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Le réseau FAR organise conjointement avec le Ministère de l'Agriculture et de la Pêche Maritime du Maroc, la COMADER et le Ministère de l'Agriculture de l'Alimentation et de la Forêt français un séminaire international sur le thème : « Rôles de la formation professionnelle agricole pour répondre aux défis des différentes formes d'agricultures en Afrique » Ce séminaire se déroulera du 12 au 15 novembre à Rabat. Il réunira des agriculteurs, des praticiens de la formation agricole et rurale issus du secteur public et privé, de structures de conseil agricole, d'organisations professionnelles agricoles, des spécialistes de la formation agricole et rurale et des institutions nationales et internationales... intéressés par les 3 thématiques qui seront abordées : Adéquation entre l'offre de formation agricole et rurale et la demande économique et sociale pour répondre à la diversité des agricultures Accompagnement de la diversité des agricultures et des projets d'installation des jeunes Gouvernance et financement des systèmes de formation agricole et rurale.

Dans le contexte actuel du milieu agricole à Madagascar, la Direction de la Formation Agricole (DFAR) au sein du ministère de l'Agriculture va élaborer des propositions. L'élaboration de la Stratégie Nationale de Formation Agricole et Rurale (SNFAR) a pour but de moderniser le secteur agricole, assurer les marchés intérieurs et extérieurs qui fait partie du défi économique. « Cet atelier technique doit définir un exploitant agricole professionnel. Donc après la formation, il acquiert un savoir-faire, une maîtrise des techniques agricoles et est indépendant » . Selon les dires du Secrétaire Général du Ministère de l'Agriculture Pierrot Serge RANDRIANARITIANA représentant du Ministre.

Quels sont les rôles des organisations professionnelles agricoles dans les services de formation professionnelle et d'appui-conseil pour les petites et moyennes exploitations agricoles des périmètres de grande hydraulique au Maroc ? Tel était le thème de l'atelier multi-acteurs qui s'est tenu à l'Ecole nationale d'agriculture de Meknès le 17 septembre dernier qui a réuni une trentaine de participants d'origines diverses (OPA, services agricoles de l'Etat, secteur privé, recherche, bailleurs de fonds). Cet atelier s'inscrit dans le cadre du partenariat initié entre le Comité d'orientation scientifique et technique sur l'eau agricole (COSTEA), la Fondation pour l'agriculture et la ruralité dans le monde (FARM) et le Réseau Formation agricole et rurale (FAR), qui ont mutualisé leurs moyens et leurs compétences pour étudier ce que produisent les dispositifs de formation professionnelle portées par les Organisations professionnelles agricoles (OPA) marocaines et comment ils interagissent avec les autres acteurs (Etats, entreprises, etc.).

"A travers des projets pilotes, des évènements et des publications, FARM s'intéresse à la formation des producteurs et productrices agricoles notamment aux dispositifs d'appui-conseil. La renforcement des capacités des élus et techniciens des organisations agricoles constitue également un axe de travail et de réflexion. PUBLICATIONS CHAMPS D'ACTEURS - Renforcement des capacités des agriculteurs en Afrique de l'Ouest : viabilité d'un service de conseil agricole mis en place par une organisation de producteurs Champs d'acteurs /02 - 2013 Auteurs : Rosanne Chabot, Patrick Dugué, Pierre Girard - Réseau des irrigants méditerranéens : Appui aux petites et moyennes exploitations agricoles au Maghreb : bilan d'une expérience de formation professionnelle Champs d'acteurs /01 - 2011 Auteurs : Amar Imache, Carole Lambert, Sylvain Lanau, Billy Troy ÉVÉNEMENTS - Formation au leadership pour de jeunes leaders exploitants agricoles au Burkina Faso, 2 au 5 avril 2013, Burkina Faso PROJETS PILOTES L'ensemble des projets pilotes intègrent des dispositifs de formation et d'appui-conseil aux producteurs, productrices, et aux responsables agricoles.

"Toujours sur le thème du conseil agricole en milieu rural en collaboration avec FERT et FIFATA, la matinée du PADR qui s'est tenue à Antananarivo le 28 février dernier était concentrée sur l'efficacité de cette démarche dans le monde rural. Avec les expériences qu'elles ont déjà acquises, FERT et FIFATA ont partagé leurs vécus sur le conseil agricole : le développement d'un dispositif de conseil agricole de proximité depuis 2004, le soutien d'un cursus de formation de techniciens en conseil agricole au centre CEFFEL Antsirabe depuis 2008. En 6 ans, 160 conseillers ont été formés et accompagnés. Actuellement FERT/FIFATA soutiennent la création d'une structure spécialisée en conseil agricole de proximité au Cap Malagasy (Conseil Agricole de Proximité Madagascar). "

"L'enseignement agricole public sera présent au salon des Productions Animales (SPACE) de Rennes, du 10 au 13 septembre prochain, au Parc des Expositions. Pendant quatre jours, douze établissements* publics d'enseignement agricole se relaieront pour présenter les formations et les diplômes aux visiteurs professionnels du salon, ainsi qu'aux jeunes en visite. De la 4ème de l'enseignement agricole au BTS agricole, par la voie initiale scolaire et par apprentissage, professionnelle continue ou la VAE, dans les filières de la production, des services, de l'agroéquipement, du commerce, de l'aménagement paysager, de l'environnement, du cheval..., chacun pourra trouver sa voie ! Ce salon professionnel sera l'occasion de rencontrer les partenaires de l'enseignement agricole, les professionnels, les entreprises des secteurs de la production, de l'alimentation animale, du machinisme agricole... Le vendredi 13 septembre au matin (dès 10h), une conférence se tiendra sur toutes ces formations, organisée par la DRAAF de Bretagne."

"Le monde de la formation des collèges agricoles sous la responsabilité de FERT/FIFATA continue à s'améliorer. En effet, deux représentants de CNEAP (Conseil National de l'Enseignement Agricole Privé) sont venus à Madagascar du 17 au 28 Mars dernier : Jean François Tambourin, paysan, président d'un lycée agricole et président d'un CREAP (Conseil Régional de l'Enseignement Agricole Privé) depuis 12 ans etYvon le Norcy, secrétaire général du CNEAP entre 1990-2010,. Le but de leur venue était de partager leurs expériences pour aider à la mise en place d'une fédération des collèges agricoles ainsi qu'à la structuration du collège agricole d'Ambondromisotra."

A l´occasion de la visite du Président SANTOS en France, les 26 et 27 janvier 2015, un accord de coopération agricole a été signé entre la France et la Colombie. Dans le cadre de son plan de développement du secteur rural et agricole et de renforcement de la compétitivité du secteur agro-alimentaire, les autorités colombiennes s´intéressent à l´expertise française. Dans un premier temps, le ministère de l´Agriculture colombien souhaite créer, d´ici 4 ans, six établissements d'enseignement agricole qui pourraient fortement s´inspirer du modèle des lycées agricoles français.

"Les participants à un événement organisé en mars 2013 par le Groupe parlementaire multipartite sur l'agriculture et l'alimentation pour le développement (Royaume-Uni) ont examiné la manière dont l'utilisation des ressources éducatives libres (REL) pouvait considérablement élargir l'accès aux connaissances agricoles. S'appuyant sur des exemples d'initiatives REL réussies en matière de formation enseignante et d'éducation communautaire en Afrique, ils ont examiné dans quelle mesure une approche similaire pouvait être appliquée au développement de l'agriculture. Ils ont été informés d'une nouvelle collaboration entre l'Institut des ressources naturelles (NRI), l'Université libre et d'autres partenaires en Afrique. L'Initiative FARM-ED (éducation et formation agricoles) utilise l'apprentissage libre et à distance pour aider les petits exploitants agricoles africains à exploiter au mieux les connaissances existantes sur les meilleures pratiques agricoles. "

Dans cet entretien, le Secrétaire général du ministère de l'Agriculture et de la Sécurité alimentaire du Burkina Faso aborde différents sujets. Il nous livre d'abord son analyse des politiques agricoles et de sécurité alimentaire du Burkina. Il revient ensuite sur les enjeux liés aux ressources publiques allouées à l'agriculture. Il présente enfin les priorités du gouvernement en matière de gestion des risques agricoles. "Il faut également restructurer le conseil agricole qui a été complètement émantelé dans le cadre des PAS. Il faut remettre en place des mécanismes d'encadrement et de conseil aux producteurs mais sans répliquer les mécanismes d'appui et de conseil qui existaient dans les années 70 car le contexte a changé. Dans les années 70, on pensait que l'Etat pouvait tout prendre en charge. Aujourd'hui les producteurs se sont diversifiés. Chaque producteur, chaque filière a ses besoins, qui lui sont propres ; il serait difficile pour le secteur public de s'attaquer à des contextes aussi multiples. En termes de vulgarisation, de technologies agricoles et de formation des producteurs, il est important que nous réadaptions nos interventions en intégrant le secteur privé. Nous avons par exemple de nombreux jeunes qui sortent des écoles de formation agricole, mais l'Etat ne recrute plus. Parallèlement, nous avons des agriculteurs qui ont besoin de leurs services, mais qui n'ont pas les ressources pour les payer. Il y a là une opportunité de création d'emplois pour ces jeunes et de renforcement du système d'appui "

"« Cette année au Conseil régional, nous avons souhaité mettre en lumière l'apprentissage en réalisant un Tro-Breizh des CFA. Nous allons à la rencontre des chefs d'établissement, des élèves et de leurs maîtres d'apprentissage », explique Anne Troalen, conseillère régionale et référente de la maison de la formation professionnelle du Pays Centre Ouest Bretagne. Pour l'occasion, le directeur du CFA Saint-Yves à Gourin a réuni, jeudi 16 octobre, six élèves de bac pro CGEA (Conduite et gestion des exploitations agricoles) et leurs maîtres d'apprentissage pour une table ronde. Anne Troalen a précisé que les élèves peuvent encore intégrer les écoles jusqu'à la fin de l'année et que des maîtres d'apprentissage sont encore en recherche d'un apprenti. 80 % des élèves trouvent du travail Dominique Consille, sous-préfete de l'arrondissement de Chateaulin (29) a félicité les élèves présents pour leur choix d'orientation et a ajouté : « L'apprentissage n'est pas un choix par défaut. Aujourd'hui, c'est réellement une voie d'excellence vers la réussite et l'emploi. » Pour étayer ces propos, Anne Troalen annonce que 80 % des élèves qui sortent de l'école trouvent très rapidement un emploi durable. De son côté, le directeur de l'établissement s'inquiète que l'apprentissage ne soit pas valorisé et mis en avant par les enseignants au niveau des collèges qui poussent les élèves vers des circuits d'études « normaux ». Sur les six élèves, aucun n'est issu directement du milieu agricole. Ils se passionnent pourtant tous pour ce métier, que ce soit l'élevage pour certains ou le machinisme pour d'autres. La sous-préfète commente : « Il est important que les gens s'ouvrent, car il y a des emplois dans le milieu agricole. » Les maîtres d'apprentissage ont profité de cette table ronde pour rappeler à la conseillère régionale la nécessité de continuer à so

Au cœur de la rénovation de la voie professionnelle, dans le cadre de l'appui au développement du secteur agricole afin d'accroitre la productivité, la technicité et les compétences des producteurs, et après la finalisation du référentiel exploitant agricole pour la professionnalisation des producteurs, un atelier de conception méthodologique a été organisé à l'hôtel les Pousse Pousse du Raphia à Ivato du 09 au 11 novembre 2015. L'objectif principal dudit atelier est d'accompagner la réflexion, l'analyse, la planification, la mise en œuvre, la formalisation, et la diffusion des actions, pour mutualiser les initiatives des parties prenantes, et produire ou adapter des ressources en vue de leur transfert à l'ensemble des équipes pour la mise en place de la formation de Technicien Agricole, destinée à appuyer les paysans dans ses activités.

Du 23 au 28 Août 2016, la Chambre d'Agriculture de la région de Dakhla-Oued Eddahab avait organisé un ensemble de sessions de formation sur l'ensemble des filières de production. Selon nos confrères de aujourd'hui.ma, les thèmes traités étaient étroitement liés à la nouvelle stratégie du Plan Maroc Vert et des plans de développement régionaux. Le choix des thèmes des formations s'etait fait en tenant compte des besoins de chaque région. Cette formation portait sur deux volets. Le premier volet traitait des activités qui génèrent des revenus. Ce premier volet avait pour objectif de sensibiliser sur les bonnes pratiques de production et de renforcer le rôle des coopératives et des associations agricoles, et ce dans le but de contribuer au développement du secteur agricole dans la région. Le deuxième volet portait sur le développement de la filière cameline et sur l'amélioration des parcours. Ce volet avait pour objectif de corriger les pratiques non adaptées et d'introduire des techniques de production modernes.

Depuis plus de 10 ans, la Région Midi-Pyrénées, au travers des accords de partenariat signés avec les Régions de Thiès et de Saint-Louis, s'est engagée aux côtés de ses partenaires sénégalais dans des démarches de coopérations solidaires et efficaces, notamment dans les domaines de la formation, des énergies renouvelables ou du tourisme solidaire. Une attention particulière a été portée aux projets de développement agricole, avec le soutien du Ministère français des Affaires Etrangères et du Développement International, en s'appuyant sur la profession agricole de Midi-Pyrénées regroupée au sein de l'Association Sud-Ouest pour le Développement International Agricole, l'ASODIA."

Depuis plus de 10 ans, la Région Midi-Pyrénées, au travers des accords de partenariat signés avec les Régions de Thiès et de Saint-Louis, s'est engagée aux côtés de ses partenaires sénégalais dans des démarches de coopérations solidaires et efficaces, notamment dans les domaines de la formation, des énergies renouvelables ou du tourisme solidaire. Une attention particulière a été portée aux projets de développement agricole, avec le soutien du Ministère français des Affaires Etrangères et du Développement International, en s'appuyant sur la profession agricole de Midi-Pyrénées regroupée au sein de l'Association Sud-Ouest pour le Développement International Agricole, l'ASODIA."

"Pays: Côte d'Ivoire Ville/Localité: Territoire National Numéro de l'avis/du contrat: Avis N° : S25/2017 Date de publication: Mar 6, 2017 Date limite (heure locale): Mars 22, 2017 - 10:00 Agence de financement: Agence Française de Développement - Agence de Financement Acheteur: COTE D'IVOIRE - C2D-PARFACI Eligibilité des Soumissionaires: 1/. Les formateurs intéressés doivent fournir les références justifiant d'une solide expérience d'au moins cinq (5) ans de pratique professionnelle en formation de conseillers de gestion agricole et appui aux exploitations et entreprises agricoles, en gestion comptable et financière des OPA. Il doit également avoir des compétences en conseil technico-économique, en droit des affaires et social et en fiscalité. 2/. Les formateurs doivent également fournir des informations indiquant qu'ils sont qualifiés pour exécuter les services (Lettre de manifestation d'intérêt, note ou brochures de présentation du formateur, références concernant l'exécution des formations analogues ou semblables (liste des formations similaires, coût, tâches effectuées, nom du client, période de réalisation), cv du personnel ressource, etc.) Langue d'origine: Français "

Au Sénégal, dans le Bassin arachidier, il est souvent difficile pour les jeunes des campagnes de trouver un emploi dans le domaine agricole. Pour y faire face et ainsi encourager l'inclusion des jeunes dans les filières agricoles, le Projet d'Appui aux Filières Agricoles (PAFA) a mis en place un important sous projet d'mploi jeune. Le projet accompagne ainsi les jeunes dans l'accès à la terre, aux semences certifiées et aux matériels agricoles. Les jeunes bénéficient également de formations pour le renforcement de leurs capacités

Le ministre de l'agriculture, de développement rural et de la pêche, Sid Ahmed Ferroukhi a insisté mardi à Khenchela sur "la nécessité de former es agriculteurs dans des centres de formations spécialisés en agriculture". Le ministre a appelé au deuxième jour de sa visite dans cette wilaya les fellahs, notamment les débutants d'entre eux à consolider leurs compétences par des formations pratiques sur les terrain "dispensées par des spécialistes pour mieux connaitre le monde agricole et les techniques agricoles modernes". Inaugurant le centre d'excellence dans le domine agricole de Kais, M.Ferroukhi a précisé devant la presse qu'il s'agit d'un centre, "le premier du genre à l'échelle locale" spécialisé dans la formation de jeunes agriculteurs dans les différentes filières à l'instar de la céréaliculture, production du lait et dans le secteur des forêts.

"Un séminaire régional visant l'intégration des établissements de formation agricole (EFA) dans les plans d'investissements agricoles du programme détaillé de développement de l'agriculture africaine (PDDAA) s'est ouvert à l'école supérieure d'Agriculture de l'institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro. Le directeur, Dr Siaka Koné a fait remarquer, à l'ouverture des travaux, que de plus en plus de nombreux investissements sont injectés au niveau de l'agriculture tout en mettant de côté la formation agricole. L'atelier de Yamoussoukro sera l'occasion pour les parties prenant du système des EFA et des experts présents d'élaborer d'un commun accord un plaidoyer à travers un plan stratégique très clair à l'échelle continentale à soumettre aux États afin d'obtenir des financements conséquents de sorte à booster l'agriculture au niveau des États africains. Ehile Ettien le secrétaire général de l'association des universités africaines le professeur a souligné, " Ces objectifs, une fois atteints permettront de faire un saut qualitatif et d'adapter les programmes de formation afin de produire les compétences en capital humain nécessaire pour la transformation de l'agriculture, et même des autres domaines de l'économie de nombreux pays africains. " Source : news.abidjan.net"

"(Agence Ecofin) - Le Gabon vient de faire un pas supplémentaire dans la mise en œuvre du programme GRAINE (Gabonaise des réalisations agricoles et des initiatives des nationaux engagés). En effet, le gouvernement vient d'annoncer le départ de 54 stagiaires vers la Malaisie. Ces jeunes, les premiers d'une cohorte de 2500 personnes, passeront quatre mois dans ce pays à se former aux techniques agricoles afin, à leur retour d'occuper des postes de superviseurs des progrès du programme. S'exprimant sur ce départ, le président Gabonais Ali Bongo Ondimba a affirmé: «les premiers partants sont en quelque sorte les ambassadeurs de notre grande ambition : permettre au pays de retrouver son autosuffisance alimentaire en développant des coopératives agricoles créatrices d'emplois et pourvoyeuses de stabilité dans nos villages.»"

" Le gouvernement de la République de Guinée a obtenu un financement de l'Agence Française de Développement (AFD) en faveur du Ministère de l'Enseignement Technique, de la Formation Professionnelle, de l'Emploi et du Travail (METFP-ET) pour la mise en œuvre du Projet d'Amélioration de la Formation et de l'Insertion dans les Secteurs Agricole et des Mines » (PAFISAM) d'une durée de 4 ans. Sur ces deux secteurs, le projet permettra de (i) concevoir et implanter des formations rénovées de niveaux CAP à BTS dans 11 centres de formation publics du pays dans les secteurs des Mines et de l'industrie (6 Centres de formations professionnelle (CFP), et 4 ENAE (Ecoles Nationales d'Agriculture et d'Elevage) et une école de formation des professeurs de l'enseignement technique, (ii) réhabiliter des infrastructures sur ces centres, (iii) former les formateurs, (iv) de promouvoir un rapprochement avec les milieux professionnels. Par ailleurs au niveau central, le projet permettra de renforcer les capacités de pilotage du METFPET, de mettre en place des outils de gestion des données, de rénover des équipements, d'améliorer le suivi, de faciliter la mise en œuvre de partenariats entre les établissements de formation et les entreprises, et de contribuer à la réforme de l'Office National de Formation et de Perfectionnement Professionnel Pour mettre en œuvre le projet, le METFPET s'adjoindra les services de plusieurs fournisseurs, pour : (i) implanter des programmes rénovés, réaliser la formation des formateurs, (ii) fournir les équipements correspondants; (iii) réaliser les travaux de construction / réhabilitation ; (iv) apporter un appui de long terme à plusieurs centres de formation bénéficiaires du projet en matière de gestion globale des centres, ouverture sur les milieux économiques, et fournir un appui à la maîtrise d'ouvrage pour la coordination globale du projet."