Skip to main content

Home/ USAGES NUMERIQUES 63/ Group items tagged réseaux sociaux

Rss Feed Group items tagged

gaviolig

Les réseaux sociaux polarisent-ils ou élargissent-ils le débat public ? « Int... - 0 views

  • Les personnes les moins scolarisées étaient également plus susceptibles que les autres de prendre la parole sur les réseaux sociaux, tandis que les personnes les plus éduquées étaient plus susceptibles de se taire sur les réseaux sociaux…
  • Savoir si les réseaux sociaux polarisent ou élargissent le débat public est une question qui n’a pas fini d’être posée… et ce d’autant que les algorithmes qui sélectionnent l’information qui nous parvient via leurs filtres jouent de plus en plus un rôle majeur dans ce débat.
gaviolig

Quand Facebook s'intéresse à l'éducation - 0 views

  •  
    "En fait, l'idée est venue à Facebook après qu'il ait découvert les Summit Public Schools, un nouveau type d'école aux Etats-Unis qui utilise une toute nouvelle approche et qui obtient des résultats impressionnants. Ces écoles seraient classées parmi les meilleures en Californie. D'après le numéro un des réseaux sociaux, les résultats sont dus à l'approche utilisée par les Summit Public Schools. « Les cours et les évaluations sont fournis en ligne […], et les heures de cours sont réservés à des projets et des collaborations dans le monde réel qui sont dirigés par les enseignants. Deuxièmement, l'expérience d'apprentissage est complétement personnalisée pour l'étudiant et il peut avancer à son propre rythme », explique le numéro un des réseaux sociaux."
gaviolig

Le réseau social d'entreprise, une nouvelle manière de communiquer ? - Straté... - 0 views

  • Pour Ziryeb Marouf, directeur applicatifs RH Groupe et réseaux sociaux chez Orange et directeur de l'Observatoire des réseaux sociaux d'entreprise : « La confiance est la bande passante du réseau social d'entreprise. Les salariés n'hésiteront plus alors à répondre aux sollicitations et échangeront sans craintes », affirme-t-il.
gaviolig

La propriété intellectuelle - 0 views

  •  
    "En réalité, ce n'est pas dans le fait de détenir l'innovation que les entreprises de l'ère digitale se différencient, mais dans le fait de la mettre en œuvre. Ces entreprises ont compris que la meilleure façon de protéger une innovation n'est plus de la breveter, mais bien de l'utiliser et de l'améliorer sans cesse. Or, quel peut être le meilleur moyen de comprendre la façon dont les innovations sont utilisées que la data ? La data - l'empreinte des utilisateurs des produits et services des entreprises - révèle comment les voitures de M. Musk sont utilisées, ce qui dysfonctionne, ce qui est apprécié. Potentiellement, c'est toute l'expérience entre le consommateur et la voiture qui peut être analysée. Il en est de même pour Facebook. En observant la façon dont sont utilisés ses réseaux sociaux, ou encore ses casques Oculus, Facebook dispose d'un laboratoire de R&D, dont l'échelle est la planète. Facebook démontre brillamment que celui qui détient la data dispose en fait d'un moyen de mettre en œuvre un état permanent d'innovation. Car c'est bien de cela qu'il s'agit."
Documentation CD63

Comment les réseaux sociaux gagnent les collectivités locales - 0 views

  •  
    LaGazette.fr, 22 octobre 2015
gaviolig

Villes : de la connexion à l'intermodalité « InternetActu.net - 0 views

  • Evoquer les villes intelligentes, les villes durables ou les villes écologiques dessine à chaque fois une nouvelle palette d’avenir… et influe sur la manière dont elles sont conçues, construites et aménagées (le rapport est d’ailleurs le dernier d’une série de 4 : un autre s’intéresse à comment la ville est appelée à changer d’ici 50 ans, en explorant 4 scénarios : la ville de la haute technologie, la ville numérique, la ville vivable et la ville-forteresse ; un autre à l’évolution démographique des villes ; et le dernier à l’évolution architecturale des villes).
  • la ville intelligente ne peut pas être une installation clé en main, c’est-à-dire un ensemble de technologies qui, une fois déployées, fonctionneront de manière cohérente et uniforme (PlanIT prévoit même de développer son propre réseau social, indépendant de tous les réseaux sociaux existants), alors que les villes sont des produits culturels, économiques, politiques et sociaux spécifiques. Pour lui, l’individu doit être l’unité atomique des données urbaines,
  • l’enjeu repose sur le smartphone, le terminal ultime de la mobilité.
  • ...2 more annotations...
  • En échouant à prendre une position de leader sur les applications de mobilité, les villes cèdent le terrain et les données à des entreprises privées qui ne défendent pas les mêmes intérêts qu’elles. Les conséquences ne portent pas que sur l’information de transport, estime Eric Goldwyn. Le résultat risque surtout de passer à côté d’une occasion d’améliorer le réseau de transport en le rendant plus homogène, plus unifié. Le risque est que le transport public se fragmente, que l’intermodalité, si célébrée demeure un voeu pieu, et que les villes perdent des informations précieuses sur le déplacement et donc sur l’amélioration potentielle du réseau. Eric Goldwyn fait référence aux cartes d’abonnement et aux tickets uniques qui ont beaucoup fait pour l’unification du système de transit de New York. Il suggère qu’une application intégrée permettrait à tous d’accéder bien plus simplement à un réseau de transport en commun bien plus vaste… Une application unique permettrait une meilleure gestion de l’ensemble du réseau, de mieux s’adapter aux évolutions du trafic, de mieux répondre à la demande.
  • “Les applications de transports telles qu’Uber montrent les possibilités, et elles sont grandes, mais maintenant, nous avons besoin que l’entrepreneuriat public intègre ces nouvelles technologies pour améliorer le transport public, et pas seulement le transport privé”
gaviolig

La participation, outil de modernisation du fonctionnement interne | Cap'Com - 0 views

  • Comment mobilisez-vous autour de la démarche ?E. G. : On a fait la promotion du dispositif à travers tous les outils : newsletter, affichage, flyers, site et réseaux sociaux. L’affichage dans les lieux publics est un levier extrêmement important : les gens sont réceptifs au message de la consultation quand il est porté sur le lieu du quotidien : une  école ou un conservatoire par exemple, parce que ça concerne directement ce qu’ils sont en train de faire. Sur les retours, je suis surpris par la convergence des analyses : à 90 % on partage les mêmes diagnostics sur les dysfonctionnements. Il faut qu’on travaille sur la restitution de tout cela. Les agents nous disent souvent qu’ils ne comprennent pas pourquoi on leur demande de faire telle ou telle action, même si l’organisation a bien été réfléchie et qu’elle est pertinente. C’est important d’expliquer les choses. On doit avoir un gros travail avec la communication interne pour rendre compte aux agents des résultats.
  • Si la règle est bien posée, la démarche transparente, les syndicats acceptent la relation directe entre  les politiques et les agents. Et on les repositionne sur leurs missions premières autour des risques psycho-sociaux, des rémunérations, des statuts… La participation des agents, c’est pas bien de le faire, c’est essentiel.
gaviolig

Services publics numériques : les cadres de la fonction publique adorent, sou... - 0 views

  • La DISIC a entamé dans ce sens un lourd chantier de refonte des SI pour qu’ils soient interopérables, intègrent la production et donc l’utilisation de la donnée en amont et soient ouverts, via des API, ce qui renvoie au 3ème point clé identifié, “la communication des données et l’interopérabilité des systèmes entre administrations”
  • Cette évolution illustre le second point clé, “les évolutions organisationnelles associées au déploiement du numérique”, en lien avec le 4ème, “la gestion des RH : formation, montée en compétence des agents”.
  • A contrario, la réussite passe un changement de posture par rapport à l’image traditionnelle de l’administration : les agents “souhaitent ainsi inscrire leur action dans une démarche de management agile, réactive et moins hiérarchisée, qui favorisera leur participation.”
  • ...6 more annotations...
  • Dans le même sens, “deux domaines de compétences devraient être prioritairement internalisés : la conception et la gestion de projet d’une part, la production et la gestion de contenu d’autre part. (…) Plusieurs commentaires expliquent ainsi l’échec de certains programmes de transformation numérique par une externalisation de ces activités stratégiques.”
  • Dans le même temps, ces agents sont très réticents à associer davantage la société civile et les start-ups. Le “co-design” est pourtant une méthode innovante pour améliorer le service (public) produit, dans une logique “user-centré”, testée par exemple avec la V2 de data.gouv.
  • Une structure d’accueil pour des équipes en mode « agile » : prévue pour fin 2014, cette structure permettra d’accompagner des équipes de développement agile pour qu’ils imaginent, expérimentent et déploient, en cas de succès, de nouveaux services publics numériques.”
  • Les agents sont motivés principalement par deux raisons : “la satisfaction de participer à une administration plus performante” (66%) et “la possibilité d’être en phase avec les usages et les attentes des citoyens” (57%).
  • L’envie de “communiquer avec ses collègues par des plateformes de travail collaboratives” est aussi forte, 50%, une question qui sera abordée entre autres dans le cadre de la semaine de l’innovation publique, avec une conférence sur les réseaux sociaux d’entreprise, en l’occurrence d’administration.
  • La question de la performance économique trouve un autre écho dans les craintes suscitées par le numérique chez les agents publics puisque la réduction des effectifs arrivent en seconde position avec 51%, tout juste devant une appréhension plus paradoxale vu les attentes en terme de changement de management, celle de “devoir changer ses méthodes de travail” (57%). “La crainte d’une intensification du rythme de travail, d’un empiètement de la sphère professionnelle sur la vie privée et d’un manque de maîtrise des nouveaux outils numériques, fortement évoquée dans les commentaires, peut sans doute expliquer cette contradiction”, indique l’étude.
  •  
    - Lagazette.fr, 7 nov 2014
Documentation CD63

Réseaux sociaux d'entreprise : l'administration relève le défi ! - 1 views

  •  
    | Modernisation.gouv, 5 nov 2014
gaviolig

« Les jeunes lisent toujours, mais pas des livres » - 0 views

  • Le numérique aussi a changé notre façon de lire : les séquences de lecture des jeunes sont plus courtes, souvent liées à leurs échanges écrits sur Internet, et donc sont très liées à la sociabilité. Les choix de lecture se font en interaction avec les autres, de plus en plus par des recommandations des pairs. Or lire un livre est, par nature, une activité plutôt longue et solitaire. A l'ère du numérique, la façon dont les jeunes construisent leur approche culturelle ne va pas naturellement vers la lecture. Pourtant, certains jeunes, statistiquement plutôt les filles, se tournent de nouveau vers la lecture comme activité à contretemps et déconnectée, comme pour stopper le flux d'informations continu qui leur parvient.
  • Les 15-29 ans lisent des textos, Wikipédia, des blogs… Il y a bien des façons de lire. En réalité, on n'a jamais tant lu : des textes, des publicités, des articles, etc. Mais le goût pour la lecture de littérature baisse. Ces deux types de lectures sont différents. La lecture HTML est « additive », les liens et les articles se superposent les uns aux autres. Pour ne pas se perdre dans le flot d'informations, il faut construire une séquence de lecture. Il faut faire le tri, ne pas se perdre pour éviter la saturation informationnelle, le moment où l'on ne comprend plus rien à ce qu'on lit et où l'on tourne en rond. Ce sont des compétences très difficiles à acquérir.
  • Le smartphone est devenu le premier terminal culturel des adolescents et jeunes adultes. Les jeunes regardent toujours la télévision, mais sur leur ordinateur ou leur téléphone. Les blogs, forums et chaînes musicales remplacent les radios, qui s'écoutent en podcast. La presse également est consommée essentiellement sur Internet. Seuls les magazines spécialisés ou thématiques résistent à cette tendance, comme ceux consacrés au sport ou à un chanteur. Aujourd'hui, les premiers pourvoyeurs d'info sont les réseaux sociaux. Un adolescent que j'ai rencontré lors d'une enquête m'a dit, très justement : « S'il y avait la guerre, je l'apprendrais sur Facebook. »
  • ...1 more annotation...
  • Comment réduire la fracture numérique d'un côté et la fracture générationnelle de l'autre ? Mettre dans les mains des plus jeunes les textes anciens qui transitent à travers les générations, mais aussi, dans l'autre sens, former les personnes âgées aux nouvelles technologies, cela permet de créer du commun, de créer du lien intergénérationnel. C'est là tout l'enjeu des nouvelles politiques culturelles.
gaviolig

Dossier - Les données personnelles culturelles | Forum d'Avignon - 0 views

  • l’utilisation des données culturelles est avant tout un enjeu politique et éthique par son effet sur la vie privée, la création culturelle et la prescription des œuvres, la diversité et l’identité.
  • Les données – d’un volume vertigineux, qu’elles soient personnelles ou ouvertes à tous-, constituent un véritable or noir du XXIème siècle. Composantes de notre identité numérique, les données personnelles culturelles, ensemble des coordonnées, traces (expositions, films, séries, paroles de chanson, prochaine destination touristique, lectures, sites d’informations, spectacles, …) et contenus (photos, vidéos, écrits, …) que nous laissons sur les sites marchands ou non, moteurs de recherche, réseaux sociaux, nous définissent et reflètent, sans forcément que nous en ayons conscience, notre personnalité, nos goûts, nos aspirations, nos préoccupations, notre vie privée, notre ADN numérique. D’un volume gigantesque, elles font  l’objet de toutes les spéculations et attentions.
gaviolig

"Les outils collaboratifs sont nécessaires pour être plus autonomes et réacti... - 0 views

  • Parmi ses atouts, je peux citer qu'il est consultable de partout en interne comme en externe, qu'on y trouve toutes les actualités RH du mois, une bibliothèque de communications, du e-learning... Ensuite, comme sur tous les réseaux sociaux, il est possible de créer, à l'initiative des utilisateurs, des communautés d'intérêt, par région ou par métier par exemple. Les salariés des RH du groupe peuvent communiquer avec elles directement.
  • nouvelle philosophie
  • échanges et du partage d'informations.
  • ...2 more annotations...
  • Par exemple, les personnes peuvent commenter les outils que nous proposons, conseiller tel module pour telle problématique.
  • Ceux qui l'utilisent sont volontaires.
gaviolig

Le numérique réinvente la consommation culturelle - 0 views

  • l'économie culturelle numérique apparaît de plus en plus comme un vivier d'emplois et de créations d'entreprises ; et les pratiques de consommation culturelle évoluent rapidement, liées, entre autres, à un usage généralisé d'Internet et à l'explosion des ventes des objets connectés
  • En 2013, 59% des particuliers en France ont acheté des biens ou services en ligne, contre 47% dans l'Union européenne. Habitués aux services offerts dans leurs achats numériques, les consommateurs aspirent à des prestations comparables pour leurs expériences culturelles, selon une enquête consommateurs internationale menée par Kurt Salmon, pour le Forum d'Avignon entre avril et mai 2014.
  • Un enjeu pour les collectivités locales
  • ...5 more annotations...
  • En effet, selon l'enquête Kurt Salmon, 68% des personnes interrogées déclarent apprécier pouvoir donner un avis à l'issue d'une visite, et 65% déclarent apprécier de pouvoir partager leur expérience avec leur communauté ou leurs amis via les réseaux sociaux.
  • Le ministère de la Culture lui-même pilote de nombreux projets multimédias et des applications innovantes, comme la géolocalisation des organismes culturels, l'Atlas des patrimoines ou le portail Histoire des arts, HdA-Lab. Les groupes technologiques français ne sont pas en reste : Thales et Dassault Systèmes investissent dans la culture numérique, tandis qu'Orange a signé un contrat avec le musée Soulages de Rodez, inauguré le 30 mai 2014, et reconduit son soutien au « musée numérique » d'Agen.
  • Erasme
  • Autre expérience collaborative fondée sur le libre-échange communautaire : l'Atlasmuseum, un processus d'inventaire fondé sur la contribution des professionnels, mais aussi du public, qui répertorie les oeuvres d'art publiques, les géolocalise et les documente au sein d'un atlas wiki, mettant à disposition un vaste outil d'inventaire et de documentation de l'art public.
  • Au final, les services déployés reflètent surtout l'apparition des nouveaux comportements de néocollectionneurs. La dématérialisation du marché de l'art va bouleverser certaines pratiques...
1 - 20 of 22 Next ›
Showing 20 items per page