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François Bertrand

Les Echos : Marques : le classement 2008 d'Interbrand rebat les cartes - 0 views

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    La première marque française est Louis Vuitton (16ème place). Les huit marques françaises du Top 100 appartiennent à l'industrie du luxe (Chanel, Hermès, Louis Vuitton), l'agroalimentaire (Danone, Moët et Chandon, Hennesy), la cosmétiques (L'Oréal) et l'assurance (AXA).
Fred L

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  • Opération Campus : Aubervilliers sort gagnant du trio parisien
  • Opération Campus : Aubervilliers sort gagnant du trio parisien
  • Après les six lauréats du premier tour, trois projets sur quatre seulement ont été sélectionnés par l’opération campus 2 : le PRES d’Aix-Marseille, les campus de Saclay et de Condorcet-Paris Aubervilliers. Sans surprise. La surprise est venue des projets de Paris intra-muros, retoqués faute d’un rassemblement (toujours) insuffisant. Valérie Pécresse leur laisse une dernière chance pour présenter un ultime projet d’ici à l’automne 2008 s'ils parviennent à construire le « quartier latin du XXIème siècle ». Autre condition : « saisir les opportunités avec les départs des établissements vers Saclay et Aubervilliers ». Une mission d’audit sur le patrimoine urbain, financier et scientifique des établissements parisiens est lancé par les ministères de l’Enseignement supérieur, des Finances et de l’Equipement. Les établissements parisiens qui ont choisi des projets ultra-périphériques ont en revanche tiré leur épingle du jeu. Zoom sur le projet d'Aubervilliers qui pourrait inspirer des regrets ou donner des idées à certains.
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  • Seul site trans-périphérique et seul projet national centré sur les sciences humaines et sociales, le  projet de campus Condorcet Paris-Aubervilliers était en concurrence avec deux autres projets parisiens : celui du quartier latin et celui de Paris-centre. « C’est un signe fort envoyé aux sciences humaines et sociale. Le choix d’Aubervilliers est une marque très importante pour des disciplines qui se posent des questions », se réjouit Danièle Hervieu-Léger, la présidente de l’EHESS. Au-delà du choix du comité de sélection, ce campus avait depuis longtemps les faveurs de Valérie Pécresse.
  • Un campus sur deux sites L’un des sites, le plus grand avec 100 000 m2 sur 5 hectares, sera situé sur le territoire de la Plaine commune à Aubervilliers, près du Stade de France. A 900 mètres après le périphérique, l’autre site sera installé à la Porte de la Chapelle, côté Paris, autour de la Maison des sciences de l’Homme (MSH) de Paris Nord, fondés par Paris 8 et Paris 13.  
  • Jouer groupé Comme pour les autres dossiers franciliens, manquait dans le projet initial présenté au premier tour un regroupement de partenaires suffisamment nombreux. Autour d’institutions dédiées principalement à la recherche comme l’EHESS (Ecole des hautes études en sciences sociales) et l’EPHE (Ecole pratique des hautes études), le projet s’appuie désormais sur trois universités : Paris 1 à laquelle se sont rajoutées Paris 8 et Paris 13. Cette dernière université, pluridisciplinaire, a rejoint le projet entre les deux tours de l’Opération campus une fois son nouveau président, Jean-Loup Salzmann, élu. « Pour mon université pluridisciplinaire, il est très intéressant de voir comment nous allons réussir à faire le lien entre les SHS et les autres disciplines, notamment dans le domaine de la santé, avec les questions de nutrition, de dé-sociabilisation, de précarité, etc. », explique Jean-Loup Salzmann. Le Cnam, l’Ecole d’économie de Paris, l’école des Chartes ou l’INED (Institut national d’études démographiques) sont désormais aussi partenaires du projet. Cet organisme de recherche devrait même y déménager son siège. L’IRD et le CNRS – avec un millier de chercheurs - sont également associés.  
  • Délocalisation et restructuration   Outre l’EHESS qui déménagerait, dans un premier temps dans des locaux provisoires Porte de la Chapelle, Paris 1 a, entre les deux tours, rationaliser ses sites, sous la pression du ministère de l’Enseignement supérieur. Au final, sur 25 sites de Paris 1, une dizaine devrait être libérée et ses équipes rejoindre le campus Condorcet. La négociation en interne et avec le ministère risque d’être néanmoins serrée.
  • Les mutualisations inter-établissements « Ce qui a primé dans le choix, c’est la logique de site, pas la logique de réseau. Nous ne nous acheminons pas vers une fusion de nos établissements. Mais nous aurons des coopérations et des entreprises communes comme celle de faire une « université tout au long de la vie »", indique Danièle Hervieu-Léger. Un service de formation continu inter-établissement est en effet envisagé. Autres regroupement de services : une bibliothèque de 10 000 m2, l’édition universitaire et un campus numérique.
  • L’objectif est aussi de pouvoir faire montre d'une « masse critique » de chercheurs pour s’affirmer comme une référence internationale et comme le premier pôle scientifique français sur les SHS. Il rassemblera la quasi totalité des centres de recherche de l’EHESS et de l’EPHE. Au total, 2000 enseignants-chercheurs et chercheurs, 6200 étudiants de master et doctorants. Les 10 000 étudiants de Paris 1 (dont la moitié de ses licences) en sciences humaines et sociales, et en économie.  
  • Comment piloter l’ouvrage ?   Une fondation de coopération scientifique avec un conseil d’administration d’une vingtaine de membres a été retenue. De quoi ménager les statuts des différents établissements regroupés. Les porteurs du projet évalue à 429 millions d’euros le montant nécessaire à l'opération. Un quart viendrait de la région Ile-de-France, déjà acté dans les contrats de Plan Etat-Région (CPER). « Nous avons rêvé, maintenant il nous faudra rentrer dans le concret : lancer des appels d’offres, trouver un maître d’ouvrage. Nos préoccupations seront les suivantes : monter des partenariats publics-privés, acheter les terrains à des entreprises, des communautés de communes ou des municipalités, monter un plan financier », énumère Jean-Loup Salzmann.
  • L'opération campus : gagnants et perdantsL’Opération campus aura concerné sept régions et la moitié des universités françaises. Pour les lauréats, un projet affiné sur le financement et la gouvernance devra être présenté avant de savoir quelle part des cinq milliards d’euros sera réellement accordée à chacun d’eux. Le plus gros, celui de Saclay, est chiffré à 1,2 milliard d’euros.
  • Les universités parisiennes intra-muros auront leur part à une condition : mettre fin à une « situation immobilière inextricable », dixit Valérie Pécresse : « Parfois trois universités sont sur le même site et certains sites sont parfois mal valorisés ». Les projets devraient débuter en janvier 2009.
  • Pour les autres projets, les cinq milliards d’euros s’évanouissent. Les 7 « campus prometteurs » de Lille, Nancy-Metz, Paris Est, université européenne de Bretagne, Nantes, Nice et Clermond-Ferrand n'ont pour le moment droit qu'à un label de consolation. Valenciennes, Le Havre, Cergy et Dijon sont récompensés par le titre de « projets innovants »…  
François Bertrand

Le Figaro - Economie : Bercy veut mobiliser les ambassadeurs sur l'économie - 0 views

  • Déficit d'image
  • Elle compte également insister sur le rôle qu'ils doivent jouer pour améliorer la réputation des produits français. Dans de nombreux pays, l'Allemagne jouit d'un excellent crédit pour ce qui concerne les produits technologiques de qualité. «Notre industrie est l'une des meilleures au monde, faisons le savoir !», souligne la secrétaire d'État, qui insiste sur le déficit d'image dont la France souffre parfois. Bref, la «diplomatie d'influence» chère au Quai d'Orsay doit aussi concerner les affaires !
Fred L

Le Figaro - Economie : Les entreprises réinventent l'innovation à La Baule - 0 views

  • Les entreprises réinventent l'innovation à La Baule
  • La World Investment Conference a insisté sur le rôle central du partage de la connaissance dans le développement économique.
  • C'est le message adressé par le président de la République en clôture de la World Investment Conference, qui s'est tenue jeudi et vendredi à La Baule. Nicolas Sarkozy concluait ainsi le thème sur lequel plus de 1 000 participants ont planché, arrivant au diagnostic que non seulement l'innovation, mais aussi «l'énergie créative» feront de l'Europe un territoire plus attractif et plus compétitif.
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  • «Le capital humain créateur de valeur est la future priorité de l'Europe.»
  • Les entreprises l'ont anticipé. Mark Lloyd (département design chez Citroën) compare son métier à celui de jardinier : «L'idée n'est pas de créer de nouveaux produits, mais de les fertiliser. Aujourd'hui, on innove pour créer une image de marque : c'est beaucoup plus complexe que ce que nous faisions il y a dix ans !»«L'industrie de la connaissance est l'avenir de l'Europe», lâche aussi Jaques Guers, président de Xerox France, entreprise spécialisée dans la bureautique et l'imprimerie. Ainsi, son centre de recherche et développement de Grenoble travaille sur «le sens des mots, pas sur la forme. Nos clients ont besoin de ce nouveau savoir».
  • Une idée largement partagée par Ashok Narasimhan, fondateur de Wipro Technologies : «90 % de la valeur ajoutée se trouve dans la résolution des problèmes du client, pas dans la technologie.
  • t ce ne sont pas les investissements étrangers qui créent de l'emploi, ce sont les réseaux et l'intelligence.» Ce n'est pas Gigi Wang, en charge du MIT Stanford Venture Lab, qui le contredira. Selon elle, la clé du succès est aussi dans «la mise en réseau». Dans son laboratoire, où se croisent entrepreneurs en herbe, entreprises matures ou encore chercheurs, elle dit «éduquer la communauté à l'innovation et la productivité, en profitant de toutes les intelligences».
  • Un Facebook pour entreprises
  • Le réseau, c'est ce que compte bien exploiter François Barrault, PDG de BT Services. Selon lui, ce sont les évolutions de ces dernières années qui rendent une nouvelle forme d'innovation indispensable. «En un an, les connexions à Internet ont été multipliées par 14 en Asie. Désormais, la connaissance est distribuée.» Pour transformer cette connaissance en innovation, BT Services lance un produit qu'il qualifie de «révolutionnaire : un Facebook pour les entreprises». Sur ce réseau, «des idées et des expériences pourront être partagées, des solutions trouvées : on passe d'un modèle : je sais donc je suis à un modèle je sais donc je donne . Ce partage de la connaissance crée de l'innovation. Alors qu'il y a quelques années, on mettait des barbelés autour des centres de R & D».
  • «Attention quand même à la propriété intellectuelle», met en garde Francis Bailly (General Electric). Et de rappeler que le développement d'une molécule prend vingt ans et coûte 1 milliard de dollar. «Si la recette se trouve sur Internet, plus personne ne voudra investir en développement. Les entreprises doivent certes se réinventer, mais surtout dans leur façon de travailler. C'est une autre forme d'innovation.» .
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