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Fred L

Stratégie nationale de recherche et d'innovation : une consultation par inter... - 0 views

  • Des universités autonomes
  • Le système français a cette particularité, qu'une partie de nos meilleurs étudiants ne va pas à l'université et qu'une partie de nos meilleurs chercheurs n'est pas à l'université. Tout l'objectif est de construire un système coopératif entre grandes écoles, universités et organismes de recherche, de renforcer un maillon qui était jusqu'à présent ni libre ni autonome, le maillon universitaire.
  • Faiblesse de l'innovation en France
  • ...62 more annotations...
  • si nous sommes un grand pays de recherche, nous ne sommes pas dans le peloton de tête des pays d'innovation
  • C'est l'objet même du crédit impôt recherche. Cet outil très puissant, avec un taux d'aide triplé depuis début 2008 fait l'objet de nombreuses convoitises à l'international, depuis l'administration Obama jusqu'au gouvernement de Madame Merkel dont la commission d'experts pour la recherche et l'innovation conseille la création d'un tel outil fiscal outre-Rhin.
  • Du côté français, nous devons encore renforcer la recherche partenariale entre laboratoires publics et entreprises privées. De nombreuses incitations existent déjà comme les Instituts Carnot, les incubateurs d'entreprises, ou le doublement des dépenses de recherche partenariale dans le calcul du crédit impôt recherche
  • Nous devrons les évaluer et les faire évoluer si elles ne sont pas suffisamment incitatives.
  • Alors que l'Etat accompagne les entreprises avec des avantages fiscaux plus que conséquents, en particulier avec le remboursement anticipé du crédit impôt recherche annoncé dans le cadre du plan de relance qui va concerner neuf mille entreprises et 90% de PME, je souhaite vraiment que les entreprises s'engagent à maintenir leur effort de recherche et renforcent aussi leurs partenariats avec les établissements publics
  • les dépenses sous-traitées à un laboratoire public comptent double dans l'assiette du CIR
  • un dispositif spécifique pour les doctorants, « les doctorant-conseils», pour permettre à un doctorant d'effectuer des missions en entreprise et donc de familiariser l'entreprise avec les thématiques de sa thèse. C'est un bon dispositif pour permettre aux entreprises de tester la valeur d'un doctorant, et pour permettre au jeune chercheur de se familiariser avec d'autres horizons. 
  • La valorisation du doctorat est un enjeu majeur pour notre université, mais aussi pour notre pays, et pour le développement de la recherche privée.
  • Ils devront devenir davantage stratèges, et s'organiser autour d'une cohérence disciplinaire forte. Leur rôle sera conforté en tant qu'agence de moyens, apportant les concours  financiers et humains aux différents laboratoires, en particulier dans les universités.
  • Ils seront également opérateurs de recherche notamment dans le cadre de leurs unités propres ou pour la gestion des très grandes infrastructures de recherche qui leur incombe.
  • Coordinations inter-organismes et décloisonnement
  • 83 universités, 225 écoles, et 21 organismes de recherche
  • Ces consortiums et autres alliances permettront une meilleure coordination de notre effort national de recherche, et viendront alimenter la programmation thématique de l'ANR.
  • s'inscrire dans la « Vision 2020 » de l'espace européen de la recherche
  • programmation conjointe
  • Cet outil radicalement nouveau a justement vocation à coordonner les actions des différents Etats-membres sur des thématiques clés au regard des grands enjeux de demain
  • Rôle de l'Agence nationale de la recherche
  • confortée dans un rôle d'agence de financement pour des projets sélectionnés et évalués sur des critères d'excellence scientifique.
  • Il y a un an l'ANR consacrait 25% de ses budgets aux programmes blancs et 75% aux projets thématiques. Je crois que nous devons faire évoluer cet équilibre
  • Pour son volet thématique, l'ANR devra puiser dans les priorités de la stratégie nationale de recherche et d'innovation et s'appuyer sur les organismes de recherche qui doivent retrouver un rôle central dans cette programmation. 
  • C'est donc plus sur une démarche « bottom-up », que l'ANR devra maintenant fonder son activité avec environ 50% de projets thématiques et, 50 % de programmes blancs faisant émerger l'excellence et la créativité.
  • Ces programmes blancs devront sans doute être un minimum orientés par discipline de manière à en préserver certaines de la concurrence des autres. Je pense notamment aux sciences humaines et sociales qui devront à mon avis disposer de programmes blancs spécifiques. 
  • Simplification de la vie quotidienne des laboratoires
  • Les unités mixtes sont les briques élémentaires de notre système de recherche. C'est le lieu de la coopération entre les organismes et les universités, et dans certains cas avec les entreprises.
  • travailler au meilleur fonctionnement des unités mixtes de recherche.
  • simplification résolue de leur gestion. Vous savez qu'il y a 400 unités mixtes qui ont plus de quatre tutelles. C'est-à-dire quatre systèmes de contrôle de gestion, quatre systèmes de financement, quatre évaluations, quatre modes de gestion des ressources humaines.
  • simplifier la gestion de la propriété intellectuelle dans les unités mixtes de recherche.
  • A l'image de l'accord signé mardi dernier entre l'Institut Pasteur et l'Université Pierre et Marie Curie, je veux que l'on fixe un responsable unique pour la gestion des brevets dans les unités mixtes.
  • Pôles et campus
  • de véritables services uniques et communs de valorisation pourront être créés au sein des grands pôles universitaires
  • es pôles de recherche et d'enseignement supérieur se dotent de structures de valorisation conjointes
  • Ces services, véritables guichets uniques, proposeront au tissu industriel local des programmes de recherche partenariale, l'expertise des laboratoires qu'ils fédèrent, ou encore l'exploitation de brevets issus de la recherche publique
  • c'est avec une logique de site renforcée, comme à Toulouse, à Grenoble ou, bientôt, à Saclay, avec de véritables clusters d'excellence, associant enseignement, recherche fondamentale, innovation et entreprenariat, que nous pourrons attirer les meilleurs chercheurs internationaux et éviter que nos meilleurs chercheurs nationaux ne partent à l'étranger
  • Plan carrières
  • insi, les jeunes maîtres de conférences qui vont être recrutés l'année prochaine le seront avec des salaires entre 12 et 25% plus élevés qu'aujourd'hui. 
  • « plan carrières » inédit de 252 millions d'euros qui concerne tous les moments clefs des carrières
  • Le « plan carrières », c'est d'abord une harmonisation par le haut des carrières des enseignants-chercheurs et des chercheurs de façon à ce qu'il n'y ait plus de décalage injustifié.
  • des primes allant jusqu'à 15 000 € par an qui pourront être attribuées sur des critères d'excellence scientifique ou d'excellence pédagogique.
  • 20% des chercheurs  des organismes qui pourront prétendre à cette prime, si elle est attribuée à un taux moyen de 6 000 € par an
  • donner une visibilité sur l'emploi scientifique public pour les dix prochaines années, discipline par discipline
  • mener une analyse prospective de l'emploi scientifique à dix ans et permettre des recrutements qui ne soient pas des recrutements par à-coups
  • Il s'agit de pouvoir s'engager avec les organismes sur de vrais contrats d'objectifs et de moyens qui doivent être le cadre d'une relation de confiance entre l'Etat et les organismes.
  • supprimer le rapport semestriel qu'elle demandait aux laboratoires : ce sont 4 500 rapports supprimés !
  • continuer dans ce sens, et supprimer les nombreuses petites, mais à la longue tellement lourdes, surcharges administratives de vos laboratoires.
  • aucun document de référence disponible définissant les priorités à quatre ans, que sont les grands défis de la connaissance, les grands défis technologiques, et les grands défis sociétaux que la recherche doit nous permettre de relever
  • La cohérence d'ensemble était en réalité le fruit de la bonne volonté d'un certain nombre de professionnels plus que celle d'un cap clair, défini aussi bien pour nos chercheurs que pour nos partenaires internationaux.
  • C'est tout le contraire de l'action des gouvernements des autres grands pays de recherche et d'innovation comme le Japon, le Royaume-Uni, la Russie ou l'Allemagne, qui, chacun, ont rassemblé leurs grandes priorités de recherche dans un document stratégique. 
  • Vocation de la stratégie nationale
  • la référence pour fixer les priorités des organismes de recherche dans leurs contrats d'objectifs qui les lieront à l'Etat, et pour donner une légitimité nouvelle à la programmation de l'Agence nationale de la recherche.
  • construite sur le socle d'une vision académique solide, et préparée avec tous les acteurs de la recherche nationale et de l'innovation, publique et privée.
  • refuse les cloisonnements artificiels entre recherche fondamentale et recherche appliquée. La recherche est un continuum qui est une réponse globale aux enjeux de notre société pour demain.
  • Une démarche « bottom-up »
  • Sciences et société
  • Il est en effet essentiel d'associer ces porteurs d'enjeux à notre stratégie pour rapprocher la science et la société
  • ceux que l'on appelle maintenant les porteurs d'enjeux, c'est-à-dire les milieux associatifs qui représentent les diverses sensibilités de notre société. Ce sont aussi les représentants de l'Assemblée Nationale et du Sénat qui participent à ce projet
  • associations de protection de l'environnement
  • un certain nombre de nos concitoyens croient au progrès, d'autres s'en méfient. Il faut donc parvenir à bâtir des consensus sur le progrès scientifique.
  • es débats citoyens que nous avons lancés notamment dans le cadre du Grenelle de l'environnement doivent être toujours présents lorsque nous définissons des nouvelles priorités de recherche
  • Nous venons d'ailleurs de lancer un débat public sur les conditions de développement des nanotechnologies
  • Je souhaite qu'il ne puisse plus y avoir à l'avenir des malentendus et de l'irrationnel quand nous parlerons de nouvelles technologies ou de nouveaux champs de recherche. C'est pourquoi, il faut pouvoir intégrer en amont les inquiétudes sociétales fortes, et c'est aussi l'objet de la stratégie nationale de recherche et d'innovation.
  • es associations de promotion des sciences qui travaillent notamment pour que les vocations scientifiques se révèlent chez nos jeunes et que la relève soit assurée.
  • avec la stratégie nationale de recherche et d'innovation, nous allons pouvoir rendre publiques et donc visibles aux yeux de tous, y compris de nos grands partenaires mondiaux, les futures orientations de notre recherche.
Fred L

Portail du Gouvernement - site du Premier ministre - 0 views

  • Lancée sous l’autorité du Président de la République, la première édition de cet exercice de définition d’une stratégie nationale de recherche et d’innovation pour la période 2009-2012 aura lieu à compter du mois d’octobre 2008, pour une remise du document prévue pour mars 2009. Thèmes Cet article se rattache à ... Recherche Ministère de l’Enseignement
  • La stratégie nationale de recherche et d’innovation permettra de dégager une vision d’ensemble des défis à relever dans le domaine de la recherche et de l’innovation, pour établir les priorités, mettre en cohérence l’action de tous les acteurs et allouer au mieux les financements publics. Elle veillera à ne pas opposer recherche fondamentale et appliquée, prenant en compte l’existence d’un véritable continuum qui va de la recherche la plus fondamentale à l’innovation, comme l’ont encore montré les travaux du dernier Prix Nobel de physique français, M. Albert Fert.
  • A l’image des grands pays européens, la France doit se doter d’une stratégie de recherche et d’innovation lui permettant d’affronter la compétition scientifique et économique mondiale.
  • ...2 more annotations...
  • La ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche a présenté une communication relative à la définition d’une stratégie nationale de recherche et d’innovation.
  • Conseils des ministres Utilisez la commande Fichier > imprimerde votre navigateursi ce bouton ne fonctionne pas. 3-09-2008 13:58 La définition d’une stratégie nationale de recherche et d’innovation
Fred L

untitled - 0 views

  • La première ressource aide les leaders à motiver l'innovation au bénéfice de l'entreprise
  • Harvard Business Publishing lance le centre de l'innovation Harvard Business Publishing, première source en matière de pratiques, de programmes et de contenus de management, a aujourd'hui présenté son Centre de l'innovation, une collection complète de ressources visant à offrir aux leaders des entreprises de nouvelles stratégies, des concepts efficaces et des tactiques éprouvées pour leur permettre d'encourager les pratiques en matière d'innovation au sein de leurs organisations.
  • xperts leaders en innovation Le centre de l'innovation explique aux managers et aux leaders comment maitriser les aspects clés de l'innovation, de la stratégie au management, en passant par le processus. D'éminents experts incluant notamment Scott Anthony, Clay Christensen, Gary Hamel, Dorothy Leonard, et Stefan Thomke, partagent leurs idées par le biais de vidéos, d'articles, de modules d'apprentissage, de séminaires universitaires, d'alimentation en nouvelles Usenet et d'autres ressources de grande qualité d'Harvard Business Publishing. "Une innovation réussie se traduit par d'excellents retours en termes de valeur durable. Pourtant, de nombreuses entreprises hésitent lourdement à faire des efforts pour développer de nouveaux produits, services et manières de faire des affaires.," a déclaré Peter McAteer, directeur et vice-président de la division d'apprentissage d'entreprise d'Harvard Business Publishing. "Les meilleurs innovateurs profitent d'une augmentation des revenus et des parts de marchés, attirent les meilleurs talents, génèrent des retours élevés pour leurs actionnaires et établissent des marques puissantes. A l'ère d'une concurrence de plus en plus rude, aucune entreprise ne peut se permettre de manquer de tels avantages." En utilisant le Centre de l'innovation, les managers apprendront à : Développer une solide stratégie d'innovation Motiver et gérer les forces créatives qui alimentent les innovations réussies Etablir un processus méthodique pour la mise en oeuvre d'une stratégie d'innovation
François Bertrand

Lancement du second cycle de programmation de la Stratégie de Lisbonne - 0 views

  •  
    Information européenne - Stratégie de Lisbonne 20 mars
Fred L

Stratégie de Lisbonne 2 : Innovation, concurrence et ouverture des marchés : ... - 0 views

  • Stratégie de Lisbonne 2 : Innovation, concurrence et ouverture des marchés : quelles complémentarités entre ces politiques publiques ? novembre 2006 Le Centre d’analyse stratégique a organisé le 20 novembre dernier un deuxième séminaire sur la Stratégie de Lisbonne sur le thème "Marché intérieur, concurrence et innovation".   Consulter la Note "Concurrence, réglementation des marchés et innovation en Europe" : Les liens entre politique de la concurrence et politique de l’innovation   Consulter les Actes du séminaire
Fred L

2008/05/22 > BE Royaume-Uni 86 > Innovation Nation : le Livre blanc britanniq... - 0 views

  • DossierInnovation Nation : le Livre blanc britannique sur l'innovation http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/54733.htm Le Department for Innovation, Universities and Skills (le Ministère de l'innovation, des universités et des compétences britannique, le DIUS) a publié en mars 2008 sa stratégie pour l'innovation dans le Livre blanc intitulé "Innovation Nation".
  • "Innovation Nation" est un document d'orientation qui présente la stratégie que le gouvernement britannique souhaite adopter pour faire du Royaume-Uni une nation propice à, et active dans, le domaine de l'innovation. Les actions présentées touchent à l'éducation et à la formation, à la recherche académique, à l'exploitation des connaissances et au recours à la réglementation, aux marchés et aux services publics pour façonner un marché propice aux solutions innovantes. Le document insiste toutefois tout particulièrement, d'une part, sur l'innovation dans les services et dans les industries de la création et, d'autre part, sur le rôle que peuvent jouer la demande et les ministères gouvernementaux à travers leur politique de marchés publics.
  • Il annonce quelques mesures précises : création d'un indice de mesure d'innovation, d'une spécification nationale proof-of-concept (preuve de concept) et de deux nouveaux laboratoires consacrés à l'innovation. Le Livre blanc annonce également la publication d'un certain nombre de stratégies et de feuilles de route, notamment pour le DIUS et pour le Technology Strategy Board (le TSB).
  • ...1 more annotation...
  • Auteurs : PROST AnneAmbassade de France au Royaume-Uni - 14 pages - 30/04/2008
Fred L

Innovation le journal : L'Etat a des priorités - 0 views

  • Politique de recherche : L’Etat a des priorités
  • Jeudi, la ministre de la Recherche Valérie Pécresse devait présenter au conseil des ministres une communication sur la « stratégie nationale de recherche et d’innovation » visant à définir les priorités de la recherche pour la période 2009-2012.
  • Une intervention qui a dû être reportée, à jeudi prochain, pour cause d’obsèques militaires aux Invalides.
  • ...3 more annotations...
  • Présentation des grandes lignes de la stratégie du ministère dont l’objectif est, notamment, de susciter plus de retombées socio-économiques
  • L’objectif de cette nouvelle stratégie est, plus précisément, de cibler les grands « défis » de la France, auxquels devra s’atteler en priorité la recherche : vieillissement, alimentation, nanotechnologies… Pour ce faire, la ministre a établi une méthode de travail et un calendrier. Ainsi, durant six mois, d’octobre à mars 2009, une concertation associant la communauté scientifique, les milieux économiques et les associations devrait permettre de réaliser un document-cadre. Mais dans un premier temps, un comité restreint d’une dizaine de personnalités sera choisi pour cibler les grands axes stratégiques de la recherche pour la France.
  • Un plan qui vise à donner « aux chercheurs une visibilité sur plusieurs années  » et à mettre «  la science au service de la société et de l’économie » a expliqué la ministre dans le journal Le Monde, de vendredi.
François Bertrand

SLR - Le pilotage politique de la recherche passe à la vitesse supérieure - 0 views

  •  La ministre de la Recherche, Valérie Pécresse, a présenté mercredi dernier au conseil des ministres une communication sur la « stratégie nationale de recherche et d’innovation » visant à définir les priorités de la recherche pour la période 2009-2012. Nous ne pouvons que nous inquiéter, une fois encore, de ses propos qui témoignent à nouveau de la menace que constituent pour l’indépendance de la recherche les réformes prises par le gouvernement actuel.
  • En effet, s’il est parfaitement légitime que le pouvoir politique fixe de grandes orientations scientifiques, il n’est pas dans sa compétence de définir précisément les stratégies que les chercheurs déterminent pour tenter de répondre à ces orientations.
  • En outre, s’il nous paraît légitime que des représentants politiques interviennent dans la définition des grands axes stratégiques de la recherche, que des membres d’organisations de citoyens et des représentants du monde économique y soient associés, la manière dont ceux-ci, comme les chercheurs d’ailleurs, seront désignés, reste pour le moins obscure et laisse la porte ouverte à tous les abus et à toutes les manipulations.
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  • Qu’espère-t-il par cette stratégie de gribouille ? Serait-ce une nouvelle version d’un célèbre slogan de campagne : Financer moins et désorganiser plus pour chercher plus ?
François Bertrand

Science21 : CNRS, Pécresse, précarité... et vingt-cinq ans de « véritables st... - 0 views

  • Valérie Pécresse présentait en Conseil des Ministres  une communication sur la « stratégie nationale de recherche et d'innovation », avec pour but proclamé « d'identifier des priorités de recherche au niveau national en fonction des besoins de la société, des défis scientifiques à relever et des marchés porteurs pour les entreprises »
  • La recherche publique est ainsi mise en demeure de voler au secours des besoins d'une industrie privée en difficulté. Mais quelle est la source réelle des problèmes de l'industrie française ? Il semble bien que les privatisations, les délocalisations et la généralisation de la précarité d'emploi y soient pour beaucoup. Résultat de vingt-cinq ans de la même politique, invariablement accompagnée de discours sur une prétendue « modernisation ». Rien de vraiment nouveau dans les écrits et déclarations de Valérie Pécresse.
  • Ces derniers temps, de plus en plus de réunions européennes et internationales de «décideurs » au sommet sont consacrées à l'organisation de la recherche fondamentale à l'échelle planétaire ayant manifestement en vue des « optimisations budgétaires ». Quel est donc l'objectif de la « réforme » en cours des institutions scientifiques françaises, si ce n'est la privatisation et la délocalisation de la recherche ?
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  • Le texte ministériel « Stratégie nationale de recherche et d’innovation »
  • La cible est donc clairement l'indépendance et la liberté d'initiative de la recherche publique.
  • Au vu de ce tableau, il ne semble pas que les concessions faites par les organisations majoritaires des personnels de la recherche et de l'enseignement supérieur à l'occasion de la séance du Conseil d'Administration du CNRS du 1er juillet aient permis de stabiliser la situation. La réalité semble bien être que l'opération de démantèlement du CNRS et de précarisation de l'emploi de chercheur se poursuit malgré les marchandages de la fin du mois de juin.
david duplouy

Euromonde 2015 : une stratégie européenne pour la mondialisation - Rapport fi... - 0 views

  •  
    Extrait des principales conclusions : "La France a beaucoup à faire pour améliorer ses performances nationales et accroître du même coup sa crédibilité au regard de l'agenda de Lisbonne : c'est particulièrement le cas en ce qui concerne la réforme du marché du travail (flexicurité), les politiques de la connaissance, la politique énergétique et environnementale et l'appropriation nationale de la stratégie européenne. Les réformes engagées depuis le printemps 2007 doivent être poursuivies et approfondies." "Sa présidence prochaine de l'Union européenne offre à la France l'occasion de promouvoir certains objectifs prioritaires tels que la dynamisation du « triangle de la connaissance » (enseignement supérieur, recherche et innovation)" "Lisbonne Plus doit s'appuyer sur des mesures économiques, sociales et environnementales centrées sur la promotion de l'innovation : ces mesures porteront à la fois sur le renforcement de l'économie de la connaissance, la valorisation du capital humain européen et la promotion d'une « nouvelle économie verte »."
François Bertrand

« Des nouvelles technologies à un nouvel enjeu social ! », une tribune de Luc... - 0 views

  • la génération des « digital natives » recherche un
  • sens, peu numérique celui-là, à son engagement dans l'entreprise.
  • Et à la réflexion, rares sont les sociétés qui intègrent dans l'ADN de leur projet fondateur ou de leur stratégie, des valeurs spontanément mobilisatrices.
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  • Comme on le voit, en période de tempête financière et de doute des jeunes face aux business de la méga-consommation, certaines alternatives font rupture de fond et de forme.
  • « Les entrepreneurs français de l'Internet qui souhaitent réussir à l'échelle internationale n'ont que deux véritables choix : être franco-américains ou américains tout court. En effet, le marché américain structure le marché mondial par sa masse critique autant d'utilisateurs que de capitaux pour financer les projets », selon Olivier Ezratty, Conseil en Stratégie de l'Innovation. La France dispose elle aussi d'un formidable capital humain et d'écoles d'excellence. Elle incarne pleinement les valeurs humaines exprimées dans les projets que nous venons de citer. Nous tenterons de comprendre, jeudi 20 novembre, aux Jardins de l'Innovation, en direct live de la « Valley » les facteurs clefs de succès à l'œuvre dans ce creuset international de l'innovation high-tech.
  •  
    pour aller dans le sens du billet de David
Fred L

Les éco-innovations ont désormais leur chaire internationale - RECHERCHE ENVI... - 0 views

  • Les Stratégies   Croissance verte afficher_top_rubrique("Les Stratégies"); OAS_AD("Middle3");   OAS_AD("Middle4"); Partager :Les éco-innovations ont désormais leur chaire internationale [ 27/01/09  ] 1 commentairesL'ASSOCIATIONBaptisée « Generating Eco-Innovation », la nouvelle chaire d'enseignement est le fruit d'une association entre les fondateurs du Pôle de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) Universud Paris et quatre industriels : GDF Suez, Italcementi, SAUR, SNCF.
Fred L

L'innovation, fausse priorité de l'Union - POLITIQUE ECONOMIQUE POLITIQUE IND... - 0 views

  • Les pouvoirs publics nationaux et européens affichent régulièrement leurs intentions en faveur de l'innovation - souvenez-vous de la stratégie de Lisbonne en 2000 ! En dépit de cela, les réglementations qui pénalisent les entreprises innovantes se sont multipliées au fil des années. A tel point qu'il n'est pas absurde de se demander si l'innovation est réellement une priorité
  • D'une part, sous l'impulsion de ce qu'on appelle aujourd'hui le « principe de précaution »,
  • secteur pharmaceutique,
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  • d'autres politiques prennent parfois le relais en pénalisant leur libre commercialisation par les entreprises innovantes, leurs prix et leur utilisation.
  • La conséquence inévitable de telles politiques est de réduire les incitations à innover.
  • Il ne faut pas oublier qu'en dépit de ses bénéfices, l'innovation, quel que soit le secteur, ne doit pas être considérée comme acquise. Elle est par nature une activité risquée et ne peut se poursuivre si les entreprises innovantes se trouvent régulièrement pénalisées. En multipliant ces entraves, nous pourrions bien porter un coup fatal à l'innovation, en dépit des déclarations répétées selon lesquelles il s'agit d'une priorité.
  • Valentin Petkantchin est directeur de la recherche de l'institut économique Molinari.
  • L'innovation, fausse priorité de l'Union [ 14/01/09  ] Les pouvoirs publics nationaux et européens affichent régulièrement leurs intentions en faveur de l'innovation - souvenez-vous de la stratégie de Lisbonne en 2000 ! En dépit de cela, les réglementations qui pénalisent les entreprises innovantes se sont multipliées au fil des années. A tel point qu'il n'est pas absurde de se demander si l'innovation est réellement une priorité et si ces réglementations n'étoufferont pas la prise de risques et les efforts des entreprises dont dépendra pourtant notre futur niveau de vie.
  • Valentin Petkantchin est directeur de la recherche de l'institut économique Molinari
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    Article polémique libéral contre les réglementations qui entravent l'innovation...à connaitre...
Fred L

Le Figaro - L'entreprise : Entreprises : Comment innover ? - 0 views

  • Entreprises :toutes les clés pour innover
  • Pôles de compétitivité, stratégie d'innovation, recherche et développement… autant de termes que le chef d'entreprise désireux d'emprunter la voie de l'innovation doit connaître, pour assurer sa croissance dans un contexte de crise.
  • LIRE LE DOSSIER » Une incitation fiscale pour innover » Les coups de pouce pour les entreprises innovantes » L'export : une stratégie au service de l'innovation L'innovation leur a réussi, ils expliquent pourquoi » Noomeo : l'investissement dans une technologie de pointe » Kalori : l'export comme solution » Découvrez des outils gratuits pour mieux gérer votre entreprise
  •  
    Dossier complet
Micheline LIAGRE

Propositions Allègre sur l'innovation - 0 views

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    10 propositions concrètes pour une stratégie européenne accélérée de l'innovation : année 2009 dédiée à l'innovation, stimuler l'innovation dans les nouveaux pays membres de l'UE, mise en réseaux des universités de technologie, mettre en place un système de mobilité pour les chercheurs et les universitaires, relancer Eureka, coordonner les programmes nationaux de recherche, créer un emprunt européen de la BEI pour l'innovation, consacrer chaque année un Conseil européen à l'innovation pour définir les grands programmes de recherche européens.
Fred L

[S&D-5] Libre-accès aux publications scientifiques | Mediapart - 0 views

  • [S&D-5] Libre-accès aux publications scientifiques 15 Janvier 2009 Par HerveLeCrosnier
  • Le mouvement pour le libre-accès aux publications scientifiques est né de ces contradictions. Comment valoriser la recherche en la diffusant le plus largement, et ce faisant augmenter le potentiel global de la «société de la connaissance» ?
  • La publication dans les revues, surtout dites «de haut niveau», est une nécessité pour le chercheur. C'est le syndrome «publish or perish». Les publications permettent de faire évoluer la carrière de chaque chercheur, de valoriser le laboratoire ou l'université, et donc lui permettre d'obtenir de meilleures conditions de recherche. Mais pour une large fraction des chercheurs, la dissémination des résultats apparaît aussi comme un débouché normal de la recherche.
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  • À l'inverse de cette démarche de partage, l'édition de revues scientifiques est devenu un business très bénéfique, appuyé sur des achats publics (bibliothèques) et la fourniture gratuite de la matière intellectuelle par la recherche... publique.
  • «Au cours des cinquante dernières années, les éditeurs sont parvenus à transformer les revues scientifiques - traditionnellement, une forme de publication considérée comme secondaire et peu profitable - en un commerce lucratif.» souligne Jean-Claude Guédon.
  • Ce système s'étend maintenant des publications imprimées vers la diffusion (payante) en ligne des articles. Pour accéder aux services électroniques des éditeurs les chercheurs doivent se décrire, ce qui induit un profilage des chercheurs. Officiellement, ceci est destiné à leur servir les articles les plus susceptibles de les intéresser. En réalité, l'éditeur obtient des informations sur les recherches en cours (les équations de recherche documentaire, les commandes d'articles) qui ont un double intérêt: anticiper sur les secteurs à venir (veille technologique) et produire les journaux qui pourraient devenir leader de ces nouveaux secteurs revendre les listings à des annonceurs ciblant les secteurs de la recherche en fonction de ces profils. C'est cyniquement le justificatif donné par Elsevier pour ouvrir en septembre 2007 OncologySTAT, le premier site d'articles médicaux en accès gratuit financé par la publicité.
  • L'Appel de Budapest a défini deux voies pour obtenir un libre-accès le plus large possible aux publications scientifiques : «L'accès libre à la littérature des revues à comités de lecture est le but. L'auto-archivage (BOAI - I) et une nouvelle génération de revues alternatives en libre accès (BOAI - II) sont les moyens d'atteindre cet objectif. Ils ne constituent pas seulement les moyens directs et efficaces à cette fin, ils sont à la portée des savants eux-mêmes, immédiatement, et ne nécessitent pas d'attendre des changements quelconques apportés par les marchés ou la législation.»   On retrouve la volonté des nouveaux mouvements sociaux du numérique d'agir dès maintenant et par eux-mêmes pour développer des solutions praticables, inventives et ouvertes.
  • Pour Stevan Harnad, principal promoteur de BOAI-1, l'archivage est une décision individuelle qui doit être poussée par les institutions. Celles-ci doivent rendre obligatoire le dépôt en archive ouverte pour les recherches qu'elles financent. Ce faisant, l'archivage ne change rien au circuit traditionnel, ce qui rend cette stratégie opérationnelle. Inlassable débatteur, Stevan Harnad a su donner une vision globale à cette stratégie et la voir adopter, même si au passage elle fut affaiblie par une trop longue durée avant la libre-publication. Les grands organismes nationaux de recherche (NIH aux États-Unis, RCUK en Grande-Bretagne, CNRS, INSERM et INRIA en France... ) et les trusts finançant les recherches (Wellcome Trust par exemple) exigent dorénavant la mise à disposition dans des archives ouvertes.
  • Dans le même temps, bénéficiant de financements importants et s'appuyant sur de nouveaux modèles économiques comme le paiement à la source, la deuxième voie, dite BOAI-2, a décollé avec la création de nouveaux journaux respectant d'emblée la définition du libre-accès. Alors qu'il dirigeait le NIH (National Institute of Health), le prix Nobel Harold Varmus a proposé en 1999 l'ouverture d'une vaste archive pour les publications bio-médicales. Or l'opposition des éditeurs des revues existantes est devenue manifeste, notamment en obtenant du Congrès un délai de 12 mois avant la mise en accès libre. C'est donc sur leur terrain que Harold Varmus est allé remettre en cause le système des revues. Avec Michael Eisen et Patrick Brown, il crée PloS (Public Library of Science) qui va rapidement lancer des revues en libre-accès (PloS Biology, PloS medecine, ...) qui sont devenues des revues de référence majeures.
  • C'est un moment important pour le mouvement pour le libre-accès à la recherche qui se joue actuellement. Car la cible de l'affrontement, et les éditeurs ne s'y trompent pas, est déplacée dans l'univers politique. Au fond, c'est la relation de la recherche à la société qui se discute. On trouve deux logiques contradictoires, mais qui aboutissent à cette même re-politisation de la question des publications scientifiques : le refus de l'intervention publique de la part des éditeurs le désir d'ouverture des recherches à la société civile pour mieux comprendre ce qui se joue dans les laboratoires et l'impact de la science sur la société.
  • Car avec les publications en libre-accès, les chercheurs ont non seulement modifié l'équilibre interne de leur profession, ouvert des débats politiques sur le financement de la recherche, mais aussi et peut être surtout pour ce qui nous intéresse ici, ouvert la porte à un nouvel usage par un public élargi.
  • Il se profile une autre relation du «public» à la science. Les groupes concernés veulent accéder à l'information de plus haut niveau pour évaluer les enjeux scientifiques avant même qu'ils ne deviennent «technoscience». Une des première manifestation de ce phénomène a été l'implication des groupes de malades dans la recherche médicale, pour faire pression, analyser les avancées, ou diffuser les résultats des recherches. Les malades du SIDA sont souvent devenu des co-experts de leur maladie, en égalité avec l'équipe médicale.
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    [S&D-5] Libre-accès aux publications scientifiques 15 Janvier 2009 Par HerveLeCrosnier
François Bertrand

Les deux volets de la compétitivité - CONJONCTURE ECONOMIQUE POLITIQUE ECONOM... - 0 views

  • celui de la Commission pour la libération de la croissance française, présidée par Jacques Attali, et le rapport d'étape de la mission L'Europe dans la mondialisation, que Christine Lagarde et Xavier Bertrand m'ont chargé de conduire
  • Il n'en reste pas moins qu'en ce qui concerne la France, les analyses convergent. Une bonne part des prescriptions de la commission Attali - notamment celles portant sur l'éducation, l'enseignement supérieur, la recherche, l'innovation, la mobilité du capital humain, l'accompagnement social des mutations... - relèvent de la stratégie européenne lancée à Lisbonne en mars 2000.
  • Le rapport d'étape sur le prochain cycle 2008-2010 de la stratégie de Lisbonne qui vient d'être remis aux pouvoirs publics (www.minefe.gouv.fr) analyse ce retard français par rapport aux objectifs de Lisbonne et aux performances européennes, et recommande son rattrapage en sélectionnant quelques axes prioritaires de réforme plus amplement développés et complétés par la commission Attali.
François Bertrand

Une stratégie européenne pour la mondialisation - 0 views

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    Rapport de la mission "l'Europe dans la mondialisation" Laurent Cohen-Tanugi avril 2008
Fred L

Innovation en région : la place des universités en débat au colloque de la CPU - 0 views

  • Innovation en région : la place des universités en débat au colloque de la CPU
  • La France ne fait pas partie des leaders européens de l’innovation. Elle est un peu au-dessus de la moyenne de l’Union européenne, derrière notamment la Suède, la Finlande, l’Allemagne, le Danemark ou l’Angleterre. Jean-Marie Castelain, responsable du suivi de l’agenda de Lisbonne pour la France à la Commission européenne, a dressé ce panorama lors du colloque de la Conférence des présidents d’université (CPU), qui s'est tenu du 25 au 27 mars 2009 à Brest, avant que celui-ci ne soit sérieusement perturbé par des étudiants.
  • Les pôles de compétitivité font cavaliers seuls « En France, les pôles de compétitivité sont gérés par le seul ministère de l’économie et il n’y a pas de commission interministérielle sur l’innovation. De plus, le retour de création de connaissances vers la formation n’est pas pensée », a déploré ce responsable également impliqué dans la mise en place de l’IET (Institut européen de d’innovation et de technologie).
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  • En revanche, il a mis en garde contre plusieurs écueils. « Les universités ne doivent pas être des lieux d’externalisation de la recherche des entreprises. Les enseignants-chercheurs ne doivent pas devenir en premier lieu des entrepreneurs. Les universités ne doivent pas être des centres de formation professionnelle. »
  • Des fonds communautaires sous-employés
  • Patrice Baillieux, en charge de la politique régionale à la Commission européenne est venu rappeler aux présidents d’université qu’il y avait « une sous-utilisation préoccupante des programmes [de financement] sur la compétitivité. Le préfet de région pilote directement ces fonds. Ceux capables de faire des propositions correctes par rapport à l’innovation ont des chances d’obtenir des crédits communautaires ».
  • Les universités peu présentes dans la stratégie régionale d'innovation Pourquoi les universités ne sont-elles pas plus motrices dans la demande de ces lignes budgétaires ? « Il est difficile de mettre les universités au centre de la gouvernance des pôles de compétitivité. On n’est pas associé à la vision stratégique du développement. Des universitaires interviennent à titre individuel pour défendre leur discipline, mais il n’y a pas de volonté des collectivités », a reproché Richard Messina, président de l’université d’Evry, dont l’établissement est impliqué dans cinq pôles de compétitivité. D’autres en revanche ont fait peser davantage la responsabilité sur les universités elles-mêmes, peu volontaristes dans la définition de la stratégie économique régionale.
  • « Il nous manque au niveau régional, une instance stratégique », avance Jean-Pierre Gesson, président de l’université de Poitiers. Un vœu que l’université d’Angers est sur le point d’exaucer en réunissant les maires d’agglomération et les présidents d’université pour discuter de l’enseignement supérieur.
  • Les PRES, porte d'entrée de l'innovation ?
  • Dans ses conclusions, la CPU s’est voulue, elle, volontariste en revendiquant que l’université soit un acteur de l’innovation, au sein des PRES et que l’effort de financement public soit « significatif et continu ».
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    Innovation en région : la place des universités en débat au colloque de la CPU
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