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Conciliation études-travail

Éducation, compétences et apprentissage : Étudier, travailler et décrocher :... - 3 views

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    L'entrée précoce des élèves sur le marché du travail est souvent considérée comme un moyen d'acquérir une expérience utile de la culture et du milieu de travail. Cette expérience peut se traduire par des bénéfices à long terme, tels qu'une transition plus harmonieuse des études à un emploi à temps plein, l'acquisition de compétences pratiques et des gains ultérieurs plus élevés. L'activité sur le marché du travail peut, toutefois, s'accompagner de certains coûts. Ainsi, le travail pendant les études secondaires a été associé à une diminution du rendement scolaire, au désengagement à l'égard des études et même au décrochage. Axée sur les données de l'Enquête auprès des jeunes en transition visant la cohorte des 18 à 20 ans, EJET (voir résumé 2) recueillies en 2000, la présente étude examine la relation entre le travail au cours de la dernière année des études secondaires et le décrochage avant l'obtention du diplôme. En tenant compte de l'effet de ces facteurs, la relation entre les heures de travail et le décrochage reste significative. Plus précisément, cette recherche conclut que les élèves qui ne travaillent pas du tout sont plus susceptibles de décrocher que les élèves qui travaillent moins de vingt heures par semaine, et les élèves qui travaillent trente heures et plus par semaine forment le groupe le plus susceptible de décrocher au secondaire. Tracey Bushnick, Statistique Canada, No 81-595-MIF2003004, 2003 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_03-CET.pdf
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Prise de vue récente sur la conciliation études-travail-famille (14) - 3 views

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    Bon nombre d'étudiants mènent une double vie et même une triple vie! Leur défi : mener à bien un projet d'études postsecondaires tout en intégrant le marché du travail et en prenant soin d'une famille. Pour mieux comprendre ce phénomène, l'auteur propose une exploration des données recueillies dans le cadre du projet ICOPE (Indicateurs de Conditions de Poursuite des Études) réalisé auprès des nouveaux étudiants de l'Université du Québec. Quelle est la proportion des étudiants en CET ? Combien d'heures consacrent-ils à un emploi rémunéré par semaine ? Quel % assument des responsabilités parentales ? Comment vivent-ils cette conciliation études-travail-famille ? Quel en est l'impact sur leurs études ? Au 1er cycle, 71 % des nouveaux étudiants occupent un emploi et ceux qui travaillent le font à raison de 25 heures en moyenne par semaine. En fait, parmi ceux-ci, 59 % travaillent 20 heures ou plus par semaine. Si on nuance les résultats selon le régime d'études, on constate que les étudiants à temps complet travaillent dans une proportion de 62 % et que le nombre moyen d'heures travaillées est de 16 heures/semaine. Pour ceux qui sont à temps partiel, la proportion atteint 90 % et le nombre d'heures moyen travaillées grimpe à 34 heures. Au 2e cycle, 69 % des nouveaux étudiants occupent un emploi et ils travaillent en moyenne 30 heures/semaine. Des différences marquées sont encore une fois observées selon le régime d'études. La proportion d'étudiants à temps complet qui travaillent se situe à 53 % (moyenne de 22 heures travaillées/semaine) comparativement à 89 % pour ceux qui sont inscrits à temps partiel (moyenne de 37 heures). Bonin,Sylvie, ICOPE, Université du Québec, 2007 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume-14-CET.pdf
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Santé et sécurité des étudiants qui occupent un emploi durant l'année scolair... - 2 views

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    Cette recherche s'inscrit dans la foulée des travaux publiés au Québec depuis les années 1990 qui ont contribué à l'émergence d'un nouveau champ de recherche sur le travail rémunéré chez les étudiants. Ces travaux s'intéressent plus particulièrement à l'incidence du travail rémunéré sur les études. Cependant, rares sont ceux qui ont directement abordé les atteintes potentielles à la santé en lien avec le travail rémunéré des étudiants, notamment les accidents de travail, les troubles musculo-squelettiques (TMS), la détresse psychologique et la fatigue. Bien que les étudiants travailleurs soient moins à risque de lésions professionnelles que les jeunes décrocheurs, l'accroissement du cumul études-travail au cours des 20 dernières années nous a amenés à nous préoccuper de cette réalité. En effet, en comparaison avec leurs homologues de neuf pays de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), les jeunes Canadiens se classent premiers pour ce qui est du nombre moyen d'heures hebdomadaires consacrées au travail rémunéré et aux activités non rémunérées pendant la semaine d'école (Marshall, 2007). Afin de mieux cerner les enjeux de santé et de sécurité du travail (SST) liés à ce phénomène en pleine croissance, le présent projet vise à déterminer les effets du cumul d'activités et du cumul de contraintes de travail sur la SST d'étudiants qui travaillent pendant leurs études, en tenant compte du fait qu'ils sont aussi un groupe à risque de somnolence excessive. Laberge, Luc et al. Études et recherches / Rapport R-705, Montréal, IRSST, 147 pages. 2011 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume15-CET.pdf
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Portrait des jeunes de la région de Sherbrooke : la conciliation études-trav... - 10 views

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    Qu'ils évoluent au secondaire, au cégep ou à l'université, de plus en plus de jeunes travaillent pendant leurs études. Au secondaire, le phénomène est particulièrement préoccupant puisque le taux de décrochage scolaire augmente chez les élèves qui travaillent plus de 15 à 20 heures par semaine. Cette étude est un outil de référence pour les décideurs et intervenants qui œuvrent auprès des jeunes Sherbrookois, principalement ceux âgés de 15 à 30 ans. En faisant mieux connaître la répartition des jeunes sur le territoire, les enjeux et les problématiques qui leur sont propres ou des statistiques sur l'éducation, la santé et l'emploi, cette étude permet d'orienter les multiples interventions jeunesse. En Estrie, un jeune sur quatre abandonne ses études sans avoir obtenu de diplôme ou de qualification dans une période « normale » de 5 ans. En 2008-2009, la région occupait le 14e rang sur 17 pour le taux de sorties sans diplôme ni qualification affichant un taux de SSDQ de 24,2 % alors que le taux pour l'ensemble du Québec était de 18,4 %. Par ailleurs, plus les étudiants avancent dans leur parcours scolaire, plus le nombre d'heures qu'ils consacrent au travail augmente. À la CSRS, par exemple, un sondage en 2009 a montré qu'environ 11,8 % des élèves de secondaire 3 travaillent et que ce pourcentage augmente à 44,8 % en secondaire 5. Par ailleurs, les garçons sont plus nombreux que les filles à travailler plus de 20 heures par semaine. Table de concertation jeunesse de Sherbrooke (TCJS), en collaboration avec l'Observatoire estrien du développement des communautés (OEDC), 2011. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume21-CET.pdf
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Travailler pendant ses études : une charge de plus à l'emploi du temps des je... - 6 views

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    Cette étude scrute les différences entre filles et garçons au chapitre du temps consacré aux études. Les données sont tirées de l'Enquête sociale générale (ESG) de 1998, laquelle fournit des renseignements sur l'emploi du temps et les indicateurs de la qualité de vie recueillis auprès d'un échantillon de 1 376 jeunes femmes et de 1 195 jeunes hommes de 15 à 29 ans. L'analyse porte sur la transition partielle de l'école au travail chez les jeunes occupant un emploi rémunéré, mais dont la principale activité est l'étude. Le fait de combiner études et emploi rémunéré ne signifie pas simplement substituer une portion des heures d'étude par des heures de travail. D'autres activités du quotidien sont aussi réaménagées de façon à former un nouvel horaire, lequel laisse souvent moins de place au sommeil et aux loisirs, incluant les activités physiques. Avec l'aide d'un tableau décrivant certaines habitudes de vie à la fois chez les étudiants du secondaire et du postsecondaire, l'analyste s'attarde sur le temps consacré par les jeunes femmes à leurs études : celles-ci voient le temps qu'elles consacraient à leurs études réduit à 2,9 heures par jour comparativement aux 6,4 heures qu'elles pouvaient investir lorsqu'elles travaillaient peu ou pas du tout. De plus, elles délaissent pratiquement tous leurs loisirs. Les jeunes hommes qui rencontrent les mêmes exigences de travail réduiront plutôt leurs heures de loisirs (presque 4 heures par jour) en coupant notamment dans les sports et les autres activités telles que la socialisation et la télévision. Franke, Sandra, Les transitions études-travail chez les jeunes, deux temps trois mouvements, Statistique Canada, 2003. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume26-CET.pdf
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Y a-t-il un lien entre l'emploi pendant les études et la réussite scolaire? (1) - 4 views

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    Des données récentes sur le marché du travail indiquent que les étudiants inscrits à plein temps dans une université ou un collège travaillent plus que jamais. En effet, selon l'Enquête sur la population active (EPA), que Schwartz mentionne dans sa recherche, 52 % des femmes et 41 % des hommes âgés de 20 à 24 ans qui étudient à plein temps occupaient un emploi durant l'année universitaire 2007-2008. Faut-il s'en inquiéter? Cela dépend du type de répercussions que cela peut avoir sur la réussite des études. Selon l'opinion générale, le fait d'avoir un emploi trop accaparant peut compromettre la réussite de l'étudiant, aussi brillant et compétent soit-il. Mais, presque tout le monde s'accorde aussi pour dire que travailler seulement quelques heures par semaine n'a que peu d'effet sur la réussite des études. Or, malgré cela, la question est loin d'être close. L'étude décrit les tendances récentes sur les étudiants qui travaillent et les motifs qu'ils invoquent pour justifier leur besoin d'un emploi. Puis, elle examine brièvement des études récentes sur les répercussions du travail des étudiants sur leur réussite. L'auteure émet dans sa conclusion un avertissement général à l'effet que les étudiants de niveau postsecondaire travaillent de plus en plus pour des raisons économiques et que le fait de travailler nuit à la réussite de certains et a même des effets néfastes. Des mesures économiques devraient être mise en place pour éviter que les étudiants qui sont obligés de travailler de nombreuses heures, puissent trouver de l'aide afin de consacrer leur temps à étudier. Motte, Anne Schwartz, Saul, Canada Millennium Scholarship Foundation, avril 2009 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_1-CET.pdf
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Le travail à temps partiel durant les études chez les élèves du secondaire :... - 5 views

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    Le travail à temps partiel (TTP) des adolescent(e)s durant les études est un phénomène social de plus en plus répandu en Amérique du Nord. Pourtant, que savons-nous de ses impacts sur l'adaptation scolaire et psychosociale des élèves entre le milieu et la fin du secondaire? Dans le cadre d'une étude québécoise, des questionnaires standardisés ont été remplis par des élèves en 3e, 4e et 5e secondaire : tracas quotidiens, stratégies adaptatives, problèmes psychopathologiques, estime de soi, optimisme, autonomie et travail à temps partiel. Les relevés de notes des élèves en mathématiques, en français ainsi que le relevé général furent également recueillis. Globalement, les résultats révèlent que le TTP durant les études s'avère un facteur de risque pour l'adaptation scolaire des élèves en 3e et en 4e secondaire travaillant plus de onze heures par semaine, ce qui n'est pas le cas de ceux appartenant à la même catégorie en 5e secondaire. Par contre, aucun coût réel associé au TTP durant les études n'a été observé sur l'adaptation psychosociale des adolescent(e)s et cela, aux trois cycles scolaires. D'autres analyses indiquent qu'un TTP effectué en 3e secondaire ne permet pas de prédire la sévérité des tracas quotidiens, les ressources personnelles, les résultats scolaires et les comportements intériorisés et extériorisés mesurés en 4e secondaire, exception faite des stratégies adaptatives productives et sociales évaluées en 5e secondaire. La conclusion porte sur l'importance de renforcer les facteurs de protection de chaque élève afin de mieux faire face au tandem travail-études. Michelle Dumont UQTR, p 161, Revue Éducation et Francophonie, volume XXXV :1, printemps 2007 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_06-CET.pdf
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À la croisée des chemins : premiers résultats de la cohorte des 18 à 20 ans ... - 5 views

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    À plusieurs égards, les jeunes âgés de 18 à 20 ans se trouvent à la croisée des chemins. Pour plusieurs, la transition de l'école au marché du travail est un processus complexe et non linéaire - certains jeunes fréquentent l'école et travaillent en même temps, d'autres retournent à l'école après être entrés sur le marché du travail, et d'autres encore occupent un certain nombre d'emplois à temps partiel ou temporaires avant de se fixer dans une relation d'emploi plus stable. Du fait de ces différents cheminements, une enquête qui permet de suivre les progrès des jeunes au fil des ans constitue un instrument clé pour déterminer les facteurs qui peuvent les aider à poursuivre avec succès leurs objectifs de scolarité et d'emploi. Le point 3.4 P 39 et 40, est directement lié à la conciliation travail-études en montrant le lien entre le travail pendant les études secondaires et le risque de décrochage. Les autres parties montrent l' intérêt aux études des jeunes en mettant en perspective les différences entre les provinces à l'égard de l'abandon scolaire. Quelques faits : * Les diplômés du secondaire étaient plus susceptibles que les décrocheurs d'occuper un emploi rémunéré au cours de leur dernière année d'études secondaires. * Parmi ceux qui occupaient un emploi rémunéré, les taux de décrochage étaient les plus faibles pour ceux qui travaillaient un nombre modéré d'heures par semaine et les plus élevés pour ceux qui avaient l'équivalent d'un horaire à temps plein. * Les décrocheurs de sexe masculin, qui travaillaient en même temps qu'ils fréquentaient l'école, étaient plus susceptibles d'avoir accompli de longues heures de travail. Jeffrey W. Bowlby et Kathryn Mc Mullen, Statistique Canada, 80 p. janvier 2002 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_02.pdf
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Étudier, travailler… Les jeunes entre désir d'autonomie et contrainte sociale... - 3 views

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    La raison généralement avancée expliquer que les jeunes Québécois occupent de plus en plus souvent des emplois salariés durant leurs études prend appui, au-delà du contexte économique, sur leur désir d'autonomie financière. L'explication sociologique d'un phénomène aussi massif peut-elle pourtant se satisfaire de l'invocation de ce seul motif ? Pour en décider, cette étude propose d'examiner d'abord l'évolution du phénomène et d'en souligner la généralité. Dans un second temps, elle examine les raisons évoquées par les jeunes eux-mêmes pour travailler pendant leurs études et le poids du motif de l'autonomie financière parmi elles. Dans un troisième temps, elle examine les interprétations possibles de ces raisons et les enjeux sociaux plus globaux du cumul études-emploi. Au terme de ce parcours, l'explication sociologique du phénomène doit aussi prendre en compte la question de l'intégration sociale des jeunes et les transformations des modes de socialisation de la jeunesse actuelle. Plus qu'à la seule recherche d'autonomie financière, le cumul études-emploi renverrait ainsi à une nouvelle conception de la jeunesse." 95 % des jeunes interrogés disent travailler afin d'accroitre leur autonomie financière. L'auteur souligne dans sa recherche un fait intéressant : la densification du temps, liée au cumul des études et d'un emploi, et la réduction du temps disponible pour d'autres activités, ludiques en particulier, a des conséquences sur le comportement social des jeunes Eckert, Henri, Étudier, travailler… Les jeunes entre désir d'autonomie et contrainte sociale, | Érudit | Sociologie et sociétés v41 n1, p. 239-261, 2009 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_04-CET.pdf
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Rythme du travail chez les adolescents, performance et investissement person... - 2 views

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    Les adolescents de 13 à 17 ans qui travaillent plus de 20 heures par semaine réussissent moins bien à l'école que ceux qui travaillent moins d'heures. Deux théories s'affrontent pour expliquer ce lien : 1. Que le travail rémunéré requiert temps et efforts qui ne sont pas consacrés aux activités scolaires ; 2. Que le lien entre travail rémunéré et réussite scolaire n'est pas fondé, reflétant plutôt des différences préexistantes parmi les étudiants au regard de leurs capacités académiques, motivation et investissement personnel à l'école. L'originalité de cette étude réside dans le fait que celle-ci prend en considération les différences en terme de préférences en termes d'emploi chez les adolescents. Ceci la distingue des recherches précédentes qui occultaient cet aspect et attribuaient ainsi tous les effets préjudiciables d'un travail à son aspect trop intensif, sans examiner les antécédents des individus. Selon certaines études, à 13 ans, une piètre performance à l'école et des origines socioéconomiques défavorables peuvent laisser envisager de « meilleurs » emplois pour adolescents comme vendeur, par exemple. C'est une question de motivation face à l'école. Cette recherche révèle qu'aucune différence notable dans les problèmes scolaires n'a été observée entre les jeunes qui travaillent modérément et ceux qui préfèrent un travail modéré ou ne pas travailler du tout. Par Staff, Jeremy, Schulenberg, John E. et Bachman,Jerald G. 83:183 Sociology of Education, 2010. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume29-CET.pdf
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La perspective québécoise des valeurs des jeunes - Une étude de cas : les va... - 4 views

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    Les valeurs des collégiens ne sont pas sans conditionner leur rendement scolaire et la persévérance aux études. Pour le milieu scolaire, ces valeurs se positionnent alors en enjeu. Une revue des écrits ici et à l'étranger permet de voir quelles sont ces valeurs. Au Québec, comme ailleurs dans d'autres sociétés occidentales, on repère un certain nombre de valeurs communes chez les jeunes dans les écrits sur les valeurs des jeunes. Faits saillants : Un constat tout au long de cette étude : dans l'échelle de valeurs des cégépiens, réussir ses études, c'est très important. De fait, huit étudiants sur dix (80 %) considèrent que c'est « très important », 18 % estiment que c'est « important », alors que 2 % accordent peu d'importance à la réussite des études. Malgré le fait que les filles accordent généralement davantage d'importance aux études (P = 0,000), il n'en reste pas moins que filles comme garçons semblent bien engagés sur le plan des valeurs concernant la réussite des études. Ainsi, 83 % des filles et 72 % des garçons considèrent que réussir ses études, c'est « très important ». Cette variable - l'importance accordée à la réussite des études - est apparue comme l'une des plus révélatrices parmi celles qui sont associées à la réussite scolaire. Roy, Jacques, « La perspective québécoise des valeurs des jeunes », Pensée plurielle (n° 14), pp. 35-43, janvier 2007. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume25-CET.pdf
Conciliation études-travail

- Retour sur l'impact du travail à temps partiel sur l'adaptation de l'adole... - 2 views

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    Cette étude révèle que les jeunes qui commencent à travailler plus de 20 heures par semaine voient leur implication scolaire diminuer et leur taux du consommation de drogues et de délinquance augmenter, comparativement aux jeunes qui demeurent sans emploi. Inversement, travailler 20 heures ou moins présente des effets négligeables, tant positifs que négatifs, sur les résultats académiques, psychologiques ou comportementaux. Certains chercheurs suggèrent que travailler favorise une « maturité précoce », dans la mesure où les jeunes poussent leur comportement adulte au-delà du travail pour y inclure la consommation de tabac et d'alcool et le développement d'une vie sexuelle active. D'autres affirment que travailler de longues heures fait en sorte que les étudiants ne se concentrent pas assez sur leurs études. Enfin, certains rapportent que les emplois des adolescents sont synonymes de manque de supervision de la part des adultes, ce qui laisse au jeune plus d'occasion d'adopter un comportement déviant. À travers tous ces regards, une chose demeure essentielle : le travail à un rythme modéré - intensif ne génère pas d'effets négatifs. Par contre, les recherches suggèrent parents, éducateurs et politiciens devraient restreindre le nombre d'heures de travail hebdomadaire des ados pendant l'année scolaire. Par Monahan, Kathryn C. (Université de Washington), Lee, Joanna M. (Université de Virginie); Steinberg, Laurence (Université Temple) Revue Child development, volume 82, numéro 1, pages 96 à 112, janvier/février 2011. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume28-CET.pdf
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Synthèse Conciliation études-travail - 1 views

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    SYNTHÈSE DE LA BIBLIOGRAPHIE COMMENTÉE - Extraits des articles de référence jugés les plus intéressants et classement par thème (document de travail, 29 pages) Les Instances régionales de concertation sur la persévérance scolaire et la réussite éducative (IRC) qui sont au carrefour de tous les acteurs œuvrant à la réussite éducative des élèves québécois. Ce qui les distingue des autres acteurs de la persévérance scolaire : leur rôle de mobilisation des acteurs régionaux et de développement de partenariats locaux dans la promotion des conditions de réussite éducative. Les instances régionales privilégient des axes d'intervention afin de contribuer à la qualification des jeunes sur leur territoire respectif. Un de ces axes d'intervention est La recherche et le transfert de connaissances qui consiste à documenter les problématiques et les pratiques exemplaires afin de bonifier l'expertise régionale et locale. C'est dans ce cadre que les IRC se sont penchées sur l'importance de documenter la thématique de la conciliation- études-travail (CÉT). Voici un document synthèse répertoriant des extraits des différents résumés commentés. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/06/DOC-SYNTHESE-CET.pdf
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Travail pendant les études, performance scolaire et abandon - 1 views

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    Le travail pendant les études doit lui aussi faire l'objet d'une attention particulière. Doit-on, comme il fut proposé par certaines instances, limiter le nombre d'heures travaillées pendant les études? La présente recherche montre que les réponses à cette question doivent être nuancées. Pour plusieurs étudiants, travailler moins de dix heures par semaine est loin d'inciter au décrochage, et l'expérience de travail acquise parallèlement aux études favorise même parfois l'insertion sur le marché de l'emploi de ceux qui obtiendront leur diplôme. On pourra néanmoins arguer que les étudiants qui veulent « meubler » une partie de leur temps libre ont avantage à consacrer plus d'heures aux études qu'à la recherche d'un emploi rémunéré. Des statistiques de l'OCDE (1995) montrent qu'au Canada, en 1991, les élèves de 14 ans cumulaient en moyenne 1000 heures de cours par année, ce qui reste inférieur aux moyennes observées aux États-Unis, en France, en Belgique, en Suisse et aux Pays-Bas; dans ce dernier pays, le nombre annuel moyen d'heures de cours atteint 1200. Le Canada occupe parmi 24 pays considérés le 8e rang parmi les pays qui affichent les moins bonnes performances quant au nombre d'heures consacrées à l'étude en dehors des heures de classe par des élèves de 8e année en mathématiques. Il serait aussi intéressant de regarder de plus près le fonctionnement des écoles privées où l'abandon reste moins fréquent. (Cette recherche date de 1999, mais son contenu est intéressant comme point de comparaison entre hier et aujourd'hui). Marcel Dagenais, Claude Montmarquette, Daniel Parent, Nathalie Viennot-Briot, CIRANO, novembre 1999 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume-11-CET.pdf
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Parcours scolaires et travail salarié : une perspective longitudinale (18) - 2 views

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    La présente note vise à expliquer comment des événements d'ordre extrascolaire peuvent influencer le déroulement ultérieur du parcours scolaire. Plus spécifiquement, il s'agit de prendre en considération divers événements qui ne relèvent pas de la sphère éducative, mais qui peuvent avoir une influence importante sur la scolarité elle-même. Dans une note précédente, nous avons mis en évidence que les variables relatives aux héritages sociaux, aux dispositions culturelles et aux acquis scolaires au secondaire ont un effet moindre sur la persévérance dans l'enseignement postsecondaire que sur l'accès à cet ordre d'enseignement. Ces facteurs agiraient sur l'entrée dans l'enseignement postsecondaire, mais pèseraient moins lourd dans notre compréhension de la poursuite des études. Aussi le volet international de cette étude est particulièrement intéressant : dans de nombreux pays, les élèves et les étudiants ont augmenté, depuis près d'une trentaine d'années, le temps qu'ils consacrent au travail rémunéré. Ils ne travaillent plus uniquement l'été, au moment des vacances, mais aussi pendant l'année scolaire. Bien que généralement fréquent, ce phénomène de cumul du travail et des études est cependant inégalement répandu dans les pays développés. À partir d'une comparaison entre quatre pays européens - la France, le Danemark, le Royaume-Uni et l'Espagne -, Van de Velde (2008) a dégagé d'importants contrastes entre les manières d'articuler le travail et les études. Chacun des pays analysés définit des modes de transition vers l'âge adulte qui diffèrent en fonction des modes d'intervention publique et des cultures familiales. Laplante, Benoît et al. Revue transition, (CIRST), Université du Québec à Montréal (UQAM), avril 2010. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume18-CET.pdf
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- Une nouvelle recherche longitudinale démontre qu'un lien existe entre l'in... - 2 views

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    Cet article issu d'une recherche américaine s'intéresse principalement à l'impact de travailler de longues heures pendant les études collégiales, en particulier durant la dernière année où en moyenne le nombre d'heures consacrées au travail est le plus élevé. Il s'attarde également sur certaines conséquences comportementales qui pourraient être développées face à un travail rémunéré intensif de la part des collégiens. En fait, la plus importante conséquence à long terme à laquelle de longues heures de travail contribuent semble portée sur l'obtention des diplômes. L'étude démontre que le nombre d'années d'études complétées après la fin du collège est inversement proportionnel au nombre d'heures travaillées au cours de la dernière année de collège : les étudiants qui consacrent de trop nombreuses heures au travail ont tendance à poursuivre de moins longues études après leur collège. Une autre conséquence à long terme d'un grand nombre d'heures consacrées au travail est la consommation… de cigarettes. Parmi les finissants qui travaillaient de longues heures au collège, les taux de fumeurs demeuraient élevés à l'âge de 29-30 ans. Par Bachman, Jerald G. (Université du Michigan); Staff, Jeremy (Université de Pennsylvanie); O'Malley, Patrick, M. Schulenberg, Johan E. et Freedman-Doan, Peter (Université du Michigan), 2011. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume27-CET.pdf
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Les logiques sociales et la réussite scolaire des cégépiens. (7) - 5 views

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    La réussite scolaire en milieu collégial n'est pas qu'affaire de pédagogie, de mesures de rattrapage ou de qualité d'environnement éducatif. Le système de valeurs des cégépiens, leur participation au marché du travail pendant les études, leur condition socioéconomique, la qualité des liens avec leurs parents et leurs amis ainsi que leur degré de bien-être sont autant de facteurs sociaux qui influencent le rendement scolaire et la persévérance aux études. À partir d'un examen de ces facteurs sociaux, l'auteur propose une lecture de la réussite scolaire sous l'angle du rapport des jeunes à la société afin de mieux comprendre les logiques sociales qui conditionnent leur parcours scolaire. L'ouvrage dresse un portrait de la réalité sociale des cégépiens et propose des pistes d'intervention pour améliorer leur réussite scolaire. Ensuite, il expose cinq logiques sociales qui expliquent le comportement des étudiants, dont, principalement, l'existence d'une culture commune à tous les cégépiens et leur conception du travail rémunéré comme forme d'insertion sociétale. Enfin, le dernier chapitre propose des pistes d'intervention pour favoriser la réussite. Trois concernent les cégeps : il s'agit d'en faire des lieux de culture du savoir et des milieux de vie stimulants, susceptibles de favoriser le développement de l'autonomie et l'orientation des étudiants. Les autres pistes concernent les relations entre enseignants et étudiants et la conciliation travail études. Enfin, il souligne le rôle important joué par les parents dans le soutien de la réussite. Roy, Jacques, Regards sur la jeunesse du monde, Éducation et IQRC,- Les Presses de l'Université Laval, 2006 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume07-CET.pdf
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Différer les études postsecondaires : qui le fait et pendant combien de temp... - 1 views

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    Les titulaires d'un diplôme d'études secondaires ne commencent pas tous à fréquenter un établissement d'enseignement postsecondaire dès la fin du cycle secondaire. De plus en plus de jeunes Canadiens choisissent de rester en dehors du système d'enseignement pendant un certain temps avant d'y retourner. Qui sont les élèves qui décident de différer leurs études et pendant combien de temps sont-elles reportées? Dans le présent document, les données des cinq cycles de l'Enquête auprès des jeunes en transition sont utilisées pour remédier au peu d'attention que portent les chercheurs canadiens au report des études postsecondaires. Les résultats obtenus par Kaplan-Meier montrent que le délai médian s'écoulant entre l'obtention du diplôme d'études secondaires et le début du premier programme d'études postsecondaires est de quatre mois. Cette période semble toutefois être beaucoup plus longue chez les hommes, les jeunes issus des Premières Nations, les anglophones, les jeunes Ontariens et les jeunes dont les parents ont un faible niveau de scolarité. Certaines caractéristiques des élèves pendant leurs études secondaires étaient tout aussi importantes. Par exemple, le délai médian entre l'obtention du diplôme d'études secondaires et le début des études postsecondaires était beaucoup plus long que la moyenne chez les jeunes qui avaient de faibles notes, qui travaillaient de nombreuses heures dans un emploi rémunéré pendant leurs études secondaires, qui séchaient régulièrement des cours, qui participaient à de nombreuses activités parascolaires non organisées par l'école et dont les amis proches disaient ne pas avoir l'intention de faire des études postsecondaires. confirment la robustesse de plusieurs résultat. Darcy Hango, Statistique Canada © Ministre de l'Industrie, 2011 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume17-CET.pdf
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Étudier travailler-Sondage réalisé auprès des élèves du deuxième cycle du se... - 8 views

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    L'équipe de travail du volet communautaire de la polyvalente de Saint-Georges a voulu connaître la situation de ses élèves et la CET. Le questionnaire a été administré en mars 2002 aux élèves de 3e,4e et 5e secondaires du secteur régulier et à ceux de Cheminement individualisé et d'Insertion sociale. Les perceptions de l'ensemble du personnel de l'école révèlent que beaucoup plus de jeunes travaillent pendant l'année scolaire pour différentes raisons telles la consommation, l'indépendance, la situation familiale et plusieurs autres. Est-ce que le travail nuit au rendement scolaire? Quel est le rôle des parents face à cette situation? L'école peut-elle agir ou réagir à cette réalité? Quelles sont les responsabilités des employeurs? Peut-on faire un lien avec la réussite des garçons? Étant donné que 27 % des pères ont obtenu leur DES et 41 % n'ont pas terminé leur secondaire contre 30 % pour les mères, et qu'au niveau québécois, selon l'enquête de 1992, c'est 30 % des élèves qui avaient un parent avec un diplôme universitaire comparativement à 14 % pour les élèves de St-Georges, la région continue d'être une zone sous-scolarisée malgré l'amélioration notable de 4% dans l'acquisition des diplômes universitaires. Sur dix ans, 14 % d'augmentation du nombre d'élèves a travaillé pendant leurs études. Et parmi ceux qui travaillent, 55 % des répondants y consacrent de 6 à 15 heures/semaine. Toutefois, 26 % des répondants affirment que le travail hebdomadaire nuit aux études. Une réponse qui dénote un changement de perception chez les élèves si on compare avec les années précédentes. Morin, Paul, Commission scolaire de la Beauce-Etchemin, Service recherche et développement, 2002. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume22-CET.pdf
Conciliation études-travail

La vie bien chargée des adolescents (10) - 4 views

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    Cet article examine les tendances relatives au nombre d'heures que les adolescents consacrent tous les jours aux études, au travail rémunéré et aux travaux ménagers. En dehors de l'école, les adolescents peuvent aussi commencer à développer leur capital humain à travers un emploi rémunéré, des activités bénévoles, voire des travaux ménagers. Mais trop de temps passé à faire du travail rémunéré et non rémunéré pourrait entraîner du stress chez ces adolescents et se répercuter sur leur bien-être ainsi que sur leurs résultats scolaires. En 2005, le temps moyen passé à faire un travail rémunéré a atteint 0,7 heure durant les journées d'école et 1,7 heure durant les journées sans école. Cela représente environ 7,6 heures par semaine, soit une hausse de deux heures par rapport aux trois périodes antérieures. Le taux d'activité quotidien pour un travail rémunéré a lui aussi légèrement augmenté, surtout en raison des taux de fin de semaine plus élevés : en 2005, 28 % ont dit travailler durant les journées sans école, contre 20 % en 1986. En 2006, 40 % des filles et 34 % des garçons âgés de 15 à 19 ans et qui fréquentaient l'école ont déclaré avoir un travail dans la semaine de référence de l'EPA, avec un total d'heures hebdomadaires habituelles de 13,6 et 14,5 respectivement. Les deux enquêtes montrent que les filles dépassent désormais les garçons en matière de taux d'emploi et que leurs heures moyennes travaillées convergent. Ces tendances donnent à penser que l'écart entre l'activité sur le marché du travail des femmes et des hommes pourrait continuer à diminuer avec l'entrée permanente de cette jeune génération dans la population active. Marshall Katherine, Statistique Canada, vol. 8 no 5, mai 2007 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_10-CET.pdf
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