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"Je suis née dans une famille musulmane de parents émigrés, modestes et sans restriction en termes de religion. La seule chose dans cette culture, vous naissez au sein d'un milieu et vous n'avez pas d'autre choix que d'adhérer aux pratiques et aux croyances religieuses sans fondement et sans raison de cette culture. L'accès à la religion se traduit toujours dans l'ignorance des textes en maintenant les populations dans l'illettrisme. Ainsi, ma croyance en Dieu est animée par un principe entre foi et raison. Les textes nous élèvent vers le seigneur et nous apprennent à accéder au salut et donc à la sagesse de l'Âme spirituelle."

"À l'occasion de la sortie de son ouvrage Nous ne savons plus croire, le philosophe Camille Riquier revient sur la place de la croyance dans les sociétés occidentales contemporaines. Selon lui, notre époque se caractérise par un épuisement de la foi."

"Une étude menée par le centre médical d'une université catholique américaine relie l'apprentissage inconscient avec la foi en une divinité qui ordonne le monde" [RDP du 14 septembre 2020]

"En France, l'instance de dialogue avec les non-croyants a longtemps été le Service incroyance et foi (SIF). Créé dans le prolongement du concile Vatican II, ce dernier était un lieu de dialogue ouvert à des hommes et des femmes de croyances et de philosophies diverses. Ce service fut confié au P. Jean-François Six de la Mission de France puis au jésuite Jacques Sommet, tous deux grandes figures dans les années 1970-1980 du dialogue avec les incroyants et l'athéisme marxiste."

"Enseignement de Vianney Vendrely, Chargé de Mission Pastorale pour l'Institution Saint-Pierre de Bourg-en-Bresse.   Des textes pour aller plus loin Concile Vatican II, Déclaration sur les relations de l'Église avec les religions non chrétiennes : NOSTRA AETATE   En quoi cette déclaration peut-elle enrichir ma vision de l'Église ? Au sein de l'Église, quelle distinction puis-je méditer entre la place d'un catholique, et celle d'un croyant non-chrétien ? À la lecture, suis-je invité à adopter une posture de dialogue interreligieux plutôt exclusiviste, inclusiviste, ou pluraliste ? À ma place, comment puis-je vivre une fraternité véritablement universelle ?   Proposition de bibliographie L'Évangile est le cœur de toute bibliographie, la Parole par excellence vis-à-vis de laquelle les autres textes ne sont que des notes de bas de page. Mais des notes et des témoignages qui peuvent être d'importants guides dans notre relation avec le Christ, « le chemin, la vérité et la vie » (Jean 14, 6).  Ainsi, n'hésitons pas à relire les documents du Concile Vatican II, tout particulièrement ceux qui permettent de renouveler notre regard sur l'Église, par exemple Gaudium et Spes, Lumen Gentium, Ad Gentes et Dignitatis Humanae.  Par ailleurs, si nous souhaitons découvrir comment la christologie, connaissance du Christ, peut devenir christophanie, manifestation de Sa vie en nous, nous pouvons étudier l'ouvrage de Raimon Panikkar intitulé La plénitude de l'Homme.  Sans oublier les enseignements récents des papes, comme autant de pistes pour notre quête de sens et notre vie de foi dans le monde d'aujourd'hui : Veritatis splendor, Deus caritas est, Laudato si', Gaudete et exsultate, Christus vivit, Fratelli tutti, etc.   Proposition de prière Seigneur Jésus, inonde-moi de ton Esprit et de ta Vie.  Prends possession de tout mon être pour que ma vie ne soit qu'un reflet de la tienne.  Rayonne à travers

"L'histoire des grands adaptée pour les plus jeunes ou comment enseigner des sujets sur lesquels on ne connait pas grand chose. C'est en se posant cette question que l'AESM a créée une nouvelle animation pour un public bien moins intéressé par l'histoire de France et des croyances. Les visites guidées peuvent paraître bien futiles dans les yeux d'un bambin de six ans, et pourtant, si l'on sait attiser son intérêt, il y a de grandes chances qu'il en reparle dans quelques années. C'est pourquoi l'AESM a mis en place un jeu de rôle (mixte entre escape game et team building) sur le thème de l'histoire de l'Abbaye de Marcilhac. "Objectif : Les moines de l'Abbaye de Marcilhac sont en danger. En plein cœur de la guerre de Cent Ans, les mercenaires sont prêts à attaquer l'abbatiale. Vite, sauve tes amis les moines !""

"Sur fond de crise de confiance envers les institutions, de plus en plus de personnes se disent « spirituelles mais non religieuses », et sont attirées par des croyances alternatives. Enquête sur un phénomène qui bouleverse le paysage religieux en profondeur."

L'étude Ifop pour Ajir observe qu'en 2021, une courte majorité de Français ne croit pas en Dieu (51%) alors qu'en 1947, 66% des interrogés se déclaraient croyants. Conséquence logique de ce recul de la croyance, les Français parlent de moins en moins de religion, que ce soit en famille (38% le font au moins de temps en temps, 20 points de moins qu'en 2009) ou avec leurs amis (29%, -20 points). Après plus d'un an de crise sanitaire, un peu moins d'un interviewé sur dix (9%) affirme s'être rapproché d'une pratique religieuse. C'est notamment le cas pour les catholiques pratiquants (40%) et les personnes croyantes de confessions non catholique (38%). En outre, pour une part non négligeable des Français (21%), l'incendie de la cathédrale Notre Dame de Paris a réveillé en eux un sentiment religieux ou une fibre spirituelle. Le jugement des catholiques sur la défense des valeurs de leur religion par le Pape François devient très partagé alors qu'il était majoritairement positif en 2016 . 41% pensent qu'il les défend plutôt bien (-23 points), 44% ni bien ni mal et 15% plutôt mal. Au global, 68% des Français estiment que les religions peuvent contribuer à transmettre aux jeunes des repères et des valeurs positives (respect de l'autre, tolérance, générosité, responsabilité), 54% que toutes les religions se valent et 47% que les religions peuvent contribuer positivement aux grands débats de société (bio-éthique, moralisation de l'économie, famille).

"L'hypocrisie déforme la dévotion, « puisqu'au lieu d'être "à la gloire de Dieu", elle est orientée vers l'exaltation et l'honneur de l'homme », a souligné le p. Pietro Bovati, prédicateur de la retraite de carême de la Curie romaine, dans l'après-midi du 3 mars 2020."

"Selon l'étude du think tank chrétien anglais Theos, près des deux tiers des habitants de Londres se déclarent croyants, contre 53% dans le reste de la Grande-Bretagne. "