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Home/ USAGES NUMERIQUES 63/ Group items tagged plateformes collaboratives

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gaviolig

Consommation collaborative : l'enjeu du financement et de la gouvernance « In... - 0 views

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    "La consommation collaborative recouvre des initiatives et projets divers ; elle propose des services pairs à pairs qui mettent en relation directement les individus entre eux, mais aussi d'autres dans lesquels les particuliers s'organisent pour la gestion de ressources communes. Les questions de la gouvernance et de la répartition de la valeur,… au sein de ces initiatives auraient pu rester non posées, mais les craintes de voir les grandes plateformes de la consommation collaborative concentrer toujours plus de valeur [1] sans que les usagers n'aient leur mot à dire amènent à s'interroger sur les modèles à l'oeuvre. Dans ce paysage collaboratif, les exemples d'initiatives plus modestes (proches de l'Economie sociale et solidaire (ESS), du type AMAP, SEL, mais aussi des supermarchés coopératifs…) ayant instauré un mode de fonctionnement coopératif ne manquent pas ; et si c'était dans ces principes de gouvernance, valeur, expérience… plus partagées que la consommation collaborative pouvait pleinement s'épanouir ?"
Documentation CD63

Chers producteurs de données ouvertes, maintenant mangez les ! - 0 views

  • Il est encore difficile d’intégrer les données publiques ouvertes dans des services commerciaux tant la qualité et mise à jour des données laissent à désirer.
  • aujourd’hui l’open data représente une charge supplémentaire plutôt qu’une solution à leurs problèmes quotidiens. Lorsque les données deviennent obsolètes ou doivent être corrigées, quelqu’un doit prendre le temps de les corriger ou mettre à jour sur le circuit additionnel des données ouvertes. La vraie clé est de développer les incitations et faire en sorte que les plateformes open data soient les solutions internes. Ce qu’il manque aux administrations c’est de manger leurs propres données sur le modèle : Eat your own dogfood !
  • Si l’on veut continuer à voir les administrations françaises évoluer vers l’adaptation au contexte numérique, il va falloir qu’elles commencent à traiter les acteurs extérieurs comme les agents publics, avec le même souci d’efficacité, d’exigence qualitative et les mêmes interfaces.
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  • Quelques suggestions pour un pilote de Dogfood public Identifier les données les plus partagées entre services internes et organisations partenaires. Certaines sont probablement échangées par email, sous forme de bases de données ou parfois API sophistiqués. La méthode d’échange importe peu. Avec une équipe transversale d’agents mais également d’acteurs extérieurs réutilisateurs de données, prioriser les données pour l’ouverture. Travailler avec les agents pour créer les interfaces nécessaires à l’accès aux données. L’interface doit être conçue de manière à pouvoir être rendue publique. Lorsque les interfaces sont créées, annoncer que tous les échanges de données ne se feront plus que par ce biais. Garantissez l’accès ouvert à l’interface et à sa documentation
  • il va falloir commencer par consommer leurs propres données et donc considérer les plateformes open data comme le seul outil de circulation des flux, internes comme externes.
  • Le dogfooding (aussi appelé Eating your own dog food en anglais), traduit littéralement par « manger sa propre nourriture pour chien », est une expression désignant l’utilisation de ses propres produits et services afin de se confronter directement à ses qualités et défauts.
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     - Pratiques collaboratives, 1er oct 2014
Documentation CD63

OpenPaaS, la plateforme cloud collaborative financée par l'Etat - 1 views

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    | Archimag, 22 juillet 2015
gaviolig

Sharitories : portez un regard neuf sur votre territoire! - 0 views

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    "Transformer les collectivités locales en véritables plateformes pour faciliter l'émergence de projets citoyens et entrepreneuriaux à travers une logistique efficace, une forte communication et des processus d'accélération. L'économie collaborative n'est ni exclusivement privée, ni exclusivement publique: elle est partagée (voir Christian Iaione). Une approche régionale peut conduire à la création de groupes peer-to-peer regroupant tous les acteurs impliqués. Au niveau national, une sphère de compétence et d'expertise peut être utile pour rassembler les meilleurs pratiques pour démarrer des expérimentations au sein de différents territoires partager les connaissances."
gaviolig

Thierry Maillet : "Le numérique met fin à l'économie de la rente"Le nouvel Ec... - 0 views

  • La plateforme numérique est la réinvention de la place du marché du Moyen Age”.
  • Il pointe ainsi le “Big Data” qui menace potentiellement le libre arbitre des consommateurs
  • Ma conviction est que rien ne peut arrêter la technologie en marche et qu’il vaut mieux accompagner le mouvement plutôt que de chercher à le freiner.
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  • La technique numérique est 100 % américaine et quand elle ne l’est pas, les sociétés s’installent aux Etats-Unis, à l’instar de l’entreprise française Criteo qui est cotée à New York. Sans compter les adresses e-mail qui sont majoritairement aujourd’hui en Gmail. Une domination incroyable
  • Un site tel que Airbnb détermine la valeur de marché d’une nuit de couchage dans le monde entier. Agissant comme un formidable appel d’air, le numérique, en favorisant les rencontres entre l’offre et la demande, crée de nouveaux marchés, c’est sa force. Et derrière ces marchés créés, il y a de l’activité. Le covoiturage, l’hôtellerie à domicile, le prêt d’argent, etc. sont des exemples parmi d’autres. La place du marché numérique n’est que la réinvention du marché du Moyen Age ! Mais au passage, les places de marché bousculent l’existant. Et parfois, ce dernier n’arrive pas à suivre le mouvement. On ne compte pas le nombre d’organisations qui n’ont pas su prendre en charge par elles-mêmes les innovations dont elles connaissaient pourtant l’impact. Et qui ont disparu. Cette inertie est impressionnante. Le seul remède ? Etre en permanence réactif à son environnement.
  • La constitution de plateformes de marché, lieu de confrontation de l’offre et de la demande, est essentielle. Le numérique crée des marchés mais il peut aussi sauver des activités parce qu’il permet de retrouver des prix d’équilibre en luttant contre des phénomènes d’asymétrie d’informations.
  • La santé recèle à cet égard un potentiel d’économies considérable. Avec l’objet connecté attaché au corps humain, nous serons tous demain dans l’autoprévention des risques. Au point peut- être de devenir tous hypocondriaques ! Il y a là un gisement d’économies considérable pour l’assurance maladie et une possibilité de combler le trou de la Sécurité sociale.
  • Plus pernicieux est l’usage économique du big data en aiguillant l’individu via des logiciels de prédiction sur des consommations ciblées.
  • On est en train de lancer en France, l’association “Image & Digital” pour rapprocher les professionnels de l’image et du numérique. Ils ont tellement besoin les uns des autres ! Notre première action est la promotion d’une charte d’identification de la Méta Donnée.*
  • Le numérique modifie fondamentalement l’art d’enseigner qui devient un travail collaboratif. La relation du maître à l’élève n’est plus la même. Il n’est plus question de dicter le cours au tableau. Les élèves, chacun avec sa tablette et avec le professeur qui le guide, sont capables de trouver la solution au problème posé. Je prône 25 élèves par classe avec 25 tablettes. Et en route pour la pédagogie collaborative ! Mais le danger de laisser les adolescents seuls à passer tout leur temps sur les réseaux ne doit pas être sous-estimé
gaviolig

Concertation nationale sur le numérique - 0 views

  • Le Premier ministre a saisi le Conseil national du numérique pour organiser une concertation citoyenne sur les enjeux sociétaux et économiques liés aux transformations numériques. Dans son rôle d’interface entre la société civile, les acteurs économiques et les pouvoirs publics, le Conseil propose une plateforme collaborative afin de construire des équilibres pérennes autour de plusieurs axes : croissance et innovation, droits et libertés, enjeux sociétaux et modernisation de l’Etat. Vos propositions alimenteront notamment le futur projet de loi sur le numérique et participeront à la construction de la stratégie numérique de la France.
Documentation CD63

Axelle Lemaire obtient le feu vert de Matignon sur le numérique - 1 views

  • saisir le Conseil national du numérique (CNNum) “avant la fin du mois de septembre” pour mener une large consultation citoyenne en amont de la présentation du projet de loi au Parlement.
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    Acteurs publics, 4 sept 2014
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    Je sais pas si cela vous parle mais je viens de trouver ceci Une plateforme collaborative http://www.faire-simple.gouv.fr/
gaviolig

Services publics numériques : les cadres de la fonction publique adorent, sou... - 0 views

  • La DISIC a entamé dans ce sens un lourd chantier de refonte des SI pour qu’ils soient interopérables, intègrent la production et donc l’utilisation de la donnée en amont et soient ouverts, via des API, ce qui renvoie au 3ème point clé identifié, “la communication des données et l’interopérabilité des systèmes entre administrations”
  • Cette évolution illustre le second point clé, “les évolutions organisationnelles associées au déploiement du numérique”, en lien avec le 4ème, “la gestion des RH : formation, montée en compétence des agents”.
  • A contrario, la réussite passe un changement de posture par rapport à l’image traditionnelle de l’administration : les agents “souhaitent ainsi inscrire leur action dans une démarche de management agile, réactive et moins hiérarchisée, qui favorisera leur participation.”
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  • Dans le même sens, “deux domaines de compétences devraient être prioritairement internalisés : la conception et la gestion de projet d’une part, la production et la gestion de contenu d’autre part. (…) Plusieurs commentaires expliquent ainsi l’échec de certains programmes de transformation numérique par une externalisation de ces activités stratégiques.”
  • Une structure d’accueil pour des équipes en mode « agile » : prévue pour fin 2014, cette structure permettra d’accompagner des équipes de développement agile pour qu’ils imaginent, expérimentent et déploient, en cas de succès, de nouveaux services publics numériques.”
  • Dans le même temps, ces agents sont très réticents à associer davantage la société civile et les start-ups. Le “co-design” est pourtant une méthode innovante pour améliorer le service (public) produit, dans une logique “user-centré”, testée par exemple avec la V2 de data.gouv.
  • Les agents sont motivés principalement par deux raisons : “la satisfaction de participer à une administration plus performante” (66%) et “la possibilité d’être en phase avec les usages et les attentes des citoyens” (57%).
  • L’envie de “communiquer avec ses collègues par des plateformes de travail collaboratives” est aussi forte, 50%, une question qui sera abordée entre autres dans le cadre de la semaine de l’innovation publique, avec une conférence sur les réseaux sociaux d’entreprise, en l’occurrence d’administration.
  • La question de la performance économique trouve un autre écho dans les craintes suscitées par le numérique chez les agents publics puisque la réduction des effectifs arrivent en seconde position avec 51%, tout juste devant une appréhension plus paradoxale vu les attentes en terme de changement de management, celle de “devoir changer ses méthodes de travail” (57%). “La crainte d’une intensification du rythme de travail, d’un empiètement de la sphère professionnelle sur la vie privée et d’un manque de maîtrise des nouveaux outils numériques, fortement évoquée dans les commentaires, peut sans doute expliquer cette contradiction”, indique l’étude.
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    - Lagazette.fr, 7 nov 2014
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