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Home/ USAGES NUMERIQUES 63/ Group items tagged nouvelles technologies

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gaviolig

Numérique et transformations du monde du travail : vers de nouveaux équilibre... - 1 views

  • Si les technologies de la relation sont au cœur de la crise du salariat et bouleversent en profondeur l’organisation du travail héritée de l’ère industrielle, elles ouvrent parallèlement la voie à la transformation des métiers et au développement de nouvelles formes de « faire ensemble » : en effet, ces technologies favorisent l’émergence de structures qui allient ancrage local et marchés globaux, ciblent des marchés de niche tout en reposant sur des communautés actives sur un plan mondial. De taille humaine, organisées en réseau, elles proposent des modes de fonctionnement plus collaboratifs. Au plan individuel, elles font évoluer la relation au travail, multipliant des expériences qui, dans la durée, prennent tendanciellement le pas sur les logiques de carrière.
  • Trois formes de coordination managériale se chevauchent désormais au sein des grandes entreprises : les coordinations réalisées par la hiérarchie, par le projet et en réseau. Cette hybridation perturbe les grilles de définition et d’évaluation des résultats (Mallard, 2011).
  • De la création des logiciels métiers au déploiement de l’email et de la messagerie instantanée, ces outils réclament une adaptation des salariés ; en effet, leur mauvaise maîtrise produit des effets pervers et contre-productifs, l’email en étant un exemple frappant (fragmentation des tâches, conduites compulsives, surcharge informationnelle, stress, etc.)
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  • Même si, lors de leur arrivée, les craintes liées à un usage extraprofessionnel trop important étaient fortes, on constate que les principaux usages de ces outils sont d’ordre professionnel :
  • Le nouvel environnement techno-économique a conduit à une évolution de la perception même du travail , bien que l'épanouissement dans le travail reste au centre de la construction identitaire.
  • En termes d’usages numériques, il est important de préciser que les jeunes ne représentent pas une catégorie homogène et que le discours courant sur les compétences numériques de ces « digital natives » qui importent de nouvelles pratiques dans l'entreprise ne reflète que partiellement la réalité. Un des leurres est justement d’extrapoler les compétences des étudiants qui sortent des grandes écoles sur l’ensemble de la population du même âge. Pour mieux comprendre les pratiques numériques des jeunes qui entrent sur le marché du travail, il convient de distinguer notamment les effets d’âge (la sociabilité qui décroît avec l’âge, par exemple) des effets générationnels (relatifs à de nouvelles pratiques culturelles numériques des jeunes, par exemple).
  • Parmi les pays européens, la France est celui où l’intérêt du travail est le plus marqué, mais elle est aussi le pays dans lequel les individus souhaitent qu’il prenne moins de place.
  • Il devient alors important de travailler la mise en place d’environnements susceptibles de redonner aux salariés la capacité de développer leur autonomie en situation de travail (développer leur savoir-faire, élargir leurs possibilités d’action), et, pour cela, en orchestrant des conditions organisationnelles, techniques et sociales
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    Le travail ne cesse de se réinventer sous le coup d'innovations technologiques radicales. Si l'on s'en tient au seul siècle dernier, l'apparition de la machine à vapeur à la fin du 19e siècle est à l'origine de l'ère industrielle, associée de formes et organisations totalement nouvelles de travail.
Sophie Point

http://pierrewouters.sharedby.co/vAljdD - 1 views

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    Philosophe et historien des sciences, Michel Serres réclame l'indulgence pour les jeunes, obligés de tout réinventer dans une société bouleversée par les nouvelles technologies.
gaviolig

Villes : de la connexion à l'intermodalité « InternetActu.net - 0 views

  • Evoquer les villes intelligentes, les villes durables ou les villes écologiques dessine à chaque fois une nouvelle palette d’avenir… et influe sur la manière dont elles sont conçues, construites et aménagées (le rapport est d’ailleurs le dernier d’une série de 4 : un autre s’intéresse à comment la ville est appelée à changer d’ici 50 ans, en explorant 4 scénarios : la ville de la haute technologie, la ville numérique, la ville vivable et la ville-forteresse ; un autre à l’évolution démographique des villes ; et le dernier à l’évolution architecturale des villes).
  • la ville intelligente ne peut pas être une installation clé en main, c’est-à-dire un ensemble de technologies qui, une fois déployées, fonctionneront de manière cohérente et uniforme (PlanIT prévoit même de développer son propre réseau social, indépendant de tous les réseaux sociaux existants), alors que les villes sont des produits culturels, économiques, politiques et sociaux spécifiques. Pour lui, l’individu doit être l’unité atomique des données urbaines,
  • l’enjeu repose sur le smartphone, le terminal ultime de la mobilité.
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  • En échouant à prendre une position de leader sur les applications de mobilité, les villes cèdent le terrain et les données à des entreprises privées qui ne défendent pas les mêmes intérêts qu’elles. Les conséquences ne portent pas que sur l’information de transport, estime Eric Goldwyn. Le résultat risque surtout de passer à côté d’une occasion d’améliorer le réseau de transport en le rendant plus homogène, plus unifié. Le risque est que le transport public se fragmente, que l’intermodalité, si célébrée demeure un voeu pieu, et que les villes perdent des informations précieuses sur le déplacement et donc sur l’amélioration potentielle du réseau. Eric Goldwyn fait référence aux cartes d’abonnement et aux tickets uniques qui ont beaucoup fait pour l’unification du système de transit de New York. Il suggère qu’une application intégrée permettrait à tous d’accéder bien plus simplement à un réseau de transport en commun bien plus vaste… Une application unique permettrait une meilleure gestion de l’ensemble du réseau, de mieux s’adapter aux évolutions du trafic, de mieux répondre à la demande.
  • “Les applications de transports telles qu’Uber montrent les possibilités, et elles sont grandes, mais maintenant, nous avons besoin que l’entrepreneuriat public intègre ces nouvelles technologies pour améliorer le transport public, et pas seulement le transport privé”
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Infographie : les séniors et les nouvelles technologies - JDN - 0 views

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    "Usages mobile, e-commerce, e-santé et objets connectés... CCM Benchmark fait le point sur les pratiques numériques des séniors en une infographie."
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« Les jeunes lisent toujours, mais pas des livres » - 0 views

  • Le numérique aussi a changé notre façon de lire : les séquences de lecture des jeunes sont plus courtes, souvent liées à leurs échanges écrits sur Internet, et donc sont très liées à la sociabilité. Les choix de lecture se font en interaction avec les autres, de plus en plus par des recommandations des pairs. Or lire un livre est, par nature, une activité plutôt longue et solitaire. A l'ère du numérique, la façon dont les jeunes construisent leur approche culturelle ne va pas naturellement vers la lecture. Pourtant, certains jeunes, statistiquement plutôt les filles, se tournent de nouveau vers la lecture comme activité à contretemps et déconnectée, comme pour stopper le flux d'informations continu qui leur parvient.
  • Les 15-29 ans lisent des textos, Wikipédia, des blogs… Il y a bien des façons de lire. En réalité, on n'a jamais tant lu : des textes, des publicités, des articles, etc. Mais le goût pour la lecture de littérature baisse. Ces deux types de lectures sont différents. La lecture HTML est « additive », les liens et les articles se superposent les uns aux autres. Pour ne pas se perdre dans le flot d'informations, il faut construire une séquence de lecture. Il faut faire le tri, ne pas se perdre pour éviter la saturation informationnelle, le moment où l'on ne comprend plus rien à ce qu'on lit et où l'on tourne en rond. Ce sont des compétences très difficiles à acquérir.
  • Le smartphone est devenu le premier terminal culturel des adolescents et jeunes adultes. Les jeunes regardent toujours la télévision, mais sur leur ordinateur ou leur téléphone. Les blogs, forums et chaînes musicales remplacent les radios, qui s'écoutent en podcast. La presse également est consommée essentiellement sur Internet. Seuls les magazines spécialisés ou thématiques résistent à cette tendance, comme ceux consacrés au sport ou à un chanteur. Aujourd'hui, les premiers pourvoyeurs d'info sont les réseaux sociaux. Un adolescent que j'ai rencontré lors d'une enquête m'a dit, très justement : « S'il y avait la guerre, je l'apprendrais sur Facebook. »
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  • Comment réduire la fracture numérique d'un côté et la fracture générationnelle de l'autre ? Mettre dans les mains des plus jeunes les textes anciens qui transitent à travers les générations, mais aussi, dans l'autre sens, former les personnes âgées aux nouvelles technologies, cela permet de créer du commun, de créer du lien intergénérationnel. C'est là tout l'enjeu des nouvelles politiques culturelles.
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Comment réguler à l'heure de l'innovation permanente ? « InternetActu.net - 0 views

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    "La loi et la réglementation jouent un rôle essentiel dans la société… pour protéger les citoyens, les entreprises ou l'intérêt général. Mais trop souvent, elles peinent à faire face au rythme des innovations, aux changements exponentiels induits par la technologie. Bien des mesures prises par les régulateurs peuvent être aussitôt défaites par un détournement imprévu (on se souvient notamment de la loi anti-Amazon, aussi vite obsolète que votée) ou une nouvelle innovation… Comment réglementer l'impression 3D d'armes à feu ? Comment gérer le conflit entre les taxis et les services de véhicules avec chauffeurs ? Comment légiférer pour prendre en compte l'évolution de la génétique dans la médecine ?"
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Le numérique hors les bancs - Lagazette.fr - 0 views

  • La convention assigne quatre objectifs aux partenaires : “diffuser la culture numérique dans un cadre éducatif ouvert, en complément des actions d’enseignement et de pédagogie propres conduites par l’Education nationale ; favoriser l’accès des jeunes ruraux à la culture numérique et créer des dynamiques locales autour du numérique ; soutenir la mission de dynamisation des EPN conduite par la DUI et sa mission d’éducation au numérique ; favoriser l’émergence en milieu rural d’initiatives adossées aux nouvelles technologies.
  • Le texte insiste sur le “format ouvert et “hors programme” des sessions, menées “avec les élèves” : les communes s’organisent comme elles le souhaitent. Les animateurs pourront bénéficier de ressources en ligne et d’un accompagnement personnalisé, “notamment dans le cadre de la mise en place d’un MOOC spécificique.” Des animateurs qui ne seront pas uniquement issus des EPN.
  • “L’école forme dans un cadre théorique, avance encore Pierre Perez, secrétaire général de la DUI, cette formation est davantage orientée projet, pour des applications concrètes.” “L’école ne peut pas tout et le numérique n’est pas strictement un enjeu scolaire mais un enjeu culturel et de territoire”, poursuit encore Sébastien Côte, président de Mon Territoire Numérique.
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  • Les contours du financement de l’expérimentation  sont imprécis pour le moment : dans les attributions du comité de pilotage, on peut lire : “- discussion et proposition sur les moyens, notamment financiers, que souhaitent mettre en œuvre les Parties pour la mise en œuvre de la présente convention et des actions en découlant.” “Il n’y a pas d’enveloppe débloquée pour le moment, indique Pierre Pérez, la démarche est arrivée trop tard dans l’année, s’il y a un budget, ce sera début 2015, environ 15000 euros.” “Le coût par commune est nul et repose sur la mise à disposition gratuite de ressources (animateur EPN, ressources de l’An@é)”, indique Sébastien Côte. “
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Vers un numérique éco-responsable | efficaciTIC - 0 views

  • Le numérique recèle en effet un fort potentiel en terme d’économies d’énergie et de réduction d’émissions de CO2. Nombreux sont les secteurs d’activités qui ont vu ces dernières décennies leur structure évoluer vers des formes d’organisation moins énergivores grâce au numérique.
  • Que ce soit par la dématérialisation des échanges et des supports de communication, le télétravail ou plus récemment encore avec les smarts buildings et les smarts grids (1), les TIC (Technologies de l’Information et de la Communication) ont impulsé de nouvelles dynamiques en matière de performance environnementale. Mais quid de l’impact carbone des TIC en elles-mêmes ?
  • 13,5% de la consommation d’électricité en France et 5% des émissions de gaz à effet de serre nationales. L’expansion que connaissent les TIC entraîne à sa suite une augmentation de 10% (2) par an de la consommation électrique liée à l’activité, que ne viennent malheureusement pas compenser leur efficience énergétique en constante amélioration.
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  • Le matériel informatique est fabriqué essentiellement en Asie où la production d’électricité émet près de 10 fois plus de gaz à effet de serre qu’en France. La fabrication d’un ordinateur produit 70 fois plus de gaz à effet de serre que son utilisation pendant un an en France.
  • téléphones mobiles
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    "source Deloitte"
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