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"Sélection d'un consultant en charge de la Capitalisation des expériences en matière de formation et installation des jeunes dans le domaine agro-sylvo-pastoral et halieutique dans l'espace CEDEAO (date de clôture le 7 Décembre 2016) L' étude a pour objectif de capitaliser les expériences (passées et en cours) en matière de formation, d' emploi et d' installation des jeunes dans le domaine agro - sylvo - pastoral et halieutique Spécifiquement il s'agira de : - cartographier les centre s et écoles de formations fonctionnels dans les pays d'Afrique de l'Ouest en mettant un accent sur leurs expériences de formation et d'installation des jeunes dans d es domaines innovants , dresser un bilan des jeunes formés dans les différents centres et écoles de formation et faire ressortir leur situation post- formation en termes de valorisation des acquis de la formation ; - capitaliser les expériences passées et en cours en matière de formation et emplois des jeunes notamment celles de la CEDEAO et des OPF (RMB, ROPPA, APESS) ; - proposer une synthèse des bonnes pratiques innovantes qui pourront alimenter les actions de formation et d'installation des jeunes dans le cadre de la mise du PRAOP ; - proposer les nouvelles pis tes en matière d'appui à la formation, d'emploi et installation des jeunes dans le PRAOP."

"Les jeunes des zones rurales sont l'avenir de la sécurité alimentaire et de la réduction de la pauvreté rurale. Ils sont aussi le présent, car le nombre actuel d'adolescents et de jeunes est sans précédent, 1,8 milliard de personnes âgées entre 10 et 24 ans, qui, pour la plupart, vivent dans les pays les moins développés et dans des zones rurales. Cependant, ces jeunes des zones rurales de pays en développement rencontrent d'énormes difficultés pour se préparer et accéder à un travail décent, y compris dans le secteur agricole. Ces problèmes sont encore plus graves pour les jeunes de moins de 18 ans. Cette consultation en ligne vous invite à suggérer des solutions qui pourraient résoudre ces problèmes. Vos contributions permettront d'informer les recommandations politiques et programmatiques qui devront émaner de la réunion internationale d'experts « Jeunes - Nourrir l'avenir: Résoudre les enjeux auxquels sont confrontés les jeunes de 15 à 17 ans des zones rurales pour se préparer et accéder à un travail décent » qui sera tenu par la FAO dans le courant de l'année. Certains participants à la consultation en ligne pourraient également être invités à participer à la réunion d'experts. (Voir note thématique et formulaire de demande de participation)"

L'Afrique possède la population la plus jeune du monde : plus de la moitié des Africains ont moins de 25 ans. Ces jeunes, de plus en plus nombreux et de mieux en mieux formés, portent l'avenir du continent, ses opportunités comme ses défis. Parmi ceux-ci figure un enjeu de taille : pouvoir offrir à ces jeunes un emploi. Chaque année plus de 11 millions de jeunes font leur entrée sur le marché du travail en Afrique subsaharienne et au cours des dix années à venir, il faudra créer 25 millions d'emplois pour seulement maintenir les taux de chômage actuels, déjà très élevés, en zone Afrique du Nord et Moyen Orient. Cependant, comme l'ont montré les événements du Printemps arabe et plus récemment le Burkina Faso, les revendications des jeunes ne semblent pas s'arrêter à la question de l'insertion professionnelle : ils souhaitent aussi être pleinement acteurs de la vie de leur pays. Quelles sont les aspirations des jeunes africains ? Leur donne-t-on les moyens d'être acteurs du développement

L'ETUDE DE FORMULATION D'UNE OPERATION PILOTE D'APPUI A L'ENTREPRENARIAT AGRICOLE JEUNES (PATAG-EAJ) N° d'identification du projet : P-GN-AA0-018 N° financement : 2100155032817 1. Le Gouvernement de la République de Guinée a reçu une avance au titre du mécanisme de financement de la préparation des projets (PPF) du Fonds africain de développement en vue de préparer le projet d'appui à la transformation de l'agriculture guinéenne, volet entreprenariat jeunes (PATAG-EAJ). Il a l'intention, à ce titre, d'utiliser une partie des sommes accordées pour financer les études de formulation dudit projet incluant un certain nombre de réflexions stratégiques. 2. Le PPF prévoit notamment une assistance à la formulation d'une opération pilote pour l'emploi des jeunes dans le secteur agricole, objet du présent AMI. L'opération vise à favoriser l'insertion des jeunes dans le secteur agricole au sens large (tranche 18-40 ans). Cette opération ambitionnera de promouvoir la modernisation et transformation du secteur, à travers les différents maillons des chaines de valeurs, en favorisant l'emploi des jeunes et en limitant l'exode rural. Il s'agira à travers cette étude de formulation de préciser les dispositions à prévoir pour (i) sélectionner des jeunes ruraux et urbains, très motivés, diplômés ou non, (ii) accroitre selon les profils et orientations leurs compétences (techniques, managériales, etc.) par des formations ciblées, mises en situation et modules d'incubation, (iii) les appuyer dans l'installation de leur activité (établissement de plans d'affaire, accès facilité au financement, accompagnement personnalisé, etc.), et (iv) assurer un suivi de la mise en oeuvre.

Les jeunes des zones rurales sont l'avenir de la sécurité alimentaire et de la réduction de la pauvreté rurale. Cependant, ces jeunes des zones rurales de pays en développement rencontrent d'énormes difficultés pour se préparer et accéder à un travail décent, y compris dans le secteur agricole. Ces problèmes sont encore plus graves pour les jeunes de moins de 18 ans. ette consultation en ligne vous invite à suggérer des solutions qui pourraient résoudre ces problèmes. Vos contributions permettront d'informer les recommandations politiques et programmatiques qui devront émaner de la réunion internationale d'experts « Jeunes - Nourrir l'avenir: Résoudre les enjeux auxquels sont confrontés les jeunes de 15 à 17 ans des zones rurales pour se préparer et accéder à un travail décent » qui sera tenu par la FAO dans le courant de l'année.

La Banque africaine de développement, le Forum pour la recherche agricole en Afrique (FARA), l'Institut international d'agriculture tropicale (IITA) et l'Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA) mettent leurs efforts en commun pour lutter contre la hausse du chômage des jeunes en Afrique par le biais de l'incubation des entreprises agroalimentaires. L'initiative conjointe coordonnée par la Banque africaine de développement sous le thème "Équiper les jeunes pour l'emploi" a tenu, une réunion de consultation des parties prenantes du 28 au 29 avril 2015 à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Le programme avait pour objectif d'offrir des possibilités d'engager les jeunes dans les entreprises agroalimentaires, de renforcer les mécanismes de financement et les possibilités d'établissement d'un réseau de contacts professionnels en vue de l'intégration des jeunes dans les entreprises agroalimentaires et dans le commerce le long de la chaîne de valeur agricole. Au cours de l'atelier, M. A. Abou-Sabaa, Vice-président de la Banque africaine de développement (BAD) et M. C. Ojukwu, Directeur du département de l'agriculture et de l'agro-industrie de la BAD ont souligné la volonté de la Banque d'appuyer une participation du secteur privé à l'agro-industrie et fait part de leur intérêt à étudier toutes les possibilités offertes de création d'emplois pour les jeunes en collaboration avec les partenaires au développement au niveau national, régional et international.

"Le collège des jeunes du Conseil National de Concertation et de Coopération des Ruraux (CNCR) a publié son rapport annuel 2014. C'est une compilation de l'ensemble des activités menées par le collège des jeunes durant l'Année Internationale de l'Agriculture Familiale (AIAF) 2014. Le rapport décrit ainsi les différentes activités : formation des jeunes, promotion des métiers de l'agriculture, réflexion et production de connaissance, et plaidoyer en faveur des jeunes paysans. Pour finir, il revient sur les acquis de l'année 2014, ainsi que sur les perspectives et défis à venir. L'IPAR, conformément à son rôle d'appui aux organisations paysannes, notamment le CNCR, a donné un appui pour développer un argumentaire et définir une stratégie de communication, principalement lors du Forum des jeunes francophones organisé en prélude VXe Sommet de la francophonie tenue à Dakar."

"Le ministre du Tourisme et des Transports aériens, Oumar Guèye, a appelé samedi les jeunes de Sangalkam (Ouest) à explorer les possibilités d'auto-emploi dans l'agriculture, qui "peut être une solution au chômage". "Il faut que les jeunes au chômage sachent qu'un emploi n'est pas forcément salarié. Aujourd'hui, l'auto-emploi peut être développé au Sénégal. Il y a 350 hectares de l'Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA) qui sont actuellement en friche", a dit M. Guèye lors d'un forum sur l'emploi. "Les financements et les terres sont disponibles pour les jeunes qui sont intéressés par l'agriculture", a ajouté Oumar Guèye, ancien président de la communauté rurale de Sangalkam. Les jeunes doivent réfléchir à des projets agricoles, puisque "le président de la République souhaite que l'agriculture devienne un facteur de développement de notre pays", a-t-il affirmé. Il a recommandé aussi aux jeunes de Sangalkam de s'intéresser à l'aviculture. "Sangalkam est une zone avicole, un secteur où l'offre est inférieure à la demande, au Sénégal. Certains pays de la sous-région comptent sur le nôtre pour avoir des approvisionnements. Les jeunes peuvent donc investir dans l'aviculture", a ajouté M. Guèye."

Au Sénégal, dans le Bassin arachidier, il est souvent difficile pour les jeunes des campagnes de trouver un emploi dans le domaine agricole. Pour y faire face et ainsi encourager l'inclusion des jeunes dans les filières agricoles, le Projet d'Appui aux Filières Agricoles (PAFA) a mis en place un important sous projet d'mploi jeune. Le projet accompagne ainsi les jeunes dans l'accès à la terre, aux semences certifiées et aux matériels agricoles. Les jeunes bénéficient également de formations pour le renforcement de leurs capacités

Pour faciliter l'accès des jeunes, sans moyen de mobilité, aux formations, le projet a mis en place 34 "écoles rurales". Résultat : 575 jeunes de 18-29 ans ont pu être formés à la création d'entreprise. Il faut noter que l'engagement des municipalités sollicitées par AVSF dans ce projet a été décisif. D'abord en permettant la participation du plus grand nombre de jeunes et l'implication de leurs familles dans les projets naissants. Mais aussi en leur fournissant un appui financier pour se lancer.

"Plus de la moitié des Africains ont moins de 25 ans. Ces jeunes portent l'avenir du continent, ses opportunités comme ses défis. Par exemple, il faudra créer 25 millions d'emplois pour seulement maintenir les taux de chômage actuels, déjà très élevés, en zone Afrique du Nord et Moyen Orient. Cependant, comme l'ont montré les événements du Printemps arabe et plus récemment le Burkina Faso, les revendications des jeunes ne semblent pas s'arrêter à la question de l'insertion professionnelle : ils souhaitent aussi être pleinement acteurs de la vie de leur pays. Quelles sont les aspirations des jeunes africains ? Leur donne-t-on les moyens d'être acteurs du développement de leur pays ? Quels rôles pour les gouvernements et les partenaires internationaux afin d'appuyer les jeunes à relever les défis de l'Afrique ? - Ces questions ont été débattues à l'Agence Française de Développement lors d'une conférence, animée par Emmanuelle Bastide, journaliste à RFI. Retrouvez ci-dessous les vidéos des échanges !"

La région de Marrakech-Tensift-Al Haouz regroupe des territoires très variés : plaines, plateaux, zone littorale d'Essaouira et hautes montagnes de l'Atlas. L'agriculture y occupe la moitié de la population active. Avec le tourisme, c'est l'une des deux activités économiques principales. Malgré la présence de la métropole de Marrakech, la jeunesse qui y vit est plus rurale qu'urbaine. Les jeunes ruraux de cette région qui occupent un emploi sont en majorité aides familiaux. Ce statut particulier consiste à aider un membre de sa famille dans son travail non salarié sans être payé. La fin de scolarité de ces jeunes est plus précoce, surtout pour les jeunes femmes. En effet, les trois quarts d'entre elles ont quitté l'école avant douze ans, alors que c'est le cas de 40% des jeunes ruraux qui occupent un emploi rémunéré.

"L'objectif de cet appel à propositions est de faire progresser l'entrepreneuriat agricole et les innovations TIC des jeunes afin de développer des chaînes de valeur agro-alimentaires résilientes. Il répond au besoin stratégique de renforcer la participation des jeunes dans l'agriculture. Il vise à encourager le renforcement des capacités et l'entrepreneuriat des jeunes dans les TIC et favoriser les opportunités d'emploi pour les jeunes. L'appel à propositions tire avantage de différentes activités mises en œuvre par le CTA dans les domaines de commerce agricole, du développement de la chaîne de valeur, des TIC et des jeunes dans l'agriculture (notamment dans le cadre du projet Agriculture, développement rural et jeunesse dans la société de l'information [projet ARDYIS])."

"Dakar,19 fév (APS) - Quelque 250 emplois directs destinés aux jeunes seront créés grâce à un projet sous régional sur l'aquaculture, d'un montant de 250 millions de francs CFA, lequel va aussi permettre à 250 jeunes de bénéficier d'un renforcement de capacité a indiqué, jeudi, le secrétaire général du ministère de la Jeunesse, de l'Emploi et de la Construction citoyenne, Cheikh Diaw. Le projet en question, initié par la l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), vise la promotion de l'emploi des jeunes à travers l'exploitation d'opportunités d'autonomisation économique dans les deux prochaines années. ''Le projet prévoit la création de 250 emplois directs pour les jeunes, sans compter les nombreux emplois indirects générés. 250 autres jeunes bénéficieront d'un renforcement de capacités et 50 encadreurs institutionnels seront incubés aux métiers de l'aquaculture'', a précisé Cheikh Diaw. "

"(Agence Ecofin) - Au Mali, le gouvernement vient de lancer un projet-pilote dans le secteur aquacole. D'une valeur de 2,1 millions de dollars, cette initiative permettra la formation puis l'installation de jeunes sans-emplois dans le secteur de l'aquaculture grâce à l'usage de cages flottantes. Dans ce cadre, 100 jeunes bénéficient déjà d'une formation sous l'égide de l'Agence pour la Promotion de l'Emploi des Jeunes (APEJ), indique Xinhua. «Après la formation, l'agence offrira à ces jeunes l'équipement nécessaire à leur installation et leur octroiera un prêt pour débuter leurs activités. Chaque cage flottante génèrera cinq emplois, soit un total de 500 emplois à terme» déclare l' l'APEJ dans un communiqué où elle rappelle que le remboursement de ces prêts s'étalera sur trois ans."

"Cette station produit du gombo, des piments, de la tomate, de la salade, des concombres, de l'aubergine et emploie 1150 Jeunes en raison de 15 jeunes par hectares. Elle va aider les jeunes et les femmes de Boguédia à maîtriser la culture maraichère, afin d'en faire un métier. David Donicho Sékongo explique que cette station devra mettre fin à l'exode des jeunes. Il a réalisé un espace évènementiel de plus de 27 millions qui permet aux populations de se divertir à travers des prestations artistiques et culturelles ainsi qu'un centre de santé social composé d'une maternité, d'une salle de soin, de salles d'hospitalisation et d'une pharmacie sociale permettant aux malades de bénéficier de 80% de gratuité dans les soins."

"03 déc. 2015 (agrici.net) L'entreprenariat des jeunes dans la chaîne de valeur agricole sera la première cible pour répondre au problème de l'emploi et de l'insertion des jeunes au Togo. La Banque africaine de développement (BAD) vient d'accorder deux dons (FCFA 6,5 milliards) et un prêt de FCFA 5,3 milliards au Togo pour le Projet d'appui à l'employabilité et l'insertion des jeunes dans les secteurs porteurs (PAEIJ-SP). Dans un deuxième temps, le projet devrait apporter une solution structurelle à l'emploi des jeunes en développant les outils de prospection et d'adaptation de la formation aux besoins du marché du travail, indique la BAD."

Le Sommet international de l'Innovation des jeunes sur l'Agrobusiness, l'Entrepreneuriat et le Leadership (YALESI) se déroule à Dakar au cours de cette semaine. L'événement, qui promeut le débat sur les stratégies les plus efficaces favorisant l'emploi des jeunes dans l'entreprenariat agricole, est également une vitrine pour les jeunes entrepreneurs ayant lancé des produits et services novateurs au bénéfice du secteur agricole. C'est dans cet esprit que le CTA a organisé un certain nombre d'ateliers, a lancé une nouvelle publication (« Innovate for Agriculture ») et vous propose aujourd'hui un article sur le parcours réalisé par Yacouba Alfari, un jeune ingénieur agronome nigérien ayant inventé un séchoir à charbon minéral pour faire de la poudre de tomate.

"Le Gret a participé en juin à la conférence ID4Dev de l'AFD : « L'insertion des jeunes en Afrique : comment la société civile inspire-t-elle l'action publique ? ». Il a notamment à cette occasion présenté les liens à l'action publics des programmes PAFPA d'appui à la formation par apprentissage en Mauritanie et au Bénin et CAP Insertion d'appui à l'insertion des jeunes nouakchottois. Le Gret a publié, à l'occasion de la conférence ID4Dev sur l'insertion, deux articles de cadrage sur la notion d'insertion et sur l'apport des OSC à l'action publique en la matière. Consulter les articles : - L'insertion des jeunes en Afrique subsaharienne, de quoi parle-t-on ? - L'insertion des jeunes en Afrique subsaharienne - Quelles valeurs ajoutées des actions des OSC ?"

"Présentation et historique du processus des Jeunes au sein de La Via Campesina La jeunesse joue un rôle fondamental dans la construction d'une autre société, qui ait comme principes les valeurs humanistes et égalitaires, sans concentration de la richesse ni exploitation des personnes - hommes, femmes, jeunes-, basée sur la justice, la solidarité, la souveraineté alimentaire et la préservation des biens naturels. Les jeunes producteurs et productrices occupent une position unique dans la transition agraire qui a lieu actuellement dans le monde entier. Les paysan(ne)s (et les jeunes en particulier) et les campagnes, font aujourd'hui face à de nombreuses discriminations politiques, économiques et sociales. La solution à tous ces problèmes consisterait à mettre en œuvre la souveraineté alimentaire en s'appuyant sur l'approche globale de l'agroécologie."