(5) a lui au

Notre diocèse est riche d'une longue et dense histoire. Il subit cependant une évolution rapide au sein d'une société elle-même en mouvement, tant dans sa relation aux religions que dans sa dynamique générale. Cela fait apparaitre de nouvelles opportunités. Mais cela aussi désarçonne et déstabilise la communauté chrétienne. Les défis qui se présentent devant nous sont de taille. La question organisationnelle se posera évidemment, elle n'est pourtant pas première. On me demande souvent une vision pour le diocèse. J'ai longtemps été embarrassé par cette demande, pensant qu'on me demandait de produire un plan articulé et un échéancier en vue d'une organisation systématique du territoire et de la pastorale. Un certain nombre d'échanges m'ont permis de comprendre qu'une vision n'était pas d'abord de cet ordre mais plutôt du partage de quelques convictions fondamentales qui peuvent dessiner un cadre, stimuler un élan, permettre la diversité légitime de se vivre dans la communion, répondre à l'appel de la mission aujourd'hui. (…) Pour envisager l'avenir, la question fondamentale est la suivante : « Que veux-tu, Seigneur, pour le diocèse d'Arras aujourd'hui ? » Que Sa volonté soit faite est ma seule ambition. Tout le reste est perte de temps. Je remarque que poser cette question souvent désarçonne : comment discerner la volonté de Dieu ? Certains craignent que ce soit l'alibi pour tout changer sans honorer l'histoire. D'autres sont accaparés par l'urgence et n'entendent pas la plus grande urgence encore de se mettre sous cette question. D'autres comprennent spontanément que cela décentre et peuvent en avoir peur. D'autres encore sont enthousiastes, mais se demandent comment faire la distinction entre intuition personnelle, ce que nous comprenons et percevons, idée d'un groupe (aussi évangélique et généreuse soit-elle) et volonté de Dieu. Il me semble que la réponse à cette

Ce samedi 8 octobre 2022, veille du 56e anniversaire de la création du diocèse, je promulgue les décrets de notre 4e synode « Église de Dieu qui est en Essonne, évangélise en prenant soin ». (…) Il n'est pas étonnant que les suggestions, les débats, les propositions des sessions de l'Assemblée synodale concernent trois grands services, trois grandes charges que nous devons retrouver dans toutes les réalités de la vie et la mission de l'Église et de nos différentes communautés. Ces trois services ne sont pas au choix, même si nous n'y sommes pas tous engagés de la même manière. S'il en manque un, notre vie sera bancale. Nous tenons plus facilement avec trois points d'appui qu'avec un ou deux. Notre baptême a fait retentir l'invitation à être Prophète, Roi et Prêtre. Invitation à vivre le service de l'annonce et du témoignage (marturia), le service de la charité (diaconia), le service de la louange et de la grâce de Dieu (liturgia)

Ce samedi 8 octobre 2022, veille du 56e anniversaire de la création du diocèse, je promulgue les décrets de notre 4e synode « Église de Dieu qui est en Essonne, évangélise en prenant soin ». (…) Il n'est pas étonnant que les suggestions, les débats, les propositions des sessions de l'Assemblée synodale concernent trois grands services, trois grandes charges que nous devons retrouver dans toutes les réalités de la vie et la mission de l'Église et de nos différentes communautés. Ces trois services ne sont pas au choix, même si nous n'y sommes pas tous engagés de la même manière. S'il en manque un, notre vie sera bancale. Nous tenons plus facilement avec trois points d'appui qu'avec un ou deux. Notre baptême a fait retentir l'invitation à être Prophète, Roi et Prêtre. Invitation à vivre le service de l'annonce et du témoignage (marturia), le service de la charité (diaconia), le service de la louange et de la grâce de Dieu (liturgia)

"Après deux ans de réflexion et de consultation, monseigneur Michel Pansard, évêque du diocèse Évry-Corbeil-Essonnes depuis octobre 2017, promulgue ce samedi à 14h30 les actes du 4e synode du diocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes. Cette démarche consultative, qui a mobilisé 2 500 catholiques, a permis de faire émerger 1 200 propositions synthétisées en 44 décrets."

"Monseigneur Pascal Wintzer, archevêque de Poitiers et le conseil épiscopal partage  « Vivre et annoncer l'Évangile en proximité », document de travail pour les paroisses du diocèse de Poitiers et pour tous les diocésains. Ce texte est la suite attendue et souhaitée aux rencontres effectuées dans les espaces pastoraux l'hiver dernier. Ce texte est un « outil » qui entend donner quelques repères et conseils pour l'animation des paroisses, des communautés locales, pour leur vie, leurs instances. Il propose des repères et non pas des normes. Il ne rendra service qu'à la mesure où il est lu, travaillé, où il est confronté aux réalités diverses de chacune des paroisses. […] Dans quelques jours, le conseil pastoral diocésain, qui a reçu ce texte, travaillera à sa mise en œuvre, en proposera des modalités […]. Cependant, dès maintenant, j'invite chacun à prendre le temps de lire avec attention (crayon à la main) l'instrument pastoral que je vous propose. Alors, bonne lecture, bon travail, et bonne route à la suite du Seigneur"

Le lien entre Eglise et territoire est au cœur de plusieurs publications du Père Christian Delarbre, enseignant puis recteur de l'Institut catholique de Toulouse, devenu notre Archevêque. Selon la méthode des 'mots-clefs', souvent employée par le Pape François, nous empruntons à quelques-uns de ses articles de quoi nourrir notre réflexion. Elle se présente comme un tableau pointilliste, donc sans épuiser le sujet. Les références des textes cités sont toutes précisées en fin de séquence

"Quelques points de repère proposés pour accompagner les paroisses dans leur processus de transformation missionnaire."

"Message de Mgr Habert pour les communautés paroissiales dans le processus de transformation pastorale du diocèse de Bayeux et Lisieux."

"Cette année, le Pape François invite toute l'Église à participer au synode sur la synodalité : « Pour une Église synodale : communion, participation et mission ». Dans notre diocèse, nous avons fait le choix de vivre concrètement l'expérience de la synodalité dans le travail de nos assises diocésaines, sur le thème choisi par notre évêque :"

"Le diocèse de Séez, ses paroisses, mouvements et services (chaque catholique de l'Orne en fait !), vont être invités d'ici peu à vivre une conversion missionnaire, vers une nouvelle manière de vivre en Eglise :"

Lettre pastorale présentée et remise à tous les chrétiens du Vaucluse par Monseigneur Fonlupt dimanche 16 octobre 2022 à Cavaillon. Je voudrais adresser cette lettre à tous les membres de nos communautés chrétiennes en Vaucluse, comme à toutes les personnes qui s'interrogent et sont attentives à la vie et à la réflexion de notre Eglise. Je vous la partage à l'occasion de ce rassemblement diocésain que nous vivons à Cavaillon ce 16 octobre 2022 pour, à la fois, rendre grâce pour la canonisation de Saint César de Bus célébrée à Rome le 15 mai dernier, et nous proposer un horizon commun pour notre vie ecclésiale. Elle veut nous inviter, à partir de là, à une réflexion tout au long de l'année pastorale qui s'engage