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Un poste de Chef de projets agriculture - halieute au sein de la division Agriculture, Développement Rural et Biodiversité (ARB) est à pourvoir. Le/la titulaire du poste devra : - Assurer la responsabilité d'une équipe projet, ou contribuera dans le cadre d'une équipe projet, à l'identification, à l'instruction et à la supervision des projets financés par l'AFD contribuant à un développement durable et inclusif des filières de produits halieutiques, aux bénéfices des Etats et des entités de droit privé auxquels l'AFD peut allouer des concours financiers en prêt ou en don ; - Contribuer à la production et à l'actualisation des connaissances sur les défis, les opportunités et les modalités d'un développement rural durable avec et pour les acteurs publics, professionnels et privés de ces pays ; - Participer aux réflexions des acteurs français sur les stratégies de coopération dans ces domaines (Ministères, ONG, Entreprises, Organismes de recherche) ainsi que les acteurs internationaux actifs dans le domaine de l'aquaculture continentale et marine (autres institutions financières, ONG).

L'ETUDE DE FORMULATION D'UNE OPERATION PILOTE D'APPUI A L'ENTREPRENARIAT AGRICOLE JEUNES (PATAG-EAJ) N° d'identification du projet : P-GN-AA0-018 N° financement : 2100155032817 1. Le Gouvernement de la République de Guinée a reçu une avance au titre du mécanisme de financement de la préparation des projets (PPF) du Fonds africain de développement en vue de préparer le projet d'appui à la transformation de l'agriculture guinéenne, volet entreprenariat jeunes (PATAG-EAJ). Il a l'intention, à ce titre, d'utiliser une partie des sommes accordées pour financer les études de formulation dudit projet incluant un certain nombre de réflexions stratégiques. 2. Le PPF prévoit notamment une assistance à la formulation d'une opération pilote pour l'emploi des jeunes dans le secteur agricole, objet du présent AMI. L'opération vise à favoriser l'insertion des jeunes dans le secteur agricole au sens large (tranche 18-40 ans). Cette opération ambitionnera de promouvoir la modernisation et transformation du secteur, à travers les différents maillons des chaines de valeurs, en favorisant l'emploi des jeunes et en limitant l'exode rural. Il s'agira à travers cette étude de formulation de préciser les dispositions à prévoir pour (i) sélectionner des jeunes ruraux et urbains, très motivés, diplômés ou non, (ii) accroitre selon les profils et orientations leurs compétences (techniques, managériales, etc.) par des formations ciblées, mises en situation et modules d'incubation, (iii) les appuyer dans l'installation de leur activité (établissement de plans d'affaire, accès facilité au financement, accompagnement personnalisé, etc.), et (iv) assurer un suivi de la mise en oeuvre.

La Commission de l'Océan Indien COI et la FAO ont organisé un atelier pour présenter le PRESAN Programme Régional de Sécurité Alimentaire et Nutritionnelle (2017-2022) le 26 avril 2016 dans les locaux de la FAO à Ankorahotra. La présentation du PRESAN a vu la participation du Ministre auprès de la Présidence chargé de l' Agriculture et de l'Elevage Monsieur Rivo RAKOTOVAO, du Ministre de la Pêche et des Ressources Halieutiques Monsieur GILBERT François et des représentants des partenaires techniques et financiers. Ce programme a été élaboré par la FAO suite à la requête du Secrétariat Général de la COI et à la résolution de la Conférence des ministres de la COI tenue à Antananarivo au mois de mai de l'année dernière et a été adopté définitivement lors du conseil des Ministres de la COI le 26 février 2016 à La réunion. L'objectif de développement du PRESAN est de promouvoir l'augmentation de la productivité, de la production, de la compétitivité et du commerce inter iles des produits agricoles d'intérêt communautaire ainsi que la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans l'Indianocéanie. Il permettra de contribuer à la sécurité alimentaire et nutritionnelle et à la réduction de la pauvreté dans les états membres (Comores, Madagascar, la Réunion, Maurice et Seychelles).

En adoptant les Objectifs de développement durable (ODD), les pays se sont engagés à réaliser l'achèvement universel de l'enseignement primaire et secondaire à l'horizon 2030. Le présent document, publié conjointement par l'Institut de statistique de l'UNESCO (ISU) et le Rapport mondial de suivi sur l'éducation (GEM), illustre l'ampleur de ce défi. Selon la nouvelle série d'indicateurs de l'ISU, 263 millions d'enfants, d'adolescents et de jeunes âgés de 6 à 17 ans sont actuellement non scolarisés dans le monde. Les disparités persistantes en matière de participation à l'enseignement liées au sexe, au lieu de résidence et à la richesse, plus particulièrement dans le secondaire, sont un obstacle majeur à la réalisation de cette cible. Nous examinons ici un choix de réponses politiques visant à promouvoir les inscriptions dans l'enseignement secondaire.

"L'agriculture familiale contribue de façon substantielle à l'essor économique de nombreux Etats. Elle demeure, cependant, insuffisamment promue et valorisée. Sa capacité à nourrir le monde et à jouer un rôle prépondérant dans la sécurité alimentaire continue de susciter des débats alimentés par les crises alimentaires récurrentes à travers le monde et plus particulièrement dans les pays du Sud. L'année internationale de l'agriculture familiale (2014) sera l'occasion de pousser la réflexion sur les défis qui se posent à l'agriculture familiale et les opportunités que les Etats pourraient tirer à assurer son efficience et sa durabilité. En perspective de cette année internationale, IED Afrique organise le lundi 26 août 2013 à Dakar un atelier thématique multi-acteurs sur « Agriculture durable et familiale : défis et opportunités d'un monde qui change ! »."

"Le Gret a participé en juin à la conférence ID4Dev de l'AFD : « L'insertion des jeunes en Afrique : comment la société civile inspire-t-elle l'action publique ? ». Il a notamment à cette occasion présenté les liens à l'action publics des programmes PAFPA d'appui à la formation par apprentissage en Mauritanie et au Bénin et CAP Insertion d'appui à l'insertion des jeunes nouakchottois. Le Gret a publié, à l'occasion de la conférence ID4Dev sur l'insertion, deux articles de cadrage sur la notion d'insertion et sur l'apport des OSC à l'action publique en la matière. Consulter les articles : - L'insertion des jeunes en Afrique subsaharienne, de quoi parle-t-on ? - L'insertion des jeunes en Afrique subsaharienne - Quelles valeurs ajoutées des actions des OSC ?"

Un poste de Volontaire International (VI) est à pourvoir à partir de juin 2014 au sein de l'agence AFD de Rabat (Maroc). Sous l'autorité du Directeur de l'agence et de la chargée de mission responsable des opérations de l'AFD dans ces secteurs, le ou la chargé(e) de projets contribuera à l'identification et au suivi des opérations de l'AFD au Maroc dans les domaines de l'agriculture, de la pêche et de la protection de l'environnement (biodiversité, changement climatique). A ce titre, le/la titulaire du poste se verra confier les activités suivantes : - Participation aux activités de prospection de l'agence : identification de nouvelles opérations dans le cadre de la stratégie de l'AFD et des stratégies nationales (Plan Maroc Vert, Plan Halieutis, loi sur les aires protégées,…) et rencontre des partenaires potentiels (locaux et extérieurs). - Contribution à l'instruction de nouveaux concours en étroite concertation avec les départements opérationnels du siège : évaluation des projets incluant la préparation et la participation aux missions d'instruction siège/agence et suivi de leur formalisation juridique des concours (conventions de financement et contrats). - Suivi de la mise en œuvre des projets, incluant la préparation et la participation aux missions de supervision siège/agence. - Maintien d'une étroite relation avec les partenaires locaux de l'AFD (Ministère de l'agriculture et de la pêche maritime, Haut-Commissariat aux eaux et forêts et à la lutte contre la désertification, Crédit Agricole du Maroc, Office National des Pêches, Fondation Mohammed VI pour l'environnement,…) ainsi qu'avec les autres bailleurs de fonds. - Veille sectorielle et contribution à l'animation du dialogue sectoriel agricole. L'affectation à Rabat est prévue en juin-juillet 2014. Date limite de candidature : 30 avril 2014.

Un poste de Volontaire International (VI) est à pourvoir à partir d'août 2014 au sein de l'agence AFD de Kinshasa (République démocratique du Congo - RDC). Le/la titulaire du poste aura pour mission principale le suivi et le développement des activités de l'AFD en RDC dans les secteurs du developpement humain : éducation, formation professionnelle et santé. Il/Elle sera également co-responsable de la communication de l'agence avec l'assistante de direction. Sous la supervision directe du Directeur d'agence, le/la volontaire se verra confier les activités suivantes : - Identification de nouveaux projets en relation avec les autorités, les autres bailleurs de fonds et les opérateurs privés ; - Instruction des projets : suivi de l'instruction des projets en relation avec les chefs de projets du siège de l'AFD ; - Formalisation des actes et suivi des dispositions des conventions de financement signées par l'AFD - Suivi des décaissements et de la bonne exécution des projets - Veille sectorielle et participation aux groupes de travail avec les autorités et les autres bailleurs de fonds ; - Participation à l'élaboration et à la mise en œuvre de la stratégie d'intervention de l'AFD en RDC en général, et particulièrement en ce qui concerne ses secteurs d'activités ; - Relations avec la presse, alimentation et mise à jour du site internet, organisation d'événements thématiques et diffusion de la production intellectuelle de l'agence. Le/la volontaire pourra également être amené(e) à assurer l'intérim du chargé de mission sur le portefeuille eau et assainissement. L'affectation à Kinshasa est prévue en août 2014. Date limite de candidature : 30 mai 2014.

Dans le cadre des événements organisés en marge du deuxième Sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de la Communauté des États latino-américains et des Caraïbes et de l'Union européenne (CELAC-UE), qui se tiendra à Bruxelles début juin 2015, est organisé les 8 et 9 juin le deuxième Sommet Académique CELAC-UE. Cette deuxième édition fait suite au premier Sommet organisé à Santiago (Chili) en janvier 2013. Il a objectif de poursuivre la réflexion engagée et de contribuer à mettre en œuvre les accords et propositions élaborés en vue de développer un espace euro-latino-américain et caribéen pour l'enseignement supérieur, la science, la technologie et l'innovation. Il vise en particulier à encourager les communautés académiques et scientifiques des deux régions à œuvrer conjointement à l'atteinte de cet objectif. Le fruit des échanges et travaux produits lors de ce deuxième Sommet académique sera transmis aux chefs d'Etat et de gouvernement réunis lors du Sommet CELAC-UE, sous forme d'une déclaration comportant des propositions de la communauté académique et scientifique pour avancer dans la constitution d'un espace commun euro-latino-américain et caribéen de l'enseignement supérieur et de la recherche, et contribuer ainsi à la concrétisation de l'alliance stratégique entre les deux régions.

"« Cette année au Conseil régional, nous avons souhaité mettre en lumière l'apprentissage en réalisant un Tro-Breizh des CFA. Nous allons à la rencontre des chefs d'établissement, des élèves et de leurs maîtres d'apprentissage », explique Anne Troalen, conseillère régionale et référente de la maison de la formation professionnelle du Pays Centre Ouest Bretagne. Pour l'occasion, le directeur du CFA Saint-Yves à Gourin a réuni, jeudi 16 octobre, six élèves de bac pro CGEA (Conduite et gestion des exploitations agricoles) et leurs maîtres d'apprentissage pour une table ronde. Anne Troalen a précisé que les élèves peuvent encore intégrer les écoles jusqu'à la fin de l'année et que des maîtres d'apprentissage sont encore en recherche d'un apprenti. 80 % des élèves trouvent du travail Dominique Consille, sous-préfete de l'arrondissement de Chateaulin (29) a félicité les élèves présents pour leur choix d'orientation et a ajouté : « L'apprentissage n'est pas un choix par défaut. Aujourd'hui, c'est réellement une voie d'excellence vers la réussite et l'emploi. » Pour étayer ces propos, Anne Troalen annonce que 80 % des élèves qui sortent de l'école trouvent très rapidement un emploi durable. De son côté, le directeur de l'établissement s'inquiète que l'apprentissage ne soit pas valorisé et mis en avant par les enseignants au niveau des collèges qui poussent les élèves vers des circuits d'études « normaux ». Sur les six élèves, aucun n'est issu directement du milieu agricole. Ils se passionnent pourtant tous pour ce métier, que ce soit l'élevage pour certains ou le machinisme pour d'autres. La sous-préfète commente : « Il est important que les gens s'ouvrent, car il y a des emplois dans le milieu agricole. » Les maîtres d'apprentissage ont profité de cette table ronde pour rappeler à la conseillère régionale la nécessité de continuer à so

La structure de cette publication s'axe autour de six enjeux majeurs identifiés par les jeunes euxmêmes et qui se représentent les principales difficultés rencontrées par la jeunesse souhaitant s'investir d'avantage dans le secteur agricole. Ces six enjeux sont les suivants :[1] Accès au savoir, à l'éducation et à l'information [2] Accès à la terre [3] Accès aux services financiers [4] Accès aux métiers de l'environnement (emplois-verts) [5] Accès aux marchés [6] Engagement dans les débats politiques. Alors que certains enjeux concernent les petits exploitants en général, les jeunes font généralement face à des difficultés plus profondes. Après une rapide présentation des aspects spécifiques liés aux enjeux rencontrés par les jeunes, nous proposons des exemples de cas dans plusieurs pays différents, exemples qui peuvent être adaptés selon chaque cas et servir à surmonter les obstacles rencontrés. A la fin de chaque chapitre, nous proposons une conclusion générale tirée des différents exemples proposés dans un ou plusieurs chapitres. Ces conclusions incluent des références à d'autres exemples non entièrement développés en tant qu'étude de cas, mais qui pourraient néanmoins intéresser le lecteur et l'inciter à un approfondissement plus détaillé.

Métier : Ingénierie du développement/Agronomie et développement rural Contrat : Stage Description du poste : La division Agriculture, développement rural et biodiversité (ARB) de l'AFD recherche un(e) stagiaire dont la mission principale sera d'identifier les entreprises françaises des secteurs agricole, agroalimentaire et agroindustriel intéressées par un développement international. Le groupe AFD est en effet invité par ses tutelles à participer, à sa mesure et dans le respect de ses mandats et de la réglementation qui s'impose à lui, à la politique de « diplomatie économique » qui cherche à redresser et à développer le poids économique de la France à l'international.

"Une école des métiers de l'agriculture, des forêts et de l'agro-industrie, l'ENMAFA, vient d'être créée en Algérie. Elle aura à assurer des formations de métier, et également de perfectionnement et de recyclage dans les métiers liés à l'agriculture, aux forêts et à l'agro-industrie. Placée sous la tutelle du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, cette école est appelée à combler un grand déficit en main d'œuvre agricole qui commence à se faire sentir dans toutes les filières. Certains métiers sont en voie de disparition comme celui de grimpeur de palmier, mécanicien de la motoculture, tailleur pour l'arboriculture fruitière ou greffeur de vignoble, a indiqué le responsable de la Communication au ministère de l'Agriculture et du Développement rural, M. Djamel Barchiche. L'ENMAFA aura également pour mission d'assurer des cycles de formation à la carte pour les structures utilisatrices, ainsi que des rencontres thématiques, séminaires, ateliers, journées d'études et autres manifestations à caractère scientifique et technique."

"1. Le projet vise à améliorer la compétitivité des entreprises du secteur formel et informel en adaptant l'offre de formation professionnelle à leurs besoins de compétences. Cette amélioration de l'offre de formation professionnelle vise également à diminuer le chômage des jeunes. Les objectifs spécifiques du projet sont : (i) diversifier l'offre de formation dans les deux régions visées, (ii) améliorer la qualité de l'offre de formation par l'implication des professionnels, (iii) contribuer en régions à l'amélioration des services d'aide à l'emploi, (iv) faciliter la formation et l'insertion professionnelle des jeunes déplacés des régions Nord en raison du conflit. 2. Le projet interviendra dans les régions de Ségou (Centre de Formation Professionnelle à Markala) et de Sikasso (Centre de Formation Professionnelle à Sikasso), compte-tenu de leurs potentiels de développement agro-sylvo-pastoral et des possibilités de développement pour le tissu des PME-PMI et donc l'emploi des jeunes. Une composante de formation rapide permettra de mobiliser des centres de formation existants en région de Ségou, Sikasso, Mopti et Bamako."

Le Vietnam est un pays à taux de scolarisation élevé, avec un niveau de développement moyen et un fort taux de croissance. Pour comprendre ce paradoxe, il convient de s'appuyer sur les théories établissant le lien entre l'éducation et la croissance économique ou le développement, de définir la notion de développement, et d'examiner les études menées sur l'éducation et la formation au Vietnam. Cette étude nous permettra de dégager les hypothèses conduisant à trouver éventuellement quelques réponses à la problématique posée. Selon la définition de développement retenue, les conclusions auxquelles nous aboutirons peuvent être différentes. L'introduction des dimensions sociales et humaines ou environnementales dans le développement, modifie son appréciation et rend sa mesure plus complexe. L'intérêt de l'étude est d'essayer d'identifier les capacités du système d'éducation et de formation non seulement à évoluer, à s'adapter aux besoins économiques, à les anticiper, mais aussi à créer les conditions nécessaires au développement du pays.

"Description de la mission Un poste de Volontaire International (VI) est à pourvoir à partir de novembre 2014 au sein de l'agence AFD de Cotonou (Benin). Sous la supervision de la directrice d'agence, le/la VI sera chargé(e) d'assurer le suivi des projets (instruction et mise en œuvre) relevant de l'appui à la formation professionnelle et l'environnement. Il assurera le suivi des garanties ARIZ, garanties individuelles et de portefeuille. Il identifiera également de nouvelles interventions."

Le Commissariat général à l'égalité des territoires (CGET) vient de publier une étude intitulé : "L'accès des jeunes à la formation et à l'emploi dans les départements d'Outre-Mer". Le taux de chômage des 20-29 ans est beaucoup plus élevé dans les Dom qu'en métropole. Ainsi, près d'un jeune actif domien sur deux est en recherche d'emploi (46,1 %) contre un jeune actif métropolitain sur cinq (20 %), avec de faibles écarts d'un Dom à l'autre. Comparés à ceux de métropole, les jeunes des départements d'Outre-mer (Dom) disposent d'un plus faible niveau d'étude. Ce retard relatif en termes de formation influe directement sur leur situation professionnelle : ils sont plus souvent touchés par le chômage et lorsqu'ils ont un emploi, c'est plus souvent à temps partiel et dans des métiers peu qualifiés.

"Une première conférence, introduite par le film de Marie-Monique Robin Les moissons du futur a abordé la question d'une agriculture plus propre, plus durable, plus écologique mais devant nourrir une population de plus en plus nombreuse. Le débat, animé par Krishna Naudin, a mis des spécialistes de l'agroécologie face à un public avide de comprendre cette nouvelle agriculture. Le deuxième sujet abordé a été l'enjeu pour la sécurité alimentaire que représente la filière du riz dans le monde et à Madagascar. Le film introductif, Main basse sur le Riz de Jean-Pierre Boris et Jean Crépu a proposé un décryptage de la crise du riz de 2008. Le débat, animé Par Hélène David- Benz a permis de répondre aux nombreuses interrogations sur cette crise et sur les conditions qui ont fait que Madagascar a été épargné. Les deux dernières conférences, animées par Pascal Danthu, ont abordé la conservation de la biodiversité à Madagascar. Le film d'introduction a été Le Baobab, l'arbre aux mille surprises de Morad Ait Habbouche (co-produit par le CIRAD). La première séance a été réservée aux enfants (pour plus d'information « L'homme et la biodiversité à Madagascar » - Le lycée NANISANA à répondu à l'invitation du CIRAD) et la seconde ouverte au grand public."

"Session 2 "Offre de l'enseignement supérieur à l'étranger : incitations, bénéfices et modèles économiques - analyse et retours d'expérience" du groupe de travail sur l'offre d'enseignement supérieur à l'étranger. Même si les processus d'internationalisation ne sont pas investis avec la même intensité par les établissements d'enseignement supérieur, ils deviennent de plus en plus un impératif. Cette internationalisation prend néanmoins des formes de plus en plus variées: mobilité des individus (étudiants, enseignants, chercheurs, cadres), mobilité physique (campus à l'étranger), flux d'offre (diplômes délocalisés, accords de co-diplomation, validation, franchise, etc.), internationalisation « at home » (internationalisation du recrutement des enseignants, des contenus, etc.). Dès lors, en quoi le déploiement de l'offre directement à l'étranger représente-t-il une valeur ajoutée en comparaison des autres formes de coopération/mobilités existantes ? L'offre délocalisée répond tout d'abord à un contexte favorable (transformation des mobilités au niveau global, enjeu d'adaptation au marché de l'éducation et à une demande émergente, contexte migratoire international plus contraint, raréfaction des ressources au niveau national, etc.). "

Les candidatures à la 11e promotion de la formation francophone en Politiques sectorielles et gestion des systèmes éducatifs (PSGSE) sont désormais ouvertes. Co-organisée par le Pôle de Dakar (IIPE-UNESCO) et l'Université Cheikh Anta Diop, la formation a pour objectif de transmettre les méthodes d'analyses développées par le Pôle de Dakar aux cadres africains en charge de la gestion, du financement et de l'évaluation des systèmes éducatifs. Lancée en septembre 2007, elle a, à ce jour, accueilli plus de 350 personnes, originaires de 23 pays d'Afrique. Les cours, programmés sur 14 mois (Octobre 2017 - Novembre 2018), sont délivrés essentiellement à distance et s'adressent à des personnes en situation d'emploi. Pour plus d'informations sur la formation et les procédures de sélection, consultez l'appel à candidatures. Clôture de l'appel à candidature : 31 mars 2017.