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L'ouverture des données publiques, et après ? « InternetActu.net - 0 views

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    Tous ceux qui, comme nous dans le cadre du programme Réutilisation des données publiques de la Fondation internet nouvelle génération, s'engagent en faveur de l'ouverture et de la réutilisation des données publiques, en espèrent des résultats féconds en termes de qualité de vie, de cohésion sociale, d'innovation et de croissance. Mais les choses pourraient se passer tout autrement. Nous devons commencer à penser aux conséquences de l'ouverture des données, pour nous assurer qu'elles soient majoritairement positives. Mais il est possible que cela soit négatif !
Julien Morice

Communication de l'union Européenne sur la protection des données à caractère... - 0 views

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    L'europe vient d'adopter une communication intituler "Une approche globale de la protection des données à caractère personnel dans l'Union européenne". Ce document a pour objet de poser les nouveaux défis en matière de protection des données personnelles à l'ère du numérique et des réseaux sociaux, ainsi que de préparer la révision du cadre juridique actuel datant d'une directive de 1995. cf : bulletin de la vitrine technologie éducatifs.
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Analyse des recherches sur les TICE - 1 views

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    6) Conclusions a) Quel est l'impact de l'usage des TICE au collégial ? Si l'on adopte exclusivement le critère de la hausse des taux de réussite, la recherche fondée sur des données quantitatives, effectuée dans les 7 dernières années, n'a pas établi un lien de causalité entre TICE et hausse des notes au bulletin. b) Les chercheurs en pédagogie s'entendent généralement pour dire que ce sont les stratégies pédagogiques qui devraient retenir l'attention quand il est question de l'usage des TICE. Le véritable problème consiste à déterminer quelles sont les conditions d'une intégration réussie des nouvelles technologies, le concept de réussite comportant plusieurs dimensions. c) La réflexion sur les nouvelles méthodes d'inspiration socioconstructiviste ou d'apprentissage actif et collaboratif (active learning) semblent produire des résultats spectaculaires sur la réussite et la motivation, et, pour cette raison, elles méritent de faire l'objet d'une large débat dans la communauté collégiale. d) Il faut éviter, en ce qui concerne les enseignants déjà acquis à l'usage des TICE et fort enthousiastes, qu'ils deviennent technocentristes, c'est-à dire « des personnes qui peuvent difficilement s'empêcher de conclure que les TIC sont le " remède " à la majorité des maux que connaît l'école de nos jours » (Viau 2005, p. 3). e) Compte tenu de l'environnement numérique dans lequel les élèves évoluent, la problématique de l'usage pertinent des TICE devra sans cesse faire l'objet de recherches, de discussions, de réflexions et les expériences novatrices devraient être soutenues par le collège. Le constat du CEFRIO doit interpeller la communauté collégiale : « Les TIC sont omniprésentes dans la vie des élèves et des étudiants du Québec : ceux-ci s'en servent continuellement pour se divertir, pour communiquer avec leurs amis ou pour faire leurs devoirs. En fait, les T
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Ouvrez vos données, devenez une organisation-plateforme » Article » OWNI, Dig... - 0 views

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    Les organisations à but non-lucratif [NdT: "non-profit" en anglais] font face à des défis similaires aux autres organisations : les vieilles structures ne fonctionnent pas à notre époque, et les nouvelles restent encore à trouver.
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Big Brother au service des sciences sociales | Courrier international - 1 views

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    "Toutes les informations que nous fournissons sur les réseaux sociaux ou par le biais des téléphones portables constituent des bases de données inespérées pour les chercheurs qui étudient le comportement humain."
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L'Open Data: une idée de gauche? - 0 views

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    L'ouverture des données publiques est un sujet d'actualité, en particulier à l'heure où des collectivités comme Rennes Métropole se lancent dans des projets concrets. Le sujet reste pourtant souvent traité sous l'angle technologique, juridique (licences) ou économique. On pourrait laisser croire que l'Open Data n'est pas une question politique, qu'elle ne relève d'aucune idéologie. Qu'en est-il véritablement ? L'Open Data est-il plutôt une idée de gauche ou de droite ? Peut-on placer cette idée sur l'échiquier politique ?
tangi bertin bertin

Point sur les usages d'Internet : Usage des réseaux sociaux et e-participatio... - 0 views

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    Ce court article a pour objectif de présenter des données de cadrage, d'offrir aux décideurs politiques, comme aux acteurs économiques et au Grand public, des chiffres repères sur les principaux usages d'Internet. Il vient contredire par les chiffres l'image souvent partielle et déformée que les médias donnent des réseaux sociaux. On y apprend que 70% des internautes ne sont pas actifs sur les sites de réseaux sociaux et que si 1 15-30 ans sur 2 alimente son « mur » toutes les semaines, ce n'est le cas que d'1 30-44 ans sur 7.
tangi bertin bertin

Le feedback aux étudiant-e-s - 0 views

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    Le feedback en enseignement désigne habituellement l'information qui est donnée par un-e enseignant-e à un-e étudiant-e suite à l'évaluation d'un travail écrit ou oral. Il s'inscrit ainsi dans le cadre de la relation pédagogique qui se construit entre enseignant-e et étudiant-e. Il peut se produire à différents moments de l'apprentissage et dans des situations très variées : la préparation d'un exposé oral ou écrit par l'étudiant-e, l'encadrement d'un travail de mémoire ou de thèse, une présentation orale, un examen blanc, l'apprentissage de manipulations en laboratoire, etc
Emilie Bouvrand

A découvrir , à tester : Google Ngram Viewer - Éducnet - 0 views

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    "Google à mis au point un nouvel outil d'analyse textuelle qui permet de mesurer la fréquence de un ou plusieurs mots parmi 5,2 millions de livres provenant de Google Books depuis les années 1800. Le corpus linguistique couvert comprend plusieurs langues. Cet outil permet, à partir de la base de données des livres numérisés de Google Books, de repérer l'évolution de l'usage des mots. Plusieurs articles analysent les performances de cet outil. "
Emilie Bouvrand

L'Encyclopédie sonore - J'écoute les universités - 0 views

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    "L'Encyclopédie sonore est un service éducatif en ligne qui permet l'accès à une banque de données universitaires sonores, riche de 6978 conférences universitaires regroupant 347 disciplines (où sciences humaines, économie et droit sont majoritaires)."
Emilie Bouvrand

Questions juridiques et contenus pédagogiques - 0 views

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    Les contenus pédagogiques sont-ils protégés sur Internet ? Peut-on utiliser des données protégées par le droit d'auteur dans le cadre de ses enseignements ? Vous trouverez dans cette rubrique les principales réponses aux questions concernant la législation du droit de propriété intellectuelle (...)
gruet isabelle

Memoire Universitaire. Open Data : Comment impliquer les habitants d'un terri... - 0 views

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    mémoire de Léa
gruet isabelle

Le tableur, premier outil de visualisation des données chiffrées - 0 views

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    c'est une mise à jour d'un ancien article. En dernière minute, les tutos de Julien ont été ajoutés :)
tangi bertin bertin

Embrasser la complexité « InternetActu.net - 1 views

  • Sous cette bannière se regroupe l’ensemble des phénomènes capables de s’organiser spontanément de manière très élaborée, sans intervention d’une intelligence extérieure.
  • Les 17e, 18e et 19e siècles, époque du triomphe de la mécanique newtonienne furent essentiellement consacrés à l’analyse de la simplicité. Les sciences et les mathématiques de l’époque se chargeaient de comprendre les choses prévisibles, constantes, comme les mouvements des objets sous l’influence des forces physiques.
  • Le 20e siècle s’est intéressé à la complexité désorganisée : le hasard, les statistiques…
  • ...18 more annotations...
  • Le 21e siècle, lui, se heurte à la complexité organisée. Celle justement qui se caractérise par la constitution des réseaux.
  • la théorie des réseaux, notamment l’idée des “petits mondes” qui montre comment un certain type de connectivité peut très facilement permettre une mise en relation globale de tous ces éléments (la fameuse notion des “six degrés de séparation”)
  • “Le cerveau est un réseau constitué de neurones reliés par des axones ; la cellule est un réseau de molécules reliées par des produits chimiques ; les sociétés humaines sont constituées d’individus reliés par des relations amicales, familiales, professionnelles ; les écosystèmes entiers sont des réseaux d’espèces connectées par diverses interactions comme la chaine alimentaire
  • la conviction qu’il existe un “Monde des Idées” donnant forme à l’ensemble des phénomènes
  • Cette croyance selon laquelle la productivité et l’isolement sont importants dans le travail ne remonte pourtant qu’à la révolution industrielle avec l’invention des lieux de production spécialisée, “quand nous sommes passés du moment où les gens étaient payés pour le produit qu’il fabriquait au temps passé à le fabriquer”. “Cette transformation a introduit le problème de l’attention au travail”, explique Stefana Broadbent. “C’est à partir de là qu’on a inventé des systèmes de contrôle de l’attention des gens, en transformant les environnements de travail, en introduisant des superviseurs, des agents de maîtrise chargés de contrôler le travail des autres.”
  • On a la même chose dans le système éducatif : on apprend aux enfants à se concentrer , ce sur quoi se concentrer, ce qui vaut la peine de se concentrer. Il y a beaucoup de discussions et de confusions sur la question de l’attention, estime la chercheuse. “La façon de gérer la complexité et l’attention s’appuie sur l’idée que les gens peuvent la gérer de façon individuelle, que c’est un processus individuel qui s’appuie sur la volonté de chacun. Or, j’aimerais vous montrer que l’attention est un processus social plus qu’individuel.”
  • A l’opposé, l’encyclopédie Wikipédia, ou encore le Couchsurfing (ce site par lequel des gens prêtent leurs canapés à des voyageurs du monde entier), montre à quel point les gens ont envie de partager, et besoin de s’entraider.
  • on ne surveille pas comment ils gèrent leur temps. Il y a une rupture sociale considérable dans la gestion de l’attention, liée à la confiance.
  • Le contrôle de l’attention des gens est pourtant voué à l’échec, même si beaucoup d’entreprises continuent à le faire
  • L’environnement de travail réduit le niveau d’implication des gens. L’automatisation implique des travaux de plus en plus dénués de sens avec des fonctions limitées. On demande à bien des employés de concentrer leur attention sur des tâches sans sens et répétitives et on sait qu’on a du mal à concentrer son attention quand on s’ennuie…
  • “on peut se demander si la division arbitraire entre le monde privé et professionnel est une si bonne chose. Chacun sait qu’il est important d’avoir des moments de contacts avec les siens dans la journée. Ce n’est pas un choix indivuel, mais bien souvent un choix social imposé par nos représentations
  • “La multiplication des caméras de surveillance et des politiques de surveillance augmente plutôt qu’elle ne diminue le problème. Or, les gens trouveront toujours une colonne pour se cacher et faire ce qui est interdit. Le problème n’est pas tant d’utiliser un dispositif électronique pour se distraire, mais de concevoir des environnements qui évitent un ennui massif et qui limitent les distractions. Les mobiles, comme l’internet, ou la nicotine peuvent être un bouc-émissaire facile. mais au final, le véritable défi est de savoir comment concevoir des environnements de travail plus chargé de sens
  • “la collaboration de masse va bouleverser l’organisation des gouvernements”. Aujourd’hui, il continue à tracer cette voie mêlant entraide mutuelle, socialisation et participation à la vie de la communauté.
  • Les supermarchés ne sont pas aussi sociaux que les marchés, et les écrans de télévision, les lotissements, les immeubles, ont souvent tendance à isoler les gens, à les anonymiser, à casser les mécanismes d’entraide, d’apprentissage et d’échanges d’antan.
  • Ceux qui ont un statut plus élevé s’attendent à recevoir l’attention des autres et ceux qui ont un statut plus bas doivent porter de l’attention. Mon expérience d’observation des gens sur leurs lieux de travail montre qu’on contrôle la gestion de l’attention des employés de bas niveau, alors qu’on fait confiance aux cadres et dirigeant
  • L’internet est un formidable vecteur de socialisation, estime Ivo Gormley, pour qui “nous avons besoin de nouveaux formats d’entraide mutuelle, et de faire revivre les anciens, nous devons remettre ça dans le courant mainstream” :
  • Lorsqu’un système donne aux gens la possibilité d’agir de manière positive, ils le font avec plaisir, s’y connectent sur la base de similitudes importantes, pas seulement pour faire le bien, mais aussi de manière très individualiste, parce qu’ils ont besoin d’aide, de trouver des gens dans la même situation.
  • Pour Ivo Gormley, si le 20e siècle semble avoir donné raison à Thomas Hobbes, les nouvelles formes de sociabilité et d’entraide mutuelle que l’on voit poindre, notamment via le Net, nous renvoient plutôt à Kropotkine. Et nous aurions probablement beaucoup à gagner à tenter de reconcevoir nos relations, et nos actions, afin de remettre l’entraide mutuelle au coeur des processus.
tangi bertin bertin

«L'homo interneticus» restera-t-il «l'homo sapiens» ? - 9 views

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    super intéressant. J'ai lu un livre de Jack Goody : la raison graphique qui m'a servi pour cette fiche de lecture : http://www.calameo.com/read/000303169844880b38775. Une idée intéressante est que grâce à l'écriture l'humain se trouvant libéré du problème de mémorisation a vu accroitre son champs d'activité critique et à évolué lentement vers la rationalité, l'attitude sceptique vers : la pensée logique... Aujourd'hui je pense que le web2.0 nous libère notamment de contraintes organisationnelles et temporelles pour accroitre nos compétences collaboratives...
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    Mais j'ai l'impression que ça mène à quelques problèmes de mémoire ... et d'approfondissement :)
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    Oui, c'est d'ailleurs ce qui inquiète Nicolas Carr dans son ouvrage. On délègue la mémoire à nos machines. On délègue même nos capacités d'orientation (gps...). J'ai l'impression qu'aujourd'hui l'enjeu est plus de savoir ou trouver l'info qd on en a besoin plutôt que de la stocker dans nos petites têtes, on travail à flux tendu. A l'extrême ca peut être dangereux, mais finalement il nous faut qd même de la mémoire ne serait ce que pour savoir ou chercher l'info, mais cette mémoire ne concerne plus la donnée elle-même, elle concerne le support de stockage...a méditer...
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    Je me demande si cela à long terme ne va pas changer notre structuration du cerveau au niveau des terminaisons et des neurones...à méditer...
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    Justement c'est ce dont parle Nicolas Carr ;), le livre est en anglais mais l'auteur du blog fait un bon résumer ;).
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    En effet notre petit cerveau semble un autre article sur le sujet : http://www.mikiane.com/node/2010/06/19/comment-le-web-a-chang-mon-cerveau
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    Merci Tangi, c'est vraiment un sujet passionnant cette histoire de cerveau en évolution...j'adore ;)
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    Moi j'ai peur un peu... :-)
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    le multitasking rendrait idiot : ...http://www.slate.fr/lien/26085/multitasking-rend-idiot.
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    je comprend mieux le comportement des filles :) [troll off]
Emilie Bouvrand

ISIDORE - Accès aux données et services numériques de SHS - 0 views

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    Moteur de recherche version beta en sciences humaines.
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