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Avec l'avènement des médias sociaux, on a voulu nous faire croire que le contenu était mort et que la communauté allait générer ses propres contenus et s'auto-alimenter. J'ai déjà eu l'occasion de m'exprimer sur cette vision très restrictive (De la qualité des contenus sur Facebook) et l'actualité récente semble me donner raison.

L'un des enjeux pour les marques va être de dépasser le niveau de simple imitation, camouflage ou parodique pour conquérir véritablement le statut d'éditeur, et proposer des contenus pérennes, renouvelables, intéressants, diversifiés qui soient autre chose que des simulacres. Le risque en effet serait de s'en tenir à des contenus qui sont de simples imitations ou de pâles copies du journal, de revêtir les codes éditoriaux comme une simple peau extérieure sans fond, et qui manqueraient de tout ce qu'est censé avoir un véritable contenu.

Comment gérer correctement les méta-données lorsqu'on poste un contenu sur Facebook ?

En pro­dui­sant et en publiant des conte­nus en cohé­rence avec une stra­té­gie édito­riale spé­ci­fique, les marques pour­ront deve­nir des médias sociaux qui feront le lien entre mar­ke­ting, prise de parole, créa­tion et enga­ge­ment (enga­ge­ment de ser­vice, enga­ge­ment huma­ni­taire ou artis­tique). Comme dans beau­coup de cas, ce sont des acteurs écono­miques qui devraient pous­ser les médias sociaux vers un nou­vel âge d'Or, celui des conte­nus de marque en par­ti­cu­lier, et par exten­sion, celui des conte­nus Web, en général.

Comment lutter contre les "fermes de contenus" (content farms), ces sites Internet qui parasitent les résultats des moteurs de recherche ? Google pense avoir trouvé une solution : faire appel à ses utilisateurs pour qu'ils dénoncent directement les sites sans contenus, ou qui abusent des optimisations de référencement, et perturbent donc le fonctionnement normal de son service.

Les nombreux changements annoncés, de même que ceux de la semaine dernière, vont par contre voir un énorme impact sur le comportement des utilisateurs, sur le rôle des fournisseurs de contenus et services, ainsi que sur la place des annonceurs. En un mot : Les règles ont changé, plus rien ne sera comme avant.

Un tweet de contenu comporte un lien, qui prend environ 20 caractères, ce qui vous en laisse 120 pour le titre, mais il faut aussi prévoir que certains de vos suiveurs vont retweeter votre message.

Une application du Lab du New York Times pour localiser les contenus de la Grey Lady sur une carte google en s'appuyant sur les métas données des contenus.

Sur les réseaux sociaux, le meilleur équilibre dans les liens que vous partagez devrait se situer à 37,3 % (précisément, hein...) : 37,3 % des liens que vous partagez devraient être extérieurs à votre contenu. C'est à ce point que vous obtiendrez le meilleur rendement en termes de clic / conversion. Hé oui...

Qu'est ce que c'est que ce SoLoMo ? Un nouveau quartier de la Silicon Valley ? Cette analyse vous propose de comprendre l'impact des ces usages (Social, Local, Mobile) sur la stratégie de communication de l'entreprise. Pour conclure sur le fait que l'essentiel, ce n'est pas l'usage qui compte le plus, mais le contenu qui fait l'objet de cet usage. Et qu'il doit être de qualité. Une conclusion, qu'évidemment, on partage.

Les marques ne contentent plus de se rapprocher des contenus éditoriaux existants (articles, vidéos, musique, films…) mais elles créent et produisent ou font produire du contenu pour devenir un média à part entière afin d'accroître leur notoriété, créer de la préférence de marque, etc….

Un point de vue qui fait réfléchir : a-t-on atteint la limite de la tolérance de l'internaute vis-à-vis du contenu produit dans le seul de faire plaisir aux annonceurs ? Une belle charge contre Mashable au passage...

Voici une série qui en à peine six semaines d'existence est parvenue à dépasser les 800 000 fans sur sa page Facebook, et ce avec un dispositif de promotion particulièrement limité. Ce sont de courtes séquences, au montage hyper dynamique, racontant la vie d'un type lambda et ponctuées régulièrement d'un « Bref » au début et à la fin de l'épisode.

La stratégie de contenus de La Redout au travers de l'interview de la responsable médias sociaux.

Un certain degré de confiance de la part de l'internaute et du contenus intéressant semblent être des pré-requis indispensables.

Pour rendre les sites traditionnels plus facilement évolutifs, il est intéressant de permettre aux internautes d'ajouter eux-mêmes du contenu. Toutefois, ce que l'interface gagne en flexibilité, elle le perd en structuration.

Un clou de plus enfoncé dans la certitude que le contenu passe avant le contenant. Toujours bon à rappeler...

J'ai un peu de mal à y croire : http://league.mediaheroes.com/, un site qui vous propose de produire un article de brand content tout beau tout neuf en... 5mn ! Sans blaque.

Cet outil pratique, simple et gratuit cache le contenu d'un site internet et le représente sous forme de zoning simplifié.

Lancées il y a près de deux ans sur le marché, les tablettes ont profondément impactées l'industrie des médias en offrant de nouvelles possibilités d'interaction avec les contenus éditoriaux. Des éditeurs comme Virgin ou Atomix travaillent ainsi d'arrache-pied pour redéfinir l'expérience de lecture d'un magazine digital.