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Fred L

Le Rapport sur la compétitivité mondiale, 2006-2007 - 0 views

  • Le 26 septembre 2006, le Forum économique mondial (FEM) a diffusé le Rapport sur la compétitivité mondiale, 2006-2007.(
  • Pour ce faire, les auteurs se servent de plus de 100indicateurs pour faire une évaluation détaillée des conditions économiques de 125 pays et ils classent ces derniers selon leur compétitivité.
  • Le présent document examine brièvement la méthode utilisée dans le rapport du FEM. Il présente ensuite certains des principaux résultats obtenus par le Canada pour ce qui est de la compétitivité globale et dans le domaine de la technicité des entreprises, de l’innovation et de l’infrastructure. Le document se termine par une brève évaluation schématique du classement établi par le FEM.
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  • L’ICM donne un aperçu des facteurs que le FEM considère comme les moteurs essentiels de la productivité et de la compétitivité, et il les regroupe en neuf piliers indépendants : Institutions Infrastructure Macroéconomie Santé et enseignement primaire Enseignement supérieur et formation Efficacité du marché Préparation technologique Technicité des entreprises Innovation
  • Afin d’évaluer la compétitivité de certains pays, le FEM utilise un «indice de compétitivité mondiale» (ICM) comme outil principal. (5) On calcule l’ICM pour 125 pays et celui-ci va de 2,5, niveau le plus bas (Angola), à 5,81, niveau le plus élevé (Suisse).
  • Les piliers sont organisés en trois sous-indices, chacun étant indispensable à un stade de développement particulier [d’un pays] : a) le sous-indice des exigences de base regroupe les piliers indispensables aux pays au stade de développement fondé sur les facteurs (institutions, infrastructure, macroéconomie, santé et enseignement primaire); b) le sous-indice des optimiseurs d’efficacité englobe les piliers indispensables aux pays au stade de développement fondé sur l’efficacité (enseignement supérieur et formation, efficacité du marché, préparation technologique); c) le sous-indice des facteurs d’innovation et de technicité englobe tous les piliers indispensables aux pays au stade de développement fondé sur l’innovation (technicité des entreprises, innovation).(7)
  • Même si tous les pays sont classés en fonction de ces trois sous-indices, la méthode de l’ICM repose sur le principe selon lequel les «facteurs d’innovation et de technicité» ont une importance particulière pour l’évaluation des pays développés
  • Tableau 1 : Classement général selon l’ICM (10)
  • Pour ce qui est du sous-indice des facteurs d’innovation et de technicité, le Canada se classe aussi au 16e rang (voir le tableau 2) et aussi derrière certains de ses principaux partenaires commerciaux du G8 (É.-U., 4; Japon, 1; Allemagne, 3; R.-U., 10; France, 13).
  • le Canada est devancé par des partenaires plus petits, mais apparemment plus concurrentiels (Suisse, 2; Suède, 5; Finlande, 6; Danemark, 7; Israël, 8; Taïwan, 9; Pays-Bas, 11; Belgique, 14; Singapour, 15).
  • Selon le rapport du FEM, le Canada occupe le 16e rang au classement général de l’ICM (voir le tableau 1), derrière certains de ses principaux partenaires commerciaux du G8 (É.-U., 6; Japon, 7; Allemagne, 8; R.-U., 10). Le Canada est aussi devancé par la Suisse (1), la Finlande (2), la Suède (3), le Danemark (4), Singapour (5), les Pays-Bas (9), la Norvège (12), Taïwan (13), l’Islande (14) et Israël (15). Toutefois, le Canada se classe mieux que d’autres économies importantes (France, 18;Australie, 19; Inde, 43; Chine, 54; Mexique, 58; Russie, 62; Brésil, 66). 
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    Mesure de la compétitivité : méthode du Forum Economique Mondiale (FEM)
François Bertrand

CAS : Diagnostic stratégique France 2025 - 0 views

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    Rapport du CAS - avril 2008 voir en particulier la partie "création, R&D et innovation" (fichier 3)
Fred L

Paul-Sabatier lance sa nuit de l'innovation - 0 views

  • Paul-Sabatier lance sa nuit de l'innovationUniversité. 75 étudiants de mastère invités à plancher en continu sur un projet de créativité ce soir.
  • Pourtant, les compétences en la matière sont encore rares». Face à ce constat, l'université Paul-Sabatier adécidé d'organiser, pour la première fois, une « nuit blanche de l'innovation».
  • partir de ce soir 27 octobre à 18 heures et jusqu'à demain 18 heures, des enseignants du département inter-UFR d'Ingénierie, feront travailler 75 étudiants, issus des promotions de 3 masters différents (spécialistes en management des entreprises en réseau et en ingénierie du diagnostic, d'instrumentation et de la mesure) sur un projet de créativité, en termes techniques et économiques. Cette opération est menée avec l'appui du cabinet conseil gestion d'innovation Novapten.
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  • Au delà de cette journée, l'université Paul Sabatier, fortement impliquée dans la culture de l'Innovation, intègre progressivement à ses cursus des formations spécifiques, en partenariat avec Novapten.
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    Ca bouge en France
Fred L

La recherche partenariale au service de l'innovation dans les PME - 0 views

  • La recherche partenariale au service de l’innovation dans les PME
  • Seule l’innovation ouverte est de nature à assurer à notre tissu industriel un avantage concurrentiel et à garantir les emplois d’aujourd’hui et de demain.
  • Pour répondre au mieux à ces enjeux économiques et sociétaux, l’Assemblée des Chambres Françaises de Commerce et d’Industrie (ACFCI) et l’Association des instituts Carnot ont décidé d’unir leurs forces et leur action en faveur des PME/PMI.
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  • Grâce à la convention cadre, signée le 1er octobre entre les deux organismes, une série d’actions déclinables et adaptables au cas par cas au niveau local entre les partenaires de chaque réseau va s’engager au profit de la recherche partenariale entre laboratoires publics et PME/PMI.
  • Les partenaires se fixent comme objectifs de :promouvoir l’offre de recherche des instituts Carnot en assurant dans le réseau consulaire sa promotion auprès des PME et en relayant l’information sur leur offre de compétences au profit desentreprises (moyens de tests et d’essais, expertise, transfert de technologies...)valoriser les actions des C(R)CI : l’AiCarnot informera et sollicitera la participation des instituts Carnot aux actions et projets des C(R)CI dans les domaines de l’innovation, de la propriété industrielle, du montage de partenariats de recherche et du transfert de technologies,participer aux programmes européens de R&D. Pour ce qui concerne les C(R)CI, le Réseau « Enterprise Europe Network » d’appui à l’innovation permettra d’identifier les programmes les plus pertinents.
  • La recherche partenariale au service de l’innovation dans les PME
Fred L

rapport CAS compétitivité entreprises françaises - Recherche Google - 0 views

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    Un rapport déjà ancien (1994) mais éléments théoriques sur la compétitivité et analyse de la diversité des entretreprises françaises intéressant
François Bertrand

Le Figaro - Economie : Le poids des services continue à s'accroître dans l'éc... - 0 views

  • Forte prédominance des structures de petite taille Dans le cadre de son enquête, l'Insee a divisé les services marchands en deux catégories : les services aux entreprises (427 900 entreprises) d'une part, l'immobilier et les services aux particuliers (410 500) d'autre part. Dans les deux cas, l'institut souligne une forte prédominance des structures de petite taille : 90 % des entreprises comptent moins de dix salariés en ce qui concerne les services aux entreprises, 94 % dans le cas de l'immobilier et des services aux particuliers.
François Bertrand

Le Figaro - Débats : Que vaut le classement de Shanghaï des universités ? - 0 views

  • Yves Gingras, professeur à l'Université du Québec à Montréal, directeur scientifique de l'Observatoire des sciences et des technologies (OST-UQAM), s'interroge sur la pertinence du classement de Shanghaï des universités et des grandes écoles (1).
  • La France semble aujourd'hui atteinte d'une véritable fièvre d'évaluation de la recherche.
  • la ministre répond simplement : «Ce classement a des défauts mais il existe. Les chercheurs et les étudiants du monde entier le lisent attentivement. Nous devons le prendre en compte et faire en sorte de donner plus de visibilité aux universités françaises.»
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  • Résultat d'une addition de plusieurs facteurs hétérogènes, le classement de Shanghaï est en fait un fort mauvais indicateur de la recherche qu'il faut abandonner au plus tôt.
  • (1) Pour plus de détails, voir Yves Gingras, «La fièvre de l'évaluation de la recherche. Du mauvais usage de faux indicateurs», note de recherche du Cirst, 2008-05 ; www.cirst.uqam.ca.
François Bertrand

APEC : La mobilité des cadres - 0 views

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    En cas de besoin, quelques ordres de grandeur sur la mobilité des cadres, la formation professionnelle, etc.
François Bertrand

CNW Group | PARTI LIBERAL DU QUEBEC | Encourager l'emploi par l'entrepreneurship et l'i... - 0 views

  • Encourager l'emploi par l'entrepreneurship et l'innovation
  • Le chef du Parti libéral du Québec et premier ministre, Jean Charest, a dévoilé aujourd'hui deux nouvelles mesures destinées à stimuler la recherche, l'innovation et l'entrepreneurship.
  • Un nouveau fonds d'amorçage pour l'innovation et l'emploi
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  • Congé fiscal pour la commercialisation de brevets québécois Un prochain gouvernement libéral exonérera également de l'impôt sur le revenu des sociétés, une nouvelle entreprise qui commercialisera un produit dont la propriété intellectuelle a été développée par une université, un collège ou un institut de recherche québécois.
François Bertrand

Le Figaro - Formation : Stages d'étudiants : les facs copient les grandes écoles - 0 views

  • Quelque 55 millions d'euros vont être mobilisés sur cinq ans pour permettre la mise en place de bureaux d'aide à l'insertion professionnelle dans les universités.
  • L'Officiel de la recherche et du supérieur (Ors) a pu exploiter les réponses de 64 universités à un questionnaire sur le sujet. L'enquête révèle que 7 établissements sur 10 sont dotés d'un chargé de mission dédié aux relations avec l'entreprise et que 70 % disposent d'une structure pour cette mission. Le magazine indique aussi que les trois quarts des universités ont mis en place un espace entreprise sur leurs sites Web. Mais ceux-ci sont jugés «incomplets» dans 60 % des cas. Par ailleurs, seuls quatre établissements disposent d'un annuaire global des anciens, et 60 % des universités n'ont pas d'annuaire de leurs anciens docteurs.
François Bertrand

Autonomie : les 20 universités sélectionnées pour 2009 sont dans les temps - 0 views

  • Valérie Pécresse a reçu, jeudi 6 novembre, les présidents des 20 universités qui passeront à l’autonomie au 15 janvier 2009. Il reste encore un certain nombre de questions à régler dans les deux mois à venir, mais les universités volontaires devraient tenir les délais.
  • Si le passage des 20 universités sélectionnées à l’autonomie se fait sans encombre, il va falloir envisager la suite. Valérie Pécresse a reçu 35 demandes en plus des 10 dossiers recalés pour 2009. Aujourd’hui, la ministre ne sait pas si elle veut poursuivre au rythme de 20 par an ou si elle va augmenter la cadence. Elle assure en tout cas que toutes les universités bénéficieront de la même attention que les 20 premières. Mais Valérie Pécresse ne se fait pas trop d’illusions non plus : « Le passage à l’autonomie, c’est un peu comme le passage à l’an 2000 : on ne saura que quand on y sera »
Fred L

LaTribune.fr - Innovation, propriété industrielle, croissance, le trio gagnant - 0 views

  • La propriété industrielle est intimement associée à l'innovation : les brevets sont le coffre-fort des inventeurs. La France mérite bien sa réputation de pays des idées : nous sommes le deuxième pays déposant de brevets au niveau européen, et le cinquième au niveau mondial. Depuis 2004, les dépôts de brevets par les entreprises françaises ont augmenté de 11%. Si les grands groupes intègrent bien la propriété industrielle dans leur stratégie globale, les PME (petites et moyennes entreprises), les ETI (entreprises de taille intermédiaire) et les organismes de recherche ont parfois du mal à l'appréhender. Pourtant, une PME ou une ETI qui détient des brevets intéressera davantage les investisseurs, négociera plus facilement avec une grande entreprise l'exploitation d'une de ses inventions, et se défendra mieux en cas de contrefaçon.
  • Innovation, propriété industrielle, croissance, le trio gagnant
  • J'ai mené à bien la réforme du crédit impôt recherche, qui permet aujourd'hui le remboursement d'un tiers des dépenses de R&D. J'ai souhaité également alléger la fiscalité sur les brevets et accorder une réduction de 50% aux PME sur les principales redevances brevets. Enfin, la France a ratifié le protocole de Londres, permettant une baisse de l'ordre de 30% du coût des brevets européens
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  • Une mesure m'est particulièrement chère : le "prédiagnostic propriété industrielle", qui a pour objectif de mettre en évidence l'intérêt d'une politique de propriété industrielle et de dégager des pistes d'actions. Cette sensibilisation à la propriété industrielle, réalisée par l'INPI, est destinée aux PME innovantes et aux centres de recherche. Depuis 2004, plus de 2.600 PME ont bénéficié gratuitement de ce service. Deux tiers d'entre elles ont engagé, dans les six mois, des actions concrètes en matière de propriété industrielle.
  • nouveau contrat d'objectifs avec l'INPI
  • les actions de sensibilisation à la propriété industrielle seront renforcées
  • un effort particulier sera fourni sur l'accès en ligne, libre et gratuit, de toute l'information sur la propriété industrielle
  • enfin, l'INPI achèvera sa mutation vers une e-administration entièrement tournée vers les entreprises.
  • utte contre la contrefaçon
  • un brevet communautaire
François Bertrand

Globe study : presentation - 0 views

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    présentation en français
François Bertrand

Grandes écoles : ne pas jeter le bébé avec l'eau du bain - La Tribune.fr - 0 views

  • Par Jean-Louis Mutte, directeur général du groupe Sup de Co Amiens Picardie
  • Rendons justice à Thomas Lebègue et Emmanuelle Walter (Grandes écoles: la fin d'une exception française, Calmann-Lévy, 223 pages, 17 euros) : tout n'est pas faux dans leur charge sans nuance ni finesse contre un système qui mériterait d'être remis en question à bien des égards.
  • Cela dit, proclamer la fin des Grandes écoles, au motif qu'elles servent uniquement une certaine élite à s'autoreproduire au frais du contribuable, est au mieux erroné, au pire outrancier. Bref, ne jetons pas le bébé avec l'eau du bain. Je ne peux parler, évidemment, qu'au titre de mon école, l'ESC Amiens Picardie qui délivre un mastère en gestion.
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  • Les grandes écoles apportent quotidiennement la preuve de leur efficacité et de leur valeur ajoutée à notre économie. Je ne pense pas qu'elles soient si exceptionnelles que cela si je les compare aux "business schools" américaines par exemple. En tout cas, elles me semblent, à beaucoup d'égards, mériter d'être une source d'inspiration plutôt qu'un sujet de polémique.
François Bertrand

Contrepoint » Culture : entité de l'université? - 0 views

  • Dans ce contexte, qui considère la culture en lui accordant une place dans le patrimoine universitaire, l’esprit critique, analytique que tend ce champ disciplinaire, semble sollicité chez les étudiants. En ayant la possibilité d’accéder à la culture, ces derniers ont le choix de découvrir la démocratie culturelle pour pouvoir élargir leurs réflexions, et comme le prononçait justement Malraux « d’être moins esclave ».
  • La culture prend une place ambivalente. Elle est d’une part dévalorisée par le principe de compétitivité, et, d’autre part, avoir accès à elle, demandera encore plus d’effort qu’il n’en faille déjà, dans la mesure où s’organisant sous un seul aspect, il faudra pour la réfléchir autrement s’en donner les moyens.
  • De plus, on peut craindre par ce partenariat entre l’université et l’entreprise, un manque à gagner à instaurer du culturel.
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  • Contrairement à la France, le financement des entreprises privées des universités américaines permet « de maintenir un niveau décent de soutient à l’éducation et à la recherche dans le domaine des humanités et des sciences humaines grâce au bénéfice dégagé du côté des sciences et des technologies. ». Or, ce n’est pas le cas en France, l’accès à la connaissance, à la culture est ignoré par la réforme, et il n’est pas question comme aux Etats-Unis de constituer une charte de soutien à ce qu’on appelle les « Liberal Arts » dans le monde anglo-saxon. Alors, revoir la copie de ceux à qui on souhaite s’apparenter serait peut-être le point de départ à reconsidérer la vertu de la culture.
Fred L

TechCrunch en français » [fr] Entretien avec Ankama Games (Dofus), une startu... - 0 views

  • J’étais récemment en Corée et au Japon ou j’ai rencontré votre équipe, avez-vous avancé sur des partenariats ? Certaines choses se précisent et pas seulement pour l’Asie, par contre, il est trop tôt pour en parler.
  • On a Ubi Soft, Motion Twin et Ankama: a ton en France un savoir-faire particulier dans le domaine des jeux vidéos? Particulier, je ne saurais pas dire. Par contre, je pense que nous sommes capables de faire de bons jeux avec des moyens sans commune mesure avec les plus grosses productions développées aux USA, au Canada ou en Asie. Mais je crois aussi que c’est un problème qui dépasse la France et se situe au niveau européen, en tout cas pour ce qui concerne le développement des  MMORPG comme DOFUS.
  • Vous avez développé vos jeux sans apports de fonds de capitaux risqueurs: Y avez-vous pensé? Comment avez-vous fait pour financer votre croissance Ce n’était pas et ce n’est toujours pas à l’ordre du jour. Le développement de DOFUS a été progressif et nous nous sommes lancés dans le développement à partir du moment où nous avions mis en place un planning avec des étapes déterminantes pour la continuité du projet. Concrètement, DOFUS a principalement été financé par les revenus de notre activité de communication qui est notre activité historique.
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  • Sur quoi est fondé votre modèle de revenus? Actuellement, nous travaillons exclusivement sur de l’abonnement. Par contre, tous nos jeux sont accessibles gratuitement sans limites de temps et nous ne pratiquons pas d’abonnements récurrents. Notre politique a toujours été la transparence et le plus large accès à nos jeux pour le plus grand nombre et le plus facilement possible. Nous pensons qu’il est fondamental que les joueurs puissent se faire une opinion personnelle sur nos jeux avant d’éventuellement s’abonner. De la sorte, nos joueurs s’abonnent en sachant exactement à quoi s’attendre et nous pouvons alors mieux travailler sur la fidélisation.
François Bertrand

Une société de gestion coréenne débarque à Paris : Aujourd'hui la Corée - 0 views

  • C'est du moins le cas du coréen Mirae Asset Global Investments.
  • Outre la gestion d'actifs, l'établissement est présent dans l'assurance vie, le capital investissement, la gestion de fortune et la banque d'investissement.
  • La société gère principalement des actions de marchés émergents, bénéficiant d'implantations locales, avec une approche de stock picking, et elle pratique aussi la gestion d'actions européennes et américaines.
François Bertrand

Le Figaro - Débats : Créativité - 0 views

  • Concevoir une taxe «pique-nique» ou envisager une imposition supplémentaire pour certains logements en cas de revente témoigne de cette valeur si à la mode, la créativité. Autrefois, disait-on, on n'a pas de pétrole mais on a des idées. Aujourd'hui, on n'a plus d'argent mais à l'évidence on a toujours des idées. Quel réconfort !
François Bertrand

Ecrans - Joichi Ito : « Creative Commons, ce n'est pas seulement pour les gau... - 0 views

  • convaincu que les lois traditionnelles du copyright entravaient le partage et la circulation des savoirs à l’ère d’Internet
  • Elle met à disposition des artistes, des scientifiques, des auteurs, un système souple de protection permettant à chaque auteur de définir lui-même les règles d’usage qu’il considère acceptables.
  • Joichi Ito. Si on se réfère à l’histoire, le copyright a été mis en place pour protéger un éditeur contre un autre éditeur. L’usager lui ne copiait pas les livres avant l’invention de la photocopieuse, il les lisait, les empruntait, les prêtait. Avec Internet, quand on lit un livre, on le copie, quand on donne un livre, on le copie. Chaque utilisation implique une copie. Le copyright s’est étendu pour inclure tout le monde. Durant la révolution industrielle puis à l’ère des multinationales, l’entreprise est devenue l’unité principale de l’innovation, de la création et de la production, le copyright faisait sens alors parce qu’il garantissait leur protection. L’arrivée d’Internet a tout bouleversé. La baisse des coûts de communication, de la participation et de la collaboration a soudain donné la possibilité à toute une nouvelle catégorie de personnes, les amateurs, de créer de la valeur dans ce processus. Avant, c’était très difficile pour un amateur de créer de la musique, faire de la recherche, de publier ses travaux, il n’était pas un participant viable dans l’économie et le système culturel.
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  • Les tenants du copyright disent défendre les auteurs. Mais moi aussi, je pense que l’auteur doit être protégé. Mais le copyright n’a pas été conçu pour protéger les auteurs. L’auteur bénéficie très peu du copyright. Si vous êtes un professeur et que vous publiez un article, il vous faut payer pour voir votre article apparaître dans les revues scientifiques et c’est la revue qui dispose du copyright. Si vous voulez partager votre article avec un collègue en Afrique, dont la bibliothèque n’a pas accès à cette revue, vous ne disposez plus des droits. Dans la pratique, le copyright est utilisé pour protéger les investissements des distributeurs et des financeurs de la créativité, les compagnies qui paient les artistes. Et beaucoup d’artistes sont convaincus que c’est pour eux la seule manière de s’exprimer. Je ne suis pas anti-copyright, je suis contre la manière dont il est utilisé dans la pratique aujourd’hui.
  • Joichi Ito : « Creative Commons, ce n’est pas seulement pour les gauchistes et les universitaires »
  • Pensez-vous que les Creative Commons soient une alternative viable au système actuel ? Prenons un exemple typique, celui du groupe Nine Inch Nails. Il a sorti un album intitulé Ghosts I-IV , toute leur musique était diffusée sous une licence Creative Commons qui vous permettait de le télécharger gratuitement, de partager
  • Mais en même temps, ils ont lancé un site où étaient vendus des coffrets signés, à 25000 exemplaires
  • ils ont engrangé 1,6 millions de dollar
  • Autrefois, on ne pouvait s’adresser directement à l’artiste, obtenir une version signée de l’auteur, c’était compliqué sous le vieux système de distribution de CD. Maintenant avec le net, l’artiste est très proche du fan
  • Je pense que l’internet en réalité valorise les choses et amène à accorder plus d’importance à l’authenticité, à l’expérience.
  • Par exemple, une vocaliste de l’Ohio a mis ses a capella sur Ccmixter (site de remix sponsorisé par Creative Commons NDRL) et permis aux internautes de les remixer. Certains ont fait des versions hip hop, d’autres techno. Finalement, toutes ces créations ont donné lieu à un CD et une série de concerts... En diffusant la musique sur des licences permissives, ça permet aussi aux artistes de trouver des gens avec qui collaborer et c’est une manière de se faire connaître.
  • CC a commencé comme une sympathique et intéressante discussion académique entre professeurs de droit qui voulaient créer des licences qui changeraient le monde
  • CC est un mouvement assez similaire à Internet, créé par des scientifiques et des universitaires puis adopté par tous.
  • Pour qu’un mouvement comme Creative Commons, qui est à l’origine politique et idéaliste, devienne utile à la société, il faut que les CC deviennent apolitiques de manière à ce que tout le monde les utilise et que ça soit rentable.
  • Et pour que ce soit simple à utiliser, il faut que les compagnies pensent que ça va leur rapporter de l’argent et que ça va être bon pour leurs consommateurs.
  • Ca va être ma mission, prouver que Creative Commons, c’est bon pour tout le monde et pas seulement pour les gauchistes ou les universitaires.
  • Sur Wikipédia, la règle, c’est qu’on ne peut rien écrire qui ne renvoie à une citation issue d’un livre ou d’un journal. Wikipédia en fait, ce n’est pas du contenu amateur, c’est une interprétation amateur qui fait un lien la plupart du temps vers du contenu professionnel.
  • Est-ce que la poussée des amateurs menace les professionnels ?
  • Au contraire.
  • En France, la nouvelle loi Internet et Création réprime lourdement le téléchargement illégal. Quelle est votre position ?
  • Ceci dit, je trouve que les gouvernements et les industries qui vendent de la musique sont stupides de se focaliser sur le téléchargement.
  • Il faut garder en mémoire que la seule raison qui fait que la musique ou le cinéma existe, ce sont les fans. Si on commence à menacer tout le monde de procès, les gens vont simplement s’arrêter d’acheter de la musique. Et tout le marché s’effondrera.
  • Vous êtes également un joueur assidu de World of Warcraft et un défenseur du jeu vidéo ?
  • La génération qui est au pouvoir actuellement n’a jamais joué au jeu vidéo contrairement à la nôtre qui a grandi avec ce médium. Lorsqu’elle va partir à la retraite, la stigmatisation dont souffre le jeu va disparaître...
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