"Freyfogle advises companies or developers thinking about making the switch to OpenStreetMaps to use Mapstraction, a "javascript mapping abstraction layer" that allows anyone who codes with it to easily switch between ten different mapping services. Building Nestoria in Mapstraction from the very beginning is one of the reasons that the site can be switched off of Google Maps so easily, he notes."

La viralité dans les réseaux sociaux pas si puissante (étude Harvard)

[A ne pas publier sur Scoop.it] Un exemple de ce que l'on peut désormais faire avec la Timeline de Facebook.

"Après Flipboard, qui a annoncé son application iPhone à LeWeb 11, c'est au tour de Scoop.it de nous en proposer une. Bravo à Guillaume Decugis et son équipe. Scoop.it est un projet français, il faut le souligner."

"Malgré les nombreux articles déjà parus sur le sujet, les discussions persistent, de même que les publications : Life below 600px, Designing 'Above the Fold' Necessary?, Is there life below the fold?. Le point de départ de ce mythe est pourtant bien fondé : les contenus au-dessus de la limite de visibilité sont plus lus, de même que les boutons qui sont plus cliqués. Ceci étant dit, les contre-arguments sont également toujours les mêmes."

Pour l'heure l'inscription au site nécessite une clé d'activation, laquelle peut-être obtenue en publiant un message sur son propre flux de Twitter avec le mot-clé #tokenplease. Le site en question serait disponible dans plus d'une dizaine de langues et l'équipe semble être en train de finaliser la traduction du service.

Du danger qu'il y a à vouloir "intervenir" sur Wikipedia.

Les marques doivent mieux cibler leurs discours en fonction de leurs cibles. Voici l'un des principaux enseignements de l'étude Digital Life, publiée ce matin par TNS Sofres. En effet, l'enquête réalisée auprès de 72 000 consommateurs à travers 60 pays, révèle que des stratégies digitales insuffisamment précises constituent une perte de temps dans plus de la moitié des cas et conduisent à un important gaspillage online. La preuve, près de 6 internautes sur 10 déclarent ne pas vouloir être dérangés par les marques sur les réseaux sociaux.

Bonne nouvelle ! Plus besoin de lire un contenu pour savoir s'il est tout pourri !

Une jour, le monde entier parlera...euh, non, "codera".

L'usine du futur du dpt de la recherche du Pentagone reprend le modèle open source. But: réduire par 5 le temps de dév

Un point de vue qui fait réfléchir : a-t-on atteint la limite de la tolérance de l'internaute vis-à-vis du contenu produit dans le seul de faire plaisir aux annonceurs ? Une belle charge contre Mashable au passage...

Revivre les évènements du passé via Twitter, comme s'ils se déroulaient actuellement. C'est cela le "rétro-live"... Et c'est un nouveau mode de narration qui a la côte.

Un top 10 subjectif et qui n'engage que le blogueur. Elles lui ont paru comme étant les plus engageantes et qui lui ont surtout donné une « bonne première impression ».

Lancées il y a près de deux ans sur le marché, les tablettes ont profondément impactées l'industrie des médias en offrant de nouvelles possibilités d'interaction avec les contenus éditoriaux. Des éditeurs comme Virgin ou Atomix travaillent ainsi d'arrache-pied pour redéfinir l'expérience de lecture d'un magazine digital.

Avoir "dépassé le stade de l'expérimentation" (cf précédent lien diigoté) sur les réseaux sociaux, c'est bien. Ignorer la partie "social" dans "social" media, ça l'est moins...

L'utilisation des médias sociaux par les entreprises serait devenue naturelle : c'est la conclusion de cette étude menée par Econsultancy auprès de plus de 1000 sociétés américaines. Sur toutes les personnes qui ont répondu à cette enquête, 64% déclarent que leur entreprise a dépassé le stade de la simple expérimentation en matière de médias sociaux. L'an dernier, cela ne concernait que 54% des entreprises. Pour deux-tiers des entreprises donc, les médias sociaux sont désormais intégrés à la stratégie marketing/communication globale. Un chiffre à pondérer toutefois, les sociétés ayant répondu à l'enquête sur Internet..

Un outil pour créer des vidéos "enrichies".

"Si une poignée de groupes comme Renault ou Orange tirent leur épingle du jeu sur Facebook ou Twitter, d'autres y essuient des échecs retentissants, faute d'adapter leur communication au Web social." Car "investir les réseaux sociaux demeure un exercice de haut vol, qui implique de lourds investissements. Pour gérer sa présence en ligne, Renault s'est doté d'un centre de production digitale il y a moins d'un an. Ce service compte maintenant une soixantaine de personnes, dont une majorité de «community managers"