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tangi bertin bertin

Site d'information et de présentation de Créadoc, un outil pour l'école primaire - 0 views

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    Créadoc est un outil en ligne gratuit destiné aux professeurs des écoles. Il intègre des outils spécifiques pour faciliter le travail de l'enseignant lors du processus de création (des polices cursives, des bibliothèques de dessins, des lignes d'écriture et des cliparts). Il constitue également un support pour la mise en place de situations d'apprentissage en classe (affichage en diaporama, exercices en ligne, travail en groupe ou individuel). Destiné aussi aux élèves du primaire.
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    "Créadoc est un outil en ligne gratuit destiné aux professeurs des écoles. Il intègre des outils spécifiques pour faciliter le travail de l'enseignant lors du processus de création (des polices cursives, des bibliothèques de dessins, des lignes d'écriture et des cliparts). Il constitue également un support pour la mise en place de situations d'apprentissage en classe (affichage en diaporama, exercices en ligne, travail en groupe ou individuel). fiche14 Créadoc est également un outil destiné aux élèves du primaire. Avec son interface épurée, une ergonomie appropriée et des fonctions spécifiques, Créadoc constitue un outil adapté aux caractéristiques de ce public."
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Entre réel et virtuel, les limites de la vie… à l'école » Article » OWNI, Digital Journalism - 0 views

  • Le développement actuel des univers virtuels interactifs est le prolongement de travaux de recherche menés dès l’apparition de l’ordinateur autour d’un mythe célèbre : « l’ordinateur c’est l’homme ». Ce mythe apparu aussi bien avec Türing qu’avec la cybernétique ou encore les théories de l’apprentissage de Skinner (enseignement programmé). C’est donc dire qu’il est ancré dans l’esprit humain à l’égal des grands mythes qui traversent l’humanité et déclinés de manière proche au travers des cultures
  • Si l’ordinateur c’est l’homme, alors l’homme est-il une machine ?
  • En d’autres termes, En libérant le cerveau des tâches répétitives ou consommatrices d’énergie mEntale, il suppose qu’il est alors possible de développer les capacités du cerveau qui vont vers le « plus de complexité »
  • ...11 more annotations...
  • Le cerveau humain, complexe en lui même aurait commencé à projeter cette complexité dans les techniques (et pas seulement les machines) qu’il développ
  • Regardons des usagers en activité au long d’une journée, d’une semaine voire davantage et nous pouvons nous apercevoir que l’objet lui même s’est installé dans le prolongement direct de l’activité mentale, qu’elle soit sociale, professionnelle ou affective…
  • L’homme en externalisant certaines de ses fonctions humaines serait obligé de se « machiniser », en d’autres termes d’utiliser de plus en plus de prothèses pour faire face à la complexité.
  • En développant les univers virtuels et En les fusionnant de plus En plus avec le réel (de la simulation à la réalité augmEntée), nous allons nous retrouver avec un problème éducatif nouveau : situer la part de l’humain dans notre EnvironnemEnt !
  • L’espace classe est en train lentement d’éclater comme espace-temps d’apprentissage.
  • Certes le TBI (tableau blanc interactif, ndlr) donne encore du fil à retordre car il est bien centralisateur (de par sa forme même : un écran pour plusieurs). Mais le portable (ordinateur ou smartphone) dans la classe relié au reste du monde va inévitablement questionner la forme scolaire.
  • Comme de plus ces techniques permettent de plus en plus le lien individuel « homme machine » elles posent aussi au système scolaire la question de sa forme collective.
  • L’élève est-il une machine ? Va-t-il le devenir dans nos classes ? L’expérience des Landes (rappelons nous l’enquête de l’an passé après huit années de pratique) nous montre que les choses vont lentement, que la technicisation de l’enseignement est un phénomène lent.
  • Le système scolaire est fortement confronté à la demande de la société au service de laquelle il a été créé
  • Le pessimiste pourra opter pour la première hypothèse et tenter de freiner, l’optimiste pourra opter pour la deuxième en pensant qu’il peut créer du sens
  • Or mettre en route ce rôle de questionneur c’est inviter chacun à se mettre en réflexion sur ces évolutions, à accepter la confrontation, la discussion, la co-construction.
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    l'"homme" devient il un "homme machine" ? Laine, Breton,asimov et deusX inside
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Veille et recherche d'informations : quelles différences ? - CaddE-Réputation - 0 views

  • La veille, qui consiste globalement à mettre en surveillance des sources afin d’obtenir des informations nécessaires à la prise de décision, est un processus dont l’appellation est devenue générique, englobant un ensemble d’autres processus parfois distincts. Même si complémentaire, la recherche d’informations ne nécessite pas les mêmes approches (méthodologies, outils, processus) que la veille. Nous allons ici voir les différences entre ces deux concepts/processus.
  • Il est de plus en plus courant de lire et d’entendre parler de méthodologies de veille, qui souvent font allusions au fameux cycle du renseignement, à savoir la définition des besoins, la collecte, l’analyse et la diffusion de l’information
  • Stockage/mémorisation VS Flux
  • ...22 more annotations...
  • l’un des objectifs d’une veille est la collecte (automatisée) d’informations
  • stocker de manière efficace les résultats afin de pouvoir ensuite s’y reporter en analyse, et/ou répondre à une question précise quelques temps après
  • Sources statiques VS Sources mouvantes
  • : dans une veille concurrentielle (par exemple) il est utile de repérer les sources intéressantes (sites des concurrents) pour les mettre en surveillance
  • le blog qui aura le lundi traité d’un sujet en rapport avec votre organisation ne sera peut-être pas le même que celui qui en parlera le mercredi
  • Chercher un signal dans les résultats VS Chercher des résultats à partir d'un signal
  • la veille permet donc de collecter et de stocker un certain volume d’informations. Sans revenir sur la définition même de la veille, l’objectif de cette collecte est de pouvoir ensuite rechercher des signaux pouvant bousculer la stratégie de l’organisation
  • A l’inverse, la recherche d’informations part souvent d’un signal précis (qui peut d’ailleurs être issu de la veille) et qui nécessite un approfondissement
  • Provoquer le questionnement VS Répondre à une question
  • lorsque l’on met en place un système de veille automatisée il est courant (et conseillé) de mettre en place un ensemble de filtres (sur les mots-clés, les sources, etc.)
  • Réduire avant d'analyser VS Analyser pour réduire
  • En recherche d’informations, au contraire, il faut tout d’abord analyser le résultat que l’on a trouvé (même rapidemEnt) avant de le sélectionner pour une analyse plus poussée ou pour répondre à la question posée
  • Long terme VS  Court terme
  • Technologie de collecte et d'indexation VS Technologie de crawl/recherche
  • Pour la veille, il sera utile d’avoir un outil d’agrégation de flux RSS, qui permet d’affiner sa collecte (filtres), et qui surtout permet une indexation rapide et ergonomique (tags, filtres de recherches internes, etc.) des résultats
  • Pour la recherche d’informations, ce sera la capacité de recherche (de « crawl ») de l’outil, le volume et la diversité des sources qu’il peut scanner qui seront le plus important
  • Google, Twitter Search, etc.), tandis qu’il faut souvent aller chercher dans des plateformes payantes pour obtenir une technologie de collecte, de tri et d’indexation efficac
  • Méthodes documentaires VS Méthodes d'investigation
  • la veille nécessite plus de méthodes issues des sciences de la documentation que la recherche d’informations.
  • En e-réputation, la veille est nécessaire pour surveiller des mots-clés précis, ou des sources (sites, communautés, comptes, etc.) actives sur les thématiques liées à l’organisation. De même, la veille permet de repérer des signaux qui seront les déclEncheurs d’actions de communication (ou autre).
  • La recherche d’informations est quant à elle nécessaire dans un processus de veille : avant la mise en surveillance pour repérer les sources sur lesquelles veiller (sourcing), ensuite lors de l’analyse pour approfondir certains résultats, intégrer de nouvelles sources, etc.
  •  des veilleurs qui cherchent on en trouve, mais des veilleurs qui trouvent on en cherche
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Les vraies ruptures d'Internet, par Serge Soudoplatoff - Fabrique de sens - 0 views

  • Quand on partage un bien matériel il se divise, je prends une pizza je la divise en quatre chacun a un quart de pizza. Quand on partage un bien immatériel, il se multiplie.
  • Pour moi la plus belle analogie à Internet, c’est l’invention de l’alphabet
  • Mettez-vous à -2000, -1500 quelqu’un arrive et vient vous expliquer qu’il faut arrêter de dessiner un arbre et qu’il faut passer par une horrible abstraction, qui est un ensemble de symboles : A R B R E ou l’équivalent de l’époque. Est-ce que vous vous imaginez la résistance au changement ?
  • ...32 more annotations...
  • Socrate qui en rajoute une couche : « L’écrit ne véhicule pas la connaissance mais l’illusion de la connaissance »
  • Internet, pour comprendre sa naissance, c’est plutôt ce que l’on appelle l’innovation par percolation
  • C’est-à-dire que des gens font des papiers, inventent des choses, puis dans un autre coin d’autres personnes sont quelque part un peu sur les mêmes idées, inventent aussi d’autres choses et puis un jour ces gens se rencontrent et disent : tiens, c’est amusant, on est sur les mêmes idées
  • 1961, un papier extrêmement théorique d’un étudiant du MIT, Kleinrock, qui dit : si je veux que deux ordinateurs communiquent entre eux, quel protocole dois-je utiliser ?
  • Vous voyez, déjà, on abandonne l’idée d’une certaine forme de centralisation et déjà on passe tout de suite par une descente de l’intelligence dans le conducteur du camion
  • 1962, un autre article du MIT, celui-ci très sociologique, d’une espèce de galaxie interconnectée où les gens s’échangeraient des documents, des informations etc
  • 1964, un autre étudiant qui fait sa thèse sur justement la construction d’un réseau, qui serait maillé, qui ne serait pas du tout centralisé et qui montre qu’un réseau maillé est beaucoup plus résistant à une attaque qu’une autre forme de réseau
  • « Nous rejetons les rois, les présidents et le vote, nous croyons au consensus grossier et aux bouts de codes qui marchent »
  • le troisième niveau : tout le monde sait que les autres savent
  • Il ne faut pas s’étonner si aujourd’hui il y a des gens qui écrivent dans Wikipédia entre 10h du soir et 2h du matin, ce sont des passionnés en réseau.
  • premièrement Al Gore, vice-président des États-Unis fait son « Livre blanc », dans lequel il dit : nous allons interconnecter les écoles, les hôpitaux, les administrations
  • Tim Berners-Lee à Genève invente le web. Et le web prend tellement d’importance qu’aujourd’hui tout le monde confond Internet le web
  • Le web n’est qu’une partie d’Internet. Quand on fait du Skype, on ne fait pas du web. Mais pourtant aujourd’hui, c’est tellement important que tout le monde confond Internet et le web
  • Donc, on peut se poser la question, finalement un mode de gouvernance en réseau, sans chef, avec des passionnés qui s’échangent entre eux, a réussi à interconnecter un quart de la population en moins de 20 ans, je pense que le résultat mérite que l’on s’y arrête quelque peu.
  • Internet, il n’y a pas de chef. Internet, il faut comprendre que c’est des conglomérats de passionnés en réseau qui finalement font ça, je ne vais pas dire pour la beauté du geste, mais par passion
  • Premier thème, la valeur est dans le réseau aujourd’hui
  • Il y a trois niveaux de connaissance, quand on fait de l’informatique théorique. Premier niveau, la connaissance individuelle, je sais. Quelqu’un sait, un ingénieur savait qu’il y avait un problème.
  • Le deuxième niveau, c’est la connaissance collective, tout le monde sait, et ça, c’est la grande force des médias, la presse, la radio, la télévision, de monter du niveau 1 au niveau 2
  • Moi, ce que je dis c’est qu’Internet n’a rien inventé. en revanche, Internet a permis à des formes sociales qui préexistaient de se développer.
  • dans le domaine économique
  • Deuxième domaine
  • « Le mendiant et le restaurateur ». Le mendiant arrive prêt d’un restaurant, ça sent bon mais il n’a pas d’argent, il ne peut pas rentrer. Le restaurateur est furieux, commence à vouloir jeter le mendiant et lui demande de payer. L’affaire va devant le juge. Le mendiant dit : monsieur le juge, je n’ai pas mangé, donc je n’ai pas à payer. Le restaurateur dit : il n’a pas mangé mais il a humé, or l’odeur comme la saveur est le résultat de mon expertise, donc il doit payer.
  • . La chute, vous la connaissez peut-être, elle est magnifique : le juge écoute les parties, se tourne vers le mendiant et lui dit : as-tu pièce de monnaie ? Le mendiant dit : j’ai perdu, j’en ai une. Donne-là moi, dit le juge. Il prend la pièce de monnaie, se tourne vers le restaurateur, fait tinter la pièce, ding-ding-ding, tu as entendu, tu es payé. Il rend la pièce de monnaie au mendiant. Quelque part, je me dis qu’il a fait l’équivalent d’un fichier MP3, il a mis de la valeur dans un son.
  • Je vous annonce qu’il existe une entreprise américaine qui donne son cœur de métier et qui ne se rémunère qu’à la marge, sur des produits annexes. Si je vous dis que cette entreprise fait 21 milliards de dollars de chiffre d’affaires et 6 milliards de dollars de marges, vous aurez compris qu’il s’agit de Google. Si demain Google fait payer son cœur de métier, Google disparaît. Donc, vous voyez, on est dans des modèles économiques qui sont très innovants.
  • Aujourd’hui, Internet c’est la valeur d’usage qui fait le prix.
  • Et troisième forme, qui est très intéressante, c’est ce que j’appelle le co-design, le client, le citoyen, le consommateur ne veut plus consommer bêtement les produits et les services et veut de plus en plus faire partie de la conception de ces produits et de ces services
  • Finalement, un modèle où les clients sont en réseau, les frontières de l’entreprise sont poreuses et où l’entreprise reste sous une forme verticale, ce n’est pas un modèle soutenable. Et ce qui se passe dans le monde de l’entreprise et vrai aussi dans le monde de la politique, est vrai dans tout un tas d’autres modèles.
  • Donc, finalement, qu’est-ce que c’est qu’Internet ? D’abord, ce n’est pas la télévision, c’est un réseau, c’est une communauté
  • Avec Internet, nous retrouvons la place du marché du villag
  • Avec Internet, nous retrouvons les phénomènes tribaux, la tribu devient quelque chose d’important, la marque devient quelque chose d’important sauf que jusqu’à présent nous n’avions pas la technologie qui nous permettait finalement d’échanger et d’avoir cette espèce de gigantesque réseau qui unit un peu tous les individus
  • Donc, finalement le RER ne sert pas du tout à raccourcir le temps de trajet, le RER sert à agrandir la ville
  • En revanche, ce qui a énormémEnt changé depuis le MoyEn-âge, c’est que la quantité d’interactions, pEndant cette 1h30, a explosé. Nous avons des textos, nous regardons nos E-Mails, nous avons des télévisons, nous voyons plein de choses.
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Comment la course à l'attention renforce la société de l'ego » Médiaculture - 0 views

  • A l’époque préhistorique, la survie du groupe se joue sur des critères de force et de résistance physique individuell
  • Autre critère déterminant en termes de survie : la cohésion, la solidarité du groupe qui permet de lutter contre les animaux sauvage
  • Dernier facteur sélectif primordial pour la survie du groupe et qui, selon la théorie darwinienne, entraîne l’évolution de l’espèce humaine : l’intelligence. Celle-ci permettant l’élaboration d’armes pour se protéger,
  • ...19 more annotations...
  • De nos jours les risques liés à la survie immédiate ont disparu mais d’autres enjeux sont apparus, notamment la nécessité d’émerger au sein de la multitude.
  • D’où ce besoin de différenciation plus fort qui passe par la maîtrise de l’intelligence communicationnelle.
  • Nos modes de vie de plus en plus urbanisés, la centralisation des activités humaines liée à l’industrialisation a rapproché géographiquement les individus
  • Par ailleurs la société moderne accentue la standardisation des modes de vie qui se calque d’une part sur l’homogénéité des activités professionnelle
  • Société de consommation standardisée qui s’auto-alimente par les mécanismes de différenciation sociale comme l’ont bien montré Jean Baudrillard (“La société de consommation”) ou Pierre Bourdieu (“La distinction”).
  • Les bons mots échangés sur Facebook, les articles de blog comme celui-ci sont autant de moyens de faire connaître sa différence, sa singularité, sa valeur en tant qu’objet de consommation social et culturel.
  • Avoir une conversation en société, être “intéressant”, drôle, original est devenu un impératif social pour exister. Alors pour se faire, il faut alimenter la machine : on se tient de plus en plus au courant pour avoir des choses à raconter, on visite des expos, on va au ciné, on fait du bricolage, de la déco pour témoigner de sa créativité… en réalité la  motivation et la finalité sont très souvent sociales : il faut capter l’attention des autres, denrée de plus en plus rare.
  • Il faut toujours faire quelque chose : travailler, lire, regarder la TV, manger, dormir. La non-action, la contemplation est disqualifiée
  • Il faut rationaliser ses investissements affectifs, son temps de socialisation, ses marques d’attention à nos proches, nos amis, nos collègues. On entre ainsi dans un cercle vicieux : plus l’on s’active en vue d’une socialisation ultérieure, plus on raréfie l’attention globale disponible et donc moins l’on a de chance de se socialiser réellement.
  • Finalement les collègues sont les mieux lotis car ils bénéficient d’une attention “forcée”
  • Autant de nouvelles activités consommatrices de temps qui réduisent l’attention disponible aux autres. “Tu vas pas lâcher un peu ta console ?”, “Oh non ne m’appelle pas jeudi, c’est le jour de mon émission préférée”…
  • Les blogs, les réseaux sociaux, les plate-formes communautaires diverses (Flick’r, Youtube, WAT), les sites participatifs (Rue89, 20 minutes, Le Post)… Sans parler de l’ouverture des commentaires sur la plupart des sites d’information. Le robinet d’expression et d’égo est désormais ouvert
  • En Entreprise le nouveau credo n’est plus tant le  “savoir faire” que le “faire savoir”. Les valeurs chrétiEnnes d’humilité ne sont plus opérantes de notre société En termes d’efficacité sociale.
  • D’ailleurs Internet s’il a échoué comme les autres technologies de l’information à démocratiser véritablement la culture et le savoir, est néanmoins un formidable propulseur de talents.
  • Enfin, cette course à la sociabilité, à l’attEntion génère une façade de sEntimEnts et d’émotions fausses destinées à répondre à la demande supposée de la communauté.
  • - C’est la bonne humeur permanente, “la pêche” - C’est l’exagération des sentiments positifs “j’ai passé un suuuperrr week-end” - C’est la gentillesse mielleuse “vous êtes des amours, vous êtes vraiment formidables” - C’est l’humour, la dérision systématique, le LOL tellement plus tendance et jeune que le propos sérieux et rébarbatif.
  • Ceux qui n’ont pas été voir des films intelligents, des musées d’art modernes… qui héritent d’une conversation pauvre, sans valeur aux yeux de la classe moyenne/supérieure.
  • Ce sont les jeunes de banlieue qui se rassemblent au pied des immeubles, parlent leur langage, suivent un rituel d’appartenance bien précis. Qui les rassure et les enferme aussi
  • J’émerge donc je suis…
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FormaVia: Le blog de Vie du réseau: La culture numérique avec un grand K - 0 views

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    "La culture numérique diverge largement du modèle des années 70 quand il était de la culture des médias (Télévision, images). Nous passons d'un modèle de mass-média passif à des médias participatifs et actifs. C'est-à-dire d'être en capacité d'être acteur du « web social » en faisant partie intégrante du médium. en quinze ans seulement, 5 milliards d'individus se sont dotés d'un téléphone portable, et 3 milliards d'un accès à Internet. On constate que l'adoption du web mobile concerne, en premier lieu, les foyers défavorisés. La formation continue doit-elle s'y intéresser activement. Comment et pourquoi ? Les TIC sont incontournables et participent activement aux moyens d'apprentissage, mais aussi d'insertion professionnelle, d'insertion sociale et citoyenne, pour peu qu'on dépasse une vision outils. entre les techno-septiques et les techno-utopistes, soyons réaliste. La technologie n'est pas une baguette magique, mais pour le découvrir il faut savoir la manier. Difficulté supplémentaire, c'est que nous sommes toujours en retard d'une (r)évolution."
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25 outils gratuits de création multimédia utilisables facilement en classe - Agence des Usages des TICE 92 - 0 views

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    "Le Cddp92 vous présente une sélection de 25 outils gratuits pour créer des récits multimédia en classe. Pour certains d'entre eux, des tutoriels sont déjà disponibles en ligne et un lien vers ces tutoriels est inclus dans leur description. Si vous avez besoin d'aide pour utiliser ces outils, n'hésitez pas à nous en faire la demande via les commentaires de cet article. "
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Des techniques relationnelles aux technologies relationnelles » Article » OWNI, Digital Journalism - 0 views

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    "L'évolution du web et le succès des réseaux sociaux ont mis en avant l'importance de ce que nous nommons d'une manière plus large les « technologies relationnelles ». Celles-ci débordent et diffèrent pourtant de ce que nous appelons les « réseaux sociaux », en nous référant aux grands noms des services en ligne que sont Facebook ou Twitter, pour ne citer que les plus populaires d'entre eux. C'est ce débordement que je souhaiterais décrire, notamment en distinguant les techniques relationnelles des technologies relationnelles. Cette distinction pouvant être appréhendé à partir du prisme des pratiques relationnelles."
Emilie Bouvrand

AMTICE - 0 views

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    "L'axe Curriculum AMTICE du projet HETICE vise à combler l'absence de curriculum de formation des futurs enseignants quant à la maîtrise des TIC et à la réflexion sur l'apport des TIC et des médias en enseignement (cf. étude réalisée par Feyens en 2006). Cet axe consiste en la création d'un curriculum de formation pour le cours « Utilisation de l'ordinateur et apport des médias et des TIC en enseignement ». Ce cours est dispensé aux étudiants de 2e et 3e années des catégories pédagogiques."
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La démocratie électronique est-elle une illusion ? - 0 views

  • Très tôt dans son développement, Internet fut identifié comme le signal d’une nouvelle jeunesse pour la démocratie.
  • L’idée selon laquelle Internet allait provoquer un épanouissement démocratique s’est exprimée de plusieurs manières : e-gouvernement puis gouvernement 2.0, administration électronique, cyber-activisme, « empowerement » des groupes de représentation d’intérêts, théories de l’espace public en ligne, etc.
  • Deux ans après l’arrivée de Barrack Obama au pouvoir, le sommet Gov 2.0 qui s’est déroulé à Washington au début du mois de septembre a été l’occasion pour un certain nombre d’observateurs de revenir sur cette première période du mandat présidentiel. Le constat posé par Ellen Miller en particulier est finalement peu flatteur : malgré les promesses et les réalisations effectives, le bilan est un peu maigre et la révolution attendue n’a pas vraiment eu lieu [3].
  • ...9 more annotations...
  • Wikileaks s’est fait connaître du grand public pour avoir d’abord diffusé une vidéo filmant le mitraillage par un hélicoptère américain de civils irakiens pris à tort pour des insurgés et qui se sont révélés être par la suite des journalistes de l’agence Reuters
  • Wikileaks porte le flambeau de la transparence politique et de la démocratie à l’échelle mondiale. Mais quelle est la portée réelle de son action ? La question a été peu abordée. La plupart des commentateurs, en France en tout cas, parce que ce sont des journalistes, se sont concentrés sur les questions d’ordre professionnel que cette initiative leur pose
  • Autrement dit, croire qu’une initiative comme Wikileaks peut à elle seule changer la situation politique est sans doute faire preuve d’une certaine naïveté : pour que les informations que diffuse Wikileaks diffuse sur Internet aient un impact politique, il faut qu’elle entrent en résonance avec le cadrage opéré par les médias, et qu’à l’intérieur de ce cadrage leur exploitation serve les intérêts de forces politiques réelles.
  • C’est le sens en tout cas de l’article récemment publié par Sylvain Firer-Blaess à propos de Wikipédia où il considère les règles dont les « wikipédiens » se sont dotés comme un modèle de démocratie électronique [8].
  • Ceux qui pourraient penser que ces formes nouvelles d’auto-organisation horizontales typiques du réseau n’ont pas la capacité d’en sortir pour trouver leur champ d’application dans l’environnement physique liront avec profit l’article que Gregory Asmolov a récemment publié sur le portailGlobal Voices [9].
  • Dominique Cardon appelle la « démocratie Internet
  • le chercheur pense au final qu’Internet est porteur d’une vertu émancipatrice pour le public.
  • Tout le public ? Certainement pas, affirme Cyrille Franck. en dénonçant une « nouvelle classe de dominants » [14] qui établit les bases de son pouvoir sur la maîtrise des réseaux sociaux et plus largement des technologies numériques, le blogueur revient opportunément sur la réalité d’une fracture numérique persistante qui ne se manifeste pas seulement sous la forme d’un défaut d’équipement, mais aussi et le plus souvent d’un défaut de maîtrise de ces technologies.
  • C’est finalement sur la question de la participation [15] que se situe un des enjeux importants de sa capacité à transformer à la fois le jeu politique et les rapports sociaux
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Les TIC au service de la croissance en Tanzanie : profil du pays - 0 views

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    La Tanzanie reconnaît que les Technologies de l'Information et de la Communication (TIC) sont un facteur clé du développement. Le pays a fait de grands progrès en libéralisant ce secteur. Les cybercafés se multiplient dans les villes tanzaniennes et le gouvernement a l'ambition de transformer cette nation Est Africaine en un carrefour pour les infrastructures des TIC. L'arrivée récente de deux câbles de fibre optiques sous marins, EASSy et Seacom, qui relient la Tanzanie au réseau global de télécommunication à haut débit, rend ce projet encore plus accessible. en accueillant la conférence eLearning Africa 2011 la Tanzanie pourra démontrer les progrès qu'elle a déjà réalisés tout comme ses plans ambitieux pour le futur.
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Assises de l'Education 2010 : la révolution numérique - une vidéo Hi-Tech et Science - 1 views

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    Sublime vidéo
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    Super intéressant en effet, ce que je retiens : - Exemple impressionnant des énormes universités en ligne, notamment CCRTVU ==> 2500000 étudiants. - La place de la télé éducative : très importante aujourd'hui, pas en france mais en Inde, en Egypte, Chine... La France était le premier pays à le mettre en place mais aujourd'hui plus aucune chaîne. - Information intéressante : l'accès gratuit aux cours du MIT : http://ocw.mit.edu/courses/ - Cours en anglais : la Chine, le Portugal, les pays Arabes disent non, d'où l'importante des outils de traduction automatique. - Le niveau moyen d'âge de fin des études dans le monde est 10 ans 1/2...
Julien Morice

Formation à distance et en classe. Augmentation claire des apprentissages : Articles : Thot Cursus - 0 views

  • Dans « Hybrid’ courses show promise» on constate que oui. En fait, dans l’expérimEntation où la formule hybride est utilisée, on constate une augmEntation de 10 % à 14 % du niveau des résultats des élèves, c’est à dire l’équivalEnt d’une lettre dans le système standard de graduation. Les «C» deviEnnEnt des «B» et les «B» des «A».L’explication est assez simple : le temps libéré du professeur à transmettre du contEnu est transféré En intervEntions personnalisées auprès des élèves En classe. Même si le professeur passe plus de temps à préparer ses cours, les premières fois, ceux-ci ne cessEnt de s’améliorer, avec de moins En moins d’efforts.Quant aux élèves, l’attEntion véritablemEnt accordée au contEnu est radicalemEnt augmEntée En fréquEnce et En qualité quand c’est eux qui font l’effort d’aller le chercher plutôt que de le recevoir passivemEnt. Ils sont plus souvEnt dans une position de réceptivité, peuvEnt choisir le meilleur momEnt pour étudier, développEnt leur discipline et peuvEnt avancer à leur rythme.Le degré de participation, d’échanges et d’animation est aussi augmEnté par rapport à ce qui est possible dans un amphi ou dans un grand groupe.
  • Bref, on constate beaucoup plus d’effets positifs que négatifs.
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    Blended Learning et efficacité
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L'équilibre positif de la technologie - 0 views

  • est de proposer une théorie relative à la technologie, un cadre qui donne une logique et un contexte à ce défilé d’innovations
  • la technologie inclut des inventions anciennes, comme les montres ou les leviers, et du matériel qui fonctionne très bien, comme le béton et les briques
  • La grande majorité des technologies ont été inventées bien avant notre naissance
  • ...14 more annotations...
  • A ces choses matérielles, il faut ajouter ce qui est intangible : le calendrier, les principes de la comptabilité, les lois, les logiciels. Mais aussi l’organisation sociale, les villes. La technologie, c’est tout cela.
  • la somme de ces technologies forme un tout qui interagit un peu à la manière d’un écosystème
  • Ce super système d’inventions interdépendantes, je l’appelle “technium”.
  • e la même manière qu’il n’y a rien de la ruche dans une seule abeille, le comportement du technium n’est pas visible dans un iPhone, un couteau ou un réfrigérateur. C’est dans le système dans son ensemble que l’on peut ressentir la vraie influence de la technologie.
  • Et, aussi surprenant que cela puisse paraître, le technium suit les mêmes modèles que ceux que Darwin a identifiés pour la vie : à savoir “l’évolution”
  • Chaque nouvelle invention apporte autant de solutions qu’elle créé de problèmes. [...] De là on pourrait conclure que le technium est neutre
  • Quand nous avons inventé un nouvel outil, mettons le marteau, nous avons en même temps créé un nouveau choix : s’en servir pour détruire, ou pour créer, pour tuer quelqu’un, ou pour construire une maison. Cette décision était une option, une chance, une possibilité, que nous n’avions pas avant que cette invention n’existe.
  • Cette dose supplémentaire de libre arbitre [...] est bonne en elle-même [...]. Avoir le choix est en soi une bonne chose. Et cela fait pencher l’équilibre de la technologie du côté du bien, d’un degré. Mais ce degré est tout ce dont nous avons besoin [...].
  • quand nous créons une nouvelle technologie, il y a accroissement des choix, des possibilités et des différences
  • Mozart avait besoin des technologies du piano et du clavecin pour découvrir et développer son génie musical. Imaginez si Mozart était né 2 000 ans avant l’invention du piano et de la symphonie
  • Quand nous créons des technologies, nous participons en fait à quelque chose qui nous dépass
  • Nous déployons les mêmes forces que celles qui font la vie, nous accélérons l’évolution vers l’avenir et nous augmentons les possibilités pour nous, nos enfants, et le monde en général. C’est “ce que veut la technologie”.
  • l s’agit de la notion de libre accès à la technologie. En effet, l’invEnteur du piano aurait interdit l’utilisation du piano, Mozart aurait été obligé de se mettre à la peinture.
  • La technologie en soi ne veut rien dire. C’est la capacité de la technologie à se diffuser dans les usages populaires qui est fondamentale.
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    Vision optimiste des technologies centrée sur la notion de technium, sorte d'écosystème des technologies qui est également sujet à la loi de l'évolution de Darwin. Quand on cré des technologie on augmente nos possibilités. "Mozart ne serait pas Mozart sans l'invention du piano...".
tangi bertin bertin

Analyse des recherches sur les TICE - 1 views

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    6) Conclusions a) Quel est l'impact de l'usage des TICE au collégial ? Si l'on adopte exclusivement le critère de la hausse des taux de réussite, la recherche fondée sur des données quantitatives, effectuée dans les 7 dernières années, n'a pas établi un lien de causalité entre TICE et hausse des notes au bulletin. b) Les chercheurs en pédagogie s'entendent généralement pour dire que ce sont les stratégies pédagogiques qui devraient retenir l'attention quand il est question de l'usage des TICE. Le véritable problème consiste à déterminer quelles sont les conditions d'une intégration réussie des nouvelles technologies, le concept de réussite comportant plusieurs dimensions. c) La réflexion sur les nouvelles méthodes d'inspiration socioconstructiviste ou d'apprentissage actif et collaboratif (active learning) semblent produire des résultats spectaculaires sur la réussite et la motivation, et, pour cette raison, elles méritent de faire l'objet d'une large débat dans la communauté collégiale. d) Il faut éviter, en ce qui concerne les enseignants déjà acquis à l'usage des TICE et fort enthousiastes, qu'ils deviennent technocentristes, c'est-à dire « des personnes qui peuvent difficilement s'empêcher de conclure que les TIC sont le " remède " à la majorité des maux que connaît l'école de nos jours » (Viau 2005, p. 3). e) Compte tenu de l'environnement numérique dans lequel les élèves évoluent, la problématique de l'usage pertinent des TICE devra sans cesse faire l'objet de recherches, de discussions, de réflexions et les expériences novatrices devraient être soutenues par le collège. Le constat du CEFRIO doit interpeller la communauté collégiale : « Les TIC sont omniprésentes dans la vie des élèves et des étudiants du Québec : ceux-ci s'en servent continuellement pour se divertir, pour communiquer avec leurs amis ou pour faire leurs devoirs. en fait, les T
Emilie Bouvrand

Des outils pour entrer dans le métier - Plateforme néo-titulaires - 0 views

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    Cette plateforme en ligne veut offrir des ressources réalisées à partir de travaux de recherche fondés sur l'observation du travail réel des enseignants. Cette plateforme est un outil parmi d'autres pour la formation des enseignants . Elle peut être utilisée : * à titre personnel par toute personne disposant d'une adresse internet académique * en situation de formation par un tuteur ou un formateur. Elle propose des situations de classe, commentées ou analysées par des enseignants débutants, des expérimentés et des chercheurs. A la rubrique « Ressources », des documents écrits sont rassemblés pour les enseignants et pour les formateurs. Au cours des mois à venir, d'autres thématiques pour le premier et le second degré seront abordées, réalisées en collaboration avec des équipes de recherche.
tangi bertin bertin

L'Euphorie perpétuelle - Essai sur le devoir de bonheur, de Pascal Bruckner - 1 views

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    "L'idée soutenue par l'essayiste français, c'est qu'à force d'avoir fait du bonheur un idéal absolu, nous nous sommes condamné à être malheureux. L'«obligation d'être heureux» est paradoxalement devenue une source d'angoisse et de misère morale. Nous vivons en effet depuis le XVIIIe siècle dans le culte du bonheur à tout prix. Comme nous ne croyons plus à la vie après la mort, nous exigeons le paradis sur terre. Les utopies de gauche et l'utilitarisme bourgeois se rejoignent sur ce point. «Tout tout de suite» et «jouir sans entraves», disaient les slogans en Mai 68. «Concilier réussite professionnelle, amoureuse, familiale, sociale, santé, beauté, etc.», demande-t-on plus prosaïquement aujourd'hui. Or, poursuit Bruckner, obsédés par cet idéal de perfection, nous méprisons tout ce qui n'est pas à sa hauteur. L'idée de ne pas vivre dans une euphorie perpétuelle nous fait paniquer. Et comme, constate-t-il, «les 80% de notre vie sont faits de moments neutres, ni heureux ni malheureux», nous sommes contraints de nous avouer, en privé, la triste vérité: notre quotidien est banal et ennuyeux. La crainte que les autres soient plus heureux est ainsi à la base des deux grandes passions démocratiques: l'envie et la jalousie. L'obsession du bonheur nous empêche donc de jouir vraiment. "
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    Pas mal du tout, ça craint je ne reconnais... ;)
tangi bertin bertin

TICE au collège et lycée : éléments d'usages et enjeux | Dossier évaluations et statistiques n°197 - 0 views

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    L'usage des TIC en classe semble globalement répandu... La quasi-totalité des enseignants utilisent les TIC, d'une façon ou d'une autre (ainsi, 94 % d'entre eux déclarent les utiliser à des fins personnelles). Toutefois, si 95 % de l'ensemble des enseignants ayant répondu à l'enquête déclarent utiliser les TIC à des fins professionnelles, ils ne sont plus que 80 % à déclarer les utiliser en présence des élèves, 73 % à déclarer les utiliser eux-mêmes sans manipulation d'outils TIC par les élèves, et 64 % avec manipulation d'outils TIC par les élèves. ... mais c'est l'usage « peu fréquent » des TIC en classe qui est le plus répandu
tangi bertin bertin

L'ouverture des données publiques, et après ? « InternetActu.net - 0 views

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    Tous ceux qui, comme nous dans le cadre du programme Réutilisation des données publiques de la Fondation internet nouvelle génération, s'engagent en faveur de l'ouverture et de la réutilisation des données publiques, en espèrent des résultats féconds en termes de qualité de vie, de cohésion sociale, d'innovation et de croissance. Mais les choses pourraient se passer tout autrement. Nous devons commencer à penser aux conséquences de l'ouverture des données, pour nous assurer qu'elles soient majoritairement positives. Mais il est possible que cela soit négatif !
tangi bertin bertin

Les récits en entreprises, à la recherche du sens perdu - 0 views

  • L'entreprise : identité, mémoire, culture d'entreprise, voici quelques uns des ingrédients qui composent les histoires des entreprises. 
  • Les salariés : l'entreprise, ou toute autre forme d'organisation, est avant tout un ensemble d'êtres humains dont l'intention doit converger vers le même but : se développer de façon pérenne et épanouissant e
  • La relation communicationnelle entre les salariés et l'entreprise constitue un des axes les plus importants. Les relations interpersonnelles sont également des possibilités de se raconter, de partager des expériences, des doutes ou des souhaits
  • ...4 more annotations...
  • Les récits permettent bien sûr le partage des connaissances. La narration constitue un acte fondamental dans l'échange d'expériences et la construction de sens
  • Des chercheurs comme Eddie Soulier ont mis en évidence le fait que la cognition humaine ne relève pas du traitement de l’information mais de la narration.
  • La liste des récits en entreprise se décline à l'infini. Même la prière est invoquée aux États-Unis pour sauver l'industrie automobile !
  • Si nombre d’entreprises échouent, souligne Eddie Soulier, c'est notamment à cause de leurs lacunes dans le domaine de l’apprentissage collectif. Une réalité collaborative où adviendrait la nécessaire émergence de sens ?
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    De l'usage des tic en entreprise
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