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"Dakar,19 fév (APS) - Quelque 250 emplois directs destinés aux jeunes seront créés grâce à un projet sous régional sur l'aquaculture, d'un montant de 250 millions de francs CFA, lequel va aussi permettre à 250 jeunes de bénéficier d'un renforcement de capacité a indiqué, jeudi, le secrétaire général du ministère de la Jeunesse, de l'Emploi et de la Construction citoyenne, Cheikh Diaw. Le projet en question, initié par la l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), vise la promotion de l'emploi des jeunes à travers l'exploitation d'opportunités d'autonomisation économique dans les deux prochaines années. ''Le projet prévoit la création de 250 emplois directs pour les jeunes, sans compter les nombreux emplois indirects générés. 250 autres jeunes bénéficieront d'un renforcement de capacités et 50 encadreurs institutionnels seront incubés aux métiers de l'aquaculture'', a précisé Cheikh Diaw. "

"L'objectif du forum est de promouvoir les emplois verts au profit des jeunes. Le FIJEV est un forum qui permet aux jeunes des pays membres de la Francophonie, femmes et hommes âgés de 18 à 34 ans, de valoriser leur créativité, en ayant l'opportunité de présenter, au grand public et aux partenaires techniques et financiers, des projets susceptibles de générer des emplois dans le domaine de l'économie verte. La date limite pour soumettre votre candidature est fixée au 1er mai 2016."

"(Agence Ecofin) - Au Mali, le gouvernement vient de lancer un projet-pilote dans le secteur aquacole. D'une valeur de 2,1 millions de dollars, cette initiative permettra la formation puis l'installation de jeunes sans-emplois dans le secteur de l'aquaculture grâce à l'usage de cages flottantes. Dans ce cadre, 100 jeunes bénéficient déjà d'une formation sous l'égide de l'Agence pour la Promotion de l'Emploi des Jeunes (APEJ), indique Xinhua. «Après la formation, l'agence offrira à ces jeunes l'équipement nécessaire à leur installation et leur octroiera un prêt pour débuter leurs activités. Chaque cage flottante génèrera cinq emplois, soit un total de 500 emplois à terme» déclare l' l'APEJ dans un communiqué où elle rappelle que le remboursement de ces prêts s'étalera sur trois ans."

"Peter Poschen, Coordinateur du Programme des emplois verts de l'OIT, détaille les opportunités et les emplois qui pourraient découler d'une transition vers une économie plus verte. Editorial | 27 février 2013 Peter Poschen A mesure que s'amplifient les effets du changement climatique, nous prenons conscience de la nécessité de transformer l'économie mondiale pour qu'elle soit plus durable et respectueuse de l'environnement. Mais combien cela va-t-il coûter? Les pays en développement, qui sont les plus durement affectés pas le changement climatique, en ont-ils les moyens? La réponse est affirmative, à condition de bien agir."

"Dans le monde en développement, l'une des chemin de la croissance consiste à faciliter le passage des emplois à faible productivité vers des emplois à forte productivité : par exemple qu'un travailleur quitte l'agriculture de subsistance pour aller travailler dans l'industrie et les services. Ce processus, qu'on appelle une mutation, s'est ralenti ces dernières années, car la création d'emplois dans les secteurs productifs s'est arrêtée, nous dit l'économiste du travail Christian Viegelahn, du BIT.(En anglais avec sous-titres français)"

"Depuis la crise financière de 2008, nous vivons une période anxiogène où la destruction d'emplois, la fermeture d'entreprises s'est accélérée. C'est une priorité des gouvernements que de contrer cette montée du chômage et du sous emploi. C'est d'ailleurs le thème principal du prochain sommet du G20 organisé cet été par la Russie « développer des mesures pour stimuler la croissance et créer des emplois »."

"Subventions de projets associatifs dans le domaine de la jeunesse dans le cadre du programme européenne Jeunesse emploi - PAJE -Algérie - (Date de clôture : 25 août 2016, 9 septembre 2016, 24 septembre 2016) Subventions de projets associatifs dans le domaine de la jeunesse dans le cadre du programme européenne Jeunesse emploi - PAJE -Algérie Date de clôture : 25 août 2016, 9 septembre 2016, 24 septembre 2016"

"Le ministre du Tourisme et des Transports aériens, Oumar Guèye, a appelé samedi les jeunes de Sangalkam (Ouest) à explorer les possibilités d'auto-emploi dans l'agriculture, qui "peut être une solution au chômage". "Il faut que les jeunes au chômage sachent qu'un emploi n'est pas forcément salarié. Aujourd'hui, l'auto-emploi peut être développé au Sénégal. Il y a 350 hectares de l'Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA) qui sont actuellement en friche", a dit M. Guèye lors d'un forum sur l'emploi. "Les financements et les terres sont disponibles pour les jeunes qui sont intéressés par l'agriculture", a ajouté Oumar Guèye, ancien président de la communauté rurale de Sangalkam. Les jeunes doivent réfléchir à des projets agricoles, puisque "le président de la République souhaite que l'agriculture devienne un facteur de développement de notre pays", a-t-il affirmé. Il a recommandé aussi aux jeunes de Sangalkam de s'intéresser à l'aviculture. "Sangalkam est une zone avicole, un secteur où l'offre est inférieure à la demande, au Sénégal. Certains pays de la sous-région comptent sur le nôtre pour avoir des approvisionnements. Les jeunes peuvent donc investir dans l'aviculture", a ajouté M. Guèye."

La région de Marrakech-Tensift-Al Haouz regroupe des territoires très variés : plaines, plateaux, zone littorale d'Essaouira et hautes montagnes de l'Atlas. L'agriculture y occupe la moitié de la population active. Avec le tourisme, c'est l'une des deux activités économiques principales. Malgré la présence de la métropole de Marrakech, la jeunesse qui y vit est plus rurale qu'urbaine. Les jeunes ruraux de cette région qui occupent un emploi sont en majorité aides familiaux. Ce statut particulier consiste à aider un membre de sa famille dans son travail non salarié sans être payé. La fin de scolarité de ces jeunes est plus précoce, surtout pour les jeunes femmes. En effet, les trois quarts d'entre elles ont quitté l'école avant douze ans, alors que c'est le cas de 40% des jeunes ruraux qui occupent un emploi rémunéré.

Au Premier ministre, Abdoul Mbaye qui présidait la rencontre, de rappeler qu'il n'y aura pas de développement économique du Sénégal sans passer par l'agriculture. Il déclare : ''le développement de la productivité agricole, c'est le développement du revenu de l'agriculteur, c'est la réduction de la pauvreté et c'est même souvent faire sortir de l'extrême pauvreté''. Selon le Premier ministre, ''le développement de la productivité dans l'agriculture, le développement de la production agricole seront les voies obligées pour la résorption du sous-emploi, mais également du chômage''.

"Agence Ecofin) - Au Sénégal, l'Agence nationale d'insertion et de développement agricole (ANIDA) vise la création de 40 000 emplois, à l'horizon 2018. L'institution compte atteindre cet objectif par l'implantation de 402 exploitations villageoises. "

"L'ISRA envisage d'expérimenter des Centres de formation pratique aux métiers agricoles (CFPMA) dans plusieurs de ses sites, pour permettre aux acteurs locaux d'être accompagnés par des techniciens en agriculture. L'annonce a été faite par son Directeur général, le Dr Macumba Diouf. En réponse à une interpellation des députés par rapport au rôle de son institut dans la lutte contre le chômage des jeunes, il a révélé que « ces centres permettront de favoriser l'auto-emploi dans le milieu rural ». Car « à l'issue de la réhabilitation et de l'ouverture des centres et stations de l'ISRA, nous avons demandé à l'Etat que les jeunes qui sont sur place puissent être accueillis dans ces centres et être formés aux techniques modernes de l'agriculture », a-t-il expliqué. Et de marteler : « notre présence au Sénégal doit servir à créer des emplois »."

L'atelier de lancement du Programme de subvention et de mentorat « Jeunesse et emplois verts » s'est tenu à Lomé (Togo), du 20 au 24 octobre 2014. Il a réuni les 15 jeunes sélectionnés lors du Forum international francophone « Jeunesse et emplois verts », qui s'est tenu à Niamey (Niger) du 10 au 13 juin. Ces participants, issus de divers pays de la Francophonie, bénéficient d'un accompagnement technique et financier. 15 subventions pouvant aller jusqu'à 6000 € chacune seront offertes aux lauréats par le Centre de techniques agricoles (CTA) et la Francophonie (CONFEJES et OIF), organisateurs du Forum de Niamey.

"Darou Ndoye (Thiès), 16 mars (APS) - Le ministère de l'Agriculture et de l'Equipement rural compte aménager 345 fermes agricoles, qui vont générer environ 60 mille emplois, a annoncé dimanche Papa Abdoulaye Seck. Les jeunes trouveront des "emplois bien rémunérés" dans les futures fermes, qui vont fournir au Sénégal des produits agricoles et lui permettre d'en exporter vers d'autres pays, selon M. Seck. "

"La majorité des jeunes africains veulent avant tout avoir un emploi. Avec 10 à 12 millions de jeunes débarquant sur le marché du travail chaque année, c'est un vrai challenge ! Beaucoup d'entre eux évoluent dans le secteur informel, mais grâce aux efforts des politiques publiques, de la société civile et du secteur privé (via le social business), certains réussissent à monter leur propre affaire. - Comment favoriser l'entreprenariat chez les jeunes africains ? Quels sont les freins à l'investissement et à l'entrepreneuriat féminins en Afrique ? Comment favoriser une croissance créatrice en emplois et « pro-poor ». Elsie Kanza, directrice de la zone Afrique du World Economic Forum, vous faire part de ses analyses et recommandations !"

Algérie : 1er séminaire régional du Programme d'Appui Jeunesse Emploi (PAJE) à Khenchela - Union EuropéeneSupprimer

"Trouver un emploi pour la jeunesse africaine est un combat permanent, tant pour les jeunes que pour les gouvernements. Ces dernières années, la croissance alarmante du chômage et du sous-emploi des jeunes, le développement de l'économie informelle et le faible niveau de productivité constituent les majeurs problèmes de tous pays africains."

"Cette priorité de mieux coordonner les parcours, de l'orientation à l'emploi, a été réaffirmée en 2011 dans le contrat de plan régional de développement des formations professionnelles. L'enjeu est aujourd'hui de passer de la qualité de la formation à la qualité des parcours de formation. Chaque étape doit être prise en compte, de l'orientation à la prescription, à la formation, jusqu'à l'accompagnement vers l'emploi. La charte qualité marque l'engagement d'une coordination inter-partenaires avec la participation des organismes de formation et des prescripteurs (Pôle emploi, missions locales, Cap emploi, départements…). Trois axes prioritaires ont été retenus dans la charte : 1. Le respect de la personne : Information, sécurisation, écoute, égalité des chances en formation. 2. La continuité des parcours : Accompagnement des apprenants, réduction des sorties sans solution, fluidification des entrées en formation. 3. L'efficacité de la formation : Respect des exigences Qualité, individualisation, qualité des formations en entreprise, accompagnement jusqu'à la qualification ou certification. "

"Nous sommes tous d'accord sur un point : la transformation des produits agroalimentaires est incontournable si nous voulons maîtriser la sécurité alimentaire dans notre pays. Si nous ne faisons rien pour transformer à grande échelle nos produits locaux, nous mangerons peut-être, probablement chinois, mais ce n'est pas ce que nous voulons. Ce que nous voulons, c'est être sûr de manger et surtout manger ce que nous produisons et transformons. Ce n'est pas un acte gratuit. C'est un acte militant, c'est un choix de développement pour nos pays. C'est le choix de développer les productions agricoles locales et de les valoriser en les transformant. C'est le choix de créer des emplois car nous le savons bien : en Afrique de l'Ouest, c'est dans l'agriculture et la transformation agroalimentaire que nous pouvons créer des emplois en grand nombre. C'est le choix d'innover en mettant sur le marché des produits accessibles au plus grand nombre et adaptés aux nouvelles habitudes de consommation."

Le Consulat général de France à Bamako recherche un(e) Conseiller(e) emploi-formation. - Le Consulat / Source : La France au Mali (http://www.ambafrance-ml.org)