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Home/ Mission FNEP 2008/ Group items tagged La Poste

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François Bertrand

Revue ESPRIT - Introduction. La réhabilitation inattendue de l'université au ... - 0 views

  • La réhabilitation inattendue de l'université au sein de l'enseignement supérieur
  • un diagnostic précis sur l’université : la plus-value apportée aux talents individuels par l’institution y apparaît faible
  • ne faisons pas comme si les hausses de budget
  • ...46 more annotations...
  • Curieux paradoxe : il faut mettre en scène une volonté centrale de pousser des établissements à devenir autonomes, alors que le mouvement entamé déjà depuis une dizaine d’années avait montré une assez grande appétence des présidents d’université à prendre leurs responsabilités
  • La contractualisation entre l’État et les universités (depuis 1988), des mesures incitatives, la concertation au sein de la Conférence des présidents d’université (CPU), la volonté des acteurs locaux de surmonter de vieilles querelles et de ne pas se complaire dans la morosité de la crise ont débouché, de manière encore peu reconnue et discrète, sur des évolutions institutionnelles majeures.
  • pouvaient, à elles seules, régler tous les problèmes
  • Que manque-t-il à cette réforme pour qu’elle porte des promesses de redressement de l’université dans son ensemble et qu’elle ne débouche pas sur une compétition darwinienne ?
  • que la compétition
  • se déroule
  • de manière
  • plus visible et moins trompeuse
  • Mais quel sera le rôle régulateur de l’État
  • Il convient donc
  • de se demander comment ce projet peut être une réforme véritablement démocratique et favorable à une plus grande égalité des chances pour les étudiants
  • a perspective de l’autonomie inquiète les universitaires. Les critiques qui lui sont adressées, à ce stade, sont de quatre ordres.
  • 1. Faut-il craindre un pouvoir excessif des présidents d’université ?
  • La réponse viendra plus sûrement des contraintes réelles que rencontre un président d’université dans l’exercice de ses attributions
  • 2. La deuxième inquiétude concerne le localisme.
  • L’autre aspect du localisme serait une trop grande dépendance de l’université aux acteurs économiques locaux
  • 3. La crainte du dualisme est réelle chez tous les acteurs universitaires
  • Elle peut être une occasion pour les étudiants des filières littéraires de prendre conscience qu’ils maîtrisent plus de savoir-faire qu’ils ne le pensent.
  • C’est pourquoi la loi prévoit un mouvement en deux étapes
  • sur le modèle de Dauphine ou de Sciences Po
  • n’est-elle pas pensée de manière trop uniforme, c’est-à-dire en faisant passer les humanités classiques sous la toise des sciences dures ?
  • 4. Cette réforme
  • En effet, plutôt que cette opposition dommageable, inculquée dès le lycée dans notre système, ce sont trois autres partages qui apparaissent déterminants aujourd’hui.
  • Tout d’abord, la distinction entre recherche fondamentale et recherche finalisée, qui court à l’intérieur de chaque domaine de savoir, évoquée ici dans la discussion entre Marion Guillou et Alain Trautmann sur l’avenir de la recherche : le maintien de l’équilibre entre les deux est un critère déterminant de la qualité de la recherche dans l’avenir.
  • est celle qui intervient entre culture de la recherche et culture d’application, la première caractérisant plutôt l’université et la seconde plutôt les écoles d’ingénieur ou les grandes écoles à la française.
  • La deuxième distinction
  • Plusieurs auteurs soulignent
  • que l’évolution de l’économie favorise bien la première
  • Enfin
  • le partage déterminant pour des langues et, au-delà, de la culture, était celui entre langue technique et langue de savoir
  • il n’existe pas un modèle unique d’organisation de la vie universitaire
  • Catherine Paradeise en dénombre ici précisément quatre modes différents (napoléonien, humboldtien, britannique et nord-américain)
  • Dans un précédent grand dossier de la revue Esprit consacré à l’université en 1978, il était pertinent de titrer le premier article : « L’Université n’est plus un enjeu majeur ». Aujourd’hui, c’est exactement le contraire qui se passe
  • alors que le nombre d’étudiants a été multiplié par soixante-dix au cours du XXe siècle en France, le nombre de polytechniciens n’a été multiplié que par deux, ce qui signifie qu’il est devenu trente-cinq fois plus dur d’entrer à l’École polytechnique qu’un siècle plus tôt. Comme le montrent Henri Guillaume et Emmanuel Macron, dans la société postindustrielle qui doit miser sur la connaissance, ce n’est plus une stratégie adaptée.
  • Entrer dans la société de la connaissance
  • Qu’est-ce que l’innovation et comment la recherche peut-elle avoir un effet positif sur le développement économique ?
  • quelle est la spécialisation économique de la France ? Comment peut-elle s’insérer au mieux dans la mondialisation ? Quel est l’impact du nouveau mon­de industriel sur la politique des territoires
  • Dans l’économie mondiale, les chances des pays développés de maintenir une création de richesse sur leur territoire ne peuvent passer que par le développement de nouvelles activités, de nouvelles productions ou de nouvelles manières de faire qui permettront à nos économies de maintenir un avantage comparatif vis-à-vis de pays émergents avec lesquels nous ne pouvons pas rivaliser sur les productions anciennes.
  • Et ces nouveautés ne viendront que d’innovations issues de personnes bien formées, ouvertes et curieuses, à travers notamment la recherche instituée
  • voir l’article de Pierre Veltz et l’encadré qui présente les nouveaux modèles de la création technologique
  • On savait depuis longtemps qu’un Européen ou un Américain ne comprenait pas bien notre système de grandes écoles…
  • Mais les étudiants que nous formons parmi les meilleurs, selon un standard international, ne trouvent pas d’emploi ni de poste de recherche adaptés à leur profil en France et partent à l’étranger.
  • Et cela est sans doute lié à l’absence de campus.
  • La réforme de l’autonomie, bien qu’elle ne concerne que des aspects limités de l’organisation universitaire, touche à un point stratégique.
  • Bref, la période formule une « demande d’université ».
  • D’autres rendez-vous ont été manqués, si l’université manque celui-ci, ce n’est pas seulement elle qui en souffrira mais la société entière, les opportunités des étudiants, sa faculté d’innovation, ses perspectives économiques, l’ensemble de notre capacité de réaction pour l’avenir.
François Bertrand

La commission sur la Poste, une "manoeuvre dilatoire" ? - Entreprises - Challenges.fr - 0 views

  • Interrogés par Challenges.fr, les syndicats, à l'exception de la CFDT et de l'Unsa, voient dans cette commission une "diversion" face à la mobilisation qui s'amplifie.
  • "Diversion", "réponse rapide"... D'après les syndicalistes interrogés par Challenges.fr, l'idée d'une commission n'a même pas été évoquée lors de la rencontre la semaine dernière avec Christine Lagarde et Luc Chatel. Si Nicolas Sarkozy a créé cette commission "pour nous expliquer que le projet de Jean-Paul Bailly est parfait, ou désamorcer le comité national qui regroupe beaucoup de monde, ça ne sert à rien", lance Daniel Rodriguez, secrétaire national Postes à la CFTC. "Mais cette commission veut dire que le président a pris peur de l'ampleur que prend notre protestation. C'est de bonne guerre" Michel Pesnel, secrétaire général adjoint du syndicat FO, ne pense pas "qu'un groupe de personnes peut se substituer à l'ensemble des composantes du pays". Selon lui, la commission nouvellement créée est plus une "diversion": "en gros, la commission aura deux mois pour rendre son rapport, ce qui n'est pas à la hauteur des travaux que ça implique".
  • Autre son de cloche du côté de la CFDT. Le syndicat n'a pas rejoint le comité national contre la privatisation et sa secrétaire nationale, Nadine Capdeboscq, estime que "le référendum est une solution de moins en moins pertinente". Selon elle, "la commission est une première réponse incomplète". Les syndicalistes de la CFDT réfléchiront au sein de la commission "à un service public adapté à la population et au personnel". L'Unsa-Postes, par la voie de son secrétaire général, Marc Duhem, estime elle que la création de cette commission est "une bonne initiative qui va dans le sens de ce que nous demandons depuis plusieurs années, à savoir un débat public et une réflexion sur ce qu'on peut et doit faire à la Poste".
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    quelques nouvelles de la commission sur la poste
Fred L

Les partenariats public-privé stimulent l'innovation - SCIENCES ET TECHNOLOGI... - 0 views

  • es partenariats public-privé stimulent l'innovation
  • n moyenne, une entreprise ne produit en interne que 20 % de ses besoins technologiques. Elle doit donc acquérir le reste à l'extérieur, sous forme d'achat ou de partenariat.
  • La coopération entre la recherche publique et les entreprises est la meilleure formule pour valoriser le savoir académique. Pourtant, elle évolue lentement en France.
  • ...11 more annotations...
  • Nous sommes toujours en quête de compétences externes. Pour une PMI comme la nôtre, les partenariats avec la recherche publique sont fondamentaux. » Jean-Luc Schuppiser, le directeur scientifique du groupe Essilor International, ne tarit pas d'éloges sur les partenariats public-privé
  • Mais, pour le patron de la R&D du leader mondial des verres ophtalmiques, le concept « PPP » a un sens bien particulier. « Le projet doit être construit autour d'un produit ou d'une technologie. Il faut définir un objectif et fixer un calendrier. Cela ne peut pas être une rente éternelle. Il faut procéder à des évaluations régulières, car le monde industriel fonctionne en créant de la valeur. Pour nous, l'idéal c'est un laboratoire mixte où les chercheurs travaillent ensemble et échangent spontanément.
  • Le groupe français dispose depuis 2003 d'une unité de ce type installée à Toulouse dans un laboratoire du CNRS. Il vient de signer un accord avec l'université de Shanghai. Ce labo commun vise des applications originales : découvrir des nanoparticules de synthèse pour l'industrie optique. Une équipe d'une quinzaine de chercheurs dont les deux tiers sont issus de l'université chinoise sera mobilisée autour du projet.
  • Pour l'instant, on est loin du compte. « Les universités françaises ne disposent ni de la possibilité de choisir et de payer leurs professeurs, ni de la liberté de sélectionner leurs élèves. C'est pourtant ce qui fait la force des établissements anglo-saxons. Où sont les universités globales en France ? » estime Charles Kleiber, ancien secrétaire d'Etat à l'éducation et à la recherche en Suisse, qui dénonce la fausse loi sur l'autonomie des universités françaises. Selon lui, les campus sont des « entreprises publiques où l'on fabrique du savoir ». Elles doivent impérativement se concentrer sur l'excellence et intégrer dans leur stratégie la « guerre des cerveaux » qui s'amplifie. « Quand on embauche les meilleurs professeurs, on fait venir les meilleurs élèves et on décroche les gros budgets de recherche. Les universités françaises sont trop autocentrées », assène Charles Kleiber.
  • Elie Cohen, directeur de recherche au CNRS, estime lui aussi que l'Hexagone doit entrer dans une « économie de l'innovation » pour assurer sa croissance.
  • Cet économiste patenté plaide pour une organisation très sélective de la recherche universitaire qui va faire sursauter les syndicats étudiants. Tout en haut de ce système à trois vitesses trônent une dizaine de campus de haut de gamme baptisés « universités de recherche ». Ces champions accueillent les doctorants et les post-doctorants les plus doués (et les plus motivés). Ces prix Nobel en puissance disposent d'installations de haut de gamme et produisent une recherche de qualité internationale. Un cran en dessous règnent des universités régionales (niveau licence et master) qui n'ont pas vocation à produire de la recherche de haut niveau. Le troisième degré se compose de collèges universitaires délivrant une formation plus courte et professionnalisée.
  • Courageux mais pas téméraire, Elie Cohen estime toutefois que pour ne « pas se faire assassiner, il faut prévoir des passerelles » entre les différents statuts.
  • Selon lui, « l'avalanche de réformes et de nouvelles structures » annoncées par le gouvernement depuis 2005 a provoqué un chaos créatif d'où sortira (peut-être) une organisation modernisée du système français de recherche et d'innovation (SFRI).
  • Les partenariats public-privé stimulent l'innovation
  • En attendant la reforme, le prochain budget de la recherche se présente comme un nouveau bras de fer entre certains chercheurs publics et le gouvernement. Objet de la polémique : le crédit d'impôt recherche (CIR). Dans le budget 2009, le CIR va dépasser les 3 milliards d'euros (contre 1,4 milliard d'euros en 2006). Cet instrument fiscal incitatif est destiné à développer la recherche générique dans les entreprises hexagonales (2). De nouvelles mesures de déplafonnement visent également à améliorer l'attractivité du pays pour les entreprises étrangères qui souhaitent implanter des centres de recherche industriels en Europe.
  • Décidément très accommodant, le ministère (MESR) a décidé de mettre en place un dispositif « plus sécurisé pour les entreprises ». En langage clair, il s'agit de purger le CIR de sa réputation réelle ou supposée d'« antichambre du contrôle fiscal » qui lui colle à la peau depuis son introduction (3). Une autre mesure sera particulièrement appréciée par les entreprises : à compter de la déclaration de l'année 2008, le salaire d'un jeune docteur embauché est multiplié par quatre dans l'assiette du CIR. Des « cadeaux aux patrons »que nombre de chercheurs publics plus que jamais remontés contre le privé depuis la crise boursière ne vont sans doute pas apprécier.
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    Pour faire le lien entre le sujet de la MP2008, et le sujet de la MP2009
Fred L

LaTribune.fr - La Poste : la commission Ailleret favorable à une ouverture du... - 0 views

  • La Poste : la commission Ailleret favorable à une ouverture du capital
  • Le gouvernement devrait se prononcer sur le projet d'ouverture du capital de La Poste présenté par son président, Jean-Paul Bailly, après la remise du rapport final de la commission prévue le 15 décembre. Selon Le Monde, la décision de ne pas coter en Bourse l'entreprise serait déjà arrêtée.
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    La Poste : la commission Ailleret favorable à une ouverture du capital
Fred L

Diversité - En Allemagne, Siemens mène l'offensive en faveur de la diversité - 0 views

  • En Allemagne, Siemens mène l'offensive en faveur de la diversité Jugeant son entreprise « trop germano-allemande », Peter Löscher, Pdg de Siemens a fait de la diversité du management l’une de ses priorités.
  • Moteur de l’innovation Le Pdg avait justifié cette offensive en soulignant le caractère décisif de la diversité comme moteur de l’innovation et de la créativité. « Si on ne reflète pas l’ensemble de la clientèle maison, on ne peut exploiter pleinement son potentiel. Si on y parvient, on en retire un formidable avantage », avait insisté Peter Löscher.
  • Siemens a mis au point des programmes qui incitent les salariés à repérer eux-mêmes de jeunes talents. « C’est important. En 2008, nous avons, en définitive, créé pas moins de 17 000 nouveaux postes dans le monde », précise Siegfried Russwurm. Enfin, Siemens a mis en place un programme de mentoring, destiné à ses cadres supérieurs. Peter Löscher s’occupe personnellement de dix jeunes cadres, dont quatre Allemands, deux Chinois, un Africain du Sud, un Américain et un Brésilien.
Fred L

Rapport_Ailleret.pdf (Objet application/pdf) - 0 views

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    Un rapport finalement très classique dans la forme
François Bertrand

Le Figaro - Economie : Économie : les chantiers d'automne du gouvernement - 0 views

  • Intéressement
  • PME Le secrétaire d'État aux PME, Hervé Novelli, a proposé hier de mobiliser les ressources financières d'Oseo pour garantir plus de prêts bancaires accordés aux entreprises. « Cette disposition permettra aux entreprises de continuer à avoir accès aux crédits alors que les banques ont un peu durci leurs conditions », explique-t-il. La Caisse des dépôts sera également mise à contribution.
  • Délais de paiement L'État va demander aux entreprises publiques telles que EDF ou La Poste de raccourcir dès le 1er janvier leurs délais de paiement pour les ramener à 45 jours fin de mois. « L'ensemble du secteur public va donner l'exemple », promet Hervé Novelli. Un décret sera publié dans les prochaines semaines pour imposer aux collectivités territoriales de réduire elles aussi leurs délais de paiement à 45 jours fin de mois.
  • ...1 more annotation...
  • IFA Le ministre du budget, Éric Woerth, a confirmé hier que la suppression de l'imposition forfaitaire annuelle figurerait dans le projet de loi de finances pour 2009.
François Bertrand

L'ENA, le mal français? - 0 views

  • La France en ne créant qu'une seule voie de recrutement aux postes de pouvoir ne donne pas la chance à des profils atypiques, à des expériences différentes. Ce manque d'ouvertue se reflètent dans les décisions politiques et industrielles: manque d'ambition et d'anticipation, esprit de corps, conservatisme ...
François Bertrand

01net. - Le Seesmic de Loïc Le Meur séduit Pierre Omidyar - 0 views

  • Comment fait-on aujourd'hui, quand on veut lancer sa start-up dans la Silicon Valley ? Le plus important, après ma famille, là je parle un peu philosophie, c'est ma communauté. Elle représente à peu près 10 000 personnes dans le monde. Autant sur Twitter, sur Facebook, que sur Friendfeed.
  • Seesmic, c'est aussi parfois l'occasion de rencontres surprenantes... En effet. Un moment fort pour moi cela a été l'arrivée sur Seesmic de Pierre Omidyar, le fondateur d'eBay. Quelqu'un qui ne faisait pas du tout partie de mon réseau. Du jour au lendemain, Pierre débarque sur Seesmic et poste 70 vidéos. Il est passionné par le projet, par ses possibles conséquences sociales. Il pense que cela peut contribuer à rapprocher les gens dans le monde.
  • Pierre rejoint aujourd'hui le conseil d'administration de Seesmic. Il participe, via sa structure d'investissement Omidyar Network, et aux côtés de Wellington Partners, à un second tour de table de 6 millions de dollars. Une levée de fonds qui vient s'ajouter à un premier investissement de 6 millions de dollars réalisé en février 2008 notamment par Atomico, le fonds d'investissement des créateurs de Skype et de Joost, ou encore par Steve Case, le fondateur d'AOL.
  • ...1 more annotation...
  • Nulle part. Aux Etats-Unis ce n'est pas la préoccupation première pour des investisseurs. Pour eux, l'important c'est que cela décolle, en termes d'audience et de notoriété notamment. Après, on s'intéresse aux revenus. Nous parions sur une reproduction du phénomène des Google Adsense mais en vidéo.
Fred L

Les éco-innovations ont désormais leur chaire internationale - RECHERCHE ENVI... - 0 views

  • Les Stratégies   Croissance verte afficher_top_rubrique("Les Stratégies"); OAS_AD("Middle3");   OAS_AD("Middle4"); Partager :Les éco-innovations ont désormais leur chaire internationale [ 27/01/09  ] 1 commentairesL'ASSOCIATIONBaptisée « Generating Eco-Innovation », la nouvelle chaire d'enseignement est le fruit d'une association entre les fondateurs du Pôle de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) Universud Paris et quatre industriels : GDF Suez, Italcementi, SAUR, SNCF.
François Bertrand

SLR - Au sujet du malaise des jeunes chercheurs - 0 views

  • En effet, ce sont les "statutaires" actuellement qui sont responsables du recrutement des "précaires", et vu de notre côté de la barrière c’est assez spécial. Finalement qui retarde de plus en plus l’âge du premier recrutement sur poste stable ? En nous expliquant soit qu’on est trop jeunes soit qu’on a encore le temps, soit qu’on ne peut pas être sûr au bout d’une thèse seulement que quelqu’un est valable.... bref il y a toujours assez d’arguments (quand ce n’est pas "mais tu comprends lui ça fait 5 ans qu’il candidate on peut pas le laisser comme ça") pour justifier que finalement on doive enchaîner CDD sur CDD.
  • Voilà et en fait le fond du problème, c’est que les 10000 docteurs formés chaque année en France n’ont pas de place dans le tissu économique car pendant longtemps (et remarquez, je suis consciente qu’en disant ça je vais en faire hurler certains même encore aujourd’hui) l’entreprise a été le grand méchant truc capitaliste duquel l’université ne devait surtout pas s’approcher.
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