"Le Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes (HCEfh), vient de remettre un rapport au gouvernement pour améliorer la prise en charge des interruptions volontaires de grossesse (IVG). Le mot d'ordre est clairement afficher : « l'IVG n'est pas un problème : c'est une solution pour toute femme qui souhaite interrompre sa grossesse dans les délais prévus par la loi ». Il faut donc le banaliser, en faire un acte médical comme un autre."
"Quand le pape François fait le constat que la majorité des mariages catholiques ne sont pas valides il pose un diagnostic mais il ne modifie pas une virgule de la doctrine catholique. Pourtant il provoque des réactions hystériques chez un certain nombre de fidèles.
C'est plutôt curieux car, pourvu qu'on se donne la peine d'aller lire ce qu'il a effectivement déclaré et non les citations hors contexte voire carrément tronquées que l'on trouve sur la réacosphère, on constate que tout ce qu'il dit est dans la droite ligne de l'enseignement de l'Eglise sur le sacrement de mariage : le mariage est indissoluble dès lors qu'il est valide sacramentellement ce qui suppose que certaines conditions de validité soient réunies au préalable. C'est ce qui explique que dans certains cas l'Eglise reconnaisse a posteriori que certains mariages que l'on croyait valides ne l'étaient en fait pas. C'est ce qu'on appelle la reconnaissance de nullité de mariage (et non l'annulation du mariage)."
"La multiplication des échecs conjugaux dans le milieu catholique l'atteste : de plus en plus de mariages présumés sacramentellement valides se révèlent invalides parce que non-viables pour des raisons qui, bien souvent, dépassent la bonne volonté et la sincérité des intéressés. Le bilan pastoral de nombreux prêtres est sans appel : la plupart des mariages sacramentels célébrés dans les formes ne sont pas valables faute de discernement de la part d'au moins l'un des conjoints.De nombreux prêtres le confient en privé. C'en est même un secret de Polichinelle…"
"Parfaitement résumée par le sigle LGBT4, cette théorie inspire l'ensemble des revendications juridiques visant à aligner les institutions sociales sur ces nouvelles normes. Sous prétexte d'égalité, l'enjeu n'est rien de moins que de substituer à une société hétéro-normée5, une société homo-normée d'où la différence et la complémentarité sexuelles seraient bannies."
"En préambule, mon analyse est exclusivement juridique, et ne prend parti ni pour ni contre l'homoparentalité, même si j'ai déjà fait part de mon sentiment précédemment. Le débat sur l'opportunité du mariage homo appelle à s'interroger sur la nature du mariage. Institution si familière qu'il n'est pas sûr qu'on sache immédiatement quelle est sa fonction dans notre civilisation."
"e n'aime pas trop manifester, peut-être parce que je n'aime pas la foule et ce qu'on peut en faire. Il y a des groupes aux côtés desquels je ne veux pas trop être. Et pourtant, depuis hier soir, je pense que la probabilité de participer au rassemblement du 13 janvier est de plus en plus forte. L'élément déclencheur ? Les auditions parlementaires des représentants des religions"