Skip to main content

Home/ Dossier IRC-Conciliation études-travail/ Group items tagged post-secondaire

Rss Feed Group items tagged

Conciliation études-travail

Différer les études postsecondaires : qui le fait et pendant combien de temp... - 1 views

  •  
    Les titulaires d'un diplôme d'études secondaires ne commencent pas tous à fréquenter un établissement d'enseignement postsecondaire dès la fin du cycle secondaire. De plus en plus de jeunes Canadiens choisissent de rester en dehors du système d'enseignement pendant un certain temps avant d'y retourner. Qui sont les élèves qui décident de différer leurs études et pendant combien de temps sont-elles reportées? Dans le présent document, les données des cinq cycles de l'Enquête auprès des jeunes en transition sont utilisées pour remédier au peu d'attention que portent les chercheurs canadiens au report des études postsecondaires. Les résultats obtenus par Kaplan-Meier montrent que le délai médian s'écoulant entre l'obtention du diplôme d'études secondaires et le début du premier programme d'études postsecondaires est de quatre mois. Cette période semble toutefois être beaucoup plus longue chez les hommes, les jeunes issus des Premières Nations, les anglophones, les jeunes Ontariens et les jeunes dont les parents ont un faible niveau de scolarité. Certaines caractéristiques des élèves pendant leurs études secondaires étaient tout aussi importantes. Par exemple, le délai médian entre l'obtention du diplôme d'études secondaires et le début des études postsecondaires était beaucoup plus long que la moyenne chez les jeunes qui avaient de faibles notes, qui travaillaient de nombreuses heures dans un emploi rémunéré pendant leurs études secondaires, qui séchaient régulièrement des cours, qui participaient à de nombreuses activités parascolaires non organisées par l'école et dont les amis proches disaient ne pas avoir l'intention de faire des études postsecondaires. confirment la robustesse de plusieurs résultat. Darcy Hango, Statistique Canada © Ministre de l'Industrie, 2011 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume17-CET.pdf
Conciliation études-travail

Portrait des jeunes de la région de Sherbrooke : la conciliation études-trav... - 10 views

  •  
    Qu'ils évoluent au secondaire, au cégep ou à l'université, de plus en plus de jeunes travaillent pendant leurs études. Au secondaire, le phénomène est particulièrement préoccupant puisque le taux de décrochage scolaire augmente chez les élèves qui travaillent plus de 15 à 20 heures par semaine. Cette étude est un outil de référence pour les décideurs et intervenants qui œuvrent auprès des jeunes Sherbrookois, principalement ceux âgés de 15 à 30 ans. En faisant mieux connaître la répartition des jeunes sur le territoire, les enjeux et les problématiques qui leur sont propres ou des statistiques sur l'éducation, la santé et l'emploi, cette étude permet d'orienter les multiples interventions jeunesse. En Estrie, un jeune sur quatre abandonne ses études sans avoir obtenu de diplôme ou de qualification dans une période « normale » de 5 ans. En 2008-2009, la région occupait le 14e rang sur 17 pour le taux de sorties sans diplôme ni qualification affichant un taux de SSDQ de 24,2 % alors que le taux pour l'ensemble du Québec était de 18,4 %. Par ailleurs, plus les étudiants avancent dans leur parcours scolaire, plus le nombre d'heures qu'ils consacrent au travail augmente. À la CSRS, par exemple, un sondage en 2009 a montré qu'environ 11,8 % des élèves de secondaire 3 travaillent et que ce pourcentage augmente à 44,8 % en secondaire 5. Par ailleurs, les garçons sont plus nombreux que les filles à travailler plus de 20 heures par semaine. Table de concertation jeunesse de Sherbrooke (TCJS), en collaboration avec l'Observatoire estrien du développement des communautés (OEDC), 2011. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume21-CET.pdf
Conciliation études-travail

Éducation, compétences et apprentissage : Étudier, travailler et décrocher :... - 3 views

  •  
    L'entrée précoce des élèves sur le marché du travail est souvent considérée comme un moyen d'acquérir une expérience utile de la culture et du milieu de travail. Cette expérience peut se traduire par des bénéfices à long terme, tels qu'une transition plus harmonieuse des études à un emploi à temps plein, l'acquisition de compétences pratiques et des gains ultérieurs plus élevés. L'activité sur le marché du travail peut, toutefois, s'accompagner de certains coûts. Ainsi, le travail pendant les études secondaires a été associé à une diminution du rendement scolaire, au désengagement à l'égard des études et même au décrochage. Axée sur les données de l'Enquête auprès des jeunes en transition visant la cohorte des 18 à 20 ans, EJET (voir résumé 2) recueillies en 2000, la présente étude examine la relation entre le travail au cours de la dernière année des études secondaires et le décrochage avant l'obtention du diplôme. En tenant compte de l'effet de ces facteurs, la relation entre les heures de travail et le décrochage reste significative. Plus précisément, cette recherche conclut que les élèves qui ne travaillent pas du tout sont plus susceptibles de décrocher que les élèves qui travaillent moins de vingt heures par semaine, et les élèves qui travaillent trente heures et plus par semaine forment le groupe le plus susceptible de décrocher au secondaire. Tracey Bushnick, Statistique Canada, No 81-595-MIF2003004, 2003 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_03-CET.pdf
Conciliation études-travail

Travailler pendant ses études : une charge de plus à l'emploi du temps des je... - 6 views

  •  
    Cette étude scrute les différences entre filles et garçons au chapitre du temps consacré aux études. Les données sont tirées de l'Enquête sociale générale (ESG) de 1998, laquelle fournit des renseignements sur l'emploi du temps et les indicateurs de la qualité de vie recueillis auprès d'un échantillon de 1 376 jeunes femmes et de 1 195 jeunes hommes de 15 à 29 ans. L'analyse porte sur la transition partielle de l'école au travail chez les jeunes occupant un emploi rémunéré, mais dont la principale activité est l'étude. Le fait de combiner études et emploi rémunéré ne signifie pas simplement substituer une portion des heures d'étude par des heures de travail. D'autres activités du quotidien sont aussi réaménagées de façon à former un nouvel horaire, lequel laisse souvent moins de place au sommeil et aux loisirs, incluant les activités physiques. Avec l'aide d'un tableau décrivant certaines habitudes de vie à la fois chez les étudiants du secondaire et du postsecondaire, l'analyste s'attarde sur le temps consacré par les jeunes femmes à leurs études : celles-ci voient le temps qu'elles consacraient à leurs études réduit à 2,9 heures par jour comparativement aux 6,4 heures qu'elles pouvaient investir lorsqu'elles travaillaient peu ou pas du tout. De plus, elles délaissent pratiquement tous leurs loisirs. Les jeunes hommes qui rencontrent les mêmes exigences de travail réduiront plutôt leurs heures de loisirs (presque 4 heures par jour) en coupant notamment dans les sports et les autres activités telles que la socialisation et la télévision. Franke, Sandra, Les transitions études-travail chez les jeunes, deux temps trois mouvements, Statistique Canada, 2003. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume26-CET.pdf
Conciliation études-travail

Le travail rémunéré des étudiants à temps plein au Saguenay-LacSaint-Jean; ra... - 2 views

  •  
    Dans le cadre du Chantier régional écoles-entreprises-milieu pour la persévérance scolaire, la question du travail rémunéré des étudiants à temps plein a été retenue comme une des trois grandes cibles d'intervention pour un partenariat entre le milieu de l'éducation et le monde socioéconomique. Le présent rapport est une synthèse de ces trois études de cas réalisées par le CRÉPAS afin de mieux documenter le phénomène et d'appuyer les actions de trois comités locaux dans les secteurs de Chicoutimi, Alma et Dolbeau-Mistassini. Il vise les objectifs suivants : ♦ dresser un portrait de la situation du travail rémunéré chez les étudiants du secondaire, du cégep et de l'université; ♦ mesurer l'importance du travail rémunéré dans le système de valeurs et les représentations des étudiants; ♦ approfondir le lien entre le travail rémunéré et la réussite scolaire; ♦ proposer des pistes d'intervention. Faits saillants :  Les résultats scolaires des étudiants en emploi ne sont pas nécessairement plus faibles que ceux des étudiants sans emploi.  L'emploi peut constituer un atout pour la persévérance si on y consacre un nombre raisonnable d'heures.  Il n'est pas possible de déterminer exactement le nombre d'heures par semaine MAIS il semble y avoir un seuil autour de 20 heures par semaine  L'idéal serait entre 10 et 15 heures par semaine. Dufour, Stéphane, CREPAS, décembre 2002 Pour plus de détails http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume20-CET.pdf
Conciliation études-travail

Parcours scolaires et travail salarié : une perspective longitudinale (18) - 2 views

  •  
    La présente note vise à expliquer comment des événements d'ordre extrascolaire peuvent influencer le déroulement ultérieur du parcours scolaire. Plus spécifiquement, il s'agit de prendre en considération divers événements qui ne relèvent pas de la sphère éducative, mais qui peuvent avoir une influence importante sur la scolarité elle-même. Dans une note précédente, nous avons mis en évidence que les variables relatives aux héritages sociaux, aux dispositions culturelles et aux acquis scolaires au secondaire ont un effet moindre sur la persévérance dans l'enseignement postsecondaire que sur l'accès à cet ordre d'enseignement. Ces facteurs agiraient sur l'entrée dans l'enseignement postsecondaire, mais pèseraient moins lourd dans notre compréhension de la poursuite des études. Aussi le volet international de cette étude est particulièrement intéressant : dans de nombreux pays, les élèves et les étudiants ont augmenté, depuis près d'une trentaine d'années, le temps qu'ils consacrent au travail rémunéré. Ils ne travaillent plus uniquement l'été, au moment des vacances, mais aussi pendant l'année scolaire. Bien que généralement fréquent, ce phénomène de cumul du travail et des études est cependant inégalement répandu dans les pays développés. À partir d'une comparaison entre quatre pays européens - la France, le Danemark, le Royaume-Uni et l'Espagne -, Van de Velde (2008) a dégagé d'importants contrastes entre les manières d'articuler le travail et les études. Chacun des pays analysés définit des modes de transition vers l'âge adulte qui diffèrent en fonction des modes d'intervention publique et des cultures familiales. Laplante, Benoît et al. Revue transition, (CIRST), Université du Québec à Montréal (UQAM), avril 2010. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume18-CET.pdf
Conciliation études-travail

Les valeurs des jeunes : Travail, valeur et être jeune : quel rapport? (19) - 4 views

  •  
    Alors que les jeunes déclarent que le travail n'est pas leur valeur principale dans leur vie pour s'accomplir, par un étrange paradoxe, nombreuses sont les études qui montrent que les jeunes d'aujourd'hui sont légion à travailler en parallèle à leurs études, à un âge de plus en plus précoce, et semblent consacrer à leurs « petits boulots » un nombre d'heures qui s'élève constamment. Qu'est donc dans ces conditions le « rapport au travail » des jeunes ? Quelques points à retenir : * En premier lieu, les cégépiens ont des valeurs auxquelles ils tiennent, contrairement à la rumeur publique laissant entendre qu'ils n'en ont pas.. En cela, nous rejoignons le point de vue de Boudon (2002). * En deuxième lieu, il existe une parenté réelle entre les valeurs des cégépiens et celles des autres jeunes en Occident. La structure des valeurs des jeunes transgresserait les appartenances nationales ou géographiques. * En dernier lieu, les valeurs des étudiants peuvent constituer un enjeu pour tout système d'éducation dans la mesure où leurs valeurs sont intimement associées à leur trajectoire scolaire. Ces valeurs peuvent alors être considérées comme un point d'appui aux études (c'est le cas pour la majorité) ou, au contraire, se poser en obstacle à la réussite scolaire (c'est le cas d'une minorité). Sous la direction de Pronovost, G. et Royer, C. Sainte-Foy : Presses de l'Université du Québec (chap 7, p 129), 2004 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume19-CET.pdf
Conciliation études-travail

Perspectives internationales sur le travail des jeunes (actes de colloque) (13) - 1 views

  •  
    En raison de leur statut d'entrants sur le marché de l'emploi, les jeunes se trouvent au cœur des mutations contemporaines du travail marquées par la libéralisation des marchés, les multiples pratiques de flexibilité organisationnelle et les nouvelles techniques et technologies de l'information. Leur situation vécue au travail, qui varie grandement selon les contextes nationaux, est l'un des meilleurs révélateurs de la diversité et de la complexité des changements en cours sur le marché de l'emploi. Conçu dans une perspective interdisciplinaire et internationale, ce livre dresse un tableau saisissant des différences et des convergences entre le Canada, la France, l'Italie, la Tunisie, le Brésil et la Chine en ce qui a trait aux diverses phases d'entrée dans la vie active. Il traite plus particulièrement de la situation des jeunes sur le marché de l'emploi, des facteurs qui interviennent dans la structuration de leur insertion professionnelle, de leur rapport au travail ainsi que de leurs nouvelles logiques d'action collective. Les analyses proposées permettent de comparer différents contextes nationaux et de mieux comprendre les valeurs, les attitudes et les comportements des nouvelles générations de jeunes, ainsi que la complexité croissante du monde contemporain du travail, à l'échelle de plusieurs pays. Sous la direction de Mircea Vultur et Daniel Mercure, Presses de l'Université Laval, 310 pages, 2011 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume13-CET.pdf
Conciliation études-travail

La vie bien chargée des adolescents (10) - 4 views

  •  
    Cet article examine les tendances relatives au nombre d'heures que les adolescents consacrent tous les jours aux études, au travail rémunéré et aux travaux ménagers. En dehors de l'école, les adolescents peuvent aussi commencer à développer leur capital humain à travers un emploi rémunéré, des activités bénévoles, voire des travaux ménagers. Mais trop de temps passé à faire du travail rémunéré et non rémunéré pourrait entraîner du stress chez ces adolescents et se répercuter sur leur bien-être ainsi que sur leurs résultats scolaires. En 2005, le temps moyen passé à faire un travail rémunéré a atteint 0,7 heure durant les journées d'école et 1,7 heure durant les journées sans école. Cela représente environ 7,6 heures par semaine, soit une hausse de deux heures par rapport aux trois périodes antérieures. Le taux d'activité quotidien pour un travail rémunéré a lui aussi légèrement augmenté, surtout en raison des taux de fin de semaine plus élevés : en 2005, 28 % ont dit travailler durant les journées sans école, contre 20 % en 1986. En 2006, 40 % des filles et 34 % des garçons âgés de 15 à 19 ans et qui fréquentaient l'école ont déclaré avoir un travail dans la semaine de référence de l'EPA, avec un total d'heures hebdomadaires habituelles de 13,6 et 14,5 respectivement. Les deux enquêtes montrent que les filles dépassent désormais les garçons en matière de taux d'emploi et que leurs heures moyennes travaillées convergent. Ces tendances donnent à penser que l'écart entre l'activité sur le marché du travail des femmes et des hommes pourrait continuer à diminuer avec l'entrée permanente de cette jeune génération dans la population active. Marshall Katherine, Statistique Canada, vol. 8 no 5, mai 2007 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_10-CET.pdf
Conciliation études-travail

Entre la classe et les Mcjobs : portrait d'une génération de cégépiens (8-9) - 2 views

  •  
    Qui sont les cégépiens d'aujourd'hui ? À quoi aspirent-ils ? Quelles sont leurs valeurs ? Quelle importance accordent-ils à leurs études ? Quel est leur rapport avec leurs parents, leurs professeurs ? Pourquoi travaillent-ils en même temps qu'ils étudient à temps plein ? Le monde de la consommation occupe-t-il un espace significatif chez eux ? Quelles sont leurs conditions socioéconomiques ? Sont-ils heureux au cégep ? Quels sont les principaux facteurs qui se posent en obstacles à la réussite scolaire ? Voilà autant de questions - et d'autres encore - qui sont abordées dans l'ouvrage. Celui-ci puise essentiellement aux résultats d'une récente recherche réalisée dans l'ensemble du réseau collégial ainsi qu'aux constats d'autres études effectuées sur les jeunes au Québec et ailleurs en Occident. Le livre trace le portrait de la réalité des cégépiens à travers quatre milieux : le cégep, la famille, le travail et le réseau social. Chemin faisant, il démasque certains mythes entretenus sur les cégépiens et il rend compte de certaines contradictions qu'ils peuvent vivre dans leur cheminement personnel. Là où les cégépiens actuels se distinguent le plus de leurs prédécesseurs, c'est dans leur rapport au travail rémunéré pendant les études. À la fin des années 1970, moins de 20 % des étudiants du collégial occupaient un emploi. Aujourd'hui, 72 % d'entre eux sont dans cette situation, à raison, en moyenne, de 17,2 heures par semaine. En additionnant les heures qu'ils consacrent à leurs cours, à l'étude et à leur emploi, on obtient des semaines de 46 heures. Pas mal pour des jeunes soupçonnés de s'adonner à la paresse. Jacques Roy, Presses de l'Université Laval, Collection : Regards sur la jeunesse du monde, 142 pages, octobre 2008 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_08-09-CET.pdf
Conciliation études-travail

Travail pendant les études, performance scolaire et abandon - 1 views

  •  
    Le travail pendant les études doit lui aussi faire l'objet d'une attention particulière. Doit-on, comme il fut proposé par certaines instances, limiter le nombre d'heures travaillées pendant les études? La présente recherche montre que les réponses à cette question doivent être nuancées. Pour plusieurs étudiants, travailler moins de dix heures par semaine est loin d'inciter au décrochage, et l'expérience de travail acquise parallèlement aux études favorise même parfois l'insertion sur le marché de l'emploi de ceux qui obtiendront leur diplôme. On pourra néanmoins arguer que les étudiants qui veulent « meubler » une partie de leur temps libre ont avantage à consacrer plus d'heures aux études qu'à la recherche d'un emploi rémunéré. Des statistiques de l'OCDE (1995) montrent qu'au Canada, en 1991, les élèves de 14 ans cumulaient en moyenne 1000 heures de cours par année, ce qui reste inférieur aux moyennes observées aux États-Unis, en France, en Belgique, en Suisse et aux Pays-Bas; dans ce dernier pays, le nombre annuel moyen d'heures de cours atteint 1200. Le Canada occupe parmi 24 pays considérés le 8e rang parmi les pays qui affichent les moins bonnes performances quant au nombre d'heures consacrées à l'étude en dehors des heures de classe par des élèves de 8e année en mathématiques. Il serait aussi intéressant de regarder de plus près le fonctionnement des écoles privées où l'abandon reste moins fréquent. (Cette recherche date de 1999, mais son contenu est intéressant comme point de comparaison entre hier et aujourd'hui). Marcel Dagenais, Claude Montmarquette, Daniel Parent, Nathalie Viennot-Briot, CIRANO, novembre 1999 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume-11-CET.pdf
Conciliation études-travail

Santé et sécurité des étudiants qui occupent un emploi durant l'année scolair... - 2 views

  •  
    Cette recherche s'inscrit dans la foulée des travaux publiés au Québec depuis les années 1990 qui ont contribué à l'émergence d'un nouveau champ de recherche sur le travail rémunéré chez les étudiants. Ces travaux s'intéressent plus particulièrement à l'incidence du travail rémunéré sur les études. Cependant, rares sont ceux qui ont directement abordé les atteintes potentielles à la santé en lien avec le travail rémunéré des étudiants, notamment les accidents de travail, les troubles musculo-squelettiques (TMS), la détresse psychologique et la fatigue. Bien que les étudiants travailleurs soient moins à risque de lésions professionnelles que les jeunes décrocheurs, l'accroissement du cumul études-travail au cours des 20 dernières années nous a amenés à nous préoccuper de cette réalité. En effet, en comparaison avec leurs homologues de neuf pays de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), les jeunes Canadiens se classent premiers pour ce qui est du nombre moyen d'heures hebdomadaires consacrées au travail rémunéré et aux activités non rémunérées pendant la semaine d'école (Marshall, 2007). Afin de mieux cerner les enjeux de santé et de sécurité du travail (SST) liés à ce phénomène en pleine croissance, le présent projet vise à déterminer les effets du cumul d'activités et du cumul de contraintes de travail sur la SST d'étudiants qui travaillent pendant leurs études, en tenant compte du fait qu'ils sont aussi un groupe à risque de somnolence excessive. Laberge, Luc et al. Études et recherches / Rapport R-705, Montréal, IRSST, 147 pages. 2011 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume15-CET.pdf
Conciliation études-travail

Les jeunes et le travail (16) - 3 views

  •  
    Cet ouvrage propose une lecture de la question du travail des jeunes en la cadrant dans la perspective des transformations qu'ont connues les sociétés occidentales au cours des deux dernières décennies. Fruit d'un projet collectif de l'Observatoire jeunes et société, il réunit des textes originaux issus de travaux récents qui abordent, tour à tour, les multiples facettes de cet objet si particulier qu'est le travail des jeunes dans les sociétés occidentales contemporaines. professionnelles et de nouvelles formes de revalorisation de l'activité productive. Parmi les thèmes abordés tout au long de la première partie, notons le texte de Marc Molgat. Ce dernier traite de la question du rôle des parents chez les jeunes décrocheurs. Déjà̀, la recherche a très bien démontré́ que les parents exercent une l'influence centrale sur le choix et le développement de carrière de leurs enfants. Plus particulièrement, Molgat situe sa recherche dans un contexte de cheminement professionnel difficile. L'auteur procède à l'inventaire et à la description de différentes formes d'interventions parentales et il tente d'en décrire les possibles conséquences sur le parcours professionnel de leurs jeunes. De son côté, Liette Goyer centre sa contribution autour de la pratique du counselling d'orientation scolaire et professionnelle auprès des jeunes. La deuxième partie de l'ouvrage aborde la question de l'insertion professionnelle et le lien entre les études et le travail. L'article de Vultur décrit très bien comment les jeunes s'adaptent aux multiples exigences des entreprises, et ce, afin de décrocher un travail rémunéré́. Les jeunes et le travail, Bourdon, Sylvain, et Vultur, Mircea (sous la direction de) Presses de l'Université Laval 2007 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume16-CET.pdf
Conciliation études-travail

Pourquoi les étudiants qui travaillent 10 à 19 heures par semaine excellent-... - 1 views

  •  
    Les coûts moyens annuels de l'éducation continuent d'augmenter partout au pays. Les coûts moyens de 2006-2007 (incluant les frais de scolarité, l'hébergement et les frais de subsistance, les manuels et les fournitures, le transport et autres dépenses) s'élevaient à 16 357 $ pour 4 années d'études dans des collèges et universités publics, et à 33 301 $ pour le même nombre d'années d'études dans des collèges et universités privés. Ces coûts représentent une augmentation de près de 6 % depuis 2005-2006. L'inflation au cours de la même période atteignait environ 4 %. L'escalade des coûts reliés à la scolarité soulève de l'inquiétude et les étudiants sont contraints de réfléchir à la façon dont payer leurs études. Certains empruntent ou encore obtiennent des allocations ou bourses d'études. D'autres, cependant, doivent assumer seuls les coûts et pour ce faire, travaillent à temps plein ou partiel. Près de 80 % de tous les étudiants au niveau collégial travaillent pendant qu'ils complètent leurs études (Riggert). De nombreuses recherches ont été menées afin de déterminer les effets du travail à temps plein et partiel sur le succès scolaire des étudiants au collégial. Cet article vise à résumer certaines des conclusions générales de ces recherches, et à fournir des suggestions sur la façon dont les bureaux de placement étudiant universitaire pourraient utiliser ces données. Compilé par Shawn Hammond des services de placement étudiant de l'université BYU (Brigham Young University), décembre 2006 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_05-CET.pdf
Conciliation études-travail

Synthèse Conciliation études-travail - 1 views

  •  
    SYNTHÈSE DE LA BIBLIOGRAPHIE COMMENTÉE - Extraits des articles de référence jugés les plus intéressants et classement par thème (document de travail, 29 pages) Les Instances régionales de concertation sur la persévérance scolaire et la réussite éducative (IRC) qui sont au carrefour de tous les acteurs œuvrant à la réussite éducative des élèves québécois. Ce qui les distingue des autres acteurs de la persévérance scolaire : leur rôle de mobilisation des acteurs régionaux et de développement de partenariats locaux dans la promotion des conditions de réussite éducative. Les instances régionales privilégient des axes d'intervention afin de contribuer à la qualification des jeunes sur leur territoire respectif. Un de ces axes d'intervention est La recherche et le transfert de connaissances qui consiste à documenter les problématiques et les pratiques exemplaires afin de bonifier l'expertise régionale et locale. C'est dans ce cadre que les IRC se sont penchées sur l'importance de documenter la thématique de la conciliation- études-travail (CÉT). Voici un document synthèse répertoriant des extraits des différents résumés commentés. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/06/DOC-SYNTHESE-CET.pdf
Conciliation études-travail

Compilation des résumés Conciliation études travail - 2 views

  •  
    COMPILATION DES RÉSUMÉS - Document complet rassemblant l'ensemble des résumés pour tous les articles répertoriés (document de travail, 63 pages) Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/06/compilation_resumes_CET.pdf
Conciliation études-travail

- Une nouvelle recherche longitudinale démontre qu'un lien existe entre l'in... - 2 views

  •  
    Cet article issu d'une recherche américaine s'intéresse principalement à l'impact de travailler de longues heures pendant les études collégiales, en particulier durant la dernière année où en moyenne le nombre d'heures consacrées au travail est le plus élevé. Il s'attarde également sur certaines conséquences comportementales qui pourraient être développées face à un travail rémunéré intensif de la part des collégiens. En fait, la plus importante conséquence à long terme à laquelle de longues heures de travail contribuent semble portée sur l'obtention des diplômes. L'étude démontre que le nombre d'années d'études complétées après la fin du collège est inversement proportionnel au nombre d'heures travaillées au cours de la dernière année de collège : les étudiants qui consacrent de trop nombreuses heures au travail ont tendance à poursuivre de moins longues études après leur collège. Une autre conséquence à long terme d'un grand nombre d'heures consacrées au travail est la consommation… de cigarettes. Parmi les finissants qui travaillaient de longues heures au collège, les taux de fumeurs demeuraient élevés à l'âge de 29-30 ans. Par Bachman, Jerald G. (Université du Michigan); Staff, Jeremy (Université de Pennsylvanie); O'Malley, Patrick, M. Schulenberg, Johan E. et Freedman-Doan, Peter (Université du Michigan), 2011. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume27-CET.pdf
Conciliation études-travail

La perspective québécoise des valeurs des jeunes - Une étude de cas : les va... - 4 views

  •  
    Les valeurs des collégiens ne sont pas sans conditionner leur rendement scolaire et la persévérance aux études. Pour le milieu scolaire, ces valeurs se positionnent alors en enjeu. Une revue des écrits ici et à l'étranger permet de voir quelles sont ces valeurs. Au Québec, comme ailleurs dans d'autres sociétés occidentales, on repère un certain nombre de valeurs communes chez les jeunes dans les écrits sur les valeurs des jeunes. Faits saillants : Un constat tout au long de cette étude : dans l'échelle de valeurs des cégépiens, réussir ses études, c'est très important. De fait, huit étudiants sur dix (80 %) considèrent que c'est « très important », 18 % estiment que c'est « important », alors que 2 % accordent peu d'importance à la réussite des études. Malgré le fait que les filles accordent généralement davantage d'importance aux études (P = 0,000), il n'en reste pas moins que filles comme garçons semblent bien engagés sur le plan des valeurs concernant la réussite des études. Ainsi, 83 % des filles et 72 % des garçons considèrent que réussir ses études, c'est « très important ». Cette variable - l'importance accordée à la réussite des études - est apparue comme l'une des plus révélatrices parmi celles qui sont associées à la réussite scolaire. Roy, Jacques, « La perspective québécoise des valeurs des jeunes », Pensée plurielle (n° 14), pp. 35-43, janvier 2007. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume25-CET.pdf
Conciliation études-travail

Être jeune aujourd'hui, habitudes de vie et aspiration des jeunes des région... - 1 views

  •  
    Cette synthèse trace le portrait des jeunes de trois régions du Québec. Les jeunes du Saguenay-Lac-Saint-Jean, de la Capitale-Nationale et des Laurentides ont été invités au printemps 2008 à participer à une enquête sur leurs habitudes de vie, leurs perceptions et leurs aspirations. Cette recherche s'inscrit dans une démarche de mobilisation des différents milieux (scolaire, santé et services sociaux, municipal, communautaire) afin d'améliorer globalement la situation des jeunes de ces régions. Le but ultime est, d'une part, de réduire la fréquence de divers comportements et d'habitudes de vie qui compromettent leur réussite éducative et leur bien-être, et d'autre part, de promouvoir les attitudes ou les comportements qui conduisent plutôt à leur épanouissement. Passages intéressants sur l'importance des heures de sommeil et le danger de surmenage. Une quarantaine d'indicateurs rassemblés en six dimensions constituent le corpus de données utilisées pour brosser le portrait des jeunes des trois régions visées par l'enquête. Ces dimensions sont présentées en deux parties distinctes. La première partie concerne l'expérience scolaire, le cumul études‐travail, le vécu psychoaffectif, les habitudes de vie et le désir d'enracinement. La deuxième partie porte sur l'intérêt des jeunes envers la science et la technologie. Dans cet ouvrage, sauf en de rares exceptions, les renseignements sont présentés pour les sexes réunis. Gaudreault, Marci, Gagnon, Mélanie et Arbour Nadine, portrait des jeunes de trois régions du Québec. : la CapitaleNationale, le Saguenay-Lac-Saint-Jean et les Laurentides, 2002. Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume23-CET.pdf Voir le cumul Études Travail p 20, ÉCOBES,
Conciliation études-travail

Les logiques sociales et la réussite scolaire des cégépiens. (7) - 5 views

  •  
    La réussite scolaire en milieu collégial n'est pas qu'affaire de pédagogie, de mesures de rattrapage ou de qualité d'environnement éducatif. Le système de valeurs des cégépiens, leur participation au marché du travail pendant les études, leur condition socioéconomique, la qualité des liens avec leurs parents et leurs amis ainsi que leur degré de bien-être sont autant de facteurs sociaux qui influencent le rendement scolaire et la persévérance aux études. À partir d'un examen de ces facteurs sociaux, l'auteur propose une lecture de la réussite scolaire sous l'angle du rapport des jeunes à la société afin de mieux comprendre les logiques sociales qui conditionnent leur parcours scolaire. L'ouvrage dresse un portrait de la réalité sociale des cégépiens et propose des pistes d'intervention pour améliorer leur réussite scolaire. Ensuite, il expose cinq logiques sociales qui expliquent le comportement des étudiants, dont, principalement, l'existence d'une culture commune à tous les cégépiens et leur conception du travail rémunéré comme forme d'insertion sociétale. Enfin, le dernier chapitre propose des pistes d'intervention pour favoriser la réussite. Trois concernent les cégeps : il s'agit d'en faire des lieux de culture du savoir et des milieux de vie stimulants, susceptibles de favoriser le développement de l'autonomie et l'orientation des étudiants. Les autres pistes concernent les relations entre enseignants et étudiants et la conciliation travail études. Enfin, il souligne le rôle important joué par les parents dans le soutien de la réussite. Roy, Jacques, Regards sur la jeunesse du monde, Éducation et IQRC,- Les Presses de l'Université Laval, 2006 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume07-CET.pdf
1 - 20 of 22 Next ›
Showing 20 items per page