"Web 1, 2, 3... Chaque niveau semble éloigner l'utilisateur des contingences matérielles et techniques, apporter de la transparence dans les échanges, et ouvrir sur de nouvelles fonctionnalités. Et comme la fonction crée l'organe, cela change en profondeur l'ensemble de la société."
"Comment protéger nos vies virtuelles? Qui doit arbitrer les cyberconflits? Quelle liberté d'expression sur la Toile? Comment y favoriser le commerce? Ces questions se font de plus en plus complexes et brûlantes au niveau international. Au point qu'on parle désormais de gouvernance mondiale de l'Internet. Entendez par là une sorte de capitale du Web où différentes structures de régulation pourraient se coordonner et où l'on pourrait discuter des problèmes liés à Internet.
Pour le Conseil fédéral, Genève doit être cet endroit. Pour positionner la Ville dans cette compétition mondiale, il a lancé il y a un an la Geneva Internet Platform. Premier bilan avec son «père spirituel», le conseiller national Ruedi Noser (PLR/ZH), pour qui il n'est pas besoin d'être un geek pour se sentir concerné."
"À l'ère du numérique, piloter des projets et des équipes de manière performante n'est pas envisageable rationnellement sans des outils internet dynamiques. Fini les seuls courriels et pièces jointes. Fini les répertoires de fichiers sur l'intranet. Ces fameux outils sont symbolisés par l'appellation « technologies web 2.0 » [...]."
"Toute navigation dans l'immensité de la toile se fait par des coordonnées géographiques bien spéciales : les URLs, ou adresses web en langage courant. Le sigle URL [...] désigne une chaîne de caractères utiliséepour localiser les ressources du World Wide Web."
Hier à l'hôtel de ville de Paris se tenaient les 20 ans du W3C Europe. La branche européenne de l'organisme de normalisation du Web avait donc convié plusieurs orateurs à s'exprimer sur l'avenir des standards web, dont Tim Berners Lee, mais l'actualité rattrape souvent les beaux discours.
Pour Benoît Sarazin, consultant spécialiste de la question : « l'innovation de rupture consiste en un changement de concept pour les clients. En général, elle apporte des bénéfices radicalement supérieurs à un coût radicalement inférieur.
"Parmi les ruptures récentes, on citera le passage de la télévision à l'ordinateur personnel (PC), du téléphone au smartphone, du logiciel qu'on installe sur son ordinateur aux outils 100 % en ligne sur le web (aussi appelé « nuage », en anglais : cloud computing).
Le numérique constitue une rupture technologique majeure, sans doute aussi importante que la découverte du feu ou de l'agriculture ! Un postulat que nous osons émettre ici..."
"Le terme de « technologie de rupture » (disruptive technology en anglais) fut introduit et argumenté par Clayton M. Christensen dans son livre The Innovator's Dilemma, publié en 1997. Dans la suite de son ouvrage, intitulé The Innovator's Solution, Christensen utilise le terme plus générique d'innovation de rupture parce qu'il reconnaît que peu de technologies peuvent être effectivement dites de rupture ou de continuité. C'est au contraire leur usage effectif qui peut avoir un effet de rupture"
Now for the first time ever, we have a global plan of action - the Contract for the Web - created by experts and citizens from across the world to make sure our online world is safe, empowering and genuinely for everyone. We invite governments, companies, civil society organizations and individuals to back the Contract and uphold its principles and clauses.
The Contract for the Web will become a strong mechanism for each party to be held accountable for doing their part to build an open and free web.
Louis Pouzin, inventeur des Datagrammes, estime qu'il faudrait reprendre les bases d'Internet pour redonner le pouvoir aux utilisateurs et les protéger. Selon lui, Internet va disparaître et des moyens de communication plus sophistiqués vont se développer.
Durée de la séquence : 5min04
Produit en 2013
Produit par Les Echos TV
Licence : Licence YouTube standard
"Internet est le réseau informatique mondial accessible au public. C'est un réseau de réseaux, sans centre névralgique, composé de millions de réseaux aussi bien publics que privés, universitaires, commerciaux et gouvernementaux, eux-mêmes regroupés, en 2014, en 47 000 réseaux autonomes."
"Les questions (et les modules de cours associés) :
1) Prévention des risques et gestion de l'information numérique.
2) Site web & Identité numérique.
3) Stratégies Internet.
4) Usages des médias sociaux.Théo Bondolfi
5) Outils collaboratifs en ligne.
6) Formation continue des collaborateurs."
"Des Web addict, ceux qui avaient connu l'éclatement de la bulle internet en 2000 et qui préparaient l'internet des prochaines années : le web 2.0. Cette petite communauté de geek m'a fait découvrir un monde parallèle que je ne connaissais pas jusqu'alors : celui des blogs, des wiki, des réseaux sociaux, des plate-formes de partage, du streaming…
La révélation fut aussi douce que brutale : permettre à tout un chacun de s'exprimer, de faire valoir son talent, de partager ses idées, ses opinions…"
Le webmarketing ou netmarketing ou cybermarketing consiste à améliorer la visibilité et le trafic d'un site Web en utilisant internet comme canal de prospection et à développer une relation durable de fidélisation avec les internautes utilisateurs ou clients d'un site web et éventuellement des médias sociaux mise en place par le site internet.
A TED2009, Tim Berners-Lee a lancé un appel pour "des données brutes, maintenant" - afin que les gouvernements, les scientifiques et les institutions rendent leur données publiques sur internet. A l'université TED en 2010, il montre quelques-uns des résultats intéressants que l'on obtient en reliant les données.
Tim Berners-Lee invented the World Wide Web. He leads the World Wide Web Consortium, overseeing the Web's standards and development.
Language : english
Subtitles : french
"Le partage des connaissances a trouvé dans internet son média d'élection. Avec le web, ce sont toutes les classes sociales, toutes les nationalités, tous les âges qui peuvent avoir accès à une somme d'informations gratuites et infiniment étendues. La circulation des connaissances n'est plus contrôlée par un petit nombre d'érudits : elle est dynamisée par la masse des internautes, sans restriction."