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gaviolig

L'ARCEP vérifie les cartes de couverture 4G des opérateurs mobiles et met en ... - 1 views

shared by gaviolig on 23 Jul 14 - No Cached
  • analyse comparée des cartes de couverture 2G/3G/4G des opérateurs de réseau mobile, dont la fiabilité a été vérifiée sur le terrain.
  • Les opérateurs mobiles ont l'obligation de publier des cartes de couverture. L'ARCEP est chargée de vérifier la fiabilité de ces cartes, ce qu'elle réalise au moyen d'enquêtes sur le terrain. En un an, ce sont ainsi près de 300 000 mesures sur tout le territoire qui ont été réalisées pour vérifier l'accessibilité des services mobiles sur le terrain. Pour la première fois, ces mesures ont également porté sur la 4G, en complément des mesures 2G et 3G.
  • Bouygues Telecom et Orange sont nettement en avance en termes de couverture 4G, avec respectivement 70% et 66% de la population couverte.
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  • L'ARCEP s'attache donc à améliorer la transparence du marché sur ce point, afin de répondre au mieux aux besoins des utilisateurs tout en contribuant à valoriser les investissements que les opérateurs réalisent pour améliorer la couverture et la qualité de leurs services.
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La transformation numérique - YouTube - 0 views

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    "e numérique est un secteur dynamique qui transforme notre société et améliore notre quotidien. Nouveau pilier de l'économie française, le numérique recrute : 35 000 embauches annuelles en moyenne et 12 000 créations d'emplois nets en 2014 en France. "
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Villes : de la connexion à l'intermodalité « InternetActu.net - 0 views

  • Evoquer les villes intelligentes, les villes durables ou les villes écologiques dessine à chaque fois une nouvelle palette d’avenir… et influe sur la manière dont elles sont conçues, construites et aménagées (le rapport est d’ailleurs le dernier d’une série de 4 : un autre s’intéresse à comment la ville est appelée à changer d’ici 50 ans, en explorant 4 scénarios : la ville de la haute technologie, la ville numérique, la ville vivable et la ville-forteresse ; un autre à l’évolution démographique des villes ; et le dernier à l’évolution architecturale des villes).
  • la ville intelligente ne peut pas être une installation clé en main, c’est-à-dire un ensemble de technologies qui, une fois déployées, fonctionneront de manière cohérente et uniforme (PlanIT prévoit même de développer son propre réseau social, indépendant de tous les réseaux sociaux existants), alors que les villes sont des produits culturels, économiques, politiques et sociaux spécifiques. Pour lui, l’individu doit être l’unité atomique des données urbaines,
  • l’enjeu repose sur le smartphone, le terminal ultime de la mobilité.
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  • En échouant à prendre une position de leader sur les applications de mobilité, les villes cèdent le terrain et les données à des entreprises privées qui ne défendent pas les mêmes intérêts qu’elles. Les conséquences ne portent pas que sur l’information de transport, estime Eric Goldwyn. Le résultat risque surtout de passer à côté d’une occasion d’améliorer le réseau de transport en le rendant plus homogène, plus unifié. Le risque est que le transport public se fragmente, que l’intermodalité, si célébrée demeure un voeu pieu, et que les villes perdent des informations précieuses sur le déplacement et donc sur l’amélioration potentielle du réseau. Eric Goldwyn fait référence aux cartes d’abonnement et aux tickets uniques qui ont beaucoup fait pour l’unification du système de transit de New York. Il suggère qu’une application intégrée permettrait à tous d’accéder bien plus simplement à un réseau de transport en commun bien plus vaste… Une application unique permettrait une meilleure gestion de l’ensemble du réseau, de mieux s’adapter aux évolutions du trafic, de mieux répondre à la demande.
  • “Les applications de transports telles qu’Uber montrent les possibilités, et elles sont grandes, mais maintenant, nous avons besoin que l’entrepreneuriat public intègre ces nouvelles technologies pour améliorer le transport public, et pas seulement le transport privé”
Documentation CD63

Améliorer les services, mieux cibler les politiques publiques, avec les donné... - 0 views

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    - Lagazette.fr, 4 septembre 2015
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Vers un numérique éco-responsable | efficaciTIC - 0 views

  • Le numérique recèle en effet un fort potentiel en terme d’économies d’énergie et de réduction d’émissions de CO2. Nombreux sont les secteurs d’activités qui ont vu ces dernières décennies leur structure évoluer vers des formes d’organisation moins énergivores grâce au numérique.
  • Que ce soit par la dématérialisation des échanges et des supports de communication, le télétravail ou plus récemment encore avec les smarts buildings et les smarts grids (1), les TIC (Technologies de l’Information et de la Communication) ont impulsé de nouvelles dynamiques en matière de performance environnementale. Mais quid de l’impact carbone des TIC en elles-mêmes ?
  • 13,5% de la consommation d’électricité en France et 5% des émissions de gaz à effet de serre nationales. L’expansion que connaissent les TIC entraîne à sa suite une augmentation de 10% (2) par an de la consommation électrique liée à l’activité, que ne viennent malheureusement pas compenser leur efficience énergétique en constante amélioration.
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  • Le matériel informatique est fabriqué essentiellement en Asie où la production d’électricité émet près de 10 fois plus de gaz à effet de serre qu’en France. La fabrication d’un ordinateur produit 70 fois plus de gaz à effet de serre que son utilisation pendant un an en France.
  • téléphones mobiles
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    "source Deloitte"
Documentation CD63

Changer le travail - 20 pistes pour améliorer la qualité de vie au travail - 0 views

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    Sciences humaines. Grands Dossier n°36, septembre 2014
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Ville intelligente cherche maire intelligentLe nouvel Economiste - 0 views

  • L’intelligence, avant toute chose, serait certainement de capitaliser sur ces multiples expériences afin de tirer les leçons des plus probantes comme des échecs cuisants, pour ensuite adapter des “modèles” reproductibles et adaptables. Les succès épars ne font pas une synthèse véritablement riche de sens. Or c’est pourtant bien là que se niche l’ambition ultime au service des citoyens. Comme l’explique l’un des rares pionniers dans ce domaine, André Santini, maire d’Issy-les-Moulineaux : “Il serait utile de disposer d’un “guichet” national qui conseillerait les collectivités locales sur les meilleures pratiques en la matière, en France comme à l’étranger.” Le grand observatoire capitalisant les expérimentations se fait attendre.
  • L’étape suivante passe par la coordination, le partage transversal de données, donc un certain œcuménisme technologique réclamant de la part des acteurs concernés un sens poussé du coopératif, mais surtout un chef d’orchestre en charge de faire régner l’harmonie parmi ces instrumentistes que sont les métiers de l’eau, de la sécurité, des transports, de l’énergie, de l’assainissement, etc. Ce qui nécessite à coup sûr une savante compréhension des high-tech qui ne figure pas toujours dans l’alphabet des élus, mais plus encore le sens de l’intérêt général afin de piloter des arbitrages délicats.
  • Partout, les mêmes objectifs : diminuer les dépenses, optimiser les utilisations, améliorer la qualité de vie des habitants en proposant de meilleurs services.
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  • La valeur, donc les économies comme l’efficience de ces organisations complexes, viendra essentiellement de la capacité à faire travailler ensemble des métiers “verticaux” qui jusqu’à présent s’ignoraient superbement : ceux de la sécurité, de la distribution des eaux, de l’énergie, et des différents acteurs du transport. Autant de “briques” désormais si smart pour construire les métropôles vivables de demain grâce à de multple co-constructions.
  • désiloter” des organisations structurées par grands métiers verticaux…
  • l’intelligence collective et la création coopérative peuvent être organisées et amplifiées à l’aide de la technologie. C’est cette intelligence humaine collective, couplée à l’intelligence technologique, qui permettra d’inventer la ville de demain.
gaviolig

Services publics numériques : les cadres de la fonction publique adorent, sou... - 0 views

  • La DISIC a entamé dans ce sens un lourd chantier de refonte des SI pour qu’ils soient interopérables, intègrent la production et donc l’utilisation de la donnée en amont et soient ouverts, via des API, ce qui renvoie au 3ème point clé identifié, “la communication des données et l’interopérabilité des systèmes entre administrations”
  • Cette évolution illustre le second point clé, “les évolutions organisationnelles associées au déploiement du numérique”, en lien avec le 4ème, “la gestion des RH : formation, montée en compétence des agents”.
  • A contrario, la réussite passe un changement de posture par rapport à l’image traditionnelle de l’administration : les agents “souhaitent ainsi inscrire leur action dans une démarche de management agile, réactive et moins hiérarchisée, qui favorisera leur participation.”
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  • Dans le même sens, “deux domaines de compétences devraient être prioritairement internalisés : la conception et la gestion de projet d’une part, la production et la gestion de contenu d’autre part. (…) Plusieurs commentaires expliquent ainsi l’échec de certains programmes de transformation numérique par une externalisation de ces activités stratégiques.”
  • Une structure d’accueil pour des équipes en mode « agile » : prévue pour fin 2014, cette structure permettra d’accompagner des équipes de développement agile pour qu’ils imaginent, expérimentent et déploient, en cas de succès, de nouveaux services publics numériques.”
  • Dans le même temps, ces agents sont très réticents à associer davantage la société civile et les start-ups. Le “co-design” est pourtant une méthode innovante pour améliorer le service (public) produit, dans une logique “user-centré”, testée par exemple avec la V2 de data.gouv.
  • Les agents sont motivés principalement par deux raisons : “la satisfaction de participer à une administration plus performante” (66%) et “la possibilité d’être en phase avec les usages et les attentes des citoyens” (57%).
  • L’envie de “communiquer avec ses collègues par des plateformes de travail collaboratives” est aussi forte, 50%, une question qui sera abordée entre autres dans le cadre de la semaine de l’innovation publique, avec une conférence sur les réseaux sociaux d’entreprise, en l’occurrence d’administration.
  • La question de la performance économique trouve un autre écho dans les craintes suscitées par le numérique chez les agents publics puisque la réduction des effectifs arrivent en seconde position avec 51%, tout juste devant une appréhension plus paradoxale vu les attentes en terme de changement de management, celle de “devoir changer ses méthodes de travail” (57%). “La crainte d’une intensification du rythme de travail, d’un empiètement de la sphère professionnelle sur la vie privée et d’un manque de maîtrise des nouveaux outils numériques, fortement évoquée dans les commentaires, peut sans doute expliquer cette contradiction”, indique l’étude.
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    - Lagazette.fr, 7 nov 2014
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