"Une bombe, un tsunami, un Everest. Le vocabulaire n'est pas toujours assez fort pour décrire le quotidien des parents confrontés au cancer ou à la maladie grave de leur enfant. Laurent Lalo, qui avait déjà raconté cette épreuve dans un livre, a eu l'idée de rassembler d'autres familles, partout en France, pour partager leur vécu intime de la maladie. Cet appel a donné naissance à l'ouvrage collectif Regards, publié par la maison d'édition solidaire Les Plumes d'Ocris (1)."
"Le 16 juin, le P. Maurice Franc a pris la décision de marier en urgence Jean-Claude et Sophie, atteinte d'un cancer en phase terminale. Or, le couple n'était pas passé au préalable devant le maire, enfreignant ainsi le Code pénal."
"À Biarritz, l'abbé a marié le 14 juin un couple qui n'était pas uni civilement. Un acte interdit par le code pénal. mais que le prêtre a célébré car la femme était atteinte d'un cancer en phase terminale. Elle est morte deux jours plus tard.
En autorisant le mariage d'un couple qui n'était pas uni préalablement à la mairie, le curé de Biarritz, Maurice Franc, a commis un acte illégal au regard du droit français. L'article 433-21 du Code pénal énonce en effet l'interdiction, pour «tout ministre d'un culte», de procéder à un mariage religieux sans l'acte de mariage civil. "
"La place de la mort dans notre vie et la considération de la vie dans notre expérience de la mort -Bruno-Marie DUFFE Vicaire épiscopal «
Famille et Société» - Diocèse de Lyon
Aumônier catholique du centre Régional de Lutte
contre le Cancer Léon Bérard-Lyon"
"C'est leur foi qui a permis à un couple de Philippins de surmonter une grossesse à risque, un cancer, et de construire un service qui accompagne couples, célibataires et enfants dans 163 pays."
"'avortement n'a pas de caractère médical, ni la contraception. Le "problème" n'est pas la présence d'un cancer dans le ventre, mais d'un bébé, qui a des droits non seulement sur sa mère, mais aussi sur son père. Le "problème" ne réside pas dans la santé des organes reproducteurs, mais dans leur existence même."
"L'écrivain Philippe Forest, dont la fille est morte d'un cancer en 1996, considère, dans une tribune au « Monde », qu'ergoter sur le nombre de jours de congé à accorder aux parents en deuil a quelque chose de dérisoire. Néanmoins, le législateur ne doit pas, selon lui, renoncer à trouver une réponse."
"L'une a accompagné son mari, atteint d'un cancer des os, jusqu'au bout en hospitalisation à domicile ; l'autre a soutenu sa compagne qui a souhaité recourir au suicide assisté. Deux témoignages forts qui illustrent des choix"