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Home/ Groups/ Dossier IRC-Conciliation études-travail
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Synthèse Conciliation études-travail - 1 views

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    SYNTHÈSE DE LA BIBLIOGRAPHIE COMMENTÉE - Extraits des articles de référence jugés les plus intéressants et classement par thème (document de travail, 29 pages) Les Instances régionales de concertation sur la persévérance scolaire et la réussite éducative (IRC) qui sont au carrefour de tous les acteurs œuvrant à la réussite éducative des élèves québécois. Ce qui les distingue des autres acteurs de la persévérance scolaire : leur rôle de mobilisation des acteurs régionaux et de développement de partenariats locaux dans la promotion des conditions de réussite éducative. Les instances régionales privilégient des axes d'intervention afin de contribuer à la qualification des jeunes sur leur territoire respectif. Un de ces axes d'intervention est La recherche et le transfert de connaissances qui consiste à documenter les problématiques et les pratiques exemplaires afin de bonifier l'expertise régionale et locale. C'est dans ce cadre que les IRC se sont penchées sur l'importance de documenter la thématique de la conciliation- études-travail (CÉT). Voici un document synthèse répertoriant des extraits des différents résumés commentés. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/06/DOC-SYNTHESE-CET.pdf
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Compilation des résumés Conciliation études travail - 2 views

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    COMPILATION DES RÉSUMÉS - Document complet rassemblant l'ensemble des résumés pour tous les articles répertoriés (document de travail, 63 pages) Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/06/compilation_resumes_CET.pdf
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Les jeunes et le travail (16) - 3 views

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    Cet ouvrage propose une lecture de la question du travail des jeunes en la cadrant dans la perspective des transformations qu'ont connues les sociétés occidentales au cours des deux dernières décennies. Fruit d'un projet collectif de l'Observatoire jeunes et société, il réunit des textes originaux issus de travaux récents qui abordent, tour à tour, les multiples facettes de cet objet si particulier qu'est le travail des jeunes dans les sociétés occidentales contemporaines. professionnelles et de nouvelles formes de revalorisation de l'activité productive. Parmi les thèmes abordés tout au long de la première partie, notons le texte de Marc Molgat. Ce dernier traite de la question du rôle des parents chez les jeunes décrocheurs. Déjà̀, la recherche a très bien démontré́ que les parents exercent une l'influence centrale sur le choix et le développement de carrière de leurs enfants. Plus particulièrement, Molgat situe sa recherche dans un contexte de cheminement professionnel difficile. L'auteur procède à l'inventaire et à la description de différentes formes d'interventions parentales et il tente d'en décrire les possibles conséquences sur le parcours professionnel de leurs jeunes. De son côté, Liette Goyer centre sa contribution autour de la pratique du counselling d'orientation scolaire et professionnelle auprès des jeunes. La deuxième partie de l'ouvrage aborde la question de l'insertion professionnelle et le lien entre les études et le travail. L'article de Vultur décrit très bien comment les jeunes s'adaptent aux multiples exigences des entreprises, et ce, afin de décrocher un travail rémunéré́. Les jeunes et le travail, Bourdon, Sylvain, et Vultur, Mircea (sous la direction de) Presses de l'Université Laval 2007 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume16-CET.pdf
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L'insertion professionnelle des jeunes Québécois diplômés et non diplômés de... - 4 views

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    Cet article présente une analyse du rôle de la famille dans le processus d'insertion professionnelle de jeunes Québécois de l'école secondaire. L'analyse d'entretiens réalisés de quatre à cinq ans après leur départ de l'école montre que les jeunes non diplômés profitent davantage de la « faiblesse des liens forts » pour éviter l'exclusion du marché du travail alors que les jeunes diplômés ont avantageusement recours aux « liens faibles » et à l'aide financière de leurs parents pour construire leur insertion professionnelle. Celle-ci s'inscrit ainsi dans des rapports de force et de coopération sur le marché du travail, mais elle est aussi marquée par des mouvements dans les autres sphères de la vie sociale et notamment à l'école et au sein de la famille. Plusieurs recherches montrent que les jeunes d'aujourd'hui vivent en état de dépendance financière et matérielle accrue par rapport à la famille d'origine. Dans le cas spécifique du Québec, le départ du domicile familial s'amorce de plus en plus tardivement et les jeunes sont de plus en plus nombreux à vivre chez leurs parents. Ce contexte incite à un examen attentif de la manière dont les jeunes bénéficient du soutien parental au cours de leur insertion professionnelle et des répercussions de ce soutien sur leur parcours professionnel. À partir de ce constat, les auteurs proposent de présenter une analyse du rôle de la famille dans le cheminement scolaire et dans le processus d'insertion professionnelle des jeunes québécois diplômés et non diplômés du secondaire. Sous la direction de Langlois, Simon (rédacteur) Recherches sociographiques, Volume 50, numéro 1, p. 41-66.janvier-avril 2009 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume12-CET.pdf
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Les logiques sociales et la réussite scolaire des cégépiens. (7) - 5 views

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    La réussite scolaire en milieu collégial n'est pas qu'affaire de pédagogie, de mesures de rattrapage ou de qualité d'environnement éducatif. Le système de valeurs des cégépiens, leur participation au marché du travail pendant les études, leur condition socioéconomique, la qualité des liens avec leurs parents et leurs amis ainsi que leur degré de bien-être sont autant de facteurs sociaux qui influencent le rendement scolaire et la persévérance aux études. À partir d'un examen de ces facteurs sociaux, l'auteur propose une lecture de la réussite scolaire sous l'angle du rapport des jeunes à la société afin de mieux comprendre les logiques sociales qui conditionnent leur parcours scolaire. L'ouvrage dresse un portrait de la réalité sociale des cégépiens et propose des pistes d'intervention pour améliorer leur réussite scolaire. Ensuite, il expose cinq logiques sociales qui expliquent le comportement des étudiants, dont, principalement, l'existence d'une culture commune à tous les cégépiens et leur conception du travail rémunéré comme forme d'insertion sociétale. Enfin, le dernier chapitre propose des pistes d'intervention pour favoriser la réussite. Trois concernent les cégeps : il s'agit d'en faire des lieux de culture du savoir et des milieux de vie stimulants, susceptibles de favoriser le développement de l'autonomie et l'orientation des étudiants. Les autres pistes concernent les relations entre enseignants et étudiants et la conciliation travail études. Enfin, il souligne le rôle important joué par les parents dans le soutien de la réussite. Roy, Jacques, Regards sur la jeunesse du monde, Éducation et IQRC,- Les Presses de l'Université Laval, 2006 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume07-CET.pdf
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Prise de vue récente sur la conciliation études-travail-famille (14) - 3 views

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    Bon nombre d'étudiants mènent une double vie et même une triple vie! Leur défi : mener à bien un projet d'études postsecondaires tout en intégrant le marché du travail et en prenant soin d'une famille. Pour mieux comprendre ce phénomène, l'auteur propose une exploration des données recueillies dans le cadre du projet ICOPE (Indicateurs de Conditions de Poursuite des Études) réalisé auprès des nouveaux étudiants de l'Université du Québec. Quelle est la proportion des étudiants en CET ? Combien d'heures consacrent-ils à un emploi rémunéré par semaine ? Quel % assument des responsabilités parentales ? Comment vivent-ils cette conciliation études-travail-famille ? Quel en est l'impact sur leurs études ? Au 1er cycle, 71 % des nouveaux étudiants occupent un emploi et ceux qui travaillent le font à raison de 25 heures en moyenne par semaine. En fait, parmi ceux-ci, 59 % travaillent 20 heures ou plus par semaine. Si on nuance les résultats selon le régime d'études, on constate que les étudiants à temps complet travaillent dans une proportion de 62 % et que le nombre moyen d'heures travaillées est de 16 heures/semaine. Pour ceux qui sont à temps partiel, la proportion atteint 90 % et le nombre d'heures moyen travaillées grimpe à 34 heures. Au 2e cycle, 69 % des nouveaux étudiants occupent un emploi et ils travaillent en moyenne 30 heures/semaine. Des différences marquées sont encore une fois observées selon le régime d'études. La proportion d'étudiants à temps complet qui travaillent se situe à 53 % (moyenne de 22 heures travaillées/semaine) comparativement à 89 % pour ceux qui sont inscrits à temps partiel (moyenne de 37 heures). Bonin,Sylvie, ICOPE, Université du Québec, 2007 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume-14-CET.pdf
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Étudier, travailler… Les jeunes entre désir d'autonomie et contrainte sociale... - 3 views

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    La raison généralement avancée expliquer que les jeunes Québécois occupent de plus en plus souvent des emplois salariés durant leurs études prend appui, au-delà du contexte économique, sur leur désir d'autonomie financière. L'explication sociologique d'un phénomène aussi massif peut-elle pourtant se satisfaire de l'invocation de ce seul motif ? Pour en décider, cette étude propose d'examiner d'abord l'évolution du phénomène et d'en souligner la généralité. Dans un second temps, elle examine les raisons évoquées par les jeunes eux-mêmes pour travailler pendant leurs études et le poids du motif de l'autonomie financière parmi elles. Dans un troisième temps, elle examine les interprétations possibles de ces raisons et les enjeux sociaux plus globaux du cumul études-emploi. Au terme de ce parcours, l'explication sociologique du phénomène doit aussi prendre en compte la question de l'intégration sociale des jeunes et les transformations des modes de socialisation de la jeunesse actuelle. Plus qu'à la seule recherche d'autonomie financière, le cumul études-emploi renverrait ainsi à une nouvelle conception de la jeunesse." 95 % des jeunes interrogés disent travailler afin d'accroitre leur autonomie financière. L'auteur souligne dans sa recherche un fait intéressant : la densification du temps, liée au cumul des études et d'un emploi, et la réduction du temps disponible pour d'autres activités, ludiques en particulier, a des conséquences sur le comportement social des jeunes Eckert, Henri, Étudier, travailler… Les jeunes entre désir d'autonomie et contrainte sociale, | Érudit | Sociologie et sociétés v41 n1, p. 239-261, 2009 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_04-CET.pdf
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Santé et sécurité des étudiants qui occupent un emploi durant l'année scolair... - 2 views

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    Cette recherche s'inscrit dans la foulée des travaux publiés au Québec depuis les années 1990 qui ont contribué à l'émergence d'un nouveau champ de recherche sur le travail rémunéré chez les étudiants. Ces travaux s'intéressent plus particulièrement à l'incidence du travail rémunéré sur les études. Cependant, rares sont ceux qui ont directement abordé les atteintes potentielles à la santé en lien avec le travail rémunéré des étudiants, notamment les accidents de travail, les troubles musculo-squelettiques (TMS), la détresse psychologique et la fatigue. Bien que les étudiants travailleurs soient moins à risque de lésions professionnelles que les jeunes décrocheurs, l'accroissement du cumul études-travail au cours des 20 dernières années nous a amenés à nous préoccuper de cette réalité. En effet, en comparaison avec leurs homologues de neuf pays de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), les jeunes Canadiens se classent premiers pour ce qui est du nombre moyen d'heures hebdomadaires consacrées au travail rémunéré et aux activités non rémunérées pendant la semaine d'école (Marshall, 2007). Afin de mieux cerner les enjeux de santé et de sécurité du travail (SST) liés à ce phénomène en pleine croissance, le présent projet vise à déterminer les effets du cumul d'activités et du cumul de contraintes de travail sur la SST d'étudiants qui travaillent pendant leurs études, en tenant compte du fait qu'ils sont aussi un groupe à risque de somnolence excessive. Laberge, Luc et al. Études et recherches / Rapport R-705, Montréal, IRSST, 147 pages. 2011 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume15-CET.pdf
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Parcours scolaires et travail salarié : une perspective longitudinale (18) - 2 views

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    La présente note vise à expliquer comment des événements d'ordre extrascolaire peuvent influencer le déroulement ultérieur du parcours scolaire. Plus spécifiquement, il s'agit de prendre en considération divers événements qui ne relèvent pas de la sphère éducative, mais qui peuvent avoir une influence importante sur la scolarité elle-même. Dans une note précédente, nous avons mis en évidence que les variables relatives aux héritages sociaux, aux dispositions culturelles et aux acquis scolaires au secondaire ont un effet moindre sur la persévérance dans l'enseignement postsecondaire que sur l'accès à cet ordre d'enseignement. Ces facteurs agiraient sur l'entrée dans l'enseignement postsecondaire, mais pèseraient moins lourd dans notre compréhension de la poursuite des études. Aussi le volet international de cette étude est particulièrement intéressant : dans de nombreux pays, les élèves et les étudiants ont augmenté, depuis près d'une trentaine d'années, le temps qu'ils consacrent au travail rémunéré. Ils ne travaillent plus uniquement l'été, au moment des vacances, mais aussi pendant l'année scolaire. Bien que généralement fréquent, ce phénomène de cumul du travail et des études est cependant inégalement répandu dans les pays développés. À partir d'une comparaison entre quatre pays européens - la France, le Danemark, le Royaume-Uni et l'Espagne -, Van de Velde (2008) a dégagé d'importants contrastes entre les manières d'articuler le travail et les études. Chacun des pays analysés définit des modes de transition vers l'âge adulte qui diffèrent en fonction des modes d'intervention publique et des cultures familiales. Laplante, Benoît et al. Revue transition, (CIRST), Université du Québec à Montréal (UQAM), avril 2010. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume18-CET.pdf
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Les valeurs des jeunes : Travail, valeur et être jeune : quel rapport? (19) - 4 views

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    Alors que les jeunes déclarent que le travail n'est pas leur valeur principale dans leur vie pour s'accomplir, par un étrange paradoxe, nombreuses sont les études qui montrent que les jeunes d'aujourd'hui sont légion à travailler en parallèle à leurs études, à un âge de plus en plus précoce, et semblent consacrer à leurs « petits boulots » un nombre d'heures qui s'élève constamment. Qu'est donc dans ces conditions le « rapport au travail » des jeunes ? Quelques points à retenir : * En premier lieu, les cégépiens ont des valeurs auxquelles ils tiennent, contrairement à la rumeur publique laissant entendre qu'ils n'en ont pas.. En cela, nous rejoignons le point de vue de Boudon (2002). * En deuxième lieu, il existe une parenté réelle entre les valeurs des cégépiens et celles des autres jeunes en Occident. La structure des valeurs des jeunes transgresserait les appartenances nationales ou géographiques. * En dernier lieu, les valeurs des étudiants peuvent constituer un enjeu pour tout système d'éducation dans la mesure où leurs valeurs sont intimement associées à leur trajectoire scolaire. Ces valeurs peuvent alors être considérées comme un point d'appui aux études (c'est le cas pour la majorité) ou, au contraire, se poser en obstacle à la réussite scolaire (c'est le cas d'une minorité). Sous la direction de Pronovost, G. et Royer, C. Sainte-Foy : Presses de l'Université du Québec (chap 7, p 129), 2004 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume19-CET.pdf
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Le travail rémunéré des étudiants à temps plein au Saguenay-LacSaint-Jean; ra... - 2 views

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    Dans le cadre du Chantier régional écoles-entreprises-milieu pour la persévérance scolaire, la question du travail rémunéré des étudiants à temps plein a été retenue comme une des trois grandes cibles d'intervention pour un partenariat entre le milieu de l'éducation et le monde socioéconomique. Le présent rapport est une synthèse de ces trois études de cas réalisées par le CRÉPAS afin de mieux documenter le phénomène et d'appuyer les actions de trois comités locaux dans les secteurs de Chicoutimi, Alma et Dolbeau-Mistassini. Il vise les objectifs suivants : ♦ dresser un portrait de la situation du travail rémunéré chez les étudiants du secondaire, du cégep et de l'université; ♦ mesurer l'importance du travail rémunéré dans le système de valeurs et les représentations des étudiants; ♦ approfondir le lien entre le travail rémunéré et la réussite scolaire; ♦ proposer des pistes d'intervention. Faits saillants :  Les résultats scolaires des étudiants en emploi ne sont pas nécessairement plus faibles que ceux des étudiants sans emploi.  L'emploi peut constituer un atout pour la persévérance si on y consacre un nombre raisonnable d'heures.  Il n'est pas possible de déterminer exactement le nombre d'heures par semaine MAIS il semble y avoir un seuil autour de 20 heures par semaine  L'idéal serait entre 10 et 15 heures par semaine. Dufour, Stéphane, CREPAS, décembre 2002 Pour plus de détails http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume20-CET.pdf
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Étudier travailler-Sondage réalisé auprès des élèves du deuxième cycle du se... - 8 views

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    L'équipe de travail du volet communautaire de la polyvalente de Saint-Georges a voulu connaître la situation de ses élèves et la CET. Le questionnaire a été administré en mars 2002 aux élèves de 3e,4e et 5e secondaires du secteur régulier et à ceux de Cheminement individualisé et d'Insertion sociale. Les perceptions de l'ensemble du personnel de l'école révèlent que beaucoup plus de jeunes travaillent pendant l'année scolaire pour différentes raisons telles la consommation, l'indépendance, la situation familiale et plusieurs autres. Est-ce que le travail nuit au rendement scolaire? Quel est le rôle des parents face à cette situation? L'école peut-elle agir ou réagir à cette réalité? Quelles sont les responsabilités des employeurs? Peut-on faire un lien avec la réussite des garçons? Étant donné que 27 % des pères ont obtenu leur DES et 41 % n'ont pas terminé leur secondaire contre 30 % pour les mères, et qu'au niveau québécois, selon l'enquête de 1992, c'est 30 % des élèves qui avaient un parent avec un diplôme universitaire comparativement à 14 % pour les élèves de St-Georges, la région continue d'être une zone sous-scolarisée malgré l'amélioration notable de 4% dans l'acquisition des diplômes universitaires. Sur dix ans, 14 % d'augmentation du nombre d'élèves a travaillé pendant leurs études. Et parmi ceux qui travaillent, 55 % des répondants y consacrent de 6 à 15 heures/semaine. Toutefois, 26 % des répondants affirment que le travail hebdomadaire nuit aux études. Une réponse qui dénote un changement de perception chez les élèves si on compare avec les années précédentes. Morin, Paul, Commission scolaire de la Beauce-Etchemin, Service recherche et développement, 2002. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume22-CET.pdf
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Travailler pendant ses études : une charge de plus à l'emploi du temps des je... - 6 views

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    Cette étude scrute les différences entre filles et garçons au chapitre du temps consacré aux études. Les données sont tirées de l'Enquête sociale générale (ESG) de 1998, laquelle fournit des renseignements sur l'emploi du temps et les indicateurs de la qualité de vie recueillis auprès d'un échantillon de 1 376 jeunes femmes et de 1 195 jeunes hommes de 15 à 29 ans. L'analyse porte sur la transition partielle de l'école au travail chez les jeunes occupant un emploi rémunéré, mais dont la principale activité est l'étude. Le fait de combiner études et emploi rémunéré ne signifie pas simplement substituer une portion des heures d'étude par des heures de travail. D'autres activités du quotidien sont aussi réaménagées de façon à former un nouvel horaire, lequel laisse souvent moins de place au sommeil et aux loisirs, incluant les activités physiques. Avec l'aide d'un tableau décrivant certaines habitudes de vie à la fois chez les étudiants du secondaire et du postsecondaire, l'analyste s'attarde sur le temps consacré par les jeunes femmes à leurs études : celles-ci voient le temps qu'elles consacraient à leurs études réduit à 2,9 heures par jour comparativement aux 6,4 heures qu'elles pouvaient investir lorsqu'elles travaillaient peu ou pas du tout. De plus, elles délaissent pratiquement tous leurs loisirs. Les jeunes hommes qui rencontrent les mêmes exigences de travail réduiront plutôt leurs heures de loisirs (presque 4 heures par jour) en coupant notamment dans les sports et les autres activités telles que la socialisation et la télévision. Franke, Sandra, Les transitions études-travail chez les jeunes, deux temps trois mouvements, Statistique Canada, 2003. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume26-CET.pdf
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Portrait des jeunes de 12-18 ans de Bordeaux-Cartierville (Montréal) : rappo... - 3 views

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    En dehors de ces données statistiques générales provenant principalement de la Direction de la santé publique et de la Régie régionale des services de la santé et des services sociaux de Montréal-Centre, peu d'informations sont disponibles sur les jeunes de 12 à 18 ans résidant à Bordeaux-Cartierville. Ce constat a donc conduit les membres de la Table de concertation jeunesse à mettre de l'avant ce projet de recherche afin de répondre à 4 objectifs précis: 1. Dresser un portrait actuel des problématiques jeunesse du territoire; 2. connaitre les besoins identifiés par les jeunes eux-mêmes en termes de ressources et de services; 3. confirmer les réalités perçues par les intervenants-terrain (besoins, problèmes, etc. 4. Orienter les interventions futures. Le présent rapport vise donc à répondre en priorité à ces objectifs. Présenté par thème, il est avant tout un outil de travail qui est destiné aux intervenants du milieu afin de permettre d'orienter les interventions futures pour le bien-être des jeunes du territoire. C'est d'ailleurs dans cet esprit qu'une bibliographie a été ajoutée à la fin du présent rapport. Celle-ci, qui ne prétend pas être exhaustive, devrait permettre au lecteur de trouver des études présentant des résultats d'enquêtes similaires pour fins de comparaisons. Rapport de recherche - Belleau, Hélène et Bayard, Chantal, collaboration de Péarron, Dominique, Table de concertation jeunesse Bordeaux-Cartierville, mai 2002. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume24-CET.pdf
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Être jeune aujourd'hui, habitudes de vie et aspiration des jeunes des région... - 1 views

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    Cette synthèse trace le portrait des jeunes de trois régions du Québec. Les jeunes du Saguenay-Lac-Saint-Jean, de la Capitale-Nationale et des Laurentides ont été invités au printemps 2008 à participer à une enquête sur leurs habitudes de vie, leurs perceptions et leurs aspirations. Cette recherche s'inscrit dans une démarche de mobilisation des différents milieux (scolaire, santé et services sociaux, municipal, communautaire) afin d'améliorer globalement la situation des jeunes de ces régions. Le but ultime est, d'une part, de réduire la fréquence de divers comportements et d'habitudes de vie qui compromettent leur réussite éducative et leur bien-être, et d'autre part, de promouvoir les attitudes ou les comportements qui conduisent plutôt à leur épanouissement. Passages intéressants sur l'importance des heures de sommeil et le danger de surmenage. Une quarantaine d'indicateurs rassemblés en six dimensions constituent le corpus de données utilisées pour brosser le portrait des jeunes des trois régions visées par l'enquête. Ces dimensions sont présentées en deux parties distinctes. La première partie concerne l'expérience scolaire, le cumul études‐travail, le vécu psychoaffectif, les habitudes de vie et le désir d'enracinement. La deuxième partie porte sur l'intérêt des jeunes envers la science et la technologie. Dans cet ouvrage, sauf en de rares exceptions, les renseignements sont présentés pour les sexes réunis. Gaudreault, Marci, Gagnon, Mélanie et Arbour Nadine, portrait des jeunes de trois régions du Québec. : la CapitaleNationale, le Saguenay-Lac-Saint-Jean et les Laurentides, 2002. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume23-CET.pdf Voir le cumul Études Travail p 20, ÉCOBES,
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La perspective québécoise des valeurs des jeunes - Une étude de cas : les va... - 4 views

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    Les valeurs des collégiens ne sont pas sans conditionner leur rendement scolaire et la persévérance aux études. Pour le milieu scolaire, ces valeurs se positionnent alors en enjeu. Une revue des écrits ici et à l'étranger permet de voir quelles sont ces valeurs. Au Québec, comme ailleurs dans d'autres sociétés occidentales, on repère un certain nombre de valeurs communes chez les jeunes dans les écrits sur les valeurs des jeunes. Faits saillants : Un constat tout au long de cette étude : dans l'échelle de valeurs des cégépiens, réussir ses études, c'est très important. De fait, huit étudiants sur dix (80 %) considèrent que c'est « très important », 18 % estiment que c'est « important », alors que 2 % accordent peu d'importance à la réussite des études. Malgré le fait que les filles accordent généralement davantage d'importance aux études (P = 0,000), il n'en reste pas moins que filles comme garçons semblent bien engagés sur le plan des valeurs concernant la réussite des études. Ainsi, 83 % des filles et 72 % des garçons considèrent que réussir ses études, c'est « très important ». Cette variable - l'importance accordée à la réussite des études - est apparue comme l'une des plus révélatrices parmi celles qui sont associées à la réussite scolaire. Roy, Jacques, « La perspective québécoise des valeurs des jeunes », Pensée plurielle (n° 14), pp. 35-43, janvier 2007. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume25-CET.pdf
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- Une nouvelle recherche longitudinale démontre qu'un lien existe entre l'in... - 2 views

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    Cet article issu d'une recherche américaine s'intéresse principalement à l'impact de travailler de longues heures pendant les études collégiales, en particulier durant la dernière année où en moyenne le nombre d'heures consacrées au travail est le plus élevé. Il s'attarde également sur certaines conséquences comportementales qui pourraient être développées face à un travail rémunéré intensif de la part des collégiens. En fait, la plus importante conséquence à long terme à laquelle de longues heures de travail contribuent semble portée sur l'obtention des diplômes. L'étude démontre que le nombre d'années d'études complétées après la fin du collège est inversement proportionnel au nombre d'heures travaillées au cours de la dernière année de collège : les étudiants qui consacrent de trop nombreuses heures au travail ont tendance à poursuivre de moins longues études après leur collège. Une autre conséquence à long terme d'un grand nombre d'heures consacrées au travail est la consommation… de cigarettes. Parmi les finissants qui travaillaient de longues heures au collège, les taux de fumeurs demeuraient élevés à l'âge de 29-30 ans. Par Bachman, Jerald G. (Université du Michigan); Staff, Jeremy (Université de Pennsylvanie); O'Malley, Patrick, M. Schulenberg, Johan E. et Freedman-Doan, Peter (Université du Michigan), 2011. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume27-CET.pdf
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- Retour sur l'impact du travail à temps partiel sur l'adaptation de l'adole... - 2 views

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    Cette étude révèle que les jeunes qui commencent à travailler plus de 20 heures par semaine voient leur implication scolaire diminuer et leur taux du consommation de drogues et de délinquance augmenter, comparativement aux jeunes qui demeurent sans emploi. Inversement, travailler 20 heures ou moins présente des effets négligeables, tant positifs que négatifs, sur les résultats académiques, psychologiques ou comportementaux. Certains chercheurs suggèrent que travailler favorise une « maturité précoce », dans la mesure où les jeunes poussent leur comportement adulte au-delà du travail pour y inclure la consommation de tabac et d'alcool et le développement d'une vie sexuelle active. D'autres affirment que travailler de longues heures fait en sorte que les étudiants ne se concentrent pas assez sur leurs études. Enfin, certains rapportent que les emplois des adolescents sont synonymes de manque de supervision de la part des adultes, ce qui laisse au jeune plus d'occasion d'adopter un comportement déviant. À travers tous ces regards, une chose demeure essentielle : le travail à un rythme modéré - intensif ne génère pas d'effets négatifs. Par contre, les recherches suggèrent parents, éducateurs et politiciens devraient restreindre le nombre d'heures de travail hebdomadaire des ados pendant l'année scolaire. Par Monahan, Kathryn C. (Université de Washington), Lee, Joanna M. (Université de Virginie); Steinberg, Laurence (Université Temple) Revue Child development, volume 82, numéro 1, pages 96 à 112, janvier/février 2011. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume28-CET.pdf
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Rythme du travail chez les adolescents, performance et investissement person... - 2 views

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    Les adolescents de 13 à 17 ans qui travaillent plus de 20 heures par semaine réussissent moins bien à l'école que ceux qui travaillent moins d'heures. Deux théories s'affrontent pour expliquer ce lien : 1. Que le travail rémunéré requiert temps et efforts qui ne sont pas consacrés aux activités scolaires ; 2. Que le lien entre travail rémunéré et réussite scolaire n'est pas fondé, reflétant plutôt des différences préexistantes parmi les étudiants au regard de leurs capacités académiques, motivation et investissement personnel à l'école. L'originalité de cette étude réside dans le fait que celle-ci prend en considération les différences en terme de préférences en termes d'emploi chez les adolescents. Ceci la distingue des recherches précédentes qui occultaient cet aspect et attribuaient ainsi tous les effets préjudiciables d'un travail à son aspect trop intensif, sans examiner les antécédents des individus. Selon certaines études, à 13 ans, une piètre performance à l'école et des origines socioéconomiques défavorables peuvent laisser envisager de « meilleurs » emplois pour adolescents comme vendeur, par exemple. C'est une question de motivation face à l'école. Cette recherche révèle qu'aucune différence notable dans les problèmes scolaires n'a été observée entre les jeunes qui travaillent modérément et ceux qui préfèrent un travail modéré ou ne pas travailler du tout. Par Staff, Jeremy, Schulenberg, John E. et Bachman,Jerald G. 83:183 Sociology of Education, 2010. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume29-CET.pdf
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Portrait des jeunes de la région de Sherbrooke : la conciliation études-trav... - 10 views

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    Qu'ils évoluent au secondaire, au cégep ou à l'université, de plus en plus de jeunes travaillent pendant leurs études. Au secondaire, le phénomène est particulièrement préoccupant puisque le taux de décrochage scolaire augmente chez les élèves qui travaillent plus de 15 à 20 heures par semaine. Cette étude est un outil de référence pour les décideurs et intervenants qui œuvrent auprès des jeunes Sherbrookois, principalement ceux âgés de 15 à 30 ans. En faisant mieux connaître la répartition des jeunes sur le territoire, les enjeux et les problématiques qui leur sont propres ou des statistiques sur l'éducation, la santé et l'emploi, cette étude permet d'orienter les multiples interventions jeunesse. En Estrie, un jeune sur quatre abandonne ses études sans avoir obtenu de diplôme ou de qualification dans une période « normale » de 5 ans. En 2008-2009, la région occupait le 14e rang sur 17 pour le taux de sorties sans diplôme ni qualification affichant un taux de SSDQ de 24,2 % alors que le taux pour l'ensemble du Québec était de 18,4 %. Par ailleurs, plus les étudiants avancent dans leur parcours scolaire, plus le nombre d'heures qu'ils consacrent au travail augmente. À la CSRS, par exemple, un sondage en 2009 a montré qu'environ 11,8 % des élèves de secondaire 3 travaillent et que ce pourcentage augmente à 44,8 % en secondaire 5. Par ailleurs, les garçons sont plus nombreux que les filles à travailler plus de 20 heures par semaine. Table de concertation jeunesse de Sherbrooke (TCJS), en collaboration avec l'Observatoire estrien du développement des communautés (OEDC), 2011. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume21-CET.pdf
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